Art et magie de la cuisine

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Art et magie de la cuisine
Par ces fortes chaleurs, Caroline ne supportait plus ses vêtements, a fortiori ses sous-vêtements. Désormais libérée de la présence des deux enfants partis étudier à l'université, elle vaquait en tenue d'Eve dans ses obligations domestiques diverses et variées avant de rejoindre son mari Fabrice pour les nécessités de leur ferme bio, cette fois revêtue simplement d'une robe légère, ou d'un short accompagné d'un débardeur. Elle aimait sentir ses seins lourds en liberté sous la toile fine, son sexe sans l'entrave d'un slip et ses fesses vibrer en marchant. Pour aller aux toilettes, c'était rapide et pratique. Pulpeuse et grisonnante, Caroline assumait son demi-siècle récent sans tricher, laissant la nature prendre possession de son corps qui, du reste, ne s'en portait pas plus mal.
Fabrice se levait tôt, avant elle, et il avait l'habitude de la rejoindre pour une collation avant de repartir au boulot, cette fois avec elle une fois qu'elle eut satisfait à ses travaux de maison. Ce jour là, comme à l'habitude, Caroline lui préparait son café et lui faisait griller quelques tartines tout en devisant sur les cultures en cours et sur la vente dont elle devait assumer la responsabilité à domicile à jours fixes. Fabrice la regardait évoluer, toujours active et dynamique, son ample chevelure grisonnante suivant les mouvements de son corps. Son esprit commençait à vagabonder. Certes, il avait l'habitude de la voir nue mais allez savoir pourquoi, en ce matin d'été déjà chaud, il vit un peu plus que l'épouse modèle dans son état naturel qu'il connaissait sous tous les angles. Ses seins lourds faisaient flic flac floc sur son torse menu quand elle déambulait dans la cuisine. Quand elle se pencha un court moment en avant, elle découvrit son joli petit anus rose surgi entre ses deux fesses charnues. Son pubis épais semblait lui faire la nique. Il se mit à bander sous son short.
Tandis qu'elle s'affairait à l'évier pour laver sa tasse de café vide, il s'approcha, se colla à elle et empauma ses seins en les soupesant, suscitant la vive réaction de Caroline :
- Arrête. On n'a pas le temps. On est déjà en retard et je te rappelle que je vends ce soir.
- Sens ma queue comme elle est raide. Je vais te baiser.
- Chéri, s'il te plait, attends ce soir, je te promets que je te ferai plaisir, dit-elle en minaudant, sans repousser sa pression de plus en plus insistante sur ses fesses.
- Non. Tout de suite. Je vais te baiser et tu le sais.
Fabrice ne prenait pas le risque de se faire rembarrer. Il connaissait trop sa femme. Après 25 ans de mariage, elle aimait toujours autant sa queue, longue et épaisse. Ses réticences affichées étaient affectées. Ils étaient bien d'accord pour se dire qu'ils avaient passé l'âge de "faire l'amour". Désormais, ils baisaient et de moins en moins au lit parce qu'ils aimaient le piment et la variété. Il la prenait dans la grange, sous un arbre et maintenant il allait la baiser dans la cuisine. Quand il la souleva avec l'aisance de sa forte musculature, il la fit asseoir sur le plan de travail entre l'évier et la gazinière où elle posa ses pieds en gloussant, ouvrant un compas très large, offrant sa vulve poilue à sa langue impatiente. Elle n'avait naturellement opposé aucune résistance. Au contraire, elle souriait, comme sourit une femme qui sait qu'elle va baiser tout en faisant semblant de s'incliner. Elle pencha la tête en avant, vit la queue dressée qui allait bientôt s'enfoncer en elle et lui donner du plaisir. Elle se réjouissait in petto qu'à 50 ans, son mari fût resté aussi viril et ait toujours envie d'elle.
Il tira une chaise et entreprit son cuni, main de Caroline sur la nuque. Il savait qu'elle savait qu'il allait la baiser dès qu'il s'était collé à elle près de l'évier. Elle ne disait jamais non. Surtout depuis qu'elle n'avait plus ses règles, "la bénédiction de la cinquantaine", disait-elle. Du reste, ils n'avaient jamais autant baisé que depuis qu'elle n'avait plus ses saignements, démentant ainsi les stéréotypes selon lesquels la libido s'éteint peu à peu avec l'âge et la conjugalité. Caroline avait fichu en l'air les rares tabous de sa jeunesse, elle "faisait tout" et Fabrice s'en régalait. Il se sentait en pleine forme. Il allait la faire grimper aux rideaux de sa cuisine. Ils allaient "cochonner", comme ils se le disaient en riant.
Pour l'heure, il la dégustait d'une langue agile et précise, titillant le clitoris, fouillant le déduit, attendant sans impatience le moment où elle dirait "viens, j'en peux plus". Car si elle adorait cette entrée en matière, comme d'ailleurs lui sucer la queue et s'en mettre plein la bouche quand c'était son tour de prendre l'initiative, l'introduction de sa grosse bite dans sa vulve trempée constituait le vrai début de son extase. Un "ouiiii" sonore marquait la phase suivante de leur accouplement, qu'il se déroule dans un petit bois voisin de leur ferme ou même dans leur camionnette à la suite d'un marché après avoir poussé les cageots. Et après que la clientèle eut bien maté ses nichons aux trois quarts découverts pendant qu'elle la servait, ce qui avait le don de mettre la trique dans le pantalon de Fabrice. "Ah ils rêvent de te baiser tous ces mecs hein ? Eh bien c'est moi qui te baises ! " s'exclamait-il entre les cageots de légumes non vendus, poussant l'excitation de Caroline à son paroxysme car rien ne la stimulait plus que les mots crus de son mari-amant pendant qu'il la fouillait de toute son épaisse longueur. Que ce soit dans leur camionnette ou n'importe où ailleurs.
"Viens, j'en peux plus" lui souffla-t-elle après s'être raidie sous la langue, en proie à un mini orgasme qui préludait à un gros. Il se releva, positionna son gland sur sa vulve béante entre ses petites cuisses grandes ouvertes, un pied sur la gazinière, un autre sur l'évier, et la pénétra debout d'une seule poussée rectiligne, jusqu'au pubis. "Ouiiiiii !" lui jeta-t-elle, la tête rejetée en arrière. Dans cette posture, elle ne pouvait pas beaucoup remuer son cul, ce serait pour plus tard. En revanche, il pouvait aller loin, très loin grâce à ses bons appuis. Ses puissants coups de queue agitèrent ses seins pendants, rejetés sur les côtés de son buste, qu'il soupesait tout en limant. Elle agitait sa tête de droite à gauche en se mordant les lèvres entre deux cris de plaisir, son épaisse crinière grisonnante rendue un peu folle.
- Tu te sens baisée, là ? lui souffla-t-il.
- Oh oui oh oui c'est booon, continuuuue !
Le nez entre ses nichons, il ramonait en maitrisant ses coups de boutoir pour ne pas gicler prématurément, guettant son orgasme que cette position intense ne manquerait pas de provoquer. Un cri de gorge l'alerta en même temps que ses deux pieds quittaient leur écartement pour lui talonner les fesses, comme pour accentuer sa pénétration et le faire aller encore plus loin. Tout son corps frémissait. Elle avait joui. Mais pas lui et c'était l'essentiel.
Elle descendit un peu laborieusement de son perchoir, les fesses un peu rouges, aidée par Fabrice dont la queue était toujours verticale.
- Oh, tu as toujours envie, c'est super ! Tu es en pleine forme ce matin, chéri, gloussa-t-elle.
C'était le signe qu'elle était toujours disponible, en désir de sa bite, et ça le flatta. A dire vrai, c'est plutôt lui qui rendait les armes le premier en général. Une fois lancée, Caroline était insatiable et il s'était senti un peu coupable parfois d'avoir éjaculé prématurément. Cette fois, il assurerait.
- Couche-toi par terre, c'est moi qui vais te baiser, dit-elle, résolue.
Une fois qu'elle se fut empalée sur lui, elle lui offrit le spectacle ravissant de son corps en mouvement, ses seins, son nombril, son pubis, sa belle crinière grise de femme mûre, le spectacle d'une femme qui baise, le corps rejeté en arrière en arc de cercle ou penché en avant pour lui mettre ses nichons dans la figure. Dans cette position, il savait pouvoir durer et elle le savait aussi. Aussi se gava-t-elle de sa queue à grands coups de fesses, tantôt à genoux, tantôt sur ses pieds posés sur le carrelage de la cuisine. La seule inquiétude qu'ils eurent alors fut l'arrivée impromptue d'un visiteur, facteur ou livreur, qui interromprait ce coït passionnant.
Puis elle se détacha et le considéra assise par terre.
- Tu me sers magnifiquement et je vais te faire un beau cadeau, lui susurra-t-elle, mutine.
Elle courut vers le réfrigérateur et en sortit une plaquette de beurre. Fabrice comprit illico. Caroline voulait qu'il l'encule. C'était ça son cadeau. Elle le regarda d'un air mutin en s'enduisant l'anus du produit laitier mais Fabrice n'était pas dupe. Même si la sodomie ne faisait pas partie systématiquement de leurs ébats, c'était une de leurs fantaisies érotiques depuis quelques années lorsqu'ils s'étaient mis vraiment à baiser. Caroline avait fini par y prendre goût après avoir vu des femmes jouir de leur anus en regardant avec Fabrice des vidéo pornos sur leur canapé avant de copuler eux-mêmes un oeil sur l'écran comme s'ils participaient à un plan à quatre. Une expérience échangiste qu'ils n'avaient jamais connue malgré quelques tentations parfois. Mais le duo les satisfaisait largement. Ses préventions de jeune femme sur le sexe anal avaient disparu avec la maturité cochonne. Ce cadeau, elle se l'adressait aussi à elle-même. Elle avait bel et bien envie de se faire enculer. De sentir son sperme jaillir dans son rectum. Et si elle s'était penchée en avant pendant qu'il prenait son en-cas, ouvrant à son regard son anneau intime entre ses fesses dodues, c'était sans doute parce qu'elle avait déjà une idée derrière la tête. Sacrée Caroline ! L'érotisme sur pattes !
Elle se mit à quatre patte sur une chaise. Ils avaient commencé à baiser dans la cuisine, ils finiraient au même endroit. Il poursuivit le graissage beurré d'un doigt fureteur, élargissant le petit trou pour rendre l'introduction la moins douloureuse possible. Elle creusait les reins, en attente, la crinière pendant de chaque côté de son visage.
- Allez, mets-la moi, je suis prête, lui souffla-t-elle en tournant son visage vers lui.
Il s'enfonça à nouveau debout, solide sur ses pieds, en trois petits coups, mais entièrement, et la peau de son ventre claqua sur ses fesses. Afin de montrer son adhésion, elle poussa le vice jusqu'à glisser une main sous elle à la recherche de ses couilles en train de balloter, et les pressa délicatement. Il regretta de ne pas avoir un miroir en face d'elle pour voir ses gros nichons balloter sous ses assauts, il trouvait ça très jouissif, mais son imagination fit le travail. Il se sentait dur, puissant, ce que confirmait les exclamations de Caroline et son extase, démenti à la frilosité des femmes envers la pénétration anale. Même si elle avait dû attendre la maturité pour jouir de son cul. Tout en ondulant, elle se frottait la chatte pour accentuer son excitation. Sa chevelure grisonnante s'agitait en tous sens.
Elle tourna vers lui un visage irradié par le plaisir et lui dit en gémissant :
- Ne te retiens pas surtout. Baise-moi à fond et jouis, jouis, jouiiiiis !
C'était elle qui jouissait en tortillant du croupion, et il l'accompagna de furieuses ruées qui lui déchirèrent les reins d'une giclée trop longtemps contenue. Il la fit descendre de la chaise et s'aplatirent ensemble à même le sol, elle cuisses en V, lui asséché collé à son dos, le museau contre son cou. Puis ils basculèrent sur le dos en riant et elle se précipita vers les toilettes où il l'entendit lâcher un pet sonore consécutif à sa visite approfondie. Ils avaient vraiment cochonné dans la cuisine !
Ils avaient bien baisé, une fois de plus, mais le travail les attendait. Elle revêtit une robe très décolletée à même la peau, lui arrivant à mi-cuisse, à tel point qu'il se demanda si elle était réellement satisfaite et si elle n'espérait pas qu'il la baise une autre fois dans la journée, à la hussarde, comme elle l'adorait. Mais il se sentait vidé de sa semence. Il n'avait quand même plus vingt ans. Si elle lui montrait qu'elle avait encore envie, il lui faudrait quand même trouver des ressources. L'été, elle était tellement sexuelle qu'il craignait qu'elle ne cède à une pulsion irraisonnée au profit d'un de leurs clients dragueurs, même s'il n'avait jamais subodoré la moindre infidélité à son égard. Mais ce doute le rendait viril et amoureux. Tout compte fait, en la voyant évoluer avec ses fesses copieuses vibrant sous la robe légère, il se dit qu'il trouverait bien de l'énergie pour remettre le couvert avant la fin de la journée. Elle se tourna vers lui avec un sourire mutin, chargé de promesses.
Fabrice se levait tôt, avant elle, et il avait l'habitude de la rejoindre pour une collation avant de repartir au boulot, cette fois avec elle une fois qu'elle eut satisfait à ses travaux de maison. Ce jour là, comme à l'habitude, Caroline lui préparait son café et lui faisait griller quelques tartines tout en devisant sur les cultures en cours et sur la vente dont elle devait assumer la responsabilité à domicile à jours fixes. Fabrice la regardait évoluer, toujours active et dynamique, son ample chevelure grisonnante suivant les mouvements de son corps. Son esprit commençait à vagabonder. Certes, il avait l'habitude de la voir nue mais allez savoir pourquoi, en ce matin d'été déjà chaud, il vit un peu plus que l'épouse modèle dans son état naturel qu'il connaissait sous tous les angles. Ses seins lourds faisaient flic flac floc sur son torse menu quand elle déambulait dans la cuisine. Quand elle se pencha un court moment en avant, elle découvrit son joli petit anus rose surgi entre ses deux fesses charnues. Son pubis épais semblait lui faire la nique. Il se mit à bander sous son short.
Tandis qu'elle s'affairait à l'évier pour laver sa tasse de café vide, il s'approcha, se colla à elle et empauma ses seins en les soupesant, suscitant la vive réaction de Caroline :
- Arrête. On n'a pas le temps. On est déjà en retard et je te rappelle que je vends ce soir.
- Sens ma queue comme elle est raide. Je vais te baiser.
- Chéri, s'il te plait, attends ce soir, je te promets que je te ferai plaisir, dit-elle en minaudant, sans repousser sa pression de plus en plus insistante sur ses fesses.
- Non. Tout de suite. Je vais te baiser et tu le sais.
Fabrice ne prenait pas le risque de se faire rembarrer. Il connaissait trop sa femme. Après 25 ans de mariage, elle aimait toujours autant sa queue, longue et épaisse. Ses réticences affichées étaient affectées. Ils étaient bien d'accord pour se dire qu'ils avaient passé l'âge de "faire l'amour". Désormais, ils baisaient et de moins en moins au lit parce qu'ils aimaient le piment et la variété. Il la prenait dans la grange, sous un arbre et maintenant il allait la baiser dans la cuisine. Quand il la souleva avec l'aisance de sa forte musculature, il la fit asseoir sur le plan de travail entre l'évier et la gazinière où elle posa ses pieds en gloussant, ouvrant un compas très large, offrant sa vulve poilue à sa langue impatiente. Elle n'avait naturellement opposé aucune résistance. Au contraire, elle souriait, comme sourit une femme qui sait qu'elle va baiser tout en faisant semblant de s'incliner. Elle pencha la tête en avant, vit la queue dressée qui allait bientôt s'enfoncer en elle et lui donner du plaisir. Elle se réjouissait in petto qu'à 50 ans, son mari fût resté aussi viril et ait toujours envie d'elle.
Il tira une chaise et entreprit son cuni, main de Caroline sur la nuque. Il savait qu'elle savait qu'il allait la baiser dès qu'il s'était collé à elle près de l'évier. Elle ne disait jamais non. Surtout depuis qu'elle n'avait plus ses règles, "la bénédiction de la cinquantaine", disait-elle. Du reste, ils n'avaient jamais autant baisé que depuis qu'elle n'avait plus ses saignements, démentant ainsi les stéréotypes selon lesquels la libido s'éteint peu à peu avec l'âge et la conjugalité. Caroline avait fichu en l'air les rares tabous de sa jeunesse, elle "faisait tout" et Fabrice s'en régalait. Il se sentait en pleine forme. Il allait la faire grimper aux rideaux de sa cuisine. Ils allaient "cochonner", comme ils se le disaient en riant.
Pour l'heure, il la dégustait d'une langue agile et précise, titillant le clitoris, fouillant le déduit, attendant sans impatience le moment où elle dirait "viens, j'en peux plus". Car si elle adorait cette entrée en matière, comme d'ailleurs lui sucer la queue et s'en mettre plein la bouche quand c'était son tour de prendre l'initiative, l'introduction de sa grosse bite dans sa vulve trempée constituait le vrai début de son extase. Un "ouiiii" sonore marquait la phase suivante de leur accouplement, qu'il se déroule dans un petit bois voisin de leur ferme ou même dans leur camionnette à la suite d'un marché après avoir poussé les cageots. Et après que la clientèle eut bien maté ses nichons aux trois quarts découverts pendant qu'elle la servait, ce qui avait le don de mettre la trique dans le pantalon de Fabrice. "Ah ils rêvent de te baiser tous ces mecs hein ? Eh bien c'est moi qui te baises ! " s'exclamait-il entre les cageots de légumes non vendus, poussant l'excitation de Caroline à son paroxysme car rien ne la stimulait plus que les mots crus de son mari-amant pendant qu'il la fouillait de toute son épaisse longueur. Que ce soit dans leur camionnette ou n'importe où ailleurs.
"Viens, j'en peux plus" lui souffla-t-elle après s'être raidie sous la langue, en proie à un mini orgasme qui préludait à un gros. Il se releva, positionna son gland sur sa vulve béante entre ses petites cuisses grandes ouvertes, un pied sur la gazinière, un autre sur l'évier, et la pénétra debout d'une seule poussée rectiligne, jusqu'au pubis. "Ouiiiiii !" lui jeta-t-elle, la tête rejetée en arrière. Dans cette posture, elle ne pouvait pas beaucoup remuer son cul, ce serait pour plus tard. En revanche, il pouvait aller loin, très loin grâce à ses bons appuis. Ses puissants coups de queue agitèrent ses seins pendants, rejetés sur les côtés de son buste, qu'il soupesait tout en limant. Elle agitait sa tête de droite à gauche en se mordant les lèvres entre deux cris de plaisir, son épaisse crinière grisonnante rendue un peu folle.
- Tu te sens baisée, là ? lui souffla-t-il.
- Oh oui oh oui c'est booon, continuuuue !
Le nez entre ses nichons, il ramonait en maitrisant ses coups de boutoir pour ne pas gicler prématurément, guettant son orgasme que cette position intense ne manquerait pas de provoquer. Un cri de gorge l'alerta en même temps que ses deux pieds quittaient leur écartement pour lui talonner les fesses, comme pour accentuer sa pénétration et le faire aller encore plus loin. Tout son corps frémissait. Elle avait joui. Mais pas lui et c'était l'essentiel.
Elle descendit un peu laborieusement de son perchoir, les fesses un peu rouges, aidée par Fabrice dont la queue était toujours verticale.
- Oh, tu as toujours envie, c'est super ! Tu es en pleine forme ce matin, chéri, gloussa-t-elle.
C'était le signe qu'elle était toujours disponible, en désir de sa bite, et ça le flatta. A dire vrai, c'est plutôt lui qui rendait les armes le premier en général. Une fois lancée, Caroline était insatiable et il s'était senti un peu coupable parfois d'avoir éjaculé prématurément. Cette fois, il assurerait.
- Couche-toi par terre, c'est moi qui vais te baiser, dit-elle, résolue.
Une fois qu'elle se fut empalée sur lui, elle lui offrit le spectacle ravissant de son corps en mouvement, ses seins, son nombril, son pubis, sa belle crinière grise de femme mûre, le spectacle d'une femme qui baise, le corps rejeté en arrière en arc de cercle ou penché en avant pour lui mettre ses nichons dans la figure. Dans cette position, il savait pouvoir durer et elle le savait aussi. Aussi se gava-t-elle de sa queue à grands coups de fesses, tantôt à genoux, tantôt sur ses pieds posés sur le carrelage de la cuisine. La seule inquiétude qu'ils eurent alors fut l'arrivée impromptue d'un visiteur, facteur ou livreur, qui interromprait ce coït passionnant.
Puis elle se détacha et le considéra assise par terre.
- Tu me sers magnifiquement et je vais te faire un beau cadeau, lui susurra-t-elle, mutine.
Elle courut vers le réfrigérateur et en sortit une plaquette de beurre. Fabrice comprit illico. Caroline voulait qu'il l'encule. C'était ça son cadeau. Elle le regarda d'un air mutin en s'enduisant l'anus du produit laitier mais Fabrice n'était pas dupe. Même si la sodomie ne faisait pas partie systématiquement de leurs ébats, c'était une de leurs fantaisies érotiques depuis quelques années lorsqu'ils s'étaient mis vraiment à baiser. Caroline avait fini par y prendre goût après avoir vu des femmes jouir de leur anus en regardant avec Fabrice des vidéo pornos sur leur canapé avant de copuler eux-mêmes un oeil sur l'écran comme s'ils participaient à un plan à quatre. Une expérience échangiste qu'ils n'avaient jamais connue malgré quelques tentations parfois. Mais le duo les satisfaisait largement. Ses préventions de jeune femme sur le sexe anal avaient disparu avec la maturité cochonne. Ce cadeau, elle se l'adressait aussi à elle-même. Elle avait bel et bien envie de se faire enculer. De sentir son sperme jaillir dans son rectum. Et si elle s'était penchée en avant pendant qu'il prenait son en-cas, ouvrant à son regard son anneau intime entre ses fesses dodues, c'était sans doute parce qu'elle avait déjà une idée derrière la tête. Sacrée Caroline ! L'érotisme sur pattes !
Elle se mit à quatre patte sur une chaise. Ils avaient commencé à baiser dans la cuisine, ils finiraient au même endroit. Il poursuivit le graissage beurré d'un doigt fureteur, élargissant le petit trou pour rendre l'introduction la moins douloureuse possible. Elle creusait les reins, en attente, la crinière pendant de chaque côté de son visage.
- Allez, mets-la moi, je suis prête, lui souffla-t-elle en tournant son visage vers lui.
Il s'enfonça à nouveau debout, solide sur ses pieds, en trois petits coups, mais entièrement, et la peau de son ventre claqua sur ses fesses. Afin de montrer son adhésion, elle poussa le vice jusqu'à glisser une main sous elle à la recherche de ses couilles en train de balloter, et les pressa délicatement. Il regretta de ne pas avoir un miroir en face d'elle pour voir ses gros nichons balloter sous ses assauts, il trouvait ça très jouissif, mais son imagination fit le travail. Il se sentait dur, puissant, ce que confirmait les exclamations de Caroline et son extase, démenti à la frilosité des femmes envers la pénétration anale. Même si elle avait dû attendre la maturité pour jouir de son cul. Tout en ondulant, elle se frottait la chatte pour accentuer son excitation. Sa chevelure grisonnante s'agitait en tous sens.
Elle tourna vers lui un visage irradié par le plaisir et lui dit en gémissant :
- Ne te retiens pas surtout. Baise-moi à fond et jouis, jouis, jouiiiiis !
C'était elle qui jouissait en tortillant du croupion, et il l'accompagna de furieuses ruées qui lui déchirèrent les reins d'une giclée trop longtemps contenue. Il la fit descendre de la chaise et s'aplatirent ensemble à même le sol, elle cuisses en V, lui asséché collé à son dos, le museau contre son cou. Puis ils basculèrent sur le dos en riant et elle se précipita vers les toilettes où il l'entendit lâcher un pet sonore consécutif à sa visite approfondie. Ils avaient vraiment cochonné dans la cuisine !
Ils avaient bien baisé, une fois de plus, mais le travail les attendait. Elle revêtit une robe très décolletée à même la peau, lui arrivant à mi-cuisse, à tel point qu'il se demanda si elle était réellement satisfaite et si elle n'espérait pas qu'il la baise une autre fois dans la journée, à la hussarde, comme elle l'adorait. Mais il se sentait vidé de sa semence. Il n'avait quand même plus vingt ans. Si elle lui montrait qu'elle avait encore envie, il lui faudrait quand même trouver des ressources. L'été, elle était tellement sexuelle qu'il craignait qu'elle ne cède à une pulsion irraisonnée au profit d'un de leurs clients dragueurs, même s'il n'avait jamais subodoré la moindre infidélité à son égard. Mais ce doute le rendait viril et amoureux. Tout compte fait, en la voyant évoluer avec ses fesses copieuses vibrant sous la robe légère, il se dit qu'il trouverait bien de l'énergie pour remettre le couvert avant la fin de la journée. Elle se tourna vers lui avec un sourire mutin, chargé de promesses.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Les récits de Micky sont dans la lignée du roman de Stephen Vizinczey, "Éloge des femmes mures" dont j'avais parlé dans une chronique. Micky nous montre que le plaisir, en particulier au sein du couple, ne se termine pas avec l'âge, bien au contraire!
Merci pour ce récit aussi instructif qu'excitant!
Merci pour ce récit aussi instructif qu'excitant!
Micky,
Avec ce nouveau récit très croustillant, vous nous offrez encore là, une magnifique ode à la femme mure, à l'amour et au sexe.
Félicitation et merci une fois encore.
Didier
Avec ce nouveau récit très croustillant, vous nous offrez encore là, une magnifique ode à la femme mure, à l'amour et au sexe.
Félicitation et merci une fois encore.
Didier

