Biographie : Bruno et Virginie (épisode 9) - histoire érotique

Cette histoire est la suite logique d’une histoire vraie que j’ai racontée sur HDS il y a trois ans.

Au moment des faits, Virginie avait 21 ans. Jamais encore, elle ne m’avait véritablement trompé jusqu’à sa rencontre avec Bruno. Bruno est moniteur d’auto-école. Cette année-là Virginie et moi profitions de l’été pour passer notre permis. On venait d’avoir le code et la saison s’annonçait plutôt bien.

Virginie prenait ses cours de conduite le samedi matin. Bruno s’arrangeait toujours pour que ce soit lui son moniteur. Dans la voiture, il la draguait sans arrêt et ne cessa pas de le faire. Voyant son jeu, Virginie refusait systématiquement ses avances à cause de moi lui disait-elle. « Je ne peux pas faire ça à Bob, tu comprends ? ». Elle et moi, cela faisait quatre ans que nous étions ensemble.

A la fin de la première heure de conduite, Bruno conseilla à Virginie de s’inscrire au prochain cours pour deux heures de conduite consécutives. « C’est beaucoup mieux pour progresser » disait-il. Virginie acquiesça. Elle ne savait pas sur quelle pente glissante elle s’engageait. Elle et lui se retrouvaient ainsi tous les samedis matin pour deux heures de conduite. Bruno l’emmenait dans un endroit tranquille avec une seule idée en tête : baiser et se faire sucer par ma nana ; ce qu’il fit plusieurs fois ; exactement comme je l’ai raconté dans mes précédentes récits titrés « Bruno, le moniteur d’auto-école ».

Seulement voilà, je me rends compte que j’ai oublié une partie de cette histoire amoureuse entre ma nana de l’époque, Virginie, et son prof de conduite. Et puis, j’ai appris plus tard que ce que je croyais avoir été une histoire de deux mois entre elle et lui avait été en réalité une histoire de quatre mois.

Je vous raconte la suite de cette histoire :

Ce matin-là, Virginie avait rendez-vous avec Bruno. La leçon commençait à 10 heures. Chez elle, Virginie prenait le temps de se faire belle. Maquillage, parfum, cheveux bien soignés. Bref, elle était la plus belle femme que je n’avais jamais vue. Chaque fois qu’elle avait rendez-vous avec lui, elle soignait sa tenue. Ce jour-là, elle avait mis une mini-jupe noire facile à trousser.

Comme chaque samedi, Nono - c’est ainsi qu’elle l’appelait – lui demanda de prendre la route d’un petit village près duquel il y avait une magnifique forêt de feuillus. Près de la route, à la lisière de la forêt, il y avait un tout petit parking tranquille à l’abri des regards. Virginie avait envie de Bruno mais elle ne voulait pas l’admettre. Dans la voiture, Nono lui répéta son numéro de séduction : il déboutonna son blue-jean, extirpa son sexe déjà à demi-tendu, se caressa, et lui dit :

- Tu sais, on peut faire une petite pause et faire tout autre chose, si tu veux.

Virginie savait ce qu’il voulait dire. Captivée par ce sexe en érection qu’elle avait déjà sucé, elle ne pouvait plus lui refuser ce qu’il désirait. La vue de ce sexe qui s’offrait à elle la titillait. L’envie de le sucer faisait son chemin. Elle voulait mais n’osait pas.

Nono, par plusieurs fois déjà, lui avait fait des avances jusqu’à ce qu’elle cède de son plein gré (voir mes autres récits). Amoureuse, Virginie avait envie de lui mais s’était souvent refusée « à cause de Bob » disait-elle.

Désormais, la donne était différente : elle avait envie plus que tout ; et plus que tout elle voulait lui montrer ce dont elle était capable. Ses instincts de femmes, ses pulsions, elle les avait réfrénés pour ne plus être en mesure de résister encore et encore. Alors, elle sortit de la voiture, non sans avoir effleuré au passage, la très jolie queue de Bruno dont elle avait envie. Dehors, elle se s’appuya pensive contre le capot de la voiture. Elle l’attendait mais n’osa l’appeler. Bruno sortit à son tour de la voiture, laissant la portière ouverte :

- C’est que j’ai très envie de toi. Et j’ai des remords, lui dit Virginie.
- Il ne faut pas avoir de remords, lui répondit Bruno.
- Je sais. Mais depuis que tu m’as prise l’autre jour dans la voiture, je culpabilise. Je n’ai encore rien dit à Bob pour la sodomie. Pour la fellation, il sait à peine la vérité. J’ai peur de lui faire du mal.
- Ne te préoccupe pas de ça. Pense à toi. Tu es belle, regarde, tu es désirable. Et puis je suis sûr qu’il acquiescera, ajouta Bruno.
- Tu crois ? Oh, j’ai très envie de toi, ajouta Virginie, mais je ne sais pas comment faire. J’ai envie que nous fassions l’amour là encore une fois, comme la dernière fois. J’ai envie de toi, Bruno.

Virginie était dans les bras de Bruno.

- Tu as envie ? Tu veux ? lui demanda Virginie en l’embrassant.

Bruno se laissait faire. Il regardait Virginie descendre délicatement le long de son corps. Elle était à hauteur de son sexe. Agenouillée, elle leva les yeux vers lui pour s’assurer de son désir, tout en occupant ses mains à caresser à travers le pantalon le sexe pleinement gonflé de Bruno.

Agenouillée devant lui, Virginie déboutonna le blue-jean. Bruno n’avait pas débandé. Virginie extirpa le beau chibre qu’elle désirait. Un sexe d’un gros calibre, et d’une belle proportion. Délicatement, après l’avoir caressé, elle le prit en bouche, toujours en regardant Bruno droit dans les yeux. L’homme se laissait faire. Il appréciait. Il était appuyé entre la portière avant du passager restée ouverte et l’habitacle de la voiture.

- Tu as bien changé, toi, lui dit Bruno, comblé par cette caresse.

Virginie le suça plus amplement. « J’ai eu un bon maitre ! » ajouta-t-elle. Bruno la regardait avec satisfaction et réalisait qu’elle avait fait du chemin depuis leur première rencontre, il y a deux mois. Au cours de ses premières séances, il avait dû la convaincre à accepter ses envies où Virginie se refusait systématiquement. Désormais, il n’avait même plus besoin d’être tyrannique et contraignant avec elle. La belle se soumettait à lui d’elle-même, comme si toute sa vie était ainsi. Virginie ressentait ses émotions. Elle apprenait. Elle apprenait à écouter son corps, ses envies ; et surtout, son désir inavoué de soumission.

A suivre…