Au nom du Père, ... (4)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Au nom du Père, ... (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Au nom du Père, ... (4)
Chapitre 4

Je m’allonge à mon tour et il me prend dans ses bras pour m’embrasser. Nous nous caressons mutuellement. Il vient s’allonger sur moi et je passe mes jambes autour de sa taille. Il me regarde et je sens sa queue déjà gonfler contre mes fesses. Il commence à faire des petits à-coups et son gland comme à rentrer puis sa queue glisse en moi une fois de plus mais cette fois-ci je ne me retiens pas de gémir ce qui le fait sourire en me disant que cette fois je peux me lâcher. Je mets mes mains sur ses fesses pour lui montrer qu’il peut y aller bien fort ce qu’il fait. Il me pilonne comme un fou et je crie de plus en plus fort. Il n’a pas mis longtemps à jouir en moi. Il m’a quand même baisé trois fois depuis le milieu d’après-midi. Il reste encore un peu en moi puis s’écroule de fatigue sur moi. Il me tourne sur le côté et me prends dans ses bras en me faisant des baisers tendres dans le cou et ne met pas longtemps à s’endormir. Et de mon côté, j’ai trop bu, je suis fatigué et je m’endors également.

Lorsque je me réveille, je regarde à côté de moi mais personne. Je regarde mon téléphone et il est 11h30. Je me lève avec un mal de crâne abominable et je trouve la cuisine. Sur la table, se trouve un cachet pour la tête et un petit mot : « Bonjour mon Beau. J’espère que tu as bien dormi ? Je t’ai préparé un cachet d’aspirine au cas où et fais comme chez toi. Le café est tout prêt si tu en veux. Je suis de retour vers 12h30. Bisous mon Beau et à tout à l’heure. » Je souris et prends mon cachet puis me sers en café. 1h à attendre.

Je vais à la salle de bain et qu’il est mignon, il est mignon, il m’a aussi préparé des affaires pour me laver et m’a même préparé une brosse à dents. Je prends ma douche, vais faire le lit et je m’installe tranquillement sur le canapé où je me rendors.
Je suis réveillé par un baiser sur le front et en ouvrant les yeux, je vois Simon me regarder avec des plats chinois dans un sac plastique.
-J’espère que tu aimes manger Chinois ?
-Oui, j’adore ça à vrai dire.

Il pose le sac sur la petite table et vient ensuite s’asseoir à côté de moi pour m’embrasser. Je reste un moment blotti dans ses bras et il me dit qu’il faut manger tant que c’est chaud. Ce que nous faisons puis il débarrasse. Il est assis au bout du canapé et moi je m’allonge sur ses genoux. Il commence par me caresser la tête puis le visage. Ses mains sont douces et j’ai l’impression d’être sur un petit nuage. L’après-midi se passe plutôt calmement. Je décide pour la soirée de rentrer chez moi car je n’ai pas d’affaire de rechange mais il me dit de revenir pour passer encore la nuit avec lui.

Cela fait maintenant, deux mois que nous sommes ensemble. Oui ensemble mais en cachette car personne ne doit le savoir. Seule ma sœur est au courant mais elle ne me pose aucune question. Devinez quoi, chaque dimanche, je vais à la messe et toute ma famille se demande ce qui se passe dans ma tête car je suis toujours dans les premiers rangs.
Un dimanche durant la messe, je trouve Simon mal à l’aise pas enjoué comme à son habitude. Je trouve cela étrange et j’attends un peu à la fin de la messe pour le rejoindre dans la Sacristie. Il m’ouvre la porte et me regarde mais n’ose pas parler. Je rentre et lui demande ce qui ne va pas. Il ne répond toujours pas. Il sort un bout de papier de sa poche et me le donne. Je le lis et je reste sans voix.
« Bonjour Père Simon.
Je suis une fidèle de votre paroisse et je suis scandalisée par ce que je viens de découvrir. Je trouve cela honteux de votre part. Comment peut-on être prêtre et fréquenter un homosexuel ? Vous devriez avoir honte. Je vous laisse donc le choix : soit vous arrêtez tout ceci car c’est un péché ou soit je serai contrainte d’en référer à l’Evêque. Il ne faut peut-être pas en arriver là mais j’en suis capable.
Bien à vous.
Une paroissienne »

-Non, mais c’est une blague ? Tu comptes faire quelque chose ?
-Je, euh, oui je suis désolé.
-Tu es désolé de quoi ?
-Je, je suis désolé mais il faut qu’on arrête de se voir. Je ne peux pas me permettre de perdre ce que j’ai !
-Et nous dans tout ça, tu préfères me perdre que de faire ce que cette mégère te dit ?
-Tu te rends compte de tout ce qui peut m’arriver si nous deux on continue ?
-Mais, je ne compte pas pour toi ?
-Tu sais très bien que si. Mais il faut que nous fassions une pause que tout se calme.
-Et si je ne veux pas ?
-tu n’auras pas le choix. J’ai pris ma décision à contre cœur.

Il me prend la main, me regarde avec une larme à l’œil et me demande de partir. Je pleure aussi de mon côté et m’en vais en claquant la porte.
Je reste plusieurs jours chez moi à ne pas en sortir. Je ne veux voir personne. J’ai beau lui envoyer des messages mais je n’ai aucune réponse. Je ne vais plus à l’église car si je le revois, je vais m’effondrer.
Les mois passent et je ne pense qu’à lui. J’ai retrouvé un boulot dans le département d’à côté dans un camping assez connu. Un soir, j’en avais marre de ne penser qu’à lui alors, j’ai bu un peu trop. Je suis allé sur l’application jaune et noir et je me suis mis en recherche d’un actif bien monté pour qu’il me baise. On discute un peu, je ne veux rien savoir de lui mais je ne lui demande qu’une seule chose : qu’il vienne en costume de curé. Il me dit ne pas avoir ce genre de truc chez lui mais je lui explique que ce n’est pas grave car dans les costumes du camping, nous avons ce qu’il faut. Je lui dis que lorsqu’il arrivera, je lui donnerai le costume a enfiler sans rien en dessous, qu’en attendant je l’attendrai nu dans la chambre et qu’il n’aura plus qu’à me baiser. Le rendez-vous est pris et il doit arriver dans une heure dans mon bungalow. J’ai de la chance je suis un peu excentré des autres donc je serai tranquille.
Une heure plus tard, on frappe à la porte et je le fais rentrer. Je n’avais pas encore vu son visage mais il est pas mal. Il est grand, 1m90 environ, plutôt bien foutu, blond aux yeux bleus. Je ne lui parle pas, lui donne le costume et lui montre la salle de bain. Je me déshabille et l’attends à quatre pattes sur le lit. Il sort de la salle de bain, me retrouve dans la chambre, soulève un peu sa soutane pour se branler en me titillant le cul avec ses doigts. Une fois qu’il bande bien, il pose son gland sur mon petit trou et m’encule d’un coup sec et se met à me pilonner comme un bourrin sans ménagement en me traitant de petite salope, que j’ai été un vilain enfant de cœur et que je reçois une bonne correction. Il retire sa queue qui est grosse en taille et me fouette légèrement avec le chevalet que je lui ai donné juste avant. Il va s’asseoir sur la banquette et me dis :
-Viens t’asseoir sur les genoux de ton curé vilain garçon.

Je me mets dos à lui et m’assois directement sur son gros cierge et je commence à onduler du cul et faire des allers retours dessus. Au bout de dix minutes, je l’ai fait s’allonger sur le dos sur le lit et je suis revenu m’asseoir dessus. Il a levé les jambes et a commencé à me défoncer littéralement. Je n’étais plus qu’un trou pour lui et c’est tout ce que je demandais à ce mec. Il m’a pilonné quelques minutes et m’a soulevé d’un coup et m’a mis à quatre pattes pour m’enculer d’un coup sec. Ses coups de reins sont de plus en plus violents et de plus en plus rapide. Je cris de plaisir puis il se retire et vient se placer devant moi pour se branler au-dessus de mon visage et d’un coup, il me fait une faciale énorme. J’en ai partout, sur les yeux, le nez, les cheveux, sur la bouche. Ça dégouline de partout. Je suis recouvert de foutre et je kiffe ça. Il me biffle plusieurs fois sur le visage, puis j’ai cru qu’il allait repartir quand il m’a retourné pour remettre sa queue bien au fond de mon cul et me bourriner encore un peu jusqu’à ce qu’il débande. Il se retire enfin, part à la salle de bain, se change et part. Je reste dans la chambre allongé couvert de sperme et je m’endors comme ça comme une grosse merde qui vient de se faire sauter.

Le lendemain matin, on vient frapper à ma porte. Je me réveille la gueule dans le cul. Je me lève et sors juste la tête à travers la porte. C’est ma collègue qui vient me chercher parce que je suis en retard car ils ont essayé de m’appelé toute la matinée mais sans réponse de ma part. Quand elle voit mon visage, elle me dit d’aller me laver et de venir tout de suite. Je ne me souviens pas de ma soirée. J’ai tellement picolé que c’est le trou noir. J’ai mal au crâne et au cul et quand je vais me voir devant le miroir je vois les dégâts. J’ai du sperme séché partout sur le visage. Je prends ma douche et je pars en direction du bureau de la directrice du camping. Arrivé à son bureau, je frappe, je rentre et lui dit qu’après ces deux derniers mois, je décide de tout arrêter. Je suis en profonde déprime et je n’ai plus mon entrain que j’avais avant de rencontrer Simon.
Je rentre au bungalow et fait mes valises et je repars chez moi. En arrivant, je jette mes affaires dans ma chambre je vais me coucher. Je suis fatigué, je n’ai plus le goût de rien.
Le lendemain, nous sommes samedi et comme chaque semaine ma grande sœur m’appelle pour me demander comment je vais. Je lui dis que je suis de retour et me demande de venir à la messe du lendemain. Je refuse et elle me dit que si je ne viens pas, elle viendra me chercher. Je me résigne et lui dit oui.

Dimanche matin, je me prépare, j’essaie de me faire beau mais j’angoisse à l’idée de revoir Simon. J’arrive devant l’église, allume une cigarette et attends ma sœur. Elle arrive me prend dans ses bras et nous rentrons dans l’église et elle décide de se mettre au deuxième rang. La messe commence et Simon est là. Un Simon toujours aussi mais triste. Une demi-heure se passe sans qu’il ne voit ma présence puis je ne sais pas ce qu’il s’est passé, il a tourné la tête et nos regards se sont croisés. Et là, j’ai revu son sourire et je crois que moi aussi j’ai souris à mon tour. A chaque fois qu’il parle, son regard se tourne vers moi. La messe se termine et je sors dehors avec ma sœur. J’allume ma cigarette et elle me dit :
-Depuis que vous n’êtes plus ensemble, il n’a plus été le même à l’église.
-C’est lui qui m’a laissé à cause d’une paroissienne.
-Oui, je sais il m’en a parlé. Mais on a réussi à savoir qui était le corbeau et elle ne l’emmerdera plus. Par contre je ne suis toujours pas d’accord que votre relation mais je sais qu’il t’aime. Va le retrouver.

Je termine donc ma cigarette et attends que les gens partent. Je fais le tour de l’église et j’allais pour frapper et la porte s’ouvre. Simon me regarde, me prend par la main et m’emmène dans le logement d’à côté. Une fois à l’intérieur, il me plaque contre le mur et m’embrasse sans que je ne puisse dire quelque chose. Je réponds à son baiser ; un baiser qui n’en fini pas, un baiser qui s’éternise et que je ne veux pas arrêter. Il commence à retirer mes vêtements et je fais pareil avec les siens. Une fois nu, il m’embrasse à nouveau et me porte, s’assois sur le petit fauteuil, et me fais m’asseoir sur ses genoux. Il me regarde, m’embrasse encore et encore. Ma bouche ne veut plus quitter la sienne. Puis il prend la parole :
-Tu es revenu ? Tu as maigri.
-Oui je sais et oui je suis revenu. Tu me manques.
-Tu me manques encore plus et je suis tellement désolé de t’avoir quitté.
-Tais-toi et embrasses-moi.

Il m’embrasse à nouveau et je sens son érection contre mes fesses. Je me relève et me mets à genoux devant lui. J’attrape sa queue et la prends en bouche sans attendre. Il gémit de plaisir et laisse tomber sa tête en arrière pendant que je commence à le sucer tout doucement. Je passe ma langue sur toute la longueur de sa queue et lui gobe les couilles en caressant son torse avec une de mes mains. Je titille ensuite le bout de son gland et lèche sa mouille qui commence à couler. Puis, je reprends sa queue en bouche et le prends en gorge profonde qui le fait grogner d’un coup.
Je crache ensuite dans ma main et m’étale la salive sur mon trou et viens m’installer directement sur sa queue. Je force un peu mais je le veux tout de suite en moi. Une fois bien au fond de mon cul, je commence à remuer un peu puis je fais des allers retours sur sa bite bien dure. Je le veux en moi, je veux qu’il me remplisse. Je veux être à lui pour toujours.
Je me relève, lui aussi et je me penche sur la table de la kitchenette et il vient remettre sa queue en moi et il commence à me pilonner de plus en plus fort. Il n’a pas mis longtemps pour venir en moi et je ne sais pas combien de jets de sperme il m’a rempli mais il y en avait vraiment beaucoup. Il m’aide à me redresser puis m’embrasse encore comme si c’était notre première fois. Je passe vite fait par la case toilette puis me rhabille ainsi que lui. Il me regarde et me dit :
-Je te laisse mes clés de la maison, j’en ai encore pour une bonne heure ici et je te rejoins rapidement.
-Ok, tu es sûr de toi ?
-Je n’ai jamais été aussi sûr de ma vie.

Je prends ses clés, lui fais un baiser sur les lèvres et part en direction de chez lui. J’arrive chez lui et je me pose sur son canapé sans savoir quoi faire. Le temps est long quand on attend comme ça. Puis au bout d’une heure et quart, la porte s’ouvre et Simon vient vers moi. Il s’assoit à mes côtés et me dit :
-Je ne veux plus te perdre. Je ne veux plus que tu partes. Viens vivre avec moi.
-Je, je ne sais pas quoi te dire. Et si cela recommence ?
-Je ne veux pas te perdre. J’ai le droit d’être homosexuel et prêtre aussi. Il faut juste rester discret. Et maintenant, je m’en fou. Je veux vivre avec toi. Je….
-Tu quoi ?
-Je t’aime. C’est la première fois que je le dis à quelqu’un et j’ai su que je t’aimais le jour où tu es parti.
-Tu peux me le redire, dis-je avec le plus grand des sourires tout en ayant une larme à l’œil.
-JE T’AIME.
-Moi aussi je t’aime et oui à tout. Oui, je veux vivre avec toi et moi non plus je ne veux plus te perdre.

Il s’approche de moi, m’embrasse passionnément. Nous avons fait l’amour toute la nuit.

Cela fait maintenant 3 ans que nous vivons ensemble et malgré certains ragots, notre couple est toujours aussi fort. Je l’aime et c’est tout ce qui compte.

Fin

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle histoire, sensible, crédible et bien écrite.



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