Aquagym, croisière, yoga et galipettes

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Aquagym, croisière, yoga et galipettes Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2025 dans la catégorie Plus on est
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Aquagym, croisière, yoga et galipettes
Lorsque vint le moment peu attendu de son soixantième anniversaire, Magali ressentit une petite déprime. Certes, elle aimait toujours son corps malgré quelques stigmates dues à l'âge, mais combattues avec énergie par l'aqua gym, le footing ou le vélo. Certes encore, son divorce déjà ancien ne l'avait pas dispensé de relations sexuelles épisodiques avec des amants de circonstance, amateurs de petites femmes toniques, dynamiques et bien proportionnées, ayant depuis longtemps jeté leurs tabous à la rivière. C'était précisément le cas de Magali.

Néanmoins, l'état-civil la rappelait à l'ordre et sa morosité inquiéta ses deux filles, Margot et Lydie, mariées et mères de famille, peu habituées à la voir dans cet état d'esprit. C'est pourquoi, l'été arrivant, elles lui offrirent pour son anniversaire une mini croisière autour de la Corse sur un voilier volumineux appartenant à deux marins, bateau qu'elle devrait partager avec un autre estivant qui se révéla être une estivante. Inconvénient mineur pour Magali, pas mécontente de ne pas être seule sur cette embarcation avec deux hommes. Les deux filles espéraient que ce joli voyage lui redonnerait le moral et lui ferait oublier son âge.

Magali se retrouva au port de Calvi avec un léger bagage, bien décidée à étrenner son nouveau maillot de bain une pièce et ne le quitter que le moins possible. Elle fit la connaissance des deux skippers, Enzo et Mario, deux Corses approchant de la trentaine, bruns et athlétiques, rigolards et chambreurs, qui lui montrèrent sa cabine à partager avec l'autre passagère. Elle s'appelait Sandrine et contrairement à Magali, était du genre grande perche si bien qu'elle s'inquiéta de l'exiguïté de sa couchette. Divorcée elle aussi, la cinquantaine sportive, elle montra une liberté de ton qui surprit un peu Magali, en particulier lorsqu'elle sortit son maillot de bain. Le slip n'était en fait qu'un cache sexe tenu par de minces ficelles dont l'une disparaissait dans la raie de ses fesses charnues, et le soutif deux courts triangles ne masquant que l'aréole de ses seins ronds. Lorsqu'elle découvrit le maillot une pièce de Magali, elle ne put s'empêcher de rire, considérant que c'était "une tenue de mamie", ce qui vexa sa propriétaire, qui croyait au contraire ledit maillot plutôt sexy. L'opération rajeunissement voulu par les deux filles s'annonçait mal...

Une fois que le bateau eut pris le large, révélant la beauté de la côte, les deux femmes firent mieux connaissance avec leurs guides. Le courant passa vite car ils avaient l'art de mettre à l'aise. Magali ne tarda pas à comprendre que Sandrine cherchait à les séduire et les yeux égrillards des deux hommes au spectacle des ondulations fessières de leur passagère ne laissait guère place au doute : l'un d'eux, ou les deux, allaient la baiser tôt ou tard.

En attendant, elle émit le souhait de se baigner à quelques encablures de la côté et une fois le bateau à l'ancre, elle se débarrassa sans la moindre gêne de son maillot symbolique pour plonger entièrement nue. Magali, que les propos sur son maillot avaient agacée, se mit également à poil et rejoignit sa co-passagère dans la Méditerranée. Le spectacle aquatique des deux femmes nues décida Enzo à les rejoindre également dans le plus simple appareil, l'autre demeurant à la barre par mesure de sécurité. Le ton était donné. Quand elles remirent les pieds sur le voilier, les deux femmes demeurèrent nues pour bronzer.

Pendant qu'elles se doraient au soleil, Sandrine glissa à l'oreille de Magali :
- Tu prends lequel ?
- Euh... que veux-tu dire ?
- Ben, on est là pour baiser, non ?
- C'est que... je ne m'attendais pas trop à ça quand on m'a offert cette croisière.
- Eh bien, maintenant, tu es au courant. Ces deux garçons sont nos étalons. Ils vont nous baiser en pleine mer.
Magali se demanda alors si tel était bien le plan de ses deux filles. Lui offrir un lupanar aquatique. Si tel était le cas, elles l'avaient bien eue. Mais elle ne pouvait plus reculer, à moins de passer pour la "mamie" que plaisantait Sandrine. Et du reste, le spectacle du costume trois pièces d'Enzo quand il avait plongé avait réveillé en elle une sensation de vide qu'elle ne connaissait que trop bien. Un vide que seul un pénis bien raide peut remplir. Même à soixante ans. Aussi répondit-elle mezzo voce à Sandrine :
- Enzo me plait bien.

Tout en se rôtissant les fesses soigneusement enduites d'écran total par Sandrine avec un plaisir évident, Magali se rappela qu'elle n'avait pas baisé depuis plus d'un mois, quand le mignon petit postier lui avait rendu visite le soir après lui avoir porté un colis le matin. Elle l'avait réceptionné nue sous son peignoir et laissé sciemment entrevoir tout ce qu'un jeune homme peut désirer. Il avait très bien compris le message, le coquin. Ils avaient baisé une bonne partie de la nuit suivante car il rechargeait si vite que c'était un bonheur pour une femme en manque de sexe comme elle. Il l'avait laissée anéantie mais repue. Depuis, plus rien, le désert. Et ce fichu anniversaire était arrivé pour lui rappeler qu'elle n'avait plus de temps à perdre. Oui, elle allait baiser avec cet Enzo si son âge n'était pas un répulsif et lui montrer tout son savoir faire. Elle voyait bien qu'il matait son cul, son point fort sexuel parce que resté bien rond et bien ferme. Le genre de cul où la plupart de ses partenaires désiraient entrer sans frapper.

Lorsqu'elle sortit de sa torpeur, elle s'aperçut que Sandrine n'était plus à côté d'elle pour bronzer. Le bateau était toujours à l'ancre et les deux skippers invisibles. Magali se releva, s'étira, décida de rester nue et s'approcha de la cabine. Comme elle s'en doutait, les trois étaient à l'intérieur. Debout, les deux hommes se faisaient sucer à tour de rôle par Sandrine accroupie. Lorsqu'elle aperçut Magali, elle l'interpella :
- Tu viens m'aider ?

Magali descendit les marches, dans un état d'esprit d'impulsion érotique. Le moment était venu et si c'était ce que les filles désiraient pour leur mère, eh bien, elles allaient obtenir satisfaction. Accroupie à son tour, elle saisit la queue bien raide d'Enzo et le pompa avec délectation. Depuis son plus jeune âge, elle avait toujours aimé le sexe. Il avait été la grande affaire de son mariage jusqu'au jour où elle et son mari n'avaient plus vraiment maitrisé leur goût du libertinage, lorsque leurs filles avaient quitté le domicile familial. Le plan à quatre, d'accord, mais que ça ne tourne pas au plan à deux en catimini. Lorsque Magali s'était aperçue que son conjoint avait une liaison avec l'épouse d'un couple ayant partagé leur lit les dimanches après-midis, elle lui avait signifié son congé. Elle serait donc libertine, mais seule. Heureusement, elle était restée attractive, en particulier chez des plus jeunes qu'elle, ce qui flattait son égo. Sa libido marchait à plein régime ce qui épatait sa copine Suzanne, prof de yoga de son âge, à laquelle elle confiait ses ébats.

Les couinements de Sandrine la rendirent à la réalité du moment. Assise en travers de la couchette, elle recevait les assauts de Mario ses longues jambes croisées autour de son dos dans un coït fougueux et bruyant. Magali se releva de sa succion et se laissa installer par Enzo à côté de Sandrine, le regarda coiffer une capote sur son pénis tendu, et le reçut cuisses ouvertes, envahie massivement, ce qui lui fit pousser un cri de plaisir, comme si son sexe n'attendait que cette visite. En copulant de cette manière, elle retrouvait certaines scènes au temps de son mariage version libertine, quand elle se faisait baiser par un homme pendant que son mari baisait sa femme dans leur lit ou ailleurs. Magali avait connu le tournant de la cinquantaine très érotique et d'une certaine façon, cet impromptu marin la rajeunissait. L'objectif de ses filles ?

Le bateau à l'ancre tanguait et ce n'était pas uniquement dû à la houle. Les deux Corses besognaient dur, désireux d'en donner pour leur argent à ces deux matures tant pour la promenade en mer que pour les services adjacents. Se dépenser sans compter faisait partie du contrat et ils y trouvaient aussi leur compte érotique car ils aimaient les femmes mûres sans tabous, dès lors qu'elles étaient restées attractives comme c'était justement le cas. Au cours de ces tumultueux ébats, ils se firent lécher et doigter le trou du cul, chose que les jeunes filles corses détestaient en général, tout comme elles rejetaient toute tentative de se faire sodomiser. A l'inverse, Sandrine et Magali, les coudes sur la couchette en parallèle, offrirent leur cul sans barguigner après s'être fait besogner en levrette, réclamant juste la langue avant la queue.

La complicité entre la quinquagénaire et la néo sexagénaire fut alors totale et elles s'échangèrent leur partenaire au cours du périple sans faire de manière, l'essentiel pour elles étant d'être baisées. Elles achevèrent la croisière repues de sexe, pas peu fières d'avoir asséchés les deux marins qui reconnurent pour leur part "deux coups en or". Ils leur firent connaitre en outre, lors de leurs escales, de délicieux restaurants typiques à nourriture fortement épicée, prélude à des accouplements au large, sur le pont avec vue sur la mer, suivis de bains en costume d'Eve et d'Adam, dans la plus totale volupté. Voilà pourquoi Magali vécut ses meilleures vacances depuis longtemps et en rendit compte à ses deux filles pour les remercier, éludant évidemment les plans à quatre. Elles l'écoutèrent avec un sourire entendu, si bien que leur mère conclut que leurs intentions n'étaient pas seulement touristiques. "Elles voulaient que je baise, ces coquines", se dit-elle, ravie au fond de cette complicité filiale.

Suzanne, en revanche, eut droit à tous les détails et réclama les coordonnées de cette croisière très particulière, étant elle aussi en manque de sexe. Son corps parfaitement conservé de prof de yoga n'avait plus été honoré depuis le départ de son assistant italien, très souple et très membré. Magali s'en attristait et lui proposa un plan à quatre, auquel elle avait repris goût. Suzanne n'avait jamais connu cette expérience. La proposition l'allécha sur le thème "je ne veux pas mourir idiote mais débrouille-toi pour que je ne sois pas déçue".

Magali sollicita un de ses amants circonstanciels, son moniteur d'aqua gym, un quinquagénaire marié aux cheveux poivre et sel, qui la baisait parfois après la séance dans son bureau attenant à la piscine. Il aimait son corps tonique, sa croupe ferme et surtout son vice, qui le changeait d'une épouse trop conventionnelle. La proposition se complétait de trouver un deuxième larron pas regardant sur l'âge des partenaires. Max, le moniteur, suggéra son jeune assistant qui tringlait lui aussi des "aquagymnastes" sans trop se préoccuper de leur âge et de leur physique. Et c'est ainsi que l'accord fut conclu avec cependant une originalité. Suzanne tenait à ce que ce plan à quatre se déroulât dans sa salle de yoga pour accomplir son fantasme préféré, pratiqué sans parcimonie avec son ancien collègue italien avant qu'il ne retourne dans son pays. Magali était au courant mais éclata de rire en pensant aux deux gaillards lorsqu'ils découvriraient cette salle a priori dévolue au zen et aux postures acrobatiques mais peu érotiques.

Cependant, Suzanne manifestait encore une certaine prudence. Elle voulait voir à qui elle allait confier son corps avant de s'engager. Magali lui obtint une séance gratuite d'aquagym pour qu'elle fasse la connaissance de Max et de son assistant, un dénommé Rachid, mince, chevelu et tatoué. Elle se présenta dans un bikini minimaliste censé révéler un physique servi par sa pratique assidue du yoga alors que les autres gymnastes aquatiques venaient toute en maillot une pièce, Magali comprise. Suzanne vit dans le regard égrillard du moniteur que l'examen était positif et elle-même le trouva séduisant avec son ventre plat et ses pectoraux saillants, sans parler de son slip de bain marqué par une prometteuse excroissance à l'avant et deux mignonnes petites fesses à l'arrière. Quant à l'assistant, Suzanne le ressentit comme une bête de sexe, à défaut d'être aussi séduisant que son patron. Magali fut informée que la salle de yoga leur serait ouverte.

Tout commença un soir par un apéritif très conventionnel, si ce n'est que Suzanne avait besoin d'un peu d'alcool pour se désinhiber. Les deux hommes picolèrent aussi et quand tout le monde fut bien chaud, il fallut passer par le vestiaire pour se déshabiller entièrement. Max et Rachid se marraient franchement devant cette procédure inhabituelle et la découverte de la salle de yoga, où avaient été déposés à l'avance des tapis de mousse recouverts de serviettes de toilette, leur firent comprendre que ces deux sexagénaires avaient bien monté leur coup. Toutefois, les ébats ne commencèrent pas par le "ooom" traditionnel inaugurant les séances de yoga mais par deux pipes voraces, Magali se consacrant à Rachid et Suzanne à Max.

La suite ne fut qu'une suite de postures ayant peu à voir avec celles ayant cours dans ces lieux. Les tapis de mousse offraient des appuis parfaits pour les deux baiseurs. Ils se dépensèrent sans compter pour satisfaire leur partenaire qui elles-mêmes leur renvoyaient la balle avec la même ardeur, histoire de leur montrer que leur tempérament n'était pas affecté par leur âge. Magali découvrit son amie dans le sexe et réciproquement, s'encourageant mutuellement, se déclarant leur plaisir, se suggérant des positions, manifestant une crudité qui enchantait leurs chevaliers servants au point qu'ils s'échangeaient leur partenaire avec le souci de durer pour profiter le plus longtemps possible de ces deux vicelardes.

Le point d'orgue fut atteint quand Suzanne se suspendit à un des espaliers conçus pour les postures de yoga. Max la prit debout, par en-dessous, ses bras logés au creux des jambes de Suzanne dont le corps devenait fougueusement fouillé par le maitre nageur parce qu'en suspension sur sa bite dressée, tel un axe de chair. Se servant de l'accrochage de ses mains, elle virevoltait en couinant, les jambes bien maintenues, copieusement empalée, cherchant à se faire raboter la chatte tandis que, subjugué, Max lui léchait les seins en lui laissant faire le boulot. Il n'avait jamais baisé de cette manière et c'était sacrément jouissif. Et il se moquait bien à l'instant présent que cette prof de yoga ait dix ans de plus que lui.

Les exclamations de plaisir de son amie incita aussitôt Magali à l'imiter sur l'espalier voisin. Maintenue en équilibre par la queue puissante de Rachid, écartelée par les bras du chevelu, pénétrée au plus profond d'elle-même, se servant elle aussi de ses appuis pour aller chercher la bite, elle connut un de ses orgasmes les plus violents de sa vie sexuelle si bien que l'assistant, très excité par la posture, éjacula dans sa capote. Anéantie de plaisir, Magali sortit de l'espalier en titubant, s'allongea sur les tapis, observant Suzanne en train de prendre son pied à son tour, et comprenant pourquoi elle tenait tant à ce que ce plan à quatre se déroulât dans ces lieux. L'espalier avait remplacé la sodomie comme bouquet final mais personne ne s'en plaignit.

Comblés et repus, tous les quatre gagnèrent la douche du local et les deux sexagénaires reçurent les hommages cette fois verbaux des deux hommes, qui les gratifièrent de "coups en or". Cela rappela à Magali les commentaires des deux marins corses envers elle et Sandrine. Comme quoi elle n'était encore pas bonne à prendre sa retraite du cul. C'était rassurant.
Puis Suzanne lui raconta plus tard comment elle en était venue à l'expérience de l'espalier. "Quand j'étais jeune fille et déjà pratiquante du yoga, j'étais revenue après une séance dans les vestiaire pour récupérer quelque chose que j'avais oublié. C'est alors que j'ai découvert ma prof en train de se faire prendre sur l'espalier par un de ses élèves mâles qui était resté sur place. Et figure-toi que c'était mon petit ami de l'époque. J'ai d'abord été horrifiée, cela s'est traduit évidemment par une rupture mais quand j'ai eu ma salle, je n'ai pas pu m'empêcher de connaitre à mon tour cette expérience et j'ai pris un pied énorme avec un de mes élèves, vraiment beau mec. Et j'ai continué."
Devant ces révélations, Magali ne se gêna pas pour lui répondre qu'elle lui avait bien caché son jeu jusqu'à présent. Désormais, lui dit-elle, "je sais comment tu baises". C'était manière de dire que leur intimité s'était renforcée. Et tout portait à croire que ce n'était qu'un début.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Micky,
Très belle démonstration du fait qu'il n'y a pas d'âge limite pour "baiser". Magali en est le parfait exemple.
Didier

Magali et son amie ont bien fait de ne pas laisser passer cette belle occasion!



Texte coquin : Aquagym, croisière, yoga et galipettes
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