A cinquante ans, une femme baise (2)

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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A cinquante ans, une femme baise (2)
Alors qu'elle venait de "faire" cinquante ans, Martine eut la surprise de découvrir qu'elle suscitait de plus en plus l'intérêt de l'élément masculin dans son environnement professionnel, en particulier chez les plus jeunes qu'elle. Certes, une pratique régulière de la course à pied et de l'aquagym, des déplacements quotidien en vélo et une pratique assidue de la randonnée pédestre en compagnie de son conjoint Fabrice avaient contribué à maintenir une silhouette enviée par ses collègues femmes, en dépit d'une chevelure qu'elle refusait de teindre et donc la blancheur était rehaussée par une coupe à la garçonne. Mais de là à se faire draguer...
Au début, cet intérêt l'amusa. Elle en parla même à Fabrice qui n'y accorda qu'une importance mesurée, comme s'il estimait que son épouse avait passé l'âge des aventures extra conjugales. Qu'elle persiste à bronzer nue dans son jardin pour entretenir sa peau uniformément cuivrée n'avait guère réveillé une libido un peu endormie, même s'il sacrifiait au devoir sexuel de mari les samedis soirs ou les dimanches matin, en général sollicité par Martine, qui avait toujours "aimé ça".
Elle fut un peu vexée que ce regain d'intérêt à son égard ne soit pas pris en considération par son époux légitime. Elle décida de découvrir ce qui se cachait derrière ces tentatives de séduction encore anodines et répondit à une invitation à déjeuner d'un collègue d'une trentaine d'années qu'elle trouvait particulièrement "mignon" avec ses yeux bleus et ses cheveux bouclés. Décidée à mettre son joli corps en valeur par une robe courte, sans manches et au décolleté plongeant, elle admettait ainsi jouer le jeu de la séduction avec ce trentenaire prénommé Léon qui, de fait, la dévorait des yeux dans le restaurant comme si elle avait trente ans de moins. Décidée à en savoir plus, elle se lança et finit par lui dire :
- Qu'est-ce que tu me trouves, franchement ? Je pourrais presque être ta mère.
- Mais Martine, tu ne t'en rends pas compte mais tu es très séduisante. J'aime ta gouaille, ta décontraction, ta bonne humeur, ta façon de prendre les choses avec légèreté. Et puis quoi, tu sais que tu es très bandante ? Quand on te voit évoluer, on pense au sexe, du moins quand on aime ça comme moi.
Martine resta la fourchette en l'air, devant cette réflexion qui était un appel à coucherie.
- Au sexe ? Tu me fais une proposition malhonnête, là. Je te rappelle que je suis mariée.
- Mais je sais, Martine. Tu ne peux pas m'empêcher pour autant de fantasmer sur toi. Je sors d'une liaison déplorable avec une femme de mon âge. Les filles d'aujourd'hui sont presque toutes des peines à jouir. Tout le contraire des femmes de votre génération. Avoue que tu aimes le sexe.
- Ben, euh, oui, je ne déteste pas ça, c'est vrai. Je ne suis pas comme tu dis une "peine à jouir". Mais bon, j'ai cinquante balais, hein ?
- Justement, c'est ça qui m'excite. J'ai envie d'une expérience avec une vraie femme. J'ai envie de te baiser, Martine.
Cette fois, elle resta coite. Cette proposition carrée la déstabilisa. Baiser, elle ne savait plus trop ce que ça voulait dire. Mais que ce beau mec veuille entrer dans son corps de quinquagénaire ne pouvait pas la laisser totalement indifférente. Elle aurait pu réagir vertement. Mais elle répondit :
- Tu es vraiment gonflé. Mais j'aime ta franchise. Permets moi quand même un temps de réflexion. Ce que tu me proposes, c'est un acte d'adultère. Ce n'est pas anodin. Tu es libre, au moins ?
- Oui, totalement. Et je te promets de te faire grimper aux rideaux car il y a un moment que je n'ai pas baisé.
Ils quittèrent le restaurant pour revenir au travail, mais le cerveau de Martine était en ébullition. Et pas que son cerveau. Ce jeune gars avait réveillé ses hormones femelles. Et lorsqu'elle sollicita Fabrice le soir-même pour assouvir ses pulsions, sa main ne rencontra qu'un pénis mou. Dans son lit, elle décida que, oui, elle irait baiser avec Léon. Et arriverait ce qui arriverait.
******
Quittons un moment Martine pour nous intéresser à une autre quinquagénaire, Maryse. Infirmière dans une grande entreprise, elle vient aussi d'avoir cinquante ans et elle s'interroge sur la suite de sa vie. Divorcée depuis cinq ans, elle n'a connu des relations sexuelles que lors de vacances dans des groupes au gré de voyages organisés. Des hommes seuls sont entrés dans son corps mais de son point ce vue, plus par hygiène corporelle que par désir amoureux et du reste, sans lendemains.
Maryse est restée svelte, bien proportionnée et fréquente assidument l'esthéticienne et la coiffeuse car elle sait que dans son entreprise, on n'aime pas les femmes qui se laissent aller. Elle dissimule son physique harmonieux derrière une blouse au travail mais ceux qui la rencontrent en dehors constatent qu'elle a de jolies jambes, mises en valeur par des robes ou des jupes courtes. Malgré sa blouse réglementaire, elle voit bien que les hommes qui la visitent avant consultation du médecin de travail, dont elle assure le secrétariat, fantasment sur l'infirmière. Elle n'en a jamais profité.
Mais voilà, elle vient d'avoir cinquante ans et se dit qu'il serait peut-être temps de profiter un peu de ses pulsions inassouvies. Un solide gaillard prénommé Rodolphe, chargé de la maintenance, la drague ouvertement et vient la voir sous des prétextes futiles. Il a quarante ans, des tatouages sur les bras, un torse velu, une barbe épaisse et respire la virilité. Il n'entre pas vraiment dans les canons de la beauté masculine mais il est attendrissant et Maryse se laisse de plus en plus attendrir. Elle commence à se demander comment est sa queue. Aussi, quand il lui propose une nouvelle fois de prendre un verre, ce qu'elle avait auparavant refusé, elle finit par dire oui, recommandant juste la discrétion vis à vis de l'entreprise. Le rendez-vous aura lieu à l'extérieur de la ville. Rodolphe a choisi une guinguette au bord de la rivière et Maryse trouve cette initiative charmante.
Elle se présente avec une mini robe, jambes nues, escarpins découverts, soutif pigeonnant sur un décolleté carré, ses cheveux châtain rejetés en arrière et boucles d'oreille pendantes. Une apparence pour séduire. Ils sirotent des cocktails en terrasse, parlent de leur vie, et vont se promener au bord de la rivière. Il lui prend le bras, elle sent sa chaleur d'homme contre son corps qui frémit. Elle ne résiste pas quand il la prend par la taille et quand sa main se promène sur son ventre. Elle commence à avoir très chaud. Assis au bord de la rivière, il regardent l'eau couler et alors, il se penche vers elle pour l'embrasser. Leurs langues se rencontrent. La main de l'homme s'est glissée entre ses cuisses ouvertes, a rencontré le slip, s'est insinuée dessous, a constaté une humidité prometteuse. Alors, il se lève, l'entraine à l'écart dans une futaie, la bloque le dos contre un arbre, s'accroupit, fait glisser son slip le long de ses jambes fines et pose son museau barbu contre sa vulve béante.
Maryse s'abandonne. Ce cunni agreste, imprévu, elle va l'accompagner de la main sur la nuque de l'homme pour marquer son adhésion. Elle n'est plus une gamine. Elle ne va pas jouer une comédie stupide genre "je ne suis pas celle que vous croyez". Au bout d'un moment, il lui en faut plus qu'une langue agile. Aussi, quand il se relève, le visage mouillé de son jus, elle le laisse la retourner, pose ses mains sur l'arbre et accueille dans un râle le pénis puissant qui la prend par derrière, debout. Elle entoure l'arbre de ses bras pendant qu'il la besogne virilement, robe troussée, ses mains sur ses hanches, son ventre claquant sur ses fesses.
- Tu aimes ça ? lui souffle-t-il à l'oreille.
Elle opine du chef en couinant de plaisir. Elle se sent copieusement baisée et ça lui fait un bien fou. Elle a envie que ça continue, le lui déclare et il lui obéit. Il se déshabille entièrement, dévoilant son corps velu, musclé, étale ses habits sur la mousse et s'allonge, queue verticale, dont elle mesure alors le volume et la source de son plaisir.
- Fous-toi à poil ! lui ordonne-t-il.
Elle suspend sa robe à une branche, puis son slip ramassé par terre et son soutif, dévoilant des seins en poire aux pointes durcies par le désir, ôte même ses escarpins et se présente totalement nue au-dessus du pénis dressé. Elle s'empale lentement, les mains sur le torse mâle à l'abondante végétation et se met à onduler, savourant l'introduction massive qui lui fait oublier son âge. Maryse baise, sans retenue, s'exclame, râle, clapote, tressaute et l'homme ravi regarde cette belle mature jouir de sa queue, poussant le vice jusqu'à lui caresser les couilles une main derrière son dos. Une furieuse envie de la pilonner assaillit Rodolphe et il la fait basculer sur ses vêtements où elle s'allonge, le visage illuminé.
- Tu la veux encore ? lui dit-il, un peu pervers.
- Oui, oui, s'il te plait, continue.
- C'est sûr ?
- Oui, ouiiii, baise-moi encore, s'il te plait.
Alors, Rodolphe la pénètre bras tendus, encerclé par ses jambes qui le nouent à son ventre et lui assène une rafale de coups de bite qui font crier Maryse tellement fort que les oiseaux s'envolent des arbres voisins. Elle griffe ses épaules, talonne ses reins, clame des "oui oui encore encore t'arrête pas" jusqu'à un orgasme ravageur qui lui met la bave aux lèvres. Il gicle copieusement, n'ayant pas le réflexe de se retirer car ma dame n'est plus à l'âge de procréer et d'ailleurs, elle le tient fermement de ses mains et de ses cuisses pendant qu'il se répand en elle avant de se retourner et de rester allongé à côté d'elle, les yeux au ciel, le septième...
****
Retrouvons maintenant Martine, qui a décidé de passer à l'acte d'adultère avec Léon pendant une nuit de déception conjugale. Mais entre l'intention et le passage à l'acte, il y a toujours une marge pour une femme mariée. Aussi, Martine continue de procrastiner. D'un côté, elle a envie d'une véritable expérience sexuelle mais de l'autre, répugne à tromper son mari. Léon ne sait plus sur quel pied danser. Il a une furieuse envie de baiser sa collègue mais ne se voit pas lui forcer la main. Il sait qu'il n'y prendrait pas plus de plaisir qu'elle.
Il se retrouve au cours d'une réunion à côté d'elle, en bout de table, isolés des autres intervenants. Négligemment, il pose une main sur sa cuisse découverte par la mini-jupe. Martine, raidie, la repousse une fois, deux fois, pas la troisième. Alors, il remonte lentement le long de la cuisse, surveillant d'un oeil le reste des protagonistes de la réunion qui continuent de discuter. Il sent la respiration de Martine s'accélérer mais elle laisse la main continuer de la caresser, de plus en plus haut. La cuisse est tiède, réceptive. Martine ferme les yeux, sa bouche s'ouvre, légèrement haletante. La main frôle le slip, s'enhardit, tire sur l'élastique. Par une contorsion du bras, Léon parvient à introduire un doigt jusqu'au pubis, jusqu'à la fente, dont il perçoit l'humidité. Jusqu'au clitoris. Martine s'est penchée en arrière pour faciliter l'exploration.
- Et toi, Martine, qu'en penses-tu ? Ho, tu dors ?
L'organisateur de la réunion a questionné la quinquagénaire qui sursaute et bafouille quelques mots, suscitant les rires des autres, croyant qu'elle s'était assoupie, ce qui arrive souvent dans ce genre de débats professionnels. Léon a prestement retiré sa main, Martine fermé ses cuisses mais l'incendie intime de l'a pas quitté. Seule une bite bien raide peut l'éteindre. Même si elle ne le formule pas ainsi pour elle-même, elle a une furieuse envie de baiser. Léon l'a deviné et lui murmure à l'oreille en quittant la réunion :
- Rendez-vous aux archives, dès que tu peux. Je t'attends.
En l'attendant, il pense aux collègues précédentes qu'il a honorées là, au sous-sol, sur une table, à la hussarde. Une documentaliste frisée à forte poitrine. La responsable de la com, plantureuse et cochonne. Deux femmes mariées qui avaient envie de baiser. Martine frappe à la porte. Elle n'a pas tardé. Léon l'enlace, l'embrasse pour un baiser passionné en palpant son joli petit corps. Il l'entraine sur la table où elle s'assoit et il fait courir sa langue sur ses jambes ouvertes, tire sur le slip qui voltige au sol, colle sa bouche sur sa vulve trempée, la prépare à une pénétration qu'elle finit par implorer : "viens, viens, j'en peux plus..."
Avant de la pénétrer, il la déshabille entièrement. Il veut la voir et la prendre nue. Il savoure du regard son joli corps aux seins encore fermes, au ventre légèrement bombé, au pubis bien taillé, aux jolies cuisses ouvertes en V sur une chatte humide. Elle le regarde, gourmande, se mettre à poil à son tour. Regarde avec appétit la queue dressée qu'il va planter dans son corps offert. Et il la baise debout, fougueusement, virilement, sans concession, les yeux dans les siens. Les peaux claquent, les sexes clapotent, il se sent validé par ses talonnades sur ses reins et ses râles de plaisir. Elle aspirait depuis longtemps à se faire ainsi secouer, malmener, creuser, sortir de la routine conjugale. Se faire baiser. Et il fallut attendre cinquante ans pour prendre un tel panard.
Le coït est forcément court, vu le risque encouru, mais il est intense. Léon doit couvrir la bouche de Martine quand elle crie son orgasme pour ne pas faire trop de bruit. Son sperme épais fait floc sur le sol, il devra l'éponger avant de partir, comme d'habitude. Le corps de Martine s'est couvert de chair de poule, mais pas de froid. De jouissance. Il la lèche, l'embrasse et l'aide à se rhabiller car elle tremble un peu. Elle quitte les lieux en premier, un peu flageolante. Retrouve son poste de travail comme si rien de spécial ne s'était passé depuis la réunion. Et quand elle rejoint le domicile conjugal après sa journée de travail, c'est une femme comme beaucoup d'autres qui va prendre une douche, se mettre en tenue de maison, préparer le diner et attendre son mari. Mais son cerveau est encore en ébullition. Elle a commis l'adultère. Et bon dieu qu'elle a aimé ça...
Au début, cet intérêt l'amusa. Elle en parla même à Fabrice qui n'y accorda qu'une importance mesurée, comme s'il estimait que son épouse avait passé l'âge des aventures extra conjugales. Qu'elle persiste à bronzer nue dans son jardin pour entretenir sa peau uniformément cuivrée n'avait guère réveillé une libido un peu endormie, même s'il sacrifiait au devoir sexuel de mari les samedis soirs ou les dimanches matin, en général sollicité par Martine, qui avait toujours "aimé ça".
Elle fut un peu vexée que ce regain d'intérêt à son égard ne soit pas pris en considération par son époux légitime. Elle décida de découvrir ce qui se cachait derrière ces tentatives de séduction encore anodines et répondit à une invitation à déjeuner d'un collègue d'une trentaine d'années qu'elle trouvait particulièrement "mignon" avec ses yeux bleus et ses cheveux bouclés. Décidée à mettre son joli corps en valeur par une robe courte, sans manches et au décolleté plongeant, elle admettait ainsi jouer le jeu de la séduction avec ce trentenaire prénommé Léon qui, de fait, la dévorait des yeux dans le restaurant comme si elle avait trente ans de moins. Décidée à en savoir plus, elle se lança et finit par lui dire :
- Qu'est-ce que tu me trouves, franchement ? Je pourrais presque être ta mère.
- Mais Martine, tu ne t'en rends pas compte mais tu es très séduisante. J'aime ta gouaille, ta décontraction, ta bonne humeur, ta façon de prendre les choses avec légèreté. Et puis quoi, tu sais que tu es très bandante ? Quand on te voit évoluer, on pense au sexe, du moins quand on aime ça comme moi.
Martine resta la fourchette en l'air, devant cette réflexion qui était un appel à coucherie.
- Au sexe ? Tu me fais une proposition malhonnête, là. Je te rappelle que je suis mariée.
- Mais je sais, Martine. Tu ne peux pas m'empêcher pour autant de fantasmer sur toi. Je sors d'une liaison déplorable avec une femme de mon âge. Les filles d'aujourd'hui sont presque toutes des peines à jouir. Tout le contraire des femmes de votre génération. Avoue que tu aimes le sexe.
- Ben, euh, oui, je ne déteste pas ça, c'est vrai. Je ne suis pas comme tu dis une "peine à jouir". Mais bon, j'ai cinquante balais, hein ?
- Justement, c'est ça qui m'excite. J'ai envie d'une expérience avec une vraie femme. J'ai envie de te baiser, Martine.
Cette fois, elle resta coite. Cette proposition carrée la déstabilisa. Baiser, elle ne savait plus trop ce que ça voulait dire. Mais que ce beau mec veuille entrer dans son corps de quinquagénaire ne pouvait pas la laisser totalement indifférente. Elle aurait pu réagir vertement. Mais elle répondit :
- Tu es vraiment gonflé. Mais j'aime ta franchise. Permets moi quand même un temps de réflexion. Ce que tu me proposes, c'est un acte d'adultère. Ce n'est pas anodin. Tu es libre, au moins ?
- Oui, totalement. Et je te promets de te faire grimper aux rideaux car il y a un moment que je n'ai pas baisé.
Ils quittèrent le restaurant pour revenir au travail, mais le cerveau de Martine était en ébullition. Et pas que son cerveau. Ce jeune gars avait réveillé ses hormones femelles. Et lorsqu'elle sollicita Fabrice le soir-même pour assouvir ses pulsions, sa main ne rencontra qu'un pénis mou. Dans son lit, elle décida que, oui, elle irait baiser avec Léon. Et arriverait ce qui arriverait.
******
Quittons un moment Martine pour nous intéresser à une autre quinquagénaire, Maryse. Infirmière dans une grande entreprise, elle vient aussi d'avoir cinquante ans et elle s'interroge sur la suite de sa vie. Divorcée depuis cinq ans, elle n'a connu des relations sexuelles que lors de vacances dans des groupes au gré de voyages organisés. Des hommes seuls sont entrés dans son corps mais de son point ce vue, plus par hygiène corporelle que par désir amoureux et du reste, sans lendemains.
Maryse est restée svelte, bien proportionnée et fréquente assidument l'esthéticienne et la coiffeuse car elle sait que dans son entreprise, on n'aime pas les femmes qui se laissent aller. Elle dissimule son physique harmonieux derrière une blouse au travail mais ceux qui la rencontrent en dehors constatent qu'elle a de jolies jambes, mises en valeur par des robes ou des jupes courtes. Malgré sa blouse réglementaire, elle voit bien que les hommes qui la visitent avant consultation du médecin de travail, dont elle assure le secrétariat, fantasment sur l'infirmière. Elle n'en a jamais profité.
Mais voilà, elle vient d'avoir cinquante ans et se dit qu'il serait peut-être temps de profiter un peu de ses pulsions inassouvies. Un solide gaillard prénommé Rodolphe, chargé de la maintenance, la drague ouvertement et vient la voir sous des prétextes futiles. Il a quarante ans, des tatouages sur les bras, un torse velu, une barbe épaisse et respire la virilité. Il n'entre pas vraiment dans les canons de la beauté masculine mais il est attendrissant et Maryse se laisse de plus en plus attendrir. Elle commence à se demander comment est sa queue. Aussi, quand il lui propose une nouvelle fois de prendre un verre, ce qu'elle avait auparavant refusé, elle finit par dire oui, recommandant juste la discrétion vis à vis de l'entreprise. Le rendez-vous aura lieu à l'extérieur de la ville. Rodolphe a choisi une guinguette au bord de la rivière et Maryse trouve cette initiative charmante.
Elle se présente avec une mini robe, jambes nues, escarpins découverts, soutif pigeonnant sur un décolleté carré, ses cheveux châtain rejetés en arrière et boucles d'oreille pendantes. Une apparence pour séduire. Ils sirotent des cocktails en terrasse, parlent de leur vie, et vont se promener au bord de la rivière. Il lui prend le bras, elle sent sa chaleur d'homme contre son corps qui frémit. Elle ne résiste pas quand il la prend par la taille et quand sa main se promène sur son ventre. Elle commence à avoir très chaud. Assis au bord de la rivière, il regardent l'eau couler et alors, il se penche vers elle pour l'embrasser. Leurs langues se rencontrent. La main de l'homme s'est glissée entre ses cuisses ouvertes, a rencontré le slip, s'est insinuée dessous, a constaté une humidité prometteuse. Alors, il se lève, l'entraine à l'écart dans une futaie, la bloque le dos contre un arbre, s'accroupit, fait glisser son slip le long de ses jambes fines et pose son museau barbu contre sa vulve béante.
Maryse s'abandonne. Ce cunni agreste, imprévu, elle va l'accompagner de la main sur la nuque de l'homme pour marquer son adhésion. Elle n'est plus une gamine. Elle ne va pas jouer une comédie stupide genre "je ne suis pas celle que vous croyez". Au bout d'un moment, il lui en faut plus qu'une langue agile. Aussi, quand il se relève, le visage mouillé de son jus, elle le laisse la retourner, pose ses mains sur l'arbre et accueille dans un râle le pénis puissant qui la prend par derrière, debout. Elle entoure l'arbre de ses bras pendant qu'il la besogne virilement, robe troussée, ses mains sur ses hanches, son ventre claquant sur ses fesses.
- Tu aimes ça ? lui souffle-t-il à l'oreille.
Elle opine du chef en couinant de plaisir. Elle se sent copieusement baisée et ça lui fait un bien fou. Elle a envie que ça continue, le lui déclare et il lui obéit. Il se déshabille entièrement, dévoilant son corps velu, musclé, étale ses habits sur la mousse et s'allonge, queue verticale, dont elle mesure alors le volume et la source de son plaisir.
- Fous-toi à poil ! lui ordonne-t-il.
Elle suspend sa robe à une branche, puis son slip ramassé par terre et son soutif, dévoilant des seins en poire aux pointes durcies par le désir, ôte même ses escarpins et se présente totalement nue au-dessus du pénis dressé. Elle s'empale lentement, les mains sur le torse mâle à l'abondante végétation et se met à onduler, savourant l'introduction massive qui lui fait oublier son âge. Maryse baise, sans retenue, s'exclame, râle, clapote, tressaute et l'homme ravi regarde cette belle mature jouir de sa queue, poussant le vice jusqu'à lui caresser les couilles une main derrière son dos. Une furieuse envie de la pilonner assaillit Rodolphe et il la fait basculer sur ses vêtements où elle s'allonge, le visage illuminé.
- Tu la veux encore ? lui dit-il, un peu pervers.
- Oui, oui, s'il te plait, continue.
- C'est sûr ?
- Oui, ouiiii, baise-moi encore, s'il te plait.
Alors, Rodolphe la pénètre bras tendus, encerclé par ses jambes qui le nouent à son ventre et lui assène une rafale de coups de bite qui font crier Maryse tellement fort que les oiseaux s'envolent des arbres voisins. Elle griffe ses épaules, talonne ses reins, clame des "oui oui encore encore t'arrête pas" jusqu'à un orgasme ravageur qui lui met la bave aux lèvres. Il gicle copieusement, n'ayant pas le réflexe de se retirer car ma dame n'est plus à l'âge de procréer et d'ailleurs, elle le tient fermement de ses mains et de ses cuisses pendant qu'il se répand en elle avant de se retourner et de rester allongé à côté d'elle, les yeux au ciel, le septième...
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Retrouvons maintenant Martine, qui a décidé de passer à l'acte d'adultère avec Léon pendant une nuit de déception conjugale. Mais entre l'intention et le passage à l'acte, il y a toujours une marge pour une femme mariée. Aussi, Martine continue de procrastiner. D'un côté, elle a envie d'une véritable expérience sexuelle mais de l'autre, répugne à tromper son mari. Léon ne sait plus sur quel pied danser. Il a une furieuse envie de baiser sa collègue mais ne se voit pas lui forcer la main. Il sait qu'il n'y prendrait pas plus de plaisir qu'elle.
Il se retrouve au cours d'une réunion à côté d'elle, en bout de table, isolés des autres intervenants. Négligemment, il pose une main sur sa cuisse découverte par la mini-jupe. Martine, raidie, la repousse une fois, deux fois, pas la troisième. Alors, il remonte lentement le long de la cuisse, surveillant d'un oeil le reste des protagonistes de la réunion qui continuent de discuter. Il sent la respiration de Martine s'accélérer mais elle laisse la main continuer de la caresser, de plus en plus haut. La cuisse est tiède, réceptive. Martine ferme les yeux, sa bouche s'ouvre, légèrement haletante. La main frôle le slip, s'enhardit, tire sur l'élastique. Par une contorsion du bras, Léon parvient à introduire un doigt jusqu'au pubis, jusqu'à la fente, dont il perçoit l'humidité. Jusqu'au clitoris. Martine s'est penchée en arrière pour faciliter l'exploration.
- Et toi, Martine, qu'en penses-tu ? Ho, tu dors ?
L'organisateur de la réunion a questionné la quinquagénaire qui sursaute et bafouille quelques mots, suscitant les rires des autres, croyant qu'elle s'était assoupie, ce qui arrive souvent dans ce genre de débats professionnels. Léon a prestement retiré sa main, Martine fermé ses cuisses mais l'incendie intime de l'a pas quitté. Seule une bite bien raide peut l'éteindre. Même si elle ne le formule pas ainsi pour elle-même, elle a une furieuse envie de baiser. Léon l'a deviné et lui murmure à l'oreille en quittant la réunion :
- Rendez-vous aux archives, dès que tu peux. Je t'attends.
En l'attendant, il pense aux collègues précédentes qu'il a honorées là, au sous-sol, sur une table, à la hussarde. Une documentaliste frisée à forte poitrine. La responsable de la com, plantureuse et cochonne. Deux femmes mariées qui avaient envie de baiser. Martine frappe à la porte. Elle n'a pas tardé. Léon l'enlace, l'embrasse pour un baiser passionné en palpant son joli petit corps. Il l'entraine sur la table où elle s'assoit et il fait courir sa langue sur ses jambes ouvertes, tire sur le slip qui voltige au sol, colle sa bouche sur sa vulve trempée, la prépare à une pénétration qu'elle finit par implorer : "viens, viens, j'en peux plus..."
Avant de la pénétrer, il la déshabille entièrement. Il veut la voir et la prendre nue. Il savoure du regard son joli corps aux seins encore fermes, au ventre légèrement bombé, au pubis bien taillé, aux jolies cuisses ouvertes en V sur une chatte humide. Elle le regarde, gourmande, se mettre à poil à son tour. Regarde avec appétit la queue dressée qu'il va planter dans son corps offert. Et il la baise debout, fougueusement, virilement, sans concession, les yeux dans les siens. Les peaux claquent, les sexes clapotent, il se sent validé par ses talonnades sur ses reins et ses râles de plaisir. Elle aspirait depuis longtemps à se faire ainsi secouer, malmener, creuser, sortir de la routine conjugale. Se faire baiser. Et il fallut attendre cinquante ans pour prendre un tel panard.
Le coït est forcément court, vu le risque encouru, mais il est intense. Léon doit couvrir la bouche de Martine quand elle crie son orgasme pour ne pas faire trop de bruit. Son sperme épais fait floc sur le sol, il devra l'éponger avant de partir, comme d'habitude. Le corps de Martine s'est couvert de chair de poule, mais pas de froid. De jouissance. Il la lèche, l'embrasse et l'aide à se rhabiller car elle tremble un peu. Elle quitte les lieux en premier, un peu flageolante. Retrouve son poste de travail comme si rien de spécial ne s'était passé depuis la réunion. Et quand elle rejoint le domicile conjugal après sa journée de travail, c'est une femme comme beaucoup d'autres qui va prendre une douche, se mettre en tenue de maison, préparer le diner et attendre son mari. Mais son cerveau est encore en ébullition. Elle a commis l'adultère. Et bon dieu qu'elle a aimé ça...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oh oui. Martine et Maryse ont raison et, avec les lecteurs, je dis à Micky: encore!!!!
très beau récit
Micky,
C'est une très belle suite que vous nous offrez dans cette série présentant des cinquantenaires qui "baisent".
Magnifique.
Y aura t'il une suite? Car je ne m'en lasse pas...
Didier
C'est une très belle suite que vous nous offrez dans cette série présentant des cinquantenaires qui "baisent".
Magnifique.
Y aura t'il une suite? Car je ne m'en lasse pas...
Didier

