Souvenirs de fac - partie 1

- Par l'auteur HDS Bob-et-Annie -
Auteur couple.
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Récit libertin : Souvenirs de fac - partie 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Souvenirs de fac - partie 1
Cette histoire s’est déroulée il y a plus de 20 ans. C’était à l’aube des années 2000 ; et, le bac fraichement en poche, je rentrais dans l’une des plus prestigieux universités parisiennes, filière Droit et Gestion.
Au début, en arrivant dans l’amphi, le premier jour de la rentrée, ce fut une véritable pagaille : du monde partout, des étudiants, des profs mais surtout des étudiants par centaines. L’amphi avait une capacité de 900 places, avec un bacon type mezzanine. La salle était pleine à craquer avec les anciens planqués au fond en mezzanine surtout à foutre le boxon comme pour faire un bizutage de première année ; ça déconnait grave avec musique pour accueillir les nouveaux comme moi.
Dans les allées, les caliers c’était noir de monde aussi. Les étudiants s’asseyaient par terre pour prendre les cours en notes.
Moi, je m’étais trouvé une petite place dans les 6ème ou 7ème rang de l’ampli en partant du bas. C’était un bon choix de place, à la fois suffisamment proche du tableau mais pas trop pour ne pas faire fayot et ne rien voir et suffisamment éloigné pour les mêmes raisons que je viens d’évoquer.
Les débuts de fac ont été un peu pénible : le brouhaha, le monde, les étudiants qui arrivent sans cesse en retard, ceux qui partent avant la fin du cours. Bref, c’était une anarchie totale pour tous ceux qui comme moi venait d’un petit lycée calme de province. Pour suivre attentivement le cours, il fallait vraiment s’accrocher et se motiver.
Mais, très vite, je me retrouvais avec un petit groupe d’étudiants qui comme moi, ne connaissaient personne les premiers jours. Et puis, de fil en aiguille, à force de se mettre toujours chacun aux mêmes places, nous finnisâmes par sympathiser. Nous venions chacun d’un coin différent de la France ou de Paname, la ville des Lumières.
En tout, nous formions vite un groupe de six : trois garçons, trois filles. Il y avait Nadège la coquine, Nicolas, Éric, Xavier, moi et Delphine. Ah Delphine ! c’est d’elle dont je veux vous parler : mon meilleur souvenir cette année-là ; sans qu’il n’y paraisse et de façon totalement inhabituelle. Un rayon de soleil, une jolie petite brune dont je me suis amouraché et réciproquement.
Notre rencontre a été totalement inattendue. Delphine habitait la région parisienne, Paris même pour être exacte. En fait, avec Nadège dont je parlerai un peu plus tard, j’étais le seul provincial dans le groupe de six. Éric venait de la banlieue parisienne la plus proche. Ses parents étaient fortunés mais lui était susceptible et maladroit avec les filles. C’était un vrai puceau comme il doit en exister encore à cet âge-là. Néanmoins, l’année d’après, c’était le seul à se dégoter une nana, une belle brune aussi, avec de gros nichons ; trop beaux. Et dire que j’ai eu la chance de les caresser et de les embrasser mais je m’éloigne du sujet. Revenons à nos moutons. Je vous raconterai cette histoire peut être un jour ou l’autre.
Ensuite, Xavier ; et là je me rends compte que je me suis gourré dans le nombre de filles et de garçons que nous étions dans le groupe. J’ai dit trois filles et trois garçons. En fait, non. C’était bien deux filles et deux garçons. De quoi faire un petit gang-bang ou une partouze mon autre péché mignon mais non rien de cela en ce temps-là, non pas que nous n’y pensions pas ; du moins, nous les mecs, mais l’occasion ne s’est à vrai dire pas vraiment présentée. En vérité, nous étions encore tous bien jeunes, entre 18 et 27 ans. Même plus vers 18-20 ans que 27. Je crois que Xavier avait 27 ou presque 27. En tout cas, c’était le plus vieux d’entre nous. A la fois, nouveau dans la fac et à la fois le plus vieux.
Xavier avait vécu et fait pas mal de petits boulots. Il était totalement autonome et ne dépendait pas de ses parents. Tout le contraire d’Éric, le fils de bourge. Bref, nous formions un petit groupe très hétéroclite et qui pourtant fonctionnait très bien car nous étions tous sur la même longueur d’ondes et puis surtout nous rigolions aux mêmes blagues. Les mecs, Xavier, Nicolas… fantasmaient en outre sur Nadège, la belle blonde à forte poitrine, très coquine, mais très ambitieuse aussi. Là aussi, je vous raconterais son histoire aussi et pas des moindre car la nana n’avait pas froid aux yeux. Hélas, je n’ai pas eu la chance d’être présent à sa soirée, la plus déjantée qu’il en a été, m’a-t-on dit. Et la belle en a pris de tous les côtés ; ce qu’elle voulait. Putain, pourquoi, je n’ai pas été là ! Mais je vous raconterais, promis, promis.
Revenons à Delphine maintenant. Delphine, c’est mon amour, un peu, beaucoup. Ai-je été amoureux ? peut-être. Ai-je été malheureux ? non.
Delphine et moi, en réalité, je ne sais plus comment cela a commencé ; mais, en amphi, très vite, on se retrouvait tout le temps l’un à côté de l’autre dans le groupe des six, le plus souvent sur un côté pour s’isoler un peu. Nous discutâmes de chose et d’autres. On rigolait ; beaucoup. Et puis, au final, nous n’écoutions plus les cours et ne prenions plus de notes. Nous étions dans notre petit monde, au milieu de tous. On riait et se regardait dans les yeux. Et là, il n’y avait plus besoin de parler. Je me souviens de ses envies, de son regard, amoureux. Elle me dévorait des yeux. Et sans doute, sans m’en rendre compte, je la dévorais aussi. Si bien, que quelque membre de notre petit groupe s’en est vite rendu compte.
Delphine avait un charme fou et pourtant, elle avait un copain. Elle m’avait parlé de lui une fois. Je fus triste une fois à l’annonce de cette nouvelle mais pas top longtemps car elle aussi était triste à me parler de lui comme si elle regrettait cette union qu’elle avait pourtant choisi quelques mois plus tôt, en fait, bien avant que l’on se connaisse.
Néanmoins, j’essayais d’en savoir plus sur sa vie, sur elle, sur lui, sur sa relation avec lui. En fait, ce que je me souviens, c’est qu’elle était avec lui depuis l’année de terminal soit un peu près un an ; que c’était un ami de la famille ; qu’il avait lui aussi 26 ou 27 ans. Il était donc plus âgé qu’elle. Et puis surtout, qu’il avait une voiture et que cela lui permettait de passer quelques week-ends avec lui. Bref, je sentais qu’elle n’était pas ou plus franchement amoureuse de lui et c’est sans doute pour cela aussi que nous nous rapprochâmes elle et moi.
Enfin, j’approche du moment fatidique que je veux vous évoquer et qui est mon plus beau souvenir avec elle, tout au moins tout aussi beau que tout ceux que j’ai vécu avec elle mais ici tellement plus intense, je veux dire bien sûr sur le plan sexuel.
Voilà. Delphine n’était plus vierge depuis longtemps. En fait depuis quelques mois ou plusieurs mois. Elle avait fait l’amour plusieurs fois avec son copain. Je crois que c’était alors son premier et le seul avec qui elle avait couché mais qui à ses dires manquait de fantaisies. Et c’est là que je me souviens de ce jour. Delphine et moi mais aussi la totalité de l’amphi finissions ce jour les cours à midi et niet l’après-midi, nada, niente. En sortant de l’amphi, j’étais naturellement en compagnie de Delphine et je m’apprêtais à prendre mon train comme d’habitude pour rentrer chez moi quand tout à coup Delphine me disait :
- Mais si tu veux, tu viens chez moi. Je te préparerai à manger.
Timide, un peu coincé mais pas trop, je ne m’attendais pas à une telle proposition ; si bien que j’ai réfléchis avant de dire « Ok oui pas de souci ».
C’est ainsi que je me suis rendu chez Delphine pour la première fois. La belle vivait chez ses parents mais vivait aussi de temps en temps chez son copain qui habitait la ville ou le quartier tout proche.
Bref, c’était un joli appartement et Delphine me fit effectivement à manger et nous déjeunions ensemble jusqu’à ce sans dire un mot nous nous embrassâmes dans le canapé du salon dans lequel nous étions assis. Nous délaissâmes alors notre plateau repas placé sur la petite table du salon. Delphine retira son haut :
- J’ai envie de toi, me dit-elle en me regardant droit dans les yeux.
Je l’ai prise, je l’ai embrassée et lui ai répondu droit dans les yeux :
- Moi aussi
Mon corps tout entier commençait à vibrer. Je vous raconterai la suite dans un prochain récit si vous le souhaitez.

Bob.

Les avis des lecteurs

Je lirai la suite avec plaisir, cher Bob!



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Histoire sexe : Une rose rouge
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