A trois ça change (fin)

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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A trois ça change (fin)
Comme précisé dans le précédent épisode, Oriane avait hâte de conter son aventure à trois à son amie Marina, la pâtissière tenant aussi salon de thé à côté de la bibliothèque, là où toutes les deux papotaient quand le travail faisait relâche. Agée de 33 ans, mariée depuis dix ans et mère d'un enfant, Marina serait passée pour une fort jolie femme si elle n'avait pas eu dix kilos de trop en raison de sa fonction de goûteuse des gâteaux concoctés par son mari Jérémie. Néanmoins, cette vraie blonde demeurait très attractive pour les clients mâles de la pâtisserie, fascinés par le mouvement de ses fesses charnues sous ses pantalons savamment ajustés et par ses généreux décolletés exposant deux obus qui donnaient l'impression de précéder leur propriétaire. Bref, Marina inspirait le sexe, elle le savait et en jouait pour fidéliser une clientèle masculine qui autrement serait partie vers la concurrence, nettement plus sèche.
Malheureusement, cette impression était virtuelle et l'érotisme de Marina simplement visuel. Bien qu'ouvertement draguée par quelques audacieux, elle ne passait pas à l'acte. Trop accaparée par son travail, mais aussi fidèle au pâtissier, elle se contentait de faire des mines tout en rêvant qu'un jour, elle subirait un assaut qui ferait voler en éclats ses principes conjugaux. Car elle s'ennuyait au lit d'autant plus qu'elle se savait "aimer ça et même beaucoup ça".
Voilà pourquoi le discours d'Oriane, racontant son trio avec Walter et Nathalie, la frappa littéralement au bas-ventre. Réclamant des détails, elle écouta son amie bibliothécaire évoquer la genèse de son passage à l'acte d'autant moins attendu qu'elle avait toujours considéré son amie comme un peu coincée. C'est le narratif des différentes positions adoptées par le trio qui bouleversa l'auditrice. En particulier lorsqu'Oriane lui avoua qu'elle avait découvert la sodomie :
- Quoi ? Tu t'es fait, euh, enculer ?
- Ben oui. Je n'ai pas réfléchi, c'est venu comme ça, dans le feu de l'action.
- Et, euh, tu n'as pas eu mal ?
- Un peu au début, oui, mais Walter savait y faire et après, mmmmhhh, j'ai pris mon pied.
- C'est stupéfiant, ce que tu me racontes, je n'aurais jamais cru ça de toi.
- Tu ne l'as jamais fait avec Jérémie ?
- Tu parles ! Lui, c'est quelques va et viens et basta. Et encore, un dimanche sur quatre. On était pourtant très chauds au début mais ça lui a passé. Le boulot, le boulot.
- Donc, tu n'as jamais été vraiment, euh, baisée.
- C'est à dire ?
- Ben, fais du cul pour le cul, quoi, comme moi l'autre soir.
- Eh non, hélas.
- Alors, pourquoi tu ne tenterais pas un plan à trois comme moi ?
- Et comment veux-tu que je fasse ? Je suis toujours dans mon salon en train de me faire mater le cul mais ça ne va pas plus loin. Et puis, franchement, un plan à trois, je ne serais pas contre mais à condition qu'il y ait deux types pour moi toute seule, je ne suis pas partageuse.
- Et il n'y a pas un de tes clients avec qui, disons, tu coucherais volontiers ?
- Ah, si, il y en a un. Un vrai beau mec d'une quarantaine d'années, divorcé, qui vient lire le journal dans mon salon en prenant son café le matin. Il a la classe et je vois bien qu'il regarde mes seins quand je me penche vers sa table. Il me drague mais je fais l'allumeuse. C'est un peu minable mais bon.
- Et pourquoi tu ne lui tendrais pas une perche ? Tiens, j'ai une idée. Parles-en à Jérémie. Dis-lui que tu as envie de coucher avec ce type et que s'il ne se remue pas un peu la couenne, il sera cocu.
- Tu es folle ? Il le prendra très mal.
- Sauf si tu lui dis que tu ne le feras qu'avec son accord. Et même mieux, s'il est présent. Le voilà, ton plan à trois.
Marina devint soudain pensive. Elle n'avait pas envisagé à cette éventualité. Mais l'expérience d'Oriane l'avait complètement tourneboulée. Si elle était passée à la casserole, pourquoi persisterait-elle dans cette conjugalité triste ? Pourquoi ne se déciderait-elle pas à baiser, elle aussi ? Oriane la quitta en se disant qu'elle avait peut-être remis son amie en question, et son couple en même temps.
*******
Quelques jours plus tard, la bibliothécaire prit un café dans le salon de thé et Marina vint la retrouver toute frétillante.
- J'ai une sacrée nouvelle à t'annoncer. Jérémie est d'accord pour que je couche, enfin que je baise, avec notre client qui s'appelle Hubert. A condition qu'il participe, c'est ça le truc. Je croyais connaitre mon mari, mais je me trompais. En fait, il m'a avoué que son fantasme est de me voir, euh, baiser avec un autre mec. Hubert a été très surpris quand je lui en ai parlé. J'ai cru qu'il allait se dérober, ce qui aurait été un comble, mais non, il a trop envie de moi. On fait ça dimanche après-midi pendant la fermeture du salon. Je mets la gamine chez sa grand-mère pour qu'on soit tranquille.
- Mais c'est super, ça ! Tu vas t'éclater, j'en suis sûre, dit Oriane. Tu vas voir, ton couple ne s'en portera que mieux. Tu passeras plus souvent à la casserole avec Jérémie. Depuis que j'ai baisé avec Walter et même s'il n'est au courant de rien, mon mari me fait plus souvent l'amour qu'avant, comme si j'étais devenue plus sexy. Il faut dire que je prends davantage d'initiatives... Tu me raconteras, hein ?
- Evidemment. Je ne t'épargnerai aucun détail, juste pour que tu m'envies à ton tour.
******
Oriane n'attendit pas longtemps. Dès le lundi suivant, elle se précipita à l'heure de la fermeture du salon de thé, au moment du déjeuner, pour entendre son amie raconter ses frasques. Elle la trouva vêtue d'une mini robe découvrant largement ses cuisses dodues avec un décolleté dorsal révélant l'absence de soutien-gorge, ce qui faisait bouger ses seins sous la toile légère quand elle évoluait dans son salon. Un véritable appel au viol. Elle imagina la tête de la clientèle masculine au spectacle de cette femelle affichant aussi ostensiblement sa sexualité. Et aussi la jalousie des femmes...
- Toi, tu as baisé hier, lui dit Oriane, un sourire en coin.
Marina eut une petite moue qui confirma la bibliothécaire dans son impression. La moue d'une femme satisfaite sexuellement. Sensuelle et voluptueuse.
- Mmmhh ouiii, on peut dire ça.
- Alors, raconte !
- Eh bien, à la fermeture à 13h, Hubert est resté et on a déjeuné ensemble. C'était un peu tendu, surtout moi, alors que Jérémie était tout frétillant d'impatience. A croire qu'il avait hâte de voir me faire sauter par un autre que lui. Il a mis fin au déjeuner avant même le café et nous a invité à aller dans notre chambre. C'est lui qui a pris les initiatives. "Déshabille-la, lèche-la d'abord, caresse ses nichons elle adore ça, les fesses aussi" etc. Et l'autre s'exécutait. Moi, je voyais sa queue grossir à vue d'oeil, une très belle queue que Jérémie m'a demandé de sucer. Puis il nous a imposé un 69, moi dessus, ce qui m'a permis de bien prendre la mesure de son corps, plus volumineux que celui de mon mari, à l'image de son sexe. Je commençais sérieusement à bouillir et quand Jérémie m'a tendu un préservatif pour que j'équipe Hubert, je ne me suis pas fait prier. J'étais déjà dans la transgression totale, celle de faire l'amour avec un homme qui n'était pas mon mari devant mon mari. Enfin, quand je dis faire l'amour... ce n'était pas tout à fait ça, tu l'as compris.
Quand Hubert m'a pénétrée en missionnaire, j'ai crié tellement ça m'a fait du bien, j'étais tellement humide qu'on a clapoté un bon moment, je voyais qu'il matait mes seins qui remuaient à chacun de ses coups de bite, ça l'excitait beaucoup. Je jetais un oeil sur le côté pour voir comment réagissait Jérémie et il se branlait en nous regardant. De ce côté là, j'étais un peu rassurée, il participait à sa manière. Il nous a imposé diverses positions, de ce côté là rien de nouveau, c'est ce que font les hommes et les femmes qui aiment faire durer le plaisir. Tantôt j'étais dessous, tantôt dessus, tantôt à quatre pattes, tu vois le genre et heureusement, il tenait la cadence, encouragé par Jérémie qui lui disait "retiens-toi, retiens-toi !". Je peux te dire que notre plumard grinçait. Je me sentais merveilleusement remplie. Il y a même eu un moment où j'ai sucé mon mari pendant que mon amant me prenait par derrière. C'était vraiment un trio, très jouissif et s'ils avaient échangé leur place, je n'aurais pas été contre.
Mais Jérémie a dit au bout d'un moment "prends-là par le cul". Là, j'ai été surprise. Il avait toujours considéré que la sodomie était sale alors que j'aurais bien essayé. En fait, il voulait regarder me faire enculer. Il est arrivé avec un tube de gel et ils se sont mis à deux pour bien me préparer. L'entrée a quand même été un peu douloureuse, je ne suis pas entrainée mais une fois qu'Hubert a été bien engagé et que nos peaux se sont mises à claquer, j'ai pris mon pied, je n'ai pas honte de le dire, parce que c'était une sensation toute nouvelle, à la fois étrange et jouissive. Hubert m'excitait avec des mots crus, "j'adore ton gros cul, il est fait pour la bite, tu la sens bien ?" etc. Moi, les mots, ça me fait bouillir et j'ai eu un bel orgasme. "Jouis dans son cul" a crié Jérémie à Hubert et il s'est lâché. Après, j'ai filé aux WC car j'avais été bien remuée, je te passe les détails, mais on l'avait eu, ce trio, et Jérémie était ravi. J'ai quand même voulu qu'il éjacule lui aussi et je l'ai sucé jusqu'à ce qui gicle dans ma bouche, histoire de ne pas l'avoir totalement réduit au rôle de spectateur-voyeur.
- Bon, ben je vois que l'expérience a été réussie, dit Oriane. Et maintenant, vous allez faire quoi ?
- On va recommencer, tiens. Je n'avais jamais vu Jérémie aussi excité. Et moi, honnêtement, je ne suis pas perdante. Il veut que je me fasse baiser par un Noir, c'est encore un de ses fantasmes.
- Et tu es d'accord, vraiment ?
- Je ne suis pas raciste et si le gars est bien musclé et bien membré, je ne vais pas faire la mijaurée, histoire de ne pas arriver idiote à l'âge senior quand je ne ferai plus bander.
- Si tu trouves ton bonheur, pense à ta copine Oriane, hein ?
Et les deux femmes d'éclater de rire, heureuse de cette nouvelle complicité.
Malheureusement, cette impression était virtuelle et l'érotisme de Marina simplement visuel. Bien qu'ouvertement draguée par quelques audacieux, elle ne passait pas à l'acte. Trop accaparée par son travail, mais aussi fidèle au pâtissier, elle se contentait de faire des mines tout en rêvant qu'un jour, elle subirait un assaut qui ferait voler en éclats ses principes conjugaux. Car elle s'ennuyait au lit d'autant plus qu'elle se savait "aimer ça et même beaucoup ça".
Voilà pourquoi le discours d'Oriane, racontant son trio avec Walter et Nathalie, la frappa littéralement au bas-ventre. Réclamant des détails, elle écouta son amie bibliothécaire évoquer la genèse de son passage à l'acte d'autant moins attendu qu'elle avait toujours considéré son amie comme un peu coincée. C'est le narratif des différentes positions adoptées par le trio qui bouleversa l'auditrice. En particulier lorsqu'Oriane lui avoua qu'elle avait découvert la sodomie :
- Quoi ? Tu t'es fait, euh, enculer ?
- Ben oui. Je n'ai pas réfléchi, c'est venu comme ça, dans le feu de l'action.
- Et, euh, tu n'as pas eu mal ?
- Un peu au début, oui, mais Walter savait y faire et après, mmmmhhh, j'ai pris mon pied.
- C'est stupéfiant, ce que tu me racontes, je n'aurais jamais cru ça de toi.
- Tu ne l'as jamais fait avec Jérémie ?
- Tu parles ! Lui, c'est quelques va et viens et basta. Et encore, un dimanche sur quatre. On était pourtant très chauds au début mais ça lui a passé. Le boulot, le boulot.
- Donc, tu n'as jamais été vraiment, euh, baisée.
- C'est à dire ?
- Ben, fais du cul pour le cul, quoi, comme moi l'autre soir.
- Eh non, hélas.
- Alors, pourquoi tu ne tenterais pas un plan à trois comme moi ?
- Et comment veux-tu que je fasse ? Je suis toujours dans mon salon en train de me faire mater le cul mais ça ne va pas plus loin. Et puis, franchement, un plan à trois, je ne serais pas contre mais à condition qu'il y ait deux types pour moi toute seule, je ne suis pas partageuse.
- Et il n'y a pas un de tes clients avec qui, disons, tu coucherais volontiers ?
- Ah, si, il y en a un. Un vrai beau mec d'une quarantaine d'années, divorcé, qui vient lire le journal dans mon salon en prenant son café le matin. Il a la classe et je vois bien qu'il regarde mes seins quand je me penche vers sa table. Il me drague mais je fais l'allumeuse. C'est un peu minable mais bon.
- Et pourquoi tu ne lui tendrais pas une perche ? Tiens, j'ai une idée. Parles-en à Jérémie. Dis-lui que tu as envie de coucher avec ce type et que s'il ne se remue pas un peu la couenne, il sera cocu.
- Tu es folle ? Il le prendra très mal.
- Sauf si tu lui dis que tu ne le feras qu'avec son accord. Et même mieux, s'il est présent. Le voilà, ton plan à trois.
Marina devint soudain pensive. Elle n'avait pas envisagé à cette éventualité. Mais l'expérience d'Oriane l'avait complètement tourneboulée. Si elle était passée à la casserole, pourquoi persisterait-elle dans cette conjugalité triste ? Pourquoi ne se déciderait-elle pas à baiser, elle aussi ? Oriane la quitta en se disant qu'elle avait peut-être remis son amie en question, et son couple en même temps.
*******
Quelques jours plus tard, la bibliothécaire prit un café dans le salon de thé et Marina vint la retrouver toute frétillante.
- J'ai une sacrée nouvelle à t'annoncer. Jérémie est d'accord pour que je couche, enfin que je baise, avec notre client qui s'appelle Hubert. A condition qu'il participe, c'est ça le truc. Je croyais connaitre mon mari, mais je me trompais. En fait, il m'a avoué que son fantasme est de me voir, euh, baiser avec un autre mec. Hubert a été très surpris quand je lui en ai parlé. J'ai cru qu'il allait se dérober, ce qui aurait été un comble, mais non, il a trop envie de moi. On fait ça dimanche après-midi pendant la fermeture du salon. Je mets la gamine chez sa grand-mère pour qu'on soit tranquille.
- Mais c'est super, ça ! Tu vas t'éclater, j'en suis sûre, dit Oriane. Tu vas voir, ton couple ne s'en portera que mieux. Tu passeras plus souvent à la casserole avec Jérémie. Depuis que j'ai baisé avec Walter et même s'il n'est au courant de rien, mon mari me fait plus souvent l'amour qu'avant, comme si j'étais devenue plus sexy. Il faut dire que je prends davantage d'initiatives... Tu me raconteras, hein ?
- Evidemment. Je ne t'épargnerai aucun détail, juste pour que tu m'envies à ton tour.
******
Oriane n'attendit pas longtemps. Dès le lundi suivant, elle se précipita à l'heure de la fermeture du salon de thé, au moment du déjeuner, pour entendre son amie raconter ses frasques. Elle la trouva vêtue d'une mini robe découvrant largement ses cuisses dodues avec un décolleté dorsal révélant l'absence de soutien-gorge, ce qui faisait bouger ses seins sous la toile légère quand elle évoluait dans son salon. Un véritable appel au viol. Elle imagina la tête de la clientèle masculine au spectacle de cette femelle affichant aussi ostensiblement sa sexualité. Et aussi la jalousie des femmes...
- Toi, tu as baisé hier, lui dit Oriane, un sourire en coin.
Marina eut une petite moue qui confirma la bibliothécaire dans son impression. La moue d'une femme satisfaite sexuellement. Sensuelle et voluptueuse.
- Mmmhh ouiii, on peut dire ça.
- Alors, raconte !
- Eh bien, à la fermeture à 13h, Hubert est resté et on a déjeuné ensemble. C'était un peu tendu, surtout moi, alors que Jérémie était tout frétillant d'impatience. A croire qu'il avait hâte de voir me faire sauter par un autre que lui. Il a mis fin au déjeuner avant même le café et nous a invité à aller dans notre chambre. C'est lui qui a pris les initiatives. "Déshabille-la, lèche-la d'abord, caresse ses nichons elle adore ça, les fesses aussi" etc. Et l'autre s'exécutait. Moi, je voyais sa queue grossir à vue d'oeil, une très belle queue que Jérémie m'a demandé de sucer. Puis il nous a imposé un 69, moi dessus, ce qui m'a permis de bien prendre la mesure de son corps, plus volumineux que celui de mon mari, à l'image de son sexe. Je commençais sérieusement à bouillir et quand Jérémie m'a tendu un préservatif pour que j'équipe Hubert, je ne me suis pas fait prier. J'étais déjà dans la transgression totale, celle de faire l'amour avec un homme qui n'était pas mon mari devant mon mari. Enfin, quand je dis faire l'amour... ce n'était pas tout à fait ça, tu l'as compris.
Quand Hubert m'a pénétrée en missionnaire, j'ai crié tellement ça m'a fait du bien, j'étais tellement humide qu'on a clapoté un bon moment, je voyais qu'il matait mes seins qui remuaient à chacun de ses coups de bite, ça l'excitait beaucoup. Je jetais un oeil sur le côté pour voir comment réagissait Jérémie et il se branlait en nous regardant. De ce côté là, j'étais un peu rassurée, il participait à sa manière. Il nous a imposé diverses positions, de ce côté là rien de nouveau, c'est ce que font les hommes et les femmes qui aiment faire durer le plaisir. Tantôt j'étais dessous, tantôt dessus, tantôt à quatre pattes, tu vois le genre et heureusement, il tenait la cadence, encouragé par Jérémie qui lui disait "retiens-toi, retiens-toi !". Je peux te dire que notre plumard grinçait. Je me sentais merveilleusement remplie. Il y a même eu un moment où j'ai sucé mon mari pendant que mon amant me prenait par derrière. C'était vraiment un trio, très jouissif et s'ils avaient échangé leur place, je n'aurais pas été contre.
Mais Jérémie a dit au bout d'un moment "prends-là par le cul". Là, j'ai été surprise. Il avait toujours considéré que la sodomie était sale alors que j'aurais bien essayé. En fait, il voulait regarder me faire enculer. Il est arrivé avec un tube de gel et ils se sont mis à deux pour bien me préparer. L'entrée a quand même été un peu douloureuse, je ne suis pas entrainée mais une fois qu'Hubert a été bien engagé et que nos peaux se sont mises à claquer, j'ai pris mon pied, je n'ai pas honte de le dire, parce que c'était une sensation toute nouvelle, à la fois étrange et jouissive. Hubert m'excitait avec des mots crus, "j'adore ton gros cul, il est fait pour la bite, tu la sens bien ?" etc. Moi, les mots, ça me fait bouillir et j'ai eu un bel orgasme. "Jouis dans son cul" a crié Jérémie à Hubert et il s'est lâché. Après, j'ai filé aux WC car j'avais été bien remuée, je te passe les détails, mais on l'avait eu, ce trio, et Jérémie était ravi. J'ai quand même voulu qu'il éjacule lui aussi et je l'ai sucé jusqu'à ce qui gicle dans ma bouche, histoire de ne pas l'avoir totalement réduit au rôle de spectateur-voyeur.
- Bon, ben je vois que l'expérience a été réussie, dit Oriane. Et maintenant, vous allez faire quoi ?
- On va recommencer, tiens. Je n'avais jamais vu Jérémie aussi excité. Et moi, honnêtement, je ne suis pas perdante. Il veut que je me fasse baiser par un Noir, c'est encore un de ses fantasmes.
- Et tu es d'accord, vraiment ?
- Je ne suis pas raciste et si le gars est bien musclé et bien membré, je ne vais pas faire la mijaurée, histoire de ne pas arriver idiote à l'âge senior quand je ne ferai plus bander.
- Si tu trouves ton bonheur, pense à ta copine Oriane, hein ?
Et les deux femmes d'éclater de rire, heureuse de cette nouvelle complicité.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle court, elle court la maladie d'amour...
En effet avec cette belle suite, l'envie de ces trentenaires de se faire baiser en bonne et due forme devient contagieuse.
Micky, un magnifique texte une fois encore, merci.
Didier
En effet avec cette belle suite, l'envie de ces trentenaires de se faire baiser en bonne et due forme devient contagieuse.
Micky, un magnifique texte une fois encore, merci.
Didier

