A cinquante ans, une femme baise (1)

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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A cinquante ans, une femme baise (1)
Cinquante ans ! Le jour où Corinne fêta son anniversaire, ce ne fut pas vraiment la joie au coeur malgré la présence familiale autour d'elle, parents, conjoints et enfants. Elle prit conscience qu'elle était bel et bien passée dans la deuxième moitié de sa vie, et plutôt entamée. Raison de plus pour ne pas se laisser aller et conserver une silhouette qui lui valait encore considération dans son milieu professionnel où les hommes étaient nombreux.
Grande et élancée, les cheveux mi-longs teints en blond battant sur ses épaules, des yeux émeraude malicieux, elle sentait encore les regards masculins dans son dos quand elle évoluait dans les espaces de travail, accentuant les roulements de sa croupe large, ferme et bombée qui constituait son principal atout sexuel. Elle n'en restait pas moins fidèle à son mari, plus par conformisme conjugal que par goût.
Car à côté d'elle sur son open space siégeait Marjorie. Un peu son envers physique et moral, bien qu'elle aussi âgée de cinquante ans depuis peu, ce qui avait engendré entre elles plusieurs conversations. Brune avec des filets argentés, la peau mate, le corps un peu trapu, forte en fesses et en cuisses, elle n'avait rien d'un canon en dépit d'un visage dénué de rides et illuminé constamment d'un large sourire. Séparée de longue date, Marjorie jouissait d'une vie sexuelle aussi agitée que celle de Corinne était calme. Les hommes étaient irrésistiblement attirés par sa nature généreuse, ouverte, rayonnante, nullement dissuadés, bien au contraire par la dissymétrie de son corps, fort du bas et mince du haut. Si bien que malgré ses cinquante ans, elle n'avait aucun mal à trouver un partenaire sexuel de tout âge, pour une relation sans complication et néanmoins torride. Marjorie était douée pour le sexe. Elle prenait et donnait du plaisir. Elle baisait et ne s'en cachait pas, en particulier auprès de Corinne qui écoutait ses frasques, à la fois choquée et envieuse quand elle racontait ses ébats dans les moindres détails.
Lorsque la blonde évoqua à la brune le spleen qui l'avait atteint le jour de son cinquantième anniversaire, il lui fut répondu :
- Eh bien, ma cocotte, il serait peut-être temps que tu profites de ton corps tant qu'il plait, et je sais qu'il plait. Qu'est-ce que tu attends pour le faire exulter ? Chauffe ton mari, fais quelque chose.
- Bah, tu sais bien, la bagatelle, ce n'est pas trop son truc. Il est dingue de jardinage, il passe tous ses loisirs à tailler les haies et planter des fleurs. Il n'a pas toujours été comme ça mais que veux-tu, il a vieilli, comme moi.
- En somme, tu as rendu les armes. Ne te plains pas si tu te déssèches, si tes fesses ramollissent et si tu as des rides au front. Tu l'auras bien cherché.
- Mais je ne veux pas ça du tout !
- Alors, fais comme moi. Baise.
- Hein ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Ouvre les yeux. Quand tu marches, je vois des regards qui mate ton cul, que j'envie. Tu n'as qu'un mot à dire pour t'envoyer vraiment en l'air. Profiter de tes cinquante ans avec un mec bien membré qui va te faire grimper aux rideaux parce qu'il aime les femmes mûres. Il y en a plein, j'en sais quelque chose.
- Mais je veux rester avec mon mari !
- Qui te dit de le quitter ? Ce n'est pas parce que tu auras cédé à un plan cul que tu vas divorcer. Bon, je vois qu'il faut te forcer un peu la main. Qu'est-ce que tu dirais de sortir avec moi demain soir ? Tu n'as qu'à dire à ton mari que tu vas fêter ton anniversaire avec des collègues de travail. Tu ne mentiras même pas. Fais toi un peu sexy quand même. On ira dans un bar dansant où j'ai mes habitudes. Après, ce sera à toi de décider de ce que tu feras de ta soirée.
Corinne passa le reste de sa journée de travail à méditer sur la proposition de Marjorie. Elle l'avait acceptée mais se demandait si elle avait bien fait. Néanmoins, quelque chose la poussait à se faire belle, à magnifier sa maturité, à séduire encore. Son mari, comme elle s'en doutait, ne manifesta aucune objection à sa sortie. Il y avait justement un match de foot à la télé. Ils n'auraient pas à discutailler sur le programme. Après avoir inspecté sa garde-robe, elle rejeta la robe trop habillée pour un pantalon corsaire en coton très moulant pour mettre sa croupe en valeur, comme le lui avait suggéré Marjorie, ainsi qu'un top sans manches car elle se trouvait encore de beaux bras. Soutif ou pas soutif ? Elle décida de partir avec mais disposée à l'enlever si elle avait trop chaud. Ses seins encore fermes pouvaient faire sans.
Marjorie avait elle aussi mis sa sexualité en évidence. Sa mini jupe découvrait largement ses cuisses larges et ses fesses charnues vibraient tellement que Corinne se demanda si elle portait un slip dessous. Son corsage très échancré s'ouvrait sur un soutien-gorge à balconnet rehaussant son buste volumineux. Tout en elle inspirait le sexe. Et de fait, à peine arrivée au bar dansant, elle fut assaillie par des mâles visiblement en rut avec lesquels elle semblait jouer. Elle leur présenta Corinne qui fut aussitôt l'objet d'intérêts soutenus, ce qui la flatta. Elle se sentit soudain rajeunie, comme au temps où, jeune fille et reine de beauté dans son département, il y avait toujours une cour masculine autour d'elle.
La soirée se déroula entre danses et mojitos. Corinne avait de plus en plus chaud et profita d'un passage aux toilettes pour fourrer son soutif dans son sac. Elle avait mal aux pieds à force de danser et regretta d'avoir choisi des chaussures à talons au lieu de ballerines. Elle finit par se mettre pieds nus pour des rock endiablés avec un grand brun de vingt ans de moins qu'elle prénommé Boris, qui avait à l'évidence jeté son dévolu sur elle. Marjorie dansait moins mais roucoulait sur une banquette avec un métis également beaucoup plus jeune qui lui mettait la main sous la mini-jupe sans rencontrer beaucoup d'opposition. La soirée devenait la nuit et il arriva le moment où il fallut décider comment cette fiesta allait s'achever. Rentrer tranquillement chez soi ou... autre chose ?
Marjorie prit les devants en annonçant à Boris et au métis prénommé Célestin : "on va prendre un dernier verre chez moi. Corinne, tu viens, n'est-ce pas ?"
Corinne n'avait pas prévu ce scénario. Certes, elle n'était plus en âge de demander la permission de minuit mais il était déjà deux heures et son mari allait s'inquiéter de son absence prolongée. Marjorie balaya l'objection :
- Il doit dormir sur ses deux oreilles à l'heure qu'il est. Profite. Lâche toi. Sois jeune, pas vieille.
C'était ce que Corinne avait envie d'entendre. Pas folle au point de ne pas savoir ce qui l'attendait, mais néanmoins excitée par un mélange d'alcool et d'attirance pour un beau mec qui l'avait fait virevolter sur la piste de danse, elle monta à l'arrière de la voiture de Marjorie en compagnie de Boris qui, déjà, la caressait et cherchait ses lèvres. Sur le chemin de l'appartement de sa collègue, Corinne se sentait ramollir. Ces mains d'homme par dessus sont top sur ses seins nus dessous lui mettaient le feu au bas-ventre. Il y avait un bail qu'elle n'avait pas éprouvé une telle sensation. Marjorie lui avait chuchoté à l'oreille en partant :
- On va baiser et par pitié, ne fait pas la mijaurée. Ne me fais pas ce coup là chez moi.
A dire vrai, Corinne ne pensait plus vraiment à son mari en entrant dans l'appartement de son amie. Elle avait surtout peur de ne pas être à la hauteur de l'événement. Elle se sentait un peu rouillée avec ses cinquante balais d'épouse conventionnelle. Marjorie la mettait devant un fait accompli et inédit : faire l'amour avec un inconnu en la présence d'un autre couple dont l'un des éléments était sa collègue de bureau. Un plan à quatre, en somme. De quoi partir en courant. Mais elle resta.
Marjorie sortit des verres et des bouteilles d'alcool mais quand elle se pencha sur la table basse pour disposer l'ensemble, le dénommé Célestin lui mit la main sous la mini, palpa ses fesses copieuses, et déclara :
- J'aime bien les femmes qui ne portent pas de culotte.
Marjorie gloussa et se mit à califourchon sur le jeune homme dans une attitude pré coït qui figea Corinne sur l'autre canapé. Tandis que Boris lui caressait la cuisse, elle regarda Marjorie déboutonner son corsage, dégrafer son soutif et mettre ses nichons dans la figure du métis qui s'en gava la bouche tout en pétrissant ses fesses nues. Puis Marjorie se releva, se débarrassa de sa mini jupe, découvrant son large fessier aux yeux de Corinne, se mit à genoux et libéra le pénis de Célestin qu'elle emboucha avec une évidente délectation.
C'est à peine si Corinne se rendit compte que Boris lui avait fait passer son top par dessus sa tête et tété lui aussi ses seins aux pointes érigées par un désir de plus en plus manifeste. Instinctivement, elle posa une main sur la braguette du jeune homme, rencontra de la dureté et l'autre y vit le signal pour glisser sa main sous le pantalon corsaire, découvrant un sexe trempé de femme en attente de bite.
La suite se déroula comme dans un rêve. Corinne vit Boris se saisir du préservatif que lui tendait Marjorie, se laissa allonger sur le canapé, se fit brièvement lécher et vit l'homme nu au-dessus d'elle lui mettre une jambe sur le dossier et l'autre dans le creux de son bras pour une pénétration massive que Corinne reçut comme une délivrance. Ce fut comme si son corps entier réclamait l'organe mâle. On ne s'attardera pas sur les détails de ces ébats, forcément fastidieux à raconter. Si ce n'est pour dire qu'aux exclamations sonores de Marjorie assorties de mots crus répondaient des gargouillements, des borborygmes, des glapissements et des râles de Corinne qui ne s'étaient jamais sentie à ce point baisée, fouillée, secouée et mise en ébullition de la tête aux orteils par une rafale de coups de queue bien raide. Lorsqu'elle fut prise en levrette sur son canapé, elle croisa le regard de Marjorie dans la même position, ses cheveux bruns ballotant comme ballottaient les blonds de Corinne, les seins balançant pareillement. Elles se découvraient mutuellement dans le plaisir sexuel, les collègues de bureau, la bouche un peu tordue, l'oeil un peu vitreux.
- Tu baises, hein ? souffla la brune à la blonde.
- Mmmmhh, ouiiii, répondit succinctement celle-ci, tout son être concentré sur la bite qui la faisait tellement sentir femme.
Aux bruits de l'amour s'ajoutaient les odeurs de sueur et sui generis des deux couples en fusion. Inlassables, les deux jeunes gars faisaient claquer la peau de leur ventre sur les fesses charnues de leur mûre partenaire, rivalisant d'endurance comme un défi physique.
Lorsque Marjorie informa Corinne d'une voix rauque qu'elle se faisait "enculer", cette dernière, qui n'avait pas pratiqué cette fantaisie depuis des lustres, se laissa gagner par l'ambiance et écarta elle-même ses fesses de ses mains, invitant implicitement son jeune amant à visiter son petit trou.
Ce fut un peu laborieux au début mais Corinne était dans un tel état d'exaltation érotique que son corps accueillit le visiteur anal comme si elle y était habituée. La croupe somptueuse de la quinquagénaire, qui inspirait tant son entourage masculin professionnel, vainquit les dernières résistances du jeune mâle qui gicla en grognant dans sa capote, aussitôt suivi de son alter égo que l'agitation frénétique du derrière de la brune avait fini par faire craquer. Corinne et Marjorie avait joui et crié quasi simultanément.
Assise un peu groggy sur le canapé, Corinne ne réalisa pas immédiatement la transgression à laquelle elle s'était livrée. Elle regarda les deux gaillards la queue désormais pendante aller aux toilettes et Marjorie évoluer nue dans la pièce pour servir à boire, son imposant pubis brun projeté vers l'avant comme un nouvel appel. On riait autour de la table basse comme après une petite farce. Puis Corinne réalisa que l'aube était en train de se lever. Elle se rhabilla prestement, demanda à Marjorie de la raccompagner chez elle, prit une douche en arrivant chez elle et se coucha à côté de son mari qui, comme l'avait prévu sa collègue, dormait profondément. Elle se leva à midi et répondit un peu laconiquement aux questions de son mari sur la fête de la veille. Et le lendemain, elle retournait au bureau à côté de Marjorie comme après un week-end banal.
****
Cependant, beaucoup de choses avaient changé dans la vie de Corinne. Elle tenta d'abord de stimuler sexuellement son mari, non sans succès au début, mais la routine revint s'installer et elle se mit à répondre aux sollicitations masculines qu'elle avait négligées auparavant. Dans le sillage de Marjorie, elle connut plusieurs relations éphémères, plus ou moins satisfaisantes. Son couple s'en ressentit et son mari lui demanda de choisir : le couple ou la vie libertine. Après avoir tergiversé, elle choisit la seconde, dans l'idée de profiter pleinement des derniers éclats de sa maturité. "Voilà ce que je suis devenue, une femme qui baise, comme toi", avoua-t-elle à Marjorie, qui ne la démentit point. Et de fait, les deux collègues se retrouvaient souvent dans des soirées qui s'achevaient en partouzes, où leur tempérament volcanique obtenait un franc succès masculin, voire féminin.
Mais on se lasse de tout, et Corinne finit par regretter son petit confort bourgeois et son foyer conjugal, notamment sous l'influence de ses deux enfants devenus adultes qui n'avaient pas compris sa transgression. Et quelques mois plus tard, elle retrouva le domicile familial, les promenades du dimanche et la sexualité épisodique. Elle était passée de l'autre côté de ses cinquante ans. Et pourtant, quand elle marchait, elle sentait encore les regards mâles sur sa croupe, dont elle accentuait le roulement. Comme un appel...
*****
Quittons Corinne pour Agnès, autre quinquagénaire, mais d'un physique totalement différent. Elle est petite, rondelette avec une belle paire de nichons et une croupe généreuse. Sa coupe de cheveux au carré est teinte en blond pour masquer ses premiers cheveux blancs. Son mari l'a quittée depuis trois ans pour une femme plus jeune, ce qu'elle a eu évidemment du mal à digérer. Elle en a voulu à tous les hommes au point de n'avoir jamais voulu entamer une nouvelle relation. Mais son passage à la cinquantaine a réveillé ses hormones endormies. Elle s'est rendue compte qu'elle allait vieillir prématurément si elle continuait à se laisser aller. Elle a changé sa garde-robe pour mettre son corps pulpeux en valeur, à l'instigation d'une collègue de son âge, Mylène, aux tenues affriolantes et ne faisant pas mystère d'une sexualité active de divorcée.
Pour stimuler sa libido, elle s'est mise à regarder des vidéos pornos sur sa tablette pour voir quel effet cela lui ferait. Elle a fantasmé d'emblée sur des femmes mûres en train de copuler avec des hommes noirs au corps sculptural. Elle s'est masturbée dans son lit en visionnant ces ébats torrides. Son imagination a commencé à galoper. Pourquoi pas elle ? Elle a cherché des lieux dans la ville où elle pourrait rencontrer des hommes à peau foncée et a dégoté un bar à musique qui a l'air sympa. Mais pas question d'y aller seule.
Alors, elle en a parlé à Mylène qui s'est légèrement braquée :
- Qu'est-ce que tu vas faire là ? Ce n'est pas un endroit pour toi. Cherche plutôt quelqu'un pour refaire ta vie.
- Eh, ça te va bien de dire ça, toi. Tu es libertine, que je sache. Je suis comme toi, je ne suis pas en quête d'un autre mari. Je ne cherche pas à faire l'amour. Je veux baiser. Et si possible avec un beau mec bien membré. Cela fait plus de trois ans que je n'ai pas eu de sexe et ça me manque.
- Avec un black, c'est ça ?
- Pourquoi pas ? Je ne suis pas raciste.
- En tout cas, ne compte pas sur moi pour t'accompagner.
Devant ce refus radical, Agnès se trouve coincée. Doit-elle renoncer à son fantasme ? Mais elle est comme une chienne en chaleur depuis qu'elle a vu des femmes, mûres ou non, bramer de plaisir sous les assauts virulents d'amants à peau d'ébène, comme ces athlètes qu'elle a vus aux Jeux Olympiques et qui l'ont fait rêver.
C'est alors qu'elle pense à Manuel, un collègue plus âgé, vieux garçon qui a toujours espéré coucher avec elle, ce qu'elle a toujours repoussé car il ne la branche vraiment pas. C'est peut-être le moment non de lui faire espérer la satisfaction de son fantasme mais de l'inclure dans son intimité en lui demandant un service particulier.
Quand elle lui parle de son intention d'aller boire un verre dans un bar africain, mais pas seule, et lui demande son accompagnement, il répond :
- Tu veux te faire baiser par un Black, c'est ça ?
- Et alors ? Tu es contre ?
- Cela dépend.
- Ah bon ? Et de quoi ?
- Si ça marche pour toi, je veux être là, et te regarder baiser.
Agnès est interloquée. Manuel est voyeur. Elle commence par dire "même pas en rêve". Puis elle réfléchit. Après tout, rien ne dit qu'elle passera à la casserole parce qu'elle ira boire un verre avec des Noirs. Et si par hasard elle fait une touche, elle peut très bien différer et Manuel en serait pour ses frais. En attendant, elle accepte l'enjeu. Manuel l'accompagnera ce samedi soir à ce fameux bar.
*****
Ils entrent dans une atmosphère très africaine, avec tam tam et odeurs épicées. Ils ne sont pas les seuls blancs. D'autres couples sont venus, de tous âges, pour goûter à cette ambiance particulière. Agnès a revêtu une tenue qui met son buste en valeur et le serveur lui manifeste un intérêt évident. Il s'appelle Boubacar, il est jeune mais pas trop, son corps est souple, sa coiffure rasta, il plait à Agnès. Il s'en rend compte et lui propose une danse, qu'elle accepte.
Manuel la regarde se trémousser devant lui, faisant vibrer sa chair pulpeuse, elle s'éclate visiblement. Boubacar commence à la coller et elle ne s'échappe pas. Il lui demande si l'homme qui l'accompagne est son mari et elle lui dit non, c'est un ami. Est-ce qu'elle serait d'accord pour aller boire chez lui un cocktail de sa fabrication ? Elle dit oui, bien sûr mais elle voit le regard de Manuel se poser sur elle. Impossible de l'éliminer de sa soirée. Alors, elle réclame à Boubacar la présence de son ami "pour la rassurer". Le jeune homme se serait bien passé de cette présence mais c'est ça ou rien. Et une heure plus tard, Manuel et Agnès entrent dans l'antre du jeune homme pour boire ce fameux cocktail.
Boubacar comprend qu'il a affaire à un couple particulier. En principe, c'est un authentique mari qui accompagne chez lui son épouse désirant se faire baiser par un beau Noir dans un contexte candauliste. L'ami, c'est une première mais ça ne change rien. Il va baiser cette petite femme boulotte qui n'attend qu'un geste de sa part pour passer à la casserole. Manuel s'efface dans un coin de la pièce, dans la pénombre, avec vue sur le lit. C'est là que les ébats qu'il attend vont commencer. Tout en sirotant son cocktail, Agnès s'est laissée caresser, sur les cuisses découvertes par sa robe courte, sur ses seins opulents, sur sa joue. Et quand Boubacar a sorti son membre viril, long et fin, elle a posé son verre et s'est penchée pour le sucer avec délectation.
Manuel a regardé le jeune homme déshabiller sa collègue, l'a découverte dans sa nudité charnue avec son pubis épais et a sorti à son tour son pénis pour se masturber en regardant la suite des ébats. Si Agnès voulait être baisée, elle est servie. Son jeune amant la besogne durement, secoue son corps de sa queue, fait rouler ses plantureux nichons sur son torse, la retourne pour la prendre en levrette en faisant claquer leurs peaux et balancer ses lourdes mamelles entre ses bras.
Mais c'est le visage d'Agnès que Manuel regarde avec fascination. Tour à tour contracté et rieur, le visage d'une femme qui baise et heureuse de baiser. Elle croise le regard de son collègue avec une étincelle dans les yeux, l'air de dire "branle-toi en me regardant, rince-toi l'oeil". Boubacar n'est pas un éjaculateur précoce. Il pose Agnès sur sa queue dressée et la mate en train de le chevaucher en roulant des hanches et en se pétrissant les seins. Cette petite femme rondelette plus toute jeune lui donne beaucoup de plaisir. Elle en prend aussi et le lui déclare à haute voix entre deux exclamations de joie. Elle entend alors :
- Encule-la maintenant !
C'est Manuel qui est intervenu dans son coin. Il veut voir Agnès se faire sodomiser comme dans ses fantasmes. Combien de fois a-t-il rêver d'entrer dans son gros cul en la regardant marcher. Agnès est dans un tel état d'exaltation sexuelle qu'elle est prête à tout. Quand Boubacar l'installe en travers du lit pour l'enfiler debout, face au voyeur, elle creuse les reins et tend sa croupe. Elle n'a pas eu de pénétration anale depuis des années. La queue fine du jeune homme se fait sa place millimètre par millimètre et quand elle est totalement entrée, Agnès va la chercher à grands coups de fesses. Elle est venue pour baiser et elle baise. A cinquante ans. Elle brame son plaisir comme les filles des vidéos et Boubacar gicle dans sa capote, tout comme Manuel dans sa main. Elle s'aplatit sur le lit, rincée mais comblée. Elle a eu exactement ce qu'elle voulait.
*****
Quand elle retrouve Manuel au travail dans son contexte professionnel habituel, elle fait comme si rien ne s'était passé dans cette soirée. Et Manuel joue le jeu. Il sait que passer pour un voyeur ne serait pas flatteur. Mais Agnès sait aussi qu'elle est désormais sous sa dépendance. Le prix à payer. Qu'importe. Elle ne sent plus le poids de ses cinquante ans. Et elle n'aspire plus qu'à une chose : recommencer.
A SUIVRE
Cinquante ans ! Le jour où Corinne fêta son anniversaire, ce ne fut pas vraiment la joie au coeur malgré la présence familiale autour d'elle, parents, conjoints et enfants. Elle prit conscience qu'elle était bel et bien passée dans la deuxième moitié de sa vie, et plutôt entamée. Raison de plus pour ne pas se laisser aller et conserver une silhouette qui lui valait encore considération dans son milieu professionnel où les hommes étaient nombreux.
Grande et élancée, les cheveux mi-longs teints en blond battant sur ses épaules, des yeux émeraude malicieux, elle sentait encore les regards masculins dans son dos quand elle évoluait dans les espaces de travail, accentuant les roulements de sa croupe large, ferme et bombée qui constituait son principal atout sexuel. Elle n'en restait pas moins fidèle à son mari, plus par conformisme conjugal que par goût.
Car à côté d'elle sur son open space siégeait Marjorie. Un peu son envers physique et moral, bien qu'elle aussi âgée de cinquante ans depuis peu, ce qui avait engendré entre elles plusieurs conversations. Brune avec des filets argentés, la peau mate, le corps un peu trapu, forte en fesses et en cuisses, elle n'avait rien d'un canon en dépit d'un visage dénué de rides et illuminé constamment d'un large sourire. Séparée de longue date, Marjorie jouissait d'une vie sexuelle aussi agitée que celle de Corinne était calme. Les hommes étaient irrésistiblement attirés par sa nature généreuse, ouverte, rayonnante, nullement dissuadés, bien au contraire par la dissymétrie de son corps, fort du bas et mince du haut. Si bien que malgré ses cinquante ans, elle n'avait aucun mal à trouver un partenaire sexuel de tout âge, pour une relation sans complication et néanmoins torride. Marjorie était douée pour le sexe. Elle prenait et donnait du plaisir. Elle baisait et ne s'en cachait pas, en particulier auprès de Corinne qui écoutait ses frasques, à la fois choquée et envieuse quand elle racontait ses ébats dans les moindres détails.
Lorsque la blonde évoqua à la brune le spleen qui l'avait atteint le jour de son cinquantième anniversaire, il lui fut répondu :
- Eh bien, ma cocotte, il serait peut-être temps que tu profites de ton corps tant qu'il plait, et je sais qu'il plait. Qu'est-ce que tu attends pour le faire exulter ? Chauffe ton mari, fais quelque chose.
- Bah, tu sais bien, la bagatelle, ce n'est pas trop son truc. Il est dingue de jardinage, il passe tous ses loisirs à tailler les haies et planter des fleurs. Il n'a pas toujours été comme ça mais que veux-tu, il a vieilli, comme moi.
- En somme, tu as rendu les armes. Ne te plains pas si tu te déssèches, si tes fesses ramollissent et si tu as des rides au front. Tu l'auras bien cherché.
- Mais je ne veux pas ça du tout !
- Alors, fais comme moi. Baise.
- Hein ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Ouvre les yeux. Quand tu marches, je vois des regards qui mate ton cul, que j'envie. Tu n'as qu'un mot à dire pour t'envoyer vraiment en l'air. Profiter de tes cinquante ans avec un mec bien membré qui va te faire grimper aux rideaux parce qu'il aime les femmes mûres. Il y en a plein, j'en sais quelque chose.
- Mais je veux rester avec mon mari !
- Qui te dit de le quitter ? Ce n'est pas parce que tu auras cédé à un plan cul que tu vas divorcer. Bon, je vois qu'il faut te forcer un peu la main. Qu'est-ce que tu dirais de sortir avec moi demain soir ? Tu n'as qu'à dire à ton mari que tu vas fêter ton anniversaire avec des collègues de travail. Tu ne mentiras même pas. Fais toi un peu sexy quand même. On ira dans un bar dansant où j'ai mes habitudes. Après, ce sera à toi de décider de ce que tu feras de ta soirée.
Corinne passa le reste de sa journée de travail à méditer sur la proposition de Marjorie. Elle l'avait acceptée mais se demandait si elle avait bien fait. Néanmoins, quelque chose la poussait à se faire belle, à magnifier sa maturité, à séduire encore. Son mari, comme elle s'en doutait, ne manifesta aucune objection à sa sortie. Il y avait justement un match de foot à la télé. Ils n'auraient pas à discutailler sur le programme. Après avoir inspecté sa garde-robe, elle rejeta la robe trop habillée pour un pantalon corsaire en coton très moulant pour mettre sa croupe en valeur, comme le lui avait suggéré Marjorie, ainsi qu'un top sans manches car elle se trouvait encore de beaux bras. Soutif ou pas soutif ? Elle décida de partir avec mais disposée à l'enlever si elle avait trop chaud. Ses seins encore fermes pouvaient faire sans.
Marjorie avait elle aussi mis sa sexualité en évidence. Sa mini jupe découvrait largement ses cuisses larges et ses fesses charnues vibraient tellement que Corinne se demanda si elle portait un slip dessous. Son corsage très échancré s'ouvrait sur un soutien-gorge à balconnet rehaussant son buste volumineux. Tout en elle inspirait le sexe. Et de fait, à peine arrivée au bar dansant, elle fut assaillie par des mâles visiblement en rut avec lesquels elle semblait jouer. Elle leur présenta Corinne qui fut aussitôt l'objet d'intérêts soutenus, ce qui la flatta. Elle se sentit soudain rajeunie, comme au temps où, jeune fille et reine de beauté dans son département, il y avait toujours une cour masculine autour d'elle.
La soirée se déroula entre danses et mojitos. Corinne avait de plus en plus chaud et profita d'un passage aux toilettes pour fourrer son soutif dans son sac. Elle avait mal aux pieds à force de danser et regretta d'avoir choisi des chaussures à talons au lieu de ballerines. Elle finit par se mettre pieds nus pour des rock endiablés avec un grand brun de vingt ans de moins qu'elle prénommé Boris, qui avait à l'évidence jeté son dévolu sur elle. Marjorie dansait moins mais roucoulait sur une banquette avec un métis également beaucoup plus jeune qui lui mettait la main sous la mini-jupe sans rencontrer beaucoup d'opposition. La soirée devenait la nuit et il arriva le moment où il fallut décider comment cette fiesta allait s'achever. Rentrer tranquillement chez soi ou... autre chose ?
Marjorie prit les devants en annonçant à Boris et au métis prénommé Célestin : "on va prendre un dernier verre chez moi. Corinne, tu viens, n'est-ce pas ?"
Corinne n'avait pas prévu ce scénario. Certes, elle n'était plus en âge de demander la permission de minuit mais il était déjà deux heures et son mari allait s'inquiéter de son absence prolongée. Marjorie balaya l'objection :
- Il doit dormir sur ses deux oreilles à l'heure qu'il est. Profite. Lâche toi. Sois jeune, pas vieille.
C'était ce que Corinne avait envie d'entendre. Pas folle au point de ne pas savoir ce qui l'attendait, mais néanmoins excitée par un mélange d'alcool et d'attirance pour un beau mec qui l'avait fait virevolter sur la piste de danse, elle monta à l'arrière de la voiture de Marjorie en compagnie de Boris qui, déjà, la caressait et cherchait ses lèvres. Sur le chemin de l'appartement de sa collègue, Corinne se sentait ramollir. Ces mains d'homme par dessus sont top sur ses seins nus dessous lui mettaient le feu au bas-ventre. Il y avait un bail qu'elle n'avait pas éprouvé une telle sensation. Marjorie lui avait chuchoté à l'oreille en partant :
- On va baiser et par pitié, ne fait pas la mijaurée. Ne me fais pas ce coup là chez moi.
A dire vrai, Corinne ne pensait plus vraiment à son mari en entrant dans l'appartement de son amie. Elle avait surtout peur de ne pas être à la hauteur de l'événement. Elle se sentait un peu rouillée avec ses cinquante balais d'épouse conventionnelle. Marjorie la mettait devant un fait accompli et inédit : faire l'amour avec un inconnu en la présence d'un autre couple dont l'un des éléments était sa collègue de bureau. Un plan à quatre, en somme. De quoi partir en courant. Mais elle resta.
Marjorie sortit des verres et des bouteilles d'alcool mais quand elle se pencha sur la table basse pour disposer l'ensemble, le dénommé Célestin lui mit la main sous la mini, palpa ses fesses copieuses, et déclara :
- J'aime bien les femmes qui ne portent pas de culotte.
Marjorie gloussa et se mit à califourchon sur le jeune homme dans une attitude pré coït qui figea Corinne sur l'autre canapé. Tandis que Boris lui caressait la cuisse, elle regarda Marjorie déboutonner son corsage, dégrafer son soutif et mettre ses nichons dans la figure du métis qui s'en gava la bouche tout en pétrissant ses fesses nues. Puis Marjorie se releva, se débarrassa de sa mini jupe, découvrant son large fessier aux yeux de Corinne, se mit à genoux et libéra le pénis de Célestin qu'elle emboucha avec une évidente délectation.
C'est à peine si Corinne se rendit compte que Boris lui avait fait passer son top par dessus sa tête et tété lui aussi ses seins aux pointes érigées par un désir de plus en plus manifeste. Instinctivement, elle posa une main sur la braguette du jeune homme, rencontra de la dureté et l'autre y vit le signal pour glisser sa main sous le pantalon corsaire, découvrant un sexe trempé de femme en attente de bite.
La suite se déroula comme dans un rêve. Corinne vit Boris se saisir du préservatif que lui tendait Marjorie, se laissa allonger sur le canapé, se fit brièvement lécher et vit l'homme nu au-dessus d'elle lui mettre une jambe sur le dossier et l'autre dans le creux de son bras pour une pénétration massive que Corinne reçut comme une délivrance. Ce fut comme si son corps entier réclamait l'organe mâle. On ne s'attardera pas sur les détails de ces ébats, forcément fastidieux à raconter. Si ce n'est pour dire qu'aux exclamations sonores de Marjorie assorties de mots crus répondaient des gargouillements, des borborygmes, des glapissements et des râles de Corinne qui ne s'étaient jamais sentie à ce point baisée, fouillée, secouée et mise en ébullition de la tête aux orteils par une rafale de coups de queue bien raide. Lorsqu'elle fut prise en levrette sur son canapé, elle croisa le regard de Marjorie dans la même position, ses cheveux bruns ballotant comme ballottaient les blonds de Corinne, les seins balançant pareillement. Elles se découvraient mutuellement dans le plaisir sexuel, les collègues de bureau, la bouche un peu tordue, l'oeil un peu vitreux.
- Tu baises, hein ? souffla la brune à la blonde.
- Mmmmhh, ouiiii, répondit succinctement celle-ci, tout son être concentré sur la bite qui la faisait tellement sentir femme.
Aux bruits de l'amour s'ajoutaient les odeurs de sueur et sui generis des deux couples en fusion. Inlassables, les deux jeunes gars faisaient claquer la peau de leur ventre sur les fesses charnues de leur mûre partenaire, rivalisant d'endurance comme un défi physique.
Lorsque Marjorie informa Corinne d'une voix rauque qu'elle se faisait "enculer", cette dernière, qui n'avait pas pratiqué cette fantaisie depuis des lustres, se laissa gagner par l'ambiance et écarta elle-même ses fesses de ses mains, invitant implicitement son jeune amant à visiter son petit trou.
Ce fut un peu laborieux au début mais Corinne était dans un tel état d'exaltation érotique que son corps accueillit le visiteur anal comme si elle y était habituée. La croupe somptueuse de la quinquagénaire, qui inspirait tant son entourage masculin professionnel, vainquit les dernières résistances du jeune mâle qui gicla en grognant dans sa capote, aussitôt suivi de son alter égo que l'agitation frénétique du derrière de la brune avait fini par faire craquer. Corinne et Marjorie avait joui et crié quasi simultanément.
Assise un peu groggy sur le canapé, Corinne ne réalisa pas immédiatement la transgression à laquelle elle s'était livrée. Elle regarda les deux gaillards la queue désormais pendante aller aux toilettes et Marjorie évoluer nue dans la pièce pour servir à boire, son imposant pubis brun projeté vers l'avant comme un nouvel appel. On riait autour de la table basse comme après une petite farce. Puis Corinne réalisa que l'aube était en train de se lever. Elle se rhabilla prestement, demanda à Marjorie de la raccompagner chez elle, prit une douche en arrivant chez elle et se coucha à côté de son mari qui, comme l'avait prévu sa collègue, dormait profondément. Elle se leva à midi et répondit un peu laconiquement aux questions de son mari sur la fête de la veille. Et le lendemain, elle retournait au bureau à côté de Marjorie comme après un week-end banal.
****
Cependant, beaucoup de choses avaient changé dans la vie de Corinne. Elle tenta d'abord de stimuler sexuellement son mari, non sans succès au début, mais la routine revint s'installer et elle se mit à répondre aux sollicitations masculines qu'elle avait négligées auparavant. Dans le sillage de Marjorie, elle connut plusieurs relations éphémères, plus ou moins satisfaisantes. Son couple s'en ressentit et son mari lui demanda de choisir : le couple ou la vie libertine. Après avoir tergiversé, elle choisit la seconde, dans l'idée de profiter pleinement des derniers éclats de sa maturité. "Voilà ce que je suis devenue, une femme qui baise, comme toi", avoua-t-elle à Marjorie, qui ne la démentit point. Et de fait, les deux collègues se retrouvaient souvent dans des soirées qui s'achevaient en partouzes, où leur tempérament volcanique obtenait un franc succès masculin, voire féminin.
Mais on se lasse de tout, et Corinne finit par regretter son petit confort bourgeois et son foyer conjugal, notamment sous l'influence de ses deux enfants devenus adultes qui n'avaient pas compris sa transgression. Et quelques mois plus tard, elle retrouva le domicile familial, les promenades du dimanche et la sexualité épisodique. Elle était passée de l'autre côté de ses cinquante ans. Et pourtant, quand elle marchait, elle sentait encore les regards mâles sur sa croupe, dont elle accentuait le roulement. Comme un appel...
*****
Quittons Corinne pour Agnès, autre quinquagénaire, mais d'un physique totalement différent. Elle est petite, rondelette avec une belle paire de nichons et une croupe généreuse. Sa coupe de cheveux au carré est teinte en blond pour masquer ses premiers cheveux blancs. Son mari l'a quittée depuis trois ans pour une femme plus jeune, ce qu'elle a eu évidemment du mal à digérer. Elle en a voulu à tous les hommes au point de n'avoir jamais voulu entamer une nouvelle relation. Mais son passage à la cinquantaine a réveillé ses hormones endormies. Elle s'est rendue compte qu'elle allait vieillir prématurément si elle continuait à se laisser aller. Elle a changé sa garde-robe pour mettre son corps pulpeux en valeur, à l'instigation d'une collègue de son âge, Mylène, aux tenues affriolantes et ne faisant pas mystère d'une sexualité active de divorcée.
Pour stimuler sa libido, elle s'est mise à regarder des vidéos pornos sur sa tablette pour voir quel effet cela lui ferait. Elle a fantasmé d'emblée sur des femmes mûres en train de copuler avec des hommes noirs au corps sculptural. Elle s'est masturbée dans son lit en visionnant ces ébats torrides. Son imagination a commencé à galoper. Pourquoi pas elle ? Elle a cherché des lieux dans la ville où elle pourrait rencontrer des hommes à peau foncée et a dégoté un bar à musique qui a l'air sympa. Mais pas question d'y aller seule.
Alors, elle en a parlé à Mylène qui s'est légèrement braquée :
- Qu'est-ce que tu vas faire là ? Ce n'est pas un endroit pour toi. Cherche plutôt quelqu'un pour refaire ta vie.
- Eh, ça te va bien de dire ça, toi. Tu es libertine, que je sache. Je suis comme toi, je ne suis pas en quête d'un autre mari. Je ne cherche pas à faire l'amour. Je veux baiser. Et si possible avec un beau mec bien membré. Cela fait plus de trois ans que je n'ai pas eu de sexe et ça me manque.
- Avec un black, c'est ça ?
- Pourquoi pas ? Je ne suis pas raciste.
- En tout cas, ne compte pas sur moi pour t'accompagner.
Devant ce refus radical, Agnès se trouve coincée. Doit-elle renoncer à son fantasme ? Mais elle est comme une chienne en chaleur depuis qu'elle a vu des femmes, mûres ou non, bramer de plaisir sous les assauts virulents d'amants à peau d'ébène, comme ces athlètes qu'elle a vus aux Jeux Olympiques et qui l'ont fait rêver.
C'est alors qu'elle pense à Manuel, un collègue plus âgé, vieux garçon qui a toujours espéré coucher avec elle, ce qu'elle a toujours repoussé car il ne la branche vraiment pas. C'est peut-être le moment non de lui faire espérer la satisfaction de son fantasme mais de l'inclure dans son intimité en lui demandant un service particulier.
Quand elle lui parle de son intention d'aller boire un verre dans un bar africain, mais pas seule, et lui demande son accompagnement, il répond :
- Tu veux te faire baiser par un Black, c'est ça ?
- Et alors ? Tu es contre ?
- Cela dépend.
- Ah bon ? Et de quoi ?
- Si ça marche pour toi, je veux être là, et te regarder baiser.
Agnès est interloquée. Manuel est voyeur. Elle commence par dire "même pas en rêve". Puis elle réfléchit. Après tout, rien ne dit qu'elle passera à la casserole parce qu'elle ira boire un verre avec des Noirs. Et si par hasard elle fait une touche, elle peut très bien différer et Manuel en serait pour ses frais. En attendant, elle accepte l'enjeu. Manuel l'accompagnera ce samedi soir à ce fameux bar.
*****
Ils entrent dans une atmosphère très africaine, avec tam tam et odeurs épicées. Ils ne sont pas les seuls blancs. D'autres couples sont venus, de tous âges, pour goûter à cette ambiance particulière. Agnès a revêtu une tenue qui met son buste en valeur et le serveur lui manifeste un intérêt évident. Il s'appelle Boubacar, il est jeune mais pas trop, son corps est souple, sa coiffure rasta, il plait à Agnès. Il s'en rend compte et lui propose une danse, qu'elle accepte.
Manuel la regarde se trémousser devant lui, faisant vibrer sa chair pulpeuse, elle s'éclate visiblement. Boubacar commence à la coller et elle ne s'échappe pas. Il lui demande si l'homme qui l'accompagne est son mari et elle lui dit non, c'est un ami. Est-ce qu'elle serait d'accord pour aller boire chez lui un cocktail de sa fabrication ? Elle dit oui, bien sûr mais elle voit le regard de Manuel se poser sur elle. Impossible de l'éliminer de sa soirée. Alors, elle réclame à Boubacar la présence de son ami "pour la rassurer". Le jeune homme se serait bien passé de cette présence mais c'est ça ou rien. Et une heure plus tard, Manuel et Agnès entrent dans l'antre du jeune homme pour boire ce fameux cocktail.
Boubacar comprend qu'il a affaire à un couple particulier. En principe, c'est un authentique mari qui accompagne chez lui son épouse désirant se faire baiser par un beau Noir dans un contexte candauliste. L'ami, c'est une première mais ça ne change rien. Il va baiser cette petite femme boulotte qui n'attend qu'un geste de sa part pour passer à la casserole. Manuel s'efface dans un coin de la pièce, dans la pénombre, avec vue sur le lit. C'est là que les ébats qu'il attend vont commencer. Tout en sirotant son cocktail, Agnès s'est laissée caresser, sur les cuisses découvertes par sa robe courte, sur ses seins opulents, sur sa joue. Et quand Boubacar a sorti son membre viril, long et fin, elle a posé son verre et s'est penchée pour le sucer avec délectation.
Manuel a regardé le jeune homme déshabiller sa collègue, l'a découverte dans sa nudité charnue avec son pubis épais et a sorti à son tour son pénis pour se masturber en regardant la suite des ébats. Si Agnès voulait être baisée, elle est servie. Son jeune amant la besogne durement, secoue son corps de sa queue, fait rouler ses plantureux nichons sur son torse, la retourne pour la prendre en levrette en faisant claquer leurs peaux et balancer ses lourdes mamelles entre ses bras.
Mais c'est le visage d'Agnès que Manuel regarde avec fascination. Tour à tour contracté et rieur, le visage d'une femme qui baise et heureuse de baiser. Elle croise le regard de son collègue avec une étincelle dans les yeux, l'air de dire "branle-toi en me regardant, rince-toi l'oeil". Boubacar n'est pas un éjaculateur précoce. Il pose Agnès sur sa queue dressée et la mate en train de le chevaucher en roulant des hanches et en se pétrissant les seins. Cette petite femme rondelette plus toute jeune lui donne beaucoup de plaisir. Elle en prend aussi et le lui déclare à haute voix entre deux exclamations de joie. Elle entend alors :
- Encule-la maintenant !
C'est Manuel qui est intervenu dans son coin. Il veut voir Agnès se faire sodomiser comme dans ses fantasmes. Combien de fois a-t-il rêver d'entrer dans son gros cul en la regardant marcher. Agnès est dans un tel état d'exaltation sexuelle qu'elle est prête à tout. Quand Boubacar l'installe en travers du lit pour l'enfiler debout, face au voyeur, elle creuse les reins et tend sa croupe. Elle n'a pas eu de pénétration anale depuis des années. La queue fine du jeune homme se fait sa place millimètre par millimètre et quand elle est totalement entrée, Agnès va la chercher à grands coups de fesses. Elle est venue pour baiser et elle baise. A cinquante ans. Elle brame son plaisir comme les filles des vidéos et Boubacar gicle dans sa capote, tout comme Manuel dans sa main. Elle s'aplatit sur le lit, rincée mais comblée. Elle a eu exactement ce qu'elle voulait.
*****
Quand elle retrouve Manuel au travail dans son contexte professionnel habituel, elle fait comme si rien ne s'était passé dans cette soirée. Et Manuel joue le jeu. Il sait que passer pour un voyeur ne serait pas flatteur. Mais Agnès sait aussi qu'elle est désormais sous sa dépendance. Le prix à payer. Qu'importe. Elle ne sent plus le poids de ses cinquante ans. Et elle n'aspire plus qu'à une chose : recommencer.
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