Récit à la troisième personne. - histoire érotique

Nous sommes le 12 juin 2023. Et voilà que mon dernier récit se pose depuis de longs mois entre innovations, concertations et sublimations.

Innovations ? parce qu’il y a eu une part avouée de fiction, récit fait de mythologie et de réalités. La mythologie : la rencontre avec le photographe, les délires de Virginie quand elle se dit avoir été Escort, mi rêve mi réalité, envie réelle peut-être.

La réalité ? Bob son premier amour, Nono, Alex, Dominique et les autres, sans oublier Olivier qui la sublima un soir plutôt un après-midi chez elle, une première inoubliable, excitante, envoutante, captivante et à recommencer s’il le fallait.

Virginie, c’est toute ma vie. Mais une vie qui est passée, révolue et qui appartient à un autre monde, celui du souvenir, des bons moments passés ensemble et du grand amour. Car, il n’y a de grand amour que celui dont on n’oublie jamais le nom ni les émois, les émois de la première fois, les premières douceurs, les premiers câlins, sourires, parfums, délices.

Virginie, c’était la femme sublime, belle et sincère, captivante, envoutante, délicieuse. La regarder me permettait d’oublier le monde et de me sentir léger le plus léger comme une plume que mes écrits mes paroles mes gestes mes souvenirs, tout s’envolait vers elle et j’étais bien et nous étions bien. J’était heureux, elle était heureuse et nous étions heureux. Nous étions les amants d’un siècle a défaut d’être les amants de tous les siècles. Nous étions prince et princesse, Tristan et Iseult, Héloïse et Abélard et bien d’autre mais aussi et surtout elle faite de fatalité qui n’eut d’égard que son amour pour la vie, le bonheur, l’espérance. Nous étions dans le grand tourbillon, celui de Jules et Jim, celui de la tendresse, de celui des amours fous, intransigeants, captivants toujours mais combien perturbants.

Virginie, c’était l’amour de la vie, une femme-enfant peut être soucieuse de rien ou si peu et qui ne pensait qu’à rire, jouir et profiter des plaisirs de la vie. C’était la fille aux multiples facettes. D’abord la fille fragile, frêle, pâle qui ne demandait qu’à être aimée pour exister. La fille dont nul homme n’aurait pu se passer.

Virginie, c’est une fille, une femme fidèle la plus fidèle qui soit jusqu’ à ce jour où un autre s’intéressa à elle et lui révéla qu’elle était belle aussi pour un autre que son propre homme. Et de là, tout s’emballa très vite, très très vite : premières fellations extraconjugales, premières sodomies, premier trio, premier gang-bang. On peine à croire aujourd’hui que tout cela ait pu arriver si vite en si peu de temps sur un espace aussi court. La belle était fidèle, prude, sensible, classique peut-on dire. Comment oui vraiment comment tout cela en a-t-il pu en arriver jusque là et moi seul spectateur au début avant de devenir acteur pour notre grand bien.

Virginie, encore une fois, c’était l’amour suprême. Celui que l’on ne rencontre tout au plus qu’une seule fois dans sa vie. Celui qui vous dit qu’après cela plus rien ne sera désormais comme avant sans même l’espoir d’un retour en arrière car si c’était à refaire, Oh que oui je le referais et dix mille fois plus qu’une : la belle avait des yeux ravissants, un sourire à tomber éperdument amoureux, un parfum et une chevelure exquis et exquise. Elle portait la soie dans ses cheveux, ses yeux brillaient d’amour de joie et de désirs. Ils étaient plein de vitalité, elle était pleine de vitalité.

Mais Virginie, c’était l’amour des hommes. Oh combien de fois je ne me suis pas méfié et combien de fois elle me l’eut dit ou fit comprendre sans que je sache vraiment ce que j’étais, qui elle était et ce qu’elle voulait.

Virginie, je l’ai aimée du plus profond de mon cœur comme sans doute personne d’autre sur cette Terre puisse faire pareil. Un amour pur, sincère, dévoué, enjoué, un amour enflammé mais toujours dans le respect le plus strict et le plus total.

Virginie, c’est l’amour de ma vie et je fus un jouet pour elle, peut-être, san doute. Je m’efforce à le croire même si je sais que cela n’est pas vrai.

Un jour, peut-être la retrouverais-je dans un autre monde, dans l’au-delà. Je la retrouve déjà ici sur HDS, le meilleur site d’histoires de sexe que je connaisse car si je vous parle aujourd’hui d’amour c’est bien aussi de sexe dont il s’agit et si l’argent est bien le moteur de la guerre, le sexe est en revanche le moteur de la vie, celui qui unit deux êtres qui s’aiment et qui se désirent tendrement ou à la folie.

Voilà, Virginie fut tout cela pour moi et aujourd’hui, elle n’est plus, ce qui rend plus difficile pour moi la création ou réalisations de nouvelles histoires.

Je tiens à préciser que ce texte je l’ai écrit d’un seul trait sans relecture et san correction, peut-être si pour corriger quelques coquilles. Au début, je parlais de mythologie et de réalité et m’apprêtait à définir certains mots. Enfin, de compte, si cela doit être nécessaire, je le ferai dans un prochain récit mais j’ai peur que le temps de l’excitation, des souvenirs et du vécu soit révolu. Alors que dire ?
A bientôt