Biographie : Bruno et Virginie (épisode 11)
Récit érotique écrit par Bob-et-Annie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Biographie : Bruno et Virginie (épisode 11)
Ce récit est la suite de l’épisode 10.
Bruno souleva Virginie sur le capot de la voiture. Elle était face à lui les jambes relevées. Bruno la baisa sans ménagement. Virginie endura ses assauts avec une assurance que je ne lui connaissais pas.
La voir ainsi dépassait toute mes espérances. Dans sa jouissance, elle s’accrochait au T-shirt de Bruno. Elle s’agrippait, se retenait pour ne pas glisser. Elle jouissait et se mordait la lèvre pour ne pas crier au risque d’être entendue. Bruno caressa les seins de ma belle, les dévoilant à son regard. Le corps de Virginie se mit à tressaillir. La belle n’en pouvait plus et ne tenait plus. Des spasmes violents parcouraient son corps, ses jambes tremblaient. Bruno la retourna pour la prendre en levrette contre le capot de l’auto-école. Virginie était stupéfaite et agréablement surprise de la puissance de Bruno qui la baisait comme une bête. La belle était secouée d’avant en arrière comme jamais elle n’avait connu cela de toute sa vie. Assurément, Bruno était son meilleur coup !
Allongée sur le capot face à Bruno, Bruno la défonça comme jamais elle n’avait connu de toute sa vie. Dans le feu de l’action, Virginie percevait qu’elle allait jouir. Bruno en profita pour caresser les seins de ma belle. D’un geste sûr, Virginie dégrafa son soutif pour les libérer. Bruno s’en saisit. Il les malaxa et les tritura avec une telle vigueur que Virginie s’en trouva totalement transportée hors d’elle. Dans son extase, elle en oublia que quelqu’un, caché dans le bois, derrière un arbre, pourrait la voir.
Virginie était secouée dans tous les sens. Ses seins remuèrent à n’en plus finir. Bruno les embrassa, les caressa. La belle avait de seins magnifiques. Virginie était amoureuse de Bruno, conquise, soumise. La bite de Bruno en elle la fit jouir au plus profond de son être. Une fois, deux fois, trois fois peut-être !
Puis, Bruno s’arrêta un instant pour reprendre ses caresses. Il la doigta profondément. Virginie se remit à jouir, intensément. Son excitation était à son comble et jamais elle n’avait envisagé de se faire prendre comme ça sur le capot d’une voiture, sur un petit parking à l’orée d’un bois, à la sortie d’un village, près de la ville. Cela dépassait son imagination. Mieux, elle appréciait plus que tout cette situation. La peur d’être surprise ; l’envie d’être prise décupla son plaisir ; et puis Bruno était endurant, il était dominant comme elle en avait envie. Il était beau, fort et musclé. Pouvait-elle seulement lui résister ? Comment pouvait-elle faire autrement ?
Sur le capot, Virginie recevait les coups de butoirs de Bruno qui la tenait jambes écartées et relevées au-dessus des épaules. Bruno en profita pour la pénétrer plus profondément. Virginie ressentait en elle le chibre de Bruno avec une vive émotion. « Viens ! » lui dit-elle ; « viens, je te veux ! ».
Virginie se faisait baiser abondamment, et moi caché derrière un arbre, à quelques mètres de là, sans être trop près pour ne pas être vu, je ne manquais pas une miette du spectacle qui s’offrait à moi.
A suivre…
Bruno souleva Virginie sur le capot de la voiture. Elle était face à lui les jambes relevées. Bruno la baisa sans ménagement. Virginie endura ses assauts avec une assurance que je ne lui connaissais pas.
La voir ainsi dépassait toute mes espérances. Dans sa jouissance, elle s’accrochait au T-shirt de Bruno. Elle s’agrippait, se retenait pour ne pas glisser. Elle jouissait et se mordait la lèvre pour ne pas crier au risque d’être entendue. Bruno caressa les seins de ma belle, les dévoilant à son regard. Le corps de Virginie se mit à tressaillir. La belle n’en pouvait plus et ne tenait plus. Des spasmes violents parcouraient son corps, ses jambes tremblaient. Bruno la retourna pour la prendre en levrette contre le capot de l’auto-école. Virginie était stupéfaite et agréablement surprise de la puissance de Bruno qui la baisait comme une bête. La belle était secouée d’avant en arrière comme jamais elle n’avait connu cela de toute sa vie. Assurément, Bruno était son meilleur coup !
Allongée sur le capot face à Bruno, Bruno la défonça comme jamais elle n’avait connu de toute sa vie. Dans le feu de l’action, Virginie percevait qu’elle allait jouir. Bruno en profita pour caresser les seins de ma belle. D’un geste sûr, Virginie dégrafa son soutif pour les libérer. Bruno s’en saisit. Il les malaxa et les tritura avec une telle vigueur que Virginie s’en trouva totalement transportée hors d’elle. Dans son extase, elle en oublia que quelqu’un, caché dans le bois, derrière un arbre, pourrait la voir.
Virginie était secouée dans tous les sens. Ses seins remuèrent à n’en plus finir. Bruno les embrassa, les caressa. La belle avait de seins magnifiques. Virginie était amoureuse de Bruno, conquise, soumise. La bite de Bruno en elle la fit jouir au plus profond de son être. Une fois, deux fois, trois fois peut-être !
Puis, Bruno s’arrêta un instant pour reprendre ses caresses. Il la doigta profondément. Virginie se remit à jouir, intensément. Son excitation était à son comble et jamais elle n’avait envisagé de se faire prendre comme ça sur le capot d’une voiture, sur un petit parking à l’orée d’un bois, à la sortie d’un village, près de la ville. Cela dépassait son imagination. Mieux, elle appréciait plus que tout cette situation. La peur d’être surprise ; l’envie d’être prise décupla son plaisir ; et puis Bruno était endurant, il était dominant comme elle en avait envie. Il était beau, fort et musclé. Pouvait-elle seulement lui résister ? Comment pouvait-elle faire autrement ?
Sur le capot, Virginie recevait les coups de butoirs de Bruno qui la tenait jambes écartées et relevées au-dessus des épaules. Bruno en profita pour la pénétrer plus profondément. Virginie ressentait en elle le chibre de Bruno avec une vive émotion. « Viens ! » lui dit-elle ; « viens, je te veux ! ».
Virginie se faisait baiser abondamment, et moi caché derrière un arbre, à quelques mètres de là, sans être trop près pour ne pas être vu, je ne manquais pas une miette du spectacle qui s’offrait à moi.
A suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours pas fini cette série? Vivement la fin
Oui, cela a drôlement évolué. Je vous raconterai la suite, ma chère Olga.
A ce stade, Bob pratiquait un "candaulisme clandestin", Virginie ne sachant pas qu'il était, bien caché, le témoin de son plaisir. cela a-t-il évolué?