Chambres d'hôtes - histoire érotique

Résumé :
Nono, 35 ans, moniteur d’auto-école, a séduit Virginie 22 ans qui désormais est prête à tout pour le satisfaire. Durant leur relation qui dura près de quatre mois, Bruno (Nono est un diminutif) l’invita pour la récompenser à passer une nuit dans une chambre d’hôtes cosy de la région. Après une courte réflexion, Virginie accepta l’invitation sans en donner un seul mot à Bob, son compagnon qui une fois encore apprit le fin mot de cette histoire que bien plus tard. Une nouvelle expérience allait s’ouvrir à elle…


Récit :
Bruno est un homme de 35 ans. Il est moniteur d’auto-école. Il donne des cours de conduite à Virginie depuis quelques semaines. Virginie est une jolie jeune fille de 22 ans. Elle est en couple avec Bob depuis cinq ans. Avant cela, elle n’a jamais trompé Bob. Enfin, c’est ce que lui pense.

Dans la voiture, Virginie est séduite par les petites attentions de Bruno. Ce dernier, voyant que la jeune fille ne resta pas totalement insensible à ses charmes, décida d’aller plus loin avec elle. Très vite, après trois leçons de conduite, dans la voiture, sur un parking en bordure d’un bois et à la sortie d’un village, il la sauta, la sodomisa et lui fit découvrir les plaisirs insoupçonnés de la pénétration anale. C’est la première fois que Virginie trompa Bob. Bob ne l’apprendra que bien plus tard.

Il en fut ainsi pendant plusieurs semaines : fellations, sodomies, pénétrations vaginales. Tout y passa, dans la voiture ou à l’extérieur sur le parking. Virginie était sous le charme de Bruno bien décidé à s’amuser avec elle. Il y avait en elle comme un syndrome de Stockholm.

Un soir, Bruno invita la belle à passer une nuit avec lui dans une jolie demeure de la région parisienne, une chambre d’hôtes cosy près de Fontainebleau. Le lendemain, le couple visita le château avec balade en calèche. Le vrai romantisme.

Dans sa décision, Virginie se préoccupa de trouver une excuse pour Bob. Elle prétexta une indisponibilité liée à ses obligations professionnelles. Bob ne se douta de rien, Virginie et lui ne se voyaient d’ailleurs pas tous les week-ends.

Le jour venu, Virginie embarqua dans la voiture de Bruno sur les coups de 15 heures. Bruno était parti chercher Virginie en voiture chez elle. La Belle lui demanda de se garer 100 mètres plus loin, pour plus de discrétions à l’égard de Bob et des voisins qui pourraient jaser sur le sort et les mœurs de son couple.

La chambre d’hôtes était à une heure de route de Paris. Arrivée devant la demeure, Virginie se demanda encore si elle eut raison d’accepter ce rendez-vous. Son cœur était en permanence tiraillé entre son amour pour Bob, et son désir inassouvi d’être libre, séduite et courtisée par la gent masculine.

La chambre d’hôtes était une grande maison de charme construite en pierres de pays. C’était une de ses villas du bord de Seine, construites au XIXème siècle dernier pour la bourgeoisie parisienne. L’endroit était magnifique, bucolique avec la rivière. Devant la beauté du lieu, Virginie en oublia finalement ses états d’âme. « Allez, pensa-t-elle, on a qu’une vie et ce n'est pas Bob qui pourra me proposer tout cela ! ». Virginie décida de profiter du moment présent.

Bruno et Virginie arrivèrent au domaine sur les coups de 16 heures. Le couple fut accueilli par les propriétaires qui possédaient une autre maison dans le village. Quand la nuit arriva, Bruno invita Virginie à marcher dans les allées du parc avec lui. Près d’une gloriette antique en fer forgé, il confia à Virginie les mots suivants :

- Ce soir, je veux que tu sois la plus belle et la plus séduisante. Je veux te voir gourmande et sublime comme tu l’es avec moi depuis le début de notre rencontre. Je veux aussi que tu dépasses tes limites. Déshabille-toi là maintenant. Fais-le pour moi devant moi.

Virginie en le questionnant se demanda pourquoi ferait-elle ça.

- Nous avons conclu un deal ajouta Bruno, tu n’as pas oublié ?
- Non, je n’ai pas oublié et c’est pour cela que je suis là. Sinon, je serai restée chez moi.
- Très bien, déshabille-toi maintenant, je veux te voir nue.

Sans dire un mot de plus, Virginie regarda Bruno dans les yeux, satisfaite et heureuse d’obtenir ce qu’elle n’aurait jamais osé demander à un homme, pas même à Bob. Bruno, sans que l’on sache comment, avait deviner les choses. Il les anticipa et les proposa à la belle dans le plus grand secret. Virginie qui en était flattée se dévoila progressivement à lui. Dans le jardin, elle se déshabilla devant lui. D’un geste délicat, elle dégrafa sa robe et la fit tomber à ses pieds. Bruno la regardait avec admiration. La belle était pratiquement nue, ne conservant que ses sous-vêtements : culotte de dentelles fines et soutien-gorge assorti qu’elle s’était offerte pour l’occasion. Elle portait des bas, et un porte-jarretelles que Bruno lui avait demandée de mettre. Virginie était belle, sublime et délicieuse. Sa poitrine généreuse, ses fesses rebondies gardaient en elle l’allure gracieuse qu’elle avait chaque fois que je l’embrassais.

- Dégrafe ton soutien-gorge maintenant, lui demanda Bruno.
- Pourquoi ferais-je cela ? rétorqua la Belle.
- Mais parce que je te le demande. Tu es moi ce soir, ne l’oublie pas. Je peux disposer de toi comme j’en ai envie.
- A la condition que je sois consentante, répliqua Virginie.
- Oui, à condition que tu sois consentante. Et tu l’es ?
- Oui, je suis consentante, sinon je ne serais pas venue.

Délicatement, Virginie retira alors son soutien-gorge sous le regard satisfait de Bruno. Ce regard, qui à l’encontre de ce que pensait Bob, ne la gênait pas. D’un geste sûr, elle tendit le sous-vêtement à Bruno. La situation était étrange. Virginie se dénudait devant lui.

- Retire aussi ta culotte, ajouta Bruno.

Virginie regardait Bruno d’un air malicieux. Gracieusement, elle se pencha en avant devant lui tout en retirant sa culotte, en relevant une jambe l’une après l’autre. Ses seins étaient parfaits et magnifiques. Ils avaient toute la beauté de leur jeunesse. Virginie lança sa petite culotte à Nono qui manqua de peu, de ne pas l’attraper.

- Tu sens trop bon, ajouta Nono en portant la petite culotte à son nez. Tu sens la femelle en chaleur.
- Ce n’est pas très élégant ça comme parole, ajouta Virginie.
- Tu sais comment je suis. Je suis un homme après tout.
- Oh oui, ça je sais ajouta Virginie. Et très gourmand aussi !


Virginie avait remis toute sa panoplie, robe, soutien-gorge, petite culotte à Nono qui, de fait, se retrouvait avec les vêtements de la belle dans ses bras. La nuit se fit de plus en plus présente et le couple reprit à pied le chemin de la maison. La Belle était entièrement nue, à l’exception de ses bas et de son porte-jarretelles. Elle marchait au côté de Bruno dans les allées du jardin. Arrivée devant l’entrée de la maison, elle vit qu’il y avait de la lumière au premier étage de la maison avec un homme à la fenêtre qui la regardait.

- C’est lui ? demanda-t-elle à Bruno.
- Non, ça, c’est Hervé, le major d’hommes de la maison.
- Il est au courant ? demanda Virginie.
- Oui, il est au courant. Mais l’homme qui doit venir ce soir n’est pas encore arrivé. Allons diner à présent. Je veux te voir à table avec moi nue comme tu es. Avoue que Bob ton chéri ne t’a jamais proposé cela ?
- En effet, il ne m’a jamais proposé cela, renchérit la belle. J’espère que je ne serais pas déçue.


Dans l’entrée de la maison, Virginie précéda Bruno qui la suivait et en profitait pour bien mater et décrire son cul. Ce cul qu’il avait pénétré profondément l’après-midi même en levrette dans le lit de la chambre située à l’étage. La chambre même où Virginie venait d’y voir de la lumière. Sans doute, le major d’hommes avec l’aide de Betty la femme de chambre, remettaient la pièce en état avant la venue prochaine des propriétaires.

Dans l’après-midi, Bruno avait démonté Virginie pendant au moins deux bonnes heures. Les clés de la maison aussitôt remises par les propriétaires, il emmena la belle dans la chambre pour la déhancher la prendre et la surprendre. Le major d’hommes et la femme de chambre ne furent pas autorisés à assister aux batifolages. Tout au plus, pouvaient-ils écouter à la porte de la chambre les cris et la jouissance de la belle et du fauve qui la baisait par tous les trous, durant les deux bonnes heures. La belle fut rassasiée. Elle eut joui plusieurs fois de suite.

A suivre…