Biographie : Bruno et Virginie (épisode 10)
Récit érotique écrit par Bob-et-Annie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Biographie : Bruno et Virginie (épisode 10)
Ce récit est la suite de l’épisode 9.
Virginie dévorait Bruno des yeux. Sa fellation se faisait beaucoup plus ample et régulière. Gourmande, elle le regardait sans cesse dans les yeux. Elle voulait être désirée ; elle voulait voir quel effet ses caresses faisaient sur lui. Bruno se laissait faire, impassible, enjoué debout droit devant elle quand soudain il la releva et lui demanda de se tourner contre la voiture. Excité, ce dernier posa ses mains sur la taille et sur les hanches de Virginie. Il agrippa sa jupe. Virginie se cambra, appuyée entre la portière ouverte du passager avant et la partie métallique située entre les portes avant gauche et arrière gauche.
- Je vais te pénétrer, lui chuchota Nono.
Virginie était excitée. Les mots de Nono frappaient ses pensées et décuplèrent son désir et ses envies. « Oui, viens », lui dit-elle d’une voix suave. Bruno glissa sa bite dans la chatte de Virginie. La belle le ressentait au plus profond d’elle. Son vagin était rempli du sexe de Nono. Dans cet instant, elle ne pensait plus à Bob ; elle pensait uniquement à elle. Ses mains s’agrippèrent à la carlingue de la voiture pour ne pas glisser. Bruno la pilonna d’avant en arrière par petits à-coups puis soudain il accéléra. On entendit Virginie jouir et pousser de petits cris cadencés par le rythme des coups de butoir de son amant. C’était la deuxième ou troisième fois que Bruno la Baisait ainsi. Ses mouvements de va-et-vient se firent plus nombreux, plus cadencés avant de culbuter Virginie sur le siège avant et de la prendre dans la formidable position de la levrette debout. Les cuisses de Bruno étaient toute luisantes de la mouille de Virginie. La belle mouillait abondamment. Bruno la pilonna d’un rythme effréné. Virginie essaya d’elle-même d’étouffer ses cris en plaçant sa main devant sa bouche. En vain, Bruno la secouait trop. Elle devait s’agripper.
Dans la voiture, Virginie essayait de se tenir à tout ce qu’elle pouvait trouver : le dossier du siège avant, le tableau de bord, la boite à gants. Bruno la pilonna comme s’il n’avait pas baisé depuis plusieurs mois. On voyait la bagnole secouée dans tous les sens. Dans la position où ils étaient, on aurait pu croire qu’il la sodomisait, pour la deuxième ou troisième fois. Bruno se retira soudain de la chatte de Virginie. La belle était toute trempée. Aussi brusquement, il arracha la belle de l’habitacle du véhicule en l’attrapant vigoureusement par les hanches et en tirant vers l’extérieur. Virginie se retrouvait pratiquement nue en dehors de la voiture. Sa minijupe noire était troussée au plus haut de la taille.
Surprise, Virginie ne comprit tout de suite ce qui lui arriva. Tourmentée, elle ne savait où se mettre ni quoi faire, quand tout d’un coup, Bruno sortit une couverture du coffre de l’auto et la posa sur le capot de la bagnole. Sans hésiter Virginie s’y installa face à Bruno qui tenait sa queue de la main droite. La belle souleva au-dessus de ses épaules le haut qu’elle avait mis le matin même pour séduire. Sa poitrine se dévoilait. Virginie gardait son soutif mais Bruno en avait que faire : il souleva Virginie sur le capot de bagnole pour la faire asseoir sur la couverture posée sur le capot. Impudemment, Virginie écarta ses cuisses pour que Bruno la baise sans ménagement. Virginie n’avait plus qu’une envie : recevoir encore en elle cette queue qui la faisait jouir. Bruno s’en saisit et la pénétra profondément. Virginie faillit jouir en endurant la queue de Bruno qui traversait ses chairs et la remplissait au plus profond de la chatte. Virginie n’avait envie que d’une chose : qu’il la baise sans ménagement, sans retenue et profondément. Elle voulait jouir comme jamais elle n’avait connu cela de sa vie. Ses envies devenaient irrésistibles. Elle en oubliait Bob et ne pensait plus qu’à elle-même.
A suivre…
Virginie dévorait Bruno des yeux. Sa fellation se faisait beaucoup plus ample et régulière. Gourmande, elle le regardait sans cesse dans les yeux. Elle voulait être désirée ; elle voulait voir quel effet ses caresses faisaient sur lui. Bruno se laissait faire, impassible, enjoué debout droit devant elle quand soudain il la releva et lui demanda de se tourner contre la voiture. Excité, ce dernier posa ses mains sur la taille et sur les hanches de Virginie. Il agrippa sa jupe. Virginie se cambra, appuyée entre la portière ouverte du passager avant et la partie métallique située entre les portes avant gauche et arrière gauche.
- Je vais te pénétrer, lui chuchota Nono.
Virginie était excitée. Les mots de Nono frappaient ses pensées et décuplèrent son désir et ses envies. « Oui, viens », lui dit-elle d’une voix suave. Bruno glissa sa bite dans la chatte de Virginie. La belle le ressentait au plus profond d’elle. Son vagin était rempli du sexe de Nono. Dans cet instant, elle ne pensait plus à Bob ; elle pensait uniquement à elle. Ses mains s’agrippèrent à la carlingue de la voiture pour ne pas glisser. Bruno la pilonna d’avant en arrière par petits à-coups puis soudain il accéléra. On entendit Virginie jouir et pousser de petits cris cadencés par le rythme des coups de butoir de son amant. C’était la deuxième ou troisième fois que Bruno la Baisait ainsi. Ses mouvements de va-et-vient se firent plus nombreux, plus cadencés avant de culbuter Virginie sur le siège avant et de la prendre dans la formidable position de la levrette debout. Les cuisses de Bruno étaient toute luisantes de la mouille de Virginie. La belle mouillait abondamment. Bruno la pilonna d’un rythme effréné. Virginie essaya d’elle-même d’étouffer ses cris en plaçant sa main devant sa bouche. En vain, Bruno la secouait trop. Elle devait s’agripper.
Dans la voiture, Virginie essayait de se tenir à tout ce qu’elle pouvait trouver : le dossier du siège avant, le tableau de bord, la boite à gants. Bruno la pilonna comme s’il n’avait pas baisé depuis plusieurs mois. On voyait la bagnole secouée dans tous les sens. Dans la position où ils étaient, on aurait pu croire qu’il la sodomisait, pour la deuxième ou troisième fois. Bruno se retira soudain de la chatte de Virginie. La belle était toute trempée. Aussi brusquement, il arracha la belle de l’habitacle du véhicule en l’attrapant vigoureusement par les hanches et en tirant vers l’extérieur. Virginie se retrouvait pratiquement nue en dehors de la voiture. Sa minijupe noire était troussée au plus haut de la taille.
Surprise, Virginie ne comprit tout de suite ce qui lui arriva. Tourmentée, elle ne savait où se mettre ni quoi faire, quand tout d’un coup, Bruno sortit une couverture du coffre de l’auto et la posa sur le capot de la bagnole. Sans hésiter Virginie s’y installa face à Bruno qui tenait sa queue de la main droite. La belle souleva au-dessus de ses épaules le haut qu’elle avait mis le matin même pour séduire. Sa poitrine se dévoilait. Virginie gardait son soutif mais Bruno en avait que faire : il souleva Virginie sur le capot de bagnole pour la faire asseoir sur la couverture posée sur le capot. Impudemment, Virginie écarta ses cuisses pour que Bruno la baise sans ménagement. Virginie n’avait plus qu’une envie : recevoir encore en elle cette queue qui la faisait jouir. Bruno s’en saisit et la pénétra profondément. Virginie faillit jouir en endurant la queue de Bruno qui traversait ses chairs et la remplissait au plus profond de la chatte. Virginie n’avait envie que d’une chose : qu’il la baise sans ménagement, sans retenue et profondément. Elle voulait jouir comme jamais elle n’avait connu cela de sa vie. Ses envies devenaient irrésistibles. Elle en oubliait Bob et ne pensait plus qu’à elle-même.
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ce chapitre confirme. Virginie a totalement cédé à ses pulsions (c'est un constat, non un jugement car je connais pour l'avoir vécu tout ce qu'elle ressent). Bob ne sait rien
