A cinquante ans, une femme baise (3)

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : A cinquante ans, une femme baise (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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A cinquante ans, une femme baise (3)
Ghislaine n'avait pas apprécié, mais alors pas du tout, que son mari Jean-Luc la trouve "trop grosse". Bon, d'accord, elle avait pris du poids à la ménopause, comme presque toutes les femmes, mais d'une part, elle n'avait jamais été maigre, déjà athlétique dans sa jeunesse où elle avait pratiqué le lancer du disque avec un certain succès et donc, Jean-Luc l'avait épousée en pleine connaissance de cause; et d'autre part, sa taille au-dessus de la moyenne répartissait ses formes opulentes de manière plutôt harmonieuses de son point de vue.
Mais Jean-Luc rêvait sans doute d'une épouse mince comme Nathalie, la collègue de Ghislaine, une grande brune qu'il reluquait quand elle venait leur rendre visite. Il devait penser à elle les rares fois où il faisait l'amour à sa compagne de vie.

Ghislaine s'ouvrit de ses tourments à Joëlle, une voisine veuve de fin de cinquantaine avec laquelle elle entretenait des rapports amicaux en lui rendant souvent service. Elle la trouvait depuis quelque temps l'humeur légère, peu conforme avec l'idée qu'on peut se faire d'un veuvage. Comme elle l'interrogeait tout en l'aidant à écosser des petits pois dans sa cuisine, Joëlle sortit son téléphone portable et lui dit :
- Regarde ça, tu comprendras.

Joëlle posait dans un bikini ultra réduit mettant ses formes généreuses en valeur, comme si ses seins lourds allaient jaillir du mince soutif, le sexe moulé dans un triangle de tissu qui dégageait le reste de son large bassin. C'était d'une indécence folle mais l'intérêt était ailleurs. La photo avait été publiée sur un site internet réservé aux femmes mûres étalant sans complexe leur sexualité, presque toutes très charnues et suscitant une abondance de "like" qui stupéfia Ghislaine. Une floppée d'hommes la félicitait de se montrer ainsi sans fard et certains allaient jusqu'à formuler des propositions comme si elle était une bimbo de vingt ans.

Voyant la surprise de sa voisine, Joëlle riait aux éclats.
- Tu comprends pourquoi j'ai retrouvé le moral, dit-elle. Je me sens rajeunie.
- Et... tu réponds aux sollicitations ?
- Bien sûr que oui. Tu ne crois pas qu'à 59 ans, j'allais laisser passer l'occasion de m'envoyer en l'air avec un mec plus jeune. Il s'appelle Célestin, il a 35 ans, il est beau comme un dieu avec sa peau sombre, il a une bonne grosse bite d'homme noir comme j'en ai toujours rêvé et je fais 100 km en voiture pour le retrouver et baiser comme je n'ai jamais baisé. Si ton homme te néglige, fais comme moi. Je peux te prendre en photo si tu veux.

Encore estomaquée par cette révélation, Ghislaine s'abima dans une réflexion prolongée. Elle se regarda nue dans la glace. Ses cheveux blond cendré tenaient par un chignon qu'elle lâchait parfois. Ses yeux bleus attiraient les regards. Ses seins larges tombaient un peu mais les pointes rebiquaient encore vers le haut. En se retournant, elle considéra son fessier copieux, encore ferme malgré des traces de cellulite. Elle était fière de ses cuisses puissantes d'ancienne athlète. Et son ventre n'était pas encore trop bombé.

Elle sortit d'un tiroir le bikini de sa fille Clémence quand elle avait vingt ans. Evidemment trop petit, mais les ficelles du slip et du soutif permirent de le régler à sa taille. Le bas cachait tout juste son sexe, comme Joëlle, masquait à peine la raie des fesses, et le haut ne couvrait que les larges aréoles de ses seins, toujours comme Joëlle. Quand elle se présenta dans cette tenue minimaliste devant sa voisine, celle-ci lui dit :
- Tu vas faire un malheur, crois-moi.

Et de fait, dès que la photo parut sur le site dédié, une avalanche de "like" salua cette apparition gorgée de sève. Les compliments affluèrent, certains évidemment salaces, mais Ghislaine n'en avait cure. Personne ne la trouvait "trop grosse" comme son mari.
Elle reçut plusieurs messages privés lui proposant une rencontre, qu'elle repoussa. Joëlle l'avait prévenue et incitée à se méfier.

Cependant, il y en eut un qui attira son attention. C'était celui d'un ancien athlète qu'elle avait connu lorsqu'elle s'était occupée de son club comme bénévole. Il s'appelait Fabrice. Plus jeune qu'elle de dix ans, il l'avait cependant identifiée et l'avait complimentée pour son audace. Ils échangèrent quelques messages, parlant de l'ancien temps, lui annonça qu'il était divorcé et lui proposa un rendez-vous pas très éloigné puisqu'il vivait encore dans la même région que Ghislaine. Elle l'accepta de vive joie, dans l'esprit d'évoquer le passé sportif, mais rien de plus.

Lorsqu'elle le découvrit, elle le considéra d'emblée très séduisant avec sa chevelure encore abondante bien que grisonnante et son corps parfaitement entretenu. Ils se parlèrent dans un café, évoquèrent les aléas de leur vie privée et il lui demanda pourquoi elle avait ainsi osé s'exposer quasiment nue sur internet.
- Par défi, et montrer à mon mari que je peux plaire encore, lui répondit-elle.
- Et comment a-t-il réagi ?
- Plutôt mal au début. Il me trouvait obscène. Mais quand il a vu le succès que j'obtenais, il a un changé d'avis et il s'est montré tout fiérot. Il s'est même remis à me faire l'amour. Mais ça n'a pas duré très longtemps.
- Et... ça te manque ?
- Euh... oui. J'aime ça et j'ai toujours aimé ça. Et le temps ne joue pas pour moi, hélas.
- Mais tu es dans tes meilleures années, au contraire, Ghislaine. Tu as un corps fait pour l'amour. C'est à toi de voir ce que tu veux en faire.
- C'est une proposition ?
- Pourquoi pas ? Je fais partie de tes admirateurs.

Ghislaine se retrouva au pied du mur. Fabrice lui proposait carrément l'acte d'adultère, ce qui l'engageait bien davantage que Joëlle, libre parce que veuve. Mais la perspective de coucher avec lui l'excitait plus qu'il ne la rebutait. Il devina ses atermoiements et lui dit :
- Depuis combien de temps tu n'as pas vraiment baisé, Ghislaine ? Depuis combien de temps tu n'as pas fait exploser ta sexualité que je devine frustrée ? Je ne te propose pas une liaison, juste du sexe. Mais du sexe complet, sans tabous, où je vais tout faire pour que tu t'éclates. Ton corps m'excite terriblement. Mais si tu ne veux pas, je n'insisterai pas.

Elle voulait. Elle jugea qu'elle avait passé l'âge de faire des manières. Elle l'accompagna chez lui, le corps déjà en fusion. Et quand ils furent nus sur son lit, son vagin était déjà trempé de désir. Comme un bon amant, il voulut faire durer les préliminaires en jouant de sa langue et de ses doigts mais elle l'implora de la pénétrer. Elle voulait sa queue en elle après l'avoir goûtée de sa bouche, dure, prometteuse. Il la prit bras tendus, cul mouvant et elle répondit pieds sur le matelas, ripostant avec sa vigueur d'ancienne athlète. Il gicla rapidement, subjugué par cet enthousiasme, mais elle le ranima de sa langue et de quelques mots crus qui l'étonnèrent dans sa bouche.

Ce fut cette fois beaucoup plus long, plus varié, plus cochon. De vieux automatismes érotiques furent réveillés chez Ghislaine, qui avait beaucoup baisé dans sa jeunesse. Fabrice eut droit à un massage de prostate, à un léchage d'anus et de couilles, à une invitation à entrer dans son cul, la totale. Ghislaine baisait comme une femme de cinquante ans, expérimentée, sans tabous. Et Fabrice se régalait. La voir cavaler sur lui, échevelée, ses gros nichons claquant sur son torse, son abondante chair en vibration, le visage radieux, des encouragements à durer à la bouche, était ce qu'il avait connu de mieux dans le genre depuis longtemps. Ce fut le début d'une liaison torride, Fabrice exigeant dans leurs retrouvailles qu'elle se présente au lit dans son minuscule bikini afin d'avoir le plaisir de dénouer les minces cordons, des doigts ou des dents et de découvrir totalement ce corps devant lequel bavaient les internautes. Et surtout de le pénétrer.

Le mari de Ghislaine ne connut rien de cette double vie. Elle l'acceptait entre ses cuisses de temps à autres pour qu'il n'ait pas de soupçons de son infidélité. Elle ne culpabilisait pas parce qu'il l'avait trouvée "trop grosse". Et c'est à cause de cette réflexion qu'il était trompé, pour le plaisir de Fabrice. Ainsi peut-on en conclure qu'un mari ne doit jamais mépriser le corps de son épouse. Surtout quand elle a envie de profiter de ses derniers feux.

*****

Intéressons-nous maintenant à une autre quinquagénaire prénommée Manuella. Elle est moins grande que Ghislaine mais tout aussi potelée et son abondante chevelure blonde peroxydée la fait remarquer de loin. Différence majeure avec le couple Ghislaine-Fabrice : Manuella et son mari Lucas baisent. Loin d'avoir été lassé par le corps ménopausé de son épouse, il a trouvé dans l'augmentation de ses rondeurs une excitation supplémentaire. Il adore ses gros nichons et ses grosses fesses et comme elle adore aussi sa queue toujours aussi raide, ils forniquent régulièrement dans l'allégresse, rivalisent d'imagination, ne se repoussent jamais d'autant qu'elle n'a plus ses règles. Ils aiment baiser en plein air et l'été venu, leur lit peut être une mousse sous les arbres ou le sable d'une dune près de la mer, quitte à être vus par des voyeurs, ce qui ajoute à leur excitation.

On ne s'étonnera donc pas d'apprendre qu'ils ont envisagé une nouvelle expérience, à savoir un plan à quatre. Lucas a avoué à Manuella qu'il aimerait la voir baiser avec un autre que lui. Elle lui a répondu "cochon !" mais n'a pas dit non à condition que son partenaire à elle lui plaise aussi.

Ils ont alors fait le tour de leurs relations susceptibles d'accéder à leur désir. Manuella a pensé à sa jeune collègue Oriane parce qu'elle trouve son mari mignon tout plein et parce qu'elle sait qu'elle aime le sexe, mais Lucas les trouvent un peu jeunes et en tout cas pas assez mûrs pour une telle transgression.
Lui a suggéré leur pharmacienne, une quadra prénommée Blandine, une petite blonde toujours très sexy et qui l'a visiblement à la bonne mais en pensant à son mari, Manuella s'écrie "ah non pas lui" parce qu'il n'est pas très aimable et d'ailleurs, elle ne se voit pas au lit avec lui, bien qu'elle croie aussi le couple libertin.

Finalement, ils tombent d'accord pour un autre couple, des voisins, Corinne et Christophe, quinquagénaires comme eux. Grande et fausse maigre, toujours bien coiffée et bien habillée, Corinne a avoué un jour à Manuella que le sexe était toujours leur grande affaire et que Christophe "assurait". Elle l'a souvent complimentée sur Lucas qu'elle trouve "sexy" et Manuella a bien vu qu'en présence de celui-ci, Corinne avait tendance à arrondir sa croupe il est vrai superbe et toujours moulée dans des pantalons étroits ou des jupes serrées. Au point qu'un jour, en pleins ébats, Manuella a demandé à Lucas :
- Tu la baiserais bien, la Corinne, hein ?
- Et toi, tu le sucerais bien, Christophe, avoue-le.
Devant l'affirmative réciproque, ils avaient rivalisé d'ardeur. C'était le genre de scénario qui stimulait toujours leur libido.

Quand Manuella prit à part Corinne lors d'une de leurs rencontres de voisinage autour d'un apéritif, elle lui fit cette proposition carrée :
- Et si on se voyait tous les quatre dans une de nos chambres ?
- Tu... veux dire à poil ?
- Exactement. Lucas a envie de te baiser et moi j'ai envie de baiser avec Christophe. Qu'est-ce que tu en dis ?
- C'est un peu rapide, ta proposition. Je ne m'y attendais pas et on n'a pas l'habitude de ce genre de, euh, rencontres.
- Eh, on a cinquante ans, il est peut-être temps de ne pas mourir idiotes, et ça ne changera rien à nos relations. Ce serait juste du sexe.
- Laisse-moi réfléchir et il faut que j'en parle à mon mari.
- Donc, ce n'est pas un non catégorique.
- On verra. Je te tiens au courant.

Quelques jours plus tard, Manuella reçut un appel sur son portable. C'était Corinne qui lui dit :
- Bon, c'est d'accord. Samedi après-midi, ça vous va ?
- C'est parfait. Il faut juste espérer que nos mecs seront performants car il va leur être beaucoup demandé.
Corinne éclata de rire et répondit :
- Surtout le tien !

Le samedi arriva. Manuella était vêtue d'une robe courte d'intérieur, sans rien dessous, comme on pouvait déjà le constater en voyant les larges aréoles de ses seins pointer sous le léger tissu. Corinne portait un pantalon corsaire en coton qui moulait étroitement les globes jumeaux dont elle était fière, avec la trace d'un string. Elle non plus ne portait pas de soutif sous son top.

Devant cet étalage de sexualité, les deux hommes étaient un peu nerveux. S'ils avaient accepté d'emblée l'initiative de leurs épouses, ils commençaient à se demander s'ils seraient à la hauteur de l'événement. Mais à la cinquantaine, une épouse est compréhensive. D'un commun accord, Manuella et Corinne s'ingénièrent à préparer leur conjoint en les câlinant et en les rassurant, une main sur leur braguette, les deux couples assis face à face sur un sofa.
Puis Manuella invita tout le monde à la suivre dans la chambre conjugale où les attendait un waterbed sur lequel bien des orgasmes s'étaient produits.

Manuella prit Christophe par la main et lui demanda d'ôter sa robe. Corinne fit de même pour son pantalon corsaire que Lucas tira une fois qu'elle fut allongée, emportant en même temps le string. Ce fut ensuite au tour des deux femmes de dévêtir les deux hommes et de découvrir l'objet de leur désir, à savoir leur organe mâle, les deux en semi érection.

Une fois les deux couples nus sur le waterbed, une longue séance de préliminaires commença. Tout en s'observant mutuellement, ils jouaient des doigts et de la langue, en découverte des corps, pas pressés d'entrer dans le vif du sujet. D'un commun accord, ils avaient décidé que les capotes seraient superflues et que leurs accouplements se feraient "au naturel" tout en étant "complets". Il y aurait juste l'usage de gels pour rendre plus confortables les pénétrations.

Manuella graissa le petit trou de Corinne en même temps que son sexe et eut droit à la réciprocité sous l'oeil intéressé de leurs maris.
Dans ce genre de rapport, c'est la première pénétration qui scelle la transgression du plan à quatre. Qui va commencer ?
Les deux femmes tranchèrent le débat en décidant d'allonger leur partenaire dédié et de s'empaler en même temps sur les queues verticales et surexcitées. En épouses d'expérience, elles savaient que la position couchée retarde l'éjaculation au contraire de la missionnaire. Et ce plan à quatre était destiné à durer.
- Hou ! Il est gros ton mari ! s'exclama Manuella en venant avec précaution sur Christophe, alors que Corinne ondulait déjà sur Lucas.

Durant toute la durée de leurs ébats, les deux épouses se parlèrent, échangèrent leurs impressions, haletèrent de conserve, couinèrent, gloussèrent et rirent ensemble, semblant bien s'amuser de la situation alors qu'elles baisaient, tout simplement. Et les deux hommes se régalaient à les voir se régaler, physiquement différentes mais animées du même appétit de leur queue.

Celles-ci constituaient d'ailleurs l'objet de leurs principaux commentaires, flatteurs et comparatifs, induisant une complicité féminine qui les mettait en joie. Elles testèrent plusieurs positions après en avoir débattu avec leur chevalier servant, tous de moins en moins pressés de conclure au point d'observer des pauses pipi et boisson avant de remettre le couvert. Manuella faisait claquer ses gros seins sur son torse en cavalant, Corinne montrait sa croupe parfaite en chevauchant, toutes deux animées d'une telle ardeur que le waterbed glougloutait bruyamment, accentuant le rythme des cavalcades.

La phase sodomie fut accomplie en parallèle, les deux hommes debout au ras du lit, les deux femmes à genoux cul en l'air avant d'être copieusement ramonées dans un bruit de peaux claquées, ventres contre fesses. Lucas faillit éjaculer dans la croupe somptueuse et agitée de Corinne. Il se retira le premier en se comprimant la queue, observant son épouse la nuque relevée en train d'aller chercher la bite de Christophe à grands coups de fesses. "Y a pas à dire, elle baise", reconnut-il mais pas jaloux pour autant.

Il fut admis que le bouquet final aurait lieu avec ces dames allongées pour profiter pleinement des remous du waterbed. Les deux hommes étaient en nage à force de limer et les chairs opulentes des deux femmes palpitaient à force d'être honorées. Elles les entourèrent de leurs jambes, le sexe encore avide, nullement rassasié et elles couinèrent ensemble au moment de l'entrée des pénis. Le waterbed fut alors aussi agité qu'un bateau sur la houle en raison de la vigueur des deux mâles et de l'ardeur des deux femelles, mais les bruits d'eau étaient désormais couverts par les exclamations des femmes en chaleur et les grognements des hommes en rut.
- Allez allez encore encore oui oui, gémissaient de conserve Manuella et Corinne.

Décollé par un furieux coup de reins de la blonde peroxydée, Christophe gicla le premier en rugissant, suivi quelques minutes plus tard par Lucas, vaincu par un "plus vite plus vite" de Corinne au bord de la syncope. Et la tension retomba sur le waterbed, redevenu inerte.

Croire que cette expérience inédite changea quoi que ce soit à la vie de nos quinquagénaires serait mal connaitre leur faculté à faire la part des choses. Cela n'induisit en rien un changement de rapport entre les deux couples, sinon une complicité amusée dont ils parlaient encore parfois, mais sans envie réelle de recommencer. Elle les confirma simplement dans l'idée que la maturité ne doit pas entrainer la paresse sexuelle et le conformisme de plumard. Et dans les mois suivants, ils eurent les uns et les autres plusieurs fois l'occasion de ranimer leur flamme que ménopause et andropause auraient pu diminuer. Mais c'est une autre histoire.

Les avis des lecteurs

Félicitations à ces femmes qui ne cachent pas leurs envies, osent et baisent! La plume de Micky les rend vivants et nous permet d'assister en témoins privilégiés à leurs ébats

Histoire Erotique
Micky,

Merci et félicitations pour cette magnifique suite, qui ne peut qu'en appeler d'autres.
En un mot Encore!!!
Didier



Texte coquin : A cinquante ans, une femme baise (3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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