Souvenir de fac – partie 3 : entre le canapé et le lit (suite)

- Par l'auteur HDS Bob-et-Annie -
Auteur couple.
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Récit libertin : Souvenir de fac – partie 3 : entre le canapé et le lit (suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenir de fac – partie 3 : entre le canapé et le lit (suite)
Assis, jambes écartées, le futal et le slip au-dessous des genoux, je regardais Delphine prend mon sexe en bouche. L’instant dura ainsi dix bonnes minutes. Delphine suçait merveilleusement bien ; mais je ne me voyais pas encore à l’époque jouir dans sa bouche ou sur son visage car cela ne faisait pas encore partie de mes pratiques ; et qu’à vrai dire il y avait encore un peu de timidité en moi. Enfin, il y avait d’autres désirs à assouvir et d’autres plaisirs à prendre. Delphine m’avoua en effet, à ce sujet une bien curieuse envie : être prise par derrière, autrement dit essayer ce que nous appelons vulgairement la sodomie. Avec son copain, elle n’avait jamais essayé. Ce dernier ne voulait pas. Plusieurs fois, elle le lui avait proposé, mais non, lui, il ne voulait pas, il trouvait cela sale dégoutant et disait que cela était trop dégradant pour une femme. Et à chaque fois, à chaque proposition de Delphine, il s’y refusa avec fermeté. Delphine en était offusquée, même attristée.
- Tu veux faire cela avec moi ? lui demandais-je alors.
- Oui.
A ce moment-là, Delphine était encore devant moi, et elle venait de me sucer royalement comme une reine où une petite pute qu’elle n’était pas ; mais ô putain qu’est-ce qu’elle suçait bien ! Tantôt, je voyais mon sexe entrer tout entier dans sa bouche, tantôt, elle tourna sa langue autour de mon gland en me défiant du regard. Elle était là à genoux et accroupie devant mi. Je prenais sa tête de temps à autre, par les cheveux, pour mieux la pénétrer, et la regarder. C’était divin, c’était sublime.

Après cela, Delphine m’emmena donc dans sa chambre en me prenant par la main. Je la suivais délicatement, transporté par une émotion vive où chaque couleur, chaque pas de ma vie devenait un havre de paix et de délice avec elle. Le bien-être était absolu.

Dans la chambre, Delphine se plaça debout devant moi. Je la prenais par la taille. Elle était belle, gracieuse et merveilleusement parfaite : son corps élancé chavirait mon cœur et intensifiait mes désirs. Mes pensées en étaient toutes bouleversées. Sa peau, d’une nudité impeccable caressait mon torse. Je l’embrassais et caressais ses cheveux si doux et si soyeux. Nos corps ne faisaient qu’un ; nous étions unis, enlacés. Nous nous sentions bien l’un et l’autre, l’un dans l’autre, comme si nous étions dans un autre monde : le monde de l’ivresse, de la passion et de la délectation.

Dans sa chambre, Delphine possédait un grand lit où l’on pouvait aisément coucher à deux. Le matelas, confortable, se trouvait au-dessus d’un sommier situé à peine à 10 centimètres du sol. C’était l’idéal pour prendre Delphine par derrière, position levrette, jambes légèrement écartées et mon sexe qui la pilonna de mouvements vigoureux, dynamiques et cadencés.
Au pied du lit, il y avait un tapis, une sorte de carpette à poils angora, gris, où je me suis agenouillé pour prendre Delphine selon sa volonté. Mon sexe luisait tellement de mouille et de sa salive que je n’avais pas eu de mal à la pénétrer. Je glissais un doigt dans sa chatte puis deux. J’embrassais ses fesses : fesse gauche, fesse droite puis les deux, ensemble, avant de les faire claquer violemment l’une contre l’autre juste pour les voir rougir et décupler mon désir qui arrivait alors à son paroxysme : prendre Delphine en levrette. Prendre Delphine en levrette, par derrière, la secouer, la défoncer sans ménagement, la faire jouir, encore et encore, battre des records de tonicité, pénétrer, défoncer, jouir, pénétrer, défoncer encore, et enfin jouir avec un grand J et me répandre en elle, profondément, intensément, passionnément.
Dans la foulée, je regardais mon sexe aller et venir en elle. Je retirais ma queue de temps à autre pour mieux mater et la regarder une nouvelle fois. La pénétrer ainsi plusieurs fois de suite me mettait dans une excitation folle : je découvrais un plaisir unique en son genre. Je regardais alors l’orifice que je venais de dilater par mes mouvements de va-et-vient et je pensais :
- Putain, qu’est-ce qu’elle vient de prendre !

A côté de cela, j’entrais un doigt dans la chatte de Delphine. Je le tournais de droite à gauche et chatouillais son clito de l’autre main. J’embrassais ses fesses encore et encore quand soudain Delphine se tourna vers moi. Son pubis, sa chatte se retrouvait devant mon visage et je compris ce dont elle avait envie. Je me suis alors légèrement relevé pour voir si Delphine me regardait. Ses mains se posèrent sur ma tête et attrapèrent mes cheveux. Ses jambes passèrent autour de mon cou. Je me retrouvais le visage au plus près de sa chatte. Ma langue caressa son con, écarta les grandes puis les petites lèvres : je l’embrassais et je la caressais. Je glissais un doigt encore au fond de sa chatte que je vis rentrer tout entier et disparaitre totalement sans en toucher le fond. J’en glissais un deuxième puis un troisième.

Delphine gémissait et poussait des petits cris de plaisirs. Je la regardais, elle ne me voyait pas : elle fermait les yeux et se laissait transporter par le plaisir. Et quand soudain je m’attardais sur son petit bouton, elle fut secouée d’un violent orgasme, tellement que ses jambes se sont resserrées contre moi, autour de mon cou. Je ne pouvais pratiquement plus bouger : Delphine venait de jouir. J’ai attendu quelques secondes pour qu’elle retrouve ses esprits puis j’ai laissé Delphine se retourner sur le lit : ses jolies fesses revenaient face à moi ; son petit trou gardait encore la trace des assauts précédents : il était encore tout dilaté. J’entrais un doigt puis j’essayais avec deux, avant de la reprendre vigoureusement avec ma bite. Au final, j’ai joui sur ses fesses. Mon excitation et mon plaisir furent telles que j’ai lâché plusieurs jets de sperme chaud sur chaque fesse. J’ai passé un doigt dans l’un de ces jets caressant par la même occasion ses jolies fesses et je le l’ai porté à la bouche de Delphine pour qu’elle le suce. Ce fut là l’un des plus beaux moments de ma vie. A bientôt pour une autre histoire. Bob.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Sacré soirée.

La chipie

De merveilleux souvenirs!



Texte coquin : Souvenir de fac – partie 3 : entre le canapé et le lit (suite)
Histoire sexe : Une rose rouge
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