Le 100ième récit : la femme enceinte - histoire érotique

Avertissement : ce récit est la suit des deux précédents intitulés « elle voulait un enfant ». A lire dans l’ordre chronologique.
Récit :

C’est ainsi que le mercredi après-midi, la belle fit son premier gang-bang, chez sa mère ou elle vivait encore et… dans le lit de sa mère !

Virginie avait alors 22 ans. Un temps mémorable pour elle et pour moi et pour Olivier puisqu’il ne réussit pas moins de baiser ma belle chez elle en quatuor avec ses deux potes.

Mais en vous racontant tout cela, je me rends compte que je ne vous ai pas fait part de comment Virginie se retrouva enceinte car si une chose de plus est bien sûr, c’est bien aussi celle-ci, survenue dans des conditions incroyables.

En effet, Olivier avait eu une relation avec Nadia, la mère de Virginie. Et une relation qui ne fut pas des moindres puisqu’il s’agissait là même de trio, un des fantasmes de Nadia.

Nadia avec eut le malheur de demander un enregistrement vidéo à Olivier et de le laisser trainer chez elle. Virginie tomba dessus et visionna la vidéo. Surprise, choquée de voir ce qu’elle voyait, sa rupture fut aussitôt faite avec Olivier ; également avec sa mère. Virginie quitta le domicile de sa mère puis bientôt s’en alla pour une autre vie, une autre région et un autre travail.

Mais, dans sa tourmente, Virginie ne sait pas encore qu’elle était enceinte. Et pourtant, tout porte à croire que tout est survenu ce soir-là à Vincennes rue du Mid, le soir du trio avec Olivier, car son accouchement survint pratiquement jour pour jour neuf mois après l’évènement avec Olivier. Je ne pouvais que repenser à la double vaginale et à nos deux spermes Olivier et moi qui coulait dans la fente secrète de Virginie.


Virginie pourtant voulait un enfant et c’est pour cela qu’elle avait unilatéralement arrêter de prendre la pilule sans en parler ni à Bob ni à sa mère, tout au plus à une seule de ses copines : sa meilleur copine et amie : Claire.

Pour comprendre, il faut se mettre dans l’esprit de Virginie ce qui n’est pas simple. La question est pourquoi Virginie n’en parla aucunement à Bob puisque c’est avec lui qu’elle voulait un enfant.

En vérité, Virginie ne se souciait guère de savoir qui était ou qui serait le père de son enfant. Elle voulait un enfant, être maman être enceinte et c’est tout. Elle voulait être mère, aspirait à s’occuper d’un petit qui serait le sien avec amour tendresse délicatesse et amour encore, maternel et chaleureux.

C’était une composante importante de la vie de Virginie : la maternité, qu’elle ne connaissait pas et qu’elle voulait connaitre à tout prix.

En vérité, elle avait essayé plusieurs fois d’en parler à Bob et à Olivier aussi. Bob ne voulait rien entendre pas plus qu’Olivier. Tout u plus, Bob ajouta : « Pas maintenant, je ne me sens pas prêt ! ». Virginie ne voulait pas attendre, c’était maintenant ou jamais. C’est ainsi sans le dire à Bob et sans le dire à Olivier qu’elle arrêta de prendre la pilule. Sa volonté était de tomber enceinte coute que coute.

Résultat : quand Virginie présenta sa fille à Bob, ce dernier crut que c’était sa fille avec un « Tiens, je te présente ta fille ! ». Le sang de Bob ne fit qu’un tour, entièrement bouleversé :

- « J’ai une fille ? Quoi ? pardon ? » rétorqua Bob, étonné.

La réalité c’est que Virginie dit à Bob : « tiens, je te présente ma fille ! »
Ni Bob ni Virginie ne sait qui est le père de l’enfant Est-ce Olivier ? Est-ce un autre homme ? Est-ce Bob ?

Virginie n’a jamais voulu le savoir. Elle voulait un enfant, peu importe qui serait le père. Un enfant qu’elle élèverait toute seule sans rien devoir à personne et c’est ce qu’elle fit sa vie durant. La chose curieuse, reste que l’enfant est né neuf mois après la soirée-nuit rue du Midi à Vincennes. La soirée où Bob et Olivier firent l’amour plusieurs fois à Virginie, ensemble, puis séparément et ainsi de suite, toute la nuit.


Aujourd’hui l’enfant est grand. Elle s’appelle Clémence. C’est une jolie fille de 18 ans, devenue majeure puisque l’histoire de sa naissance remonte à près de vingt ans. Clémence ressemble comme deux gouttes d’eau à sa mère au même âge. Un clone parfait. Difficile de dire qui est le père seulement en la regardant. Sa mère s’est résolue à ne lui dire que le strict nécessaire, qu’elle avait été très amoureuse un jour d’un garçon. Virginie disait à sa fille qu’elle était née de cet amour. Clémence était l’enfant de l’amour et du bonheur.

Cela dit, si Virginie s’est résolue à ne pas le savoir qui était le père de sa fille, elle avait doute sa petite idée, car qui mieux qu’elle pouvait savoir. La belle s’entretint un long moment avec Bob sans jamais rien céder. Son secret était le sien et nulle personne pas même sa mère Nadia se savait d’où venait cet enfant.

Bob se résolut à ne pas savoir ni plus de chercher à savoir. Virginie le lui avait bien dit. La belle convainquit Bob du bien-fondé de sa pensée. La belle était immuable, déterminée. C’était son choix, sa volonté. Il ne fallait que respecter sa volonté.

Voilà ! Ceci est belle et bien la fin de mon histoire avec Virginie, âgée de 39 ans au jour d’aujourd’hui et belle comme au premier jour de ma rencontre avec elle. Le temps a passé et fait son œuvre de la séparation entre nous. Aujourd’hui je n’ai plus de nouvelles d’elle. A-t-elle refait sa vie ? A-t-elle eu d’autre enfants ? Nul ne sait. Mon cœur chavire à tout jamais : Belle, je pense encore à toi !