Ce que veut une femme, et bien, moi je lui donne...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Ce que veut une femme, et bien, moi je lui donne... Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ce que veut une femme, et bien, moi je lui donne...
Je suis en train de rédiger des rapports quand Sylvie la femme d’un collègue fait son entrée.
-Tu as des nouvelles de Philippe.
-Bonjour Sylvie ! Oui ton mec est à la ville haute.
-Tu peux le joindre ? Le connard ne répond pas au portable.
-Je vais essayer avec le fixe !
Je décroche alors le combiné et fait le numéro. Au bout de la cinquième sonnette on décroche.
-Oui ? Répond la voix que je reconnais étant celle de Philippe.
-Tu en as pour longtemps ?
Je profite de l’avoir, pour prendre des nouvelles sur les lieux après la location du week-end. Et voilà que je suis en conversation avec le mari, la coquine se glisse alors, à genoux sous le bureau pour se placer devant mon fauteuil et entreprend par la suite d’ouvrir ma braguette.
-Qu’est-ce que tu fais ? Fais-je, les yeux écarquillés d’étonnement, plaquant ma main sur le combiné pour que mon correspondant n’entende rien.
-Une envie, fait-elle en faisant descendre la fermeture de ma braguette.
Et elle glisse sans attendre sa main dans l’ouverture. Pendant tout ce moment le mari me cause toujours, deviner de ce qui se passe dans le bureau.
Sa femme sous le bureau, extrait ma verge et la caresse dans ses doigts en s’amusant à tirer sur la peau du prépuce pour faire jaillir le gland. Je tente tout de même à la repousser de la main, sans plus de résultat
Elle passe sa langue sur mon gland tout en serrant mon sexe à la base. Je commence très vite à réagir sous ses caresses. Ma queue se met à gonfler et à se raidir pour le plus grand plaisir de Sylvie, qui la prend dans sa bouche. La suce lentement, agitant sa langue par-dessous.
Après réflexion, tout cela devient extrêmement excitant. Se faire sucer par une femme alors que son mari me parle au téléphone. Surtout que la coquine met tout son cœur à me faire du bien. M’avalant la queue en pressant les lèvres dessus.
La malicieuse ne porte pas de soutien-gorge sous son bustier et libère ainsi facilement un sein. Elle frotte mon gland sur le téton érigé. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur la conversation avec le mari. Je peux raccrocher me direz-vous ? Mais c’est tellement agréable ce genre de scénario que je me force à prolonger la discussion. Et heureusement pour moi le mari est une pipelette.
Surtout que la coquine sous le bureau, reprend ma queue en bouche. Donne des coups rapides de langue sur mon gland. De temps en temps, elle me prend même au fond de sa bouche.
Je suis toujours en train de discuter avec le mari, alors que plus bas sa femme se redresse. Quittant ainsi sa cache. Elle est délicieuse, vraiment, surtout en se dandinant maladroitement devant mon bureau. Une main plaquée sur ses seins et l’autre sur sa minuscule touffe de poils sombre. Elle prend place sur le bureau, face à moi. Ses pieds en appui sur les accoudoirs de mon fauteuil, le corps penché vers l’arrière. Elle tripote sa vulve, insinuant son index entre ses lèvres.
Tant bien que mal je continu à parler à l’époux, le regard fixé entre les jambes de sa femme. Je suis de moins en moins pressé que mon collègue raccroche. Je prends un pied pas possible !
C’est trop jouissif tout cela. Et encore plus, quand la coquine attrape ma main pour la plaquer sur sa fente, me faisant ainsi sentir à qu’elle point elle est chaude !
Elle va me faire devenir fou de désir ! Un rictus au coin des lèvres, la voilà qu’elle pousse dans son ventre. Et très vite une giclée de pisse jaillit de sa touffe et ruissèle sur ses jambes.
- Oh, pardon je suis dégueulasse… Fait-elle avant de se pouffer de rire.
-Tu n’es pas seul ? Me fait le mari.
-C’est Patricia !
-J’ai cru reconnaître le rire de ma femme.
-Pourquoi voudrais-tu qu’elle soit là ?
-Bien sûr !
Sylvie me sourie, satisfaite d’elle. Après avoir mouillé de salive le bout de ses doigts, elle les passe dans sa fente. Puis elle s’enfonce deux doigts au fond de son vagin, et leur imprime un vif mouvement de va-et-vient. Sa respiration s’accélère. Ses yeux deviennent flous. Très vite elle est rattrapée par un orgasme. Elle se retient bien de crier, pour ne pas alerter le mari toujours en conversion.
-Bon Philippe, fais-je, ce n’est pas que tu m’embête mais je dois raccrocher pour voir quelque chose avec Patricia.
Puis je raccroche.
-Je m’excuse Alain pour tout ça, laisse tomber l’épouse, mais j’avais envie de jouer à la petite secrétaire dévouée à son directeur. C’est agréable, non ?
-T’aurais pu éviter de te pisser dessus. Tu n’as pas mis de culotte ?
-Ça m’arrive de temps à autre.
-Et qu’est-ce qui on dit ton mari.
-Il s’en fou !
-Il s’en fou ? Fais-je en quittant mon bureau.
Et tout de suite après je colle ma bouche à celle de Sylvie. En même temps, je caresse ses seins avant d’approcher ma bouche pour en lécher les pointes. Je les tète, je les mordille avec délicatesse. Dans l’action nos bouches se soudent à nouveau. A bout de souffle, je me laisse glisser pour me retrouver ma tête entre ses cuisses.
Mécaniquement ma langue glisse sur le sillon de ses lèvres et titille son bouton. Enchantée Sylvie s’étend sur le bureau, jambes fléchies et largement écartées pour me faciliter l’accès de sa chatte. Je darde ma langue à l’intérieur de sa vulve, ce qui la fait gémir. Je lui pourlèche l’intérieur du vagin. Parfois je relève la tête pour scruter son visage et l’observer prendre du bon temps.
Je demeure toujours attentif aux sensations de mes partenaires quand je les suce !
Après une caresse de langue plus vive, le ventre de Sylvie se tressaille. Sa respiration devient sifflante. Et la coquine se laisse glisser jusqu’à la jouissance. Pas le temps de cuver son orgasme que déjà elle réclame l’épisode suivant.
-Prends-moi! Comme une pute, murmure-t-elle !
J’approche ma queue de sa cible. Avant de la pénétrer, je glisse mon gland entre ses lèvres à plusieurs reprises, puis l’immobilise devant l’ouverture. Puis d’un coup de reins je fais disparaître ma queue dans son entier, dans la chatte de la femme du collègue. Avant de me mettre en branle, j’attire ses jambes à moi. Déchausse ses pieds. Ses escarpins tombant à terre. Et doucement je fais voyager ma queue dans son puits d’amour, tout en suçant ses orteils à la sudation salés.
Sylvie halète sur mon bureau. Elle mouille tellement que j’ai l’impression que ma queue se noie dans son puits, au point de ne pas me donner les frissons escompté.
Alors je passe à autre chose. Pour cela je m’agenouille. Devant mes yeux ses poils envahissent la raie jusqu’au coccyx, mettant une note bestiale dans le galbe parfait de son cul. Autour de l’anus saillant, froncé comme un œillet mauve, s’étend une petite parcelle lisse en forme de médaille. Très excité, j’écarte les fesses pour mieux dégager l’orifice.
Son anus se s’ouvre dans ses poils. Il bée, il me réclame, tant que j’approche mon visage, et une forte odeur agresse mes narines. Loin de me rebuter, je donne des coups de langue autour de l’anus, peigne les poils de son entre fesse. J’enfile ma langue à l’intérieur de son anus. Sylvie gémit en agitant les fesses. Je branle son trou du cul, jusqu’à ce que je me décide à passer à autre chose.
Tout en faisant buter mon gland sur ses chairs délicates, et tenant ses fesses très écartées, je force, par à-coups, pour m’introduire.
-Tu crois que ton mari approuverait ça ?
-Cela pourrait peut-être lui donné des idées !
-Tu veux que je lui pose la question ? Fais-je en perdant mon self-control.
-Que de la gueule ! Laisse-t-elle tomber en posant ses doigts sur son clitoris.
Elle se caresse tout en s’ouvrant de son mieux pour me recevoir. Je suis impressionné par la vue de ma queue suspendue à mi-chemin dans le trou du cul de Sylvie. Lentement, j'insère le reste de ma bite jusqu'à ce qu’elle disparaisse. Je n’ai plus de queue, j’ai une chatte !
Enterrée dans le cul de la femme du collègue. Je me prélasse dans son cul qui palpite, collé à ses fesses. C’est du pur bonheur. Son muscle anal emprisonne mon sexe. A l’expression que Sylvie affiche sur son visage, je comprends qu’elle aime ça. Qu’elle prend du plaisir à se faire enculer.
Sylvie se déhanche, remuant le cul dans tous les sens. Je suis surpris par la facilité avec laquelle je me suis enfoncé ! elle n’arrête pas de se secouée pour m’aspirer tout en me massant la queue dans son écrin de velours en même temps. Je soupire d’aie. Elle me pompe délicatement, comme une experte de la chose. Ces palpitations charnues m’enthousiasment, elles suffisent amplement à entretenir mon érection et à me porter lentement vers l’apogée d’une joyeuse jouissance.
A chaque poussée dans le fond de son cul Sylvie soupire. Son cul est pris de convulsions. Il écrase même ma queue sous les spasmes de son orgasme anal et clitoridien. Et vu le tremblement de son corps, c’est un méga orgasme qu’elle a dû avoir ! Du coup j’explose à mon tour. Je gicle dans son trou dilaté. Mon plaisir est si intense que je dois m’asseoir l’instant d’après.
Toujours allongée sur le bureau, je peux apercevoir son trou du cul rempli de sperme s’ouvrir et se refermer sans arrêt. Je le regarde, content de moi, de lui avoir donné du plaisir.
Ma bite est toute molle quand elle prononce ses premiers mots doux et presque inaudible.
Cinq minutes plus tard elle quitte mon bureau, après m’avoir donné rendez-vous pour le lendemain.
J’ai pris ce soir là, la démoniaque décision d’attendre Philippe son époux, pour lui serrer la main, celle-là même qui à tripoter le cul et la chatte de sa femme…

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