Chambres d'hôtes (partie 2)

- Par l'auteur HDS Bob-et-Annie -
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Récit libertin : Chambres d'hôtes (partie 2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Chambres d'hôtes (partie 2)
Dans l’épisode précédent …

A la suite d’une leçon de conduite, Bruno invita Virginie à passer un week-end en chambres d’hôtes avec lui. La belle accepta en assurant au préalable un prétexte pour que Bob ne se doute de rien. Arrivée sur les lieux de la villégiature, la belle se fit sauter toute une partie de l’après-midi dans la chambre du premier étage. Nono lui proposa ensuite une promenade dans les jardins de la propriété.


Récit :

La nuit venait de tomber. Il était l’heure de se mettre à table, Dans la cuisine, Betty avait préparé potages, viandes, légumes et autres mets. Dans le salon, tout était prêt. Virginie précéda Bruno ? Ce dernier profitait de la situation pour mater à merveille le joli cul de sa dulcinée. Virginie était gracieuse. Son attitude et son élégance comblaient toutes les espoirs de Bruno. Ce soir, c’est sûr, il pourra mettre son plan à exécution.

- Tiens, assieds-toi ici, dit Bruno.
Virginie s’essaya en silence sur la chaise qui était toute indiquée pour elle.

- Tu es belle, ma chérie, vraiment belle, dit-il. Jamais, je n’ai vu femme plus belle que toi.
- Tu me flattes, répondit Virginie. Je suis sûre que tu en as connu de plus belles que moi.
- Non, je t’assure, tu es belle. J’aime ta bouche, tes seins, ta chevelure. Et puis, tu es très douée pour faire l’amour. Chaque fois que je te vois, j’ai envie de toi.
- Ça y est, je sens que tu vas encore dévier sous la ceinture, ajouta la belle.
- Non, je t’assure, jamais je n’ai rencontré de filles comme toi ; tu es superbe. Je suis très content de te connaitre.
- Si tu le dis. Mais je crois que tu as plus d’expériences que tu n’oses le dire. Je suis sûre que tu as eu pas mal de belles conquêtes et que tu ne veux pas me le dire.
- En effet, je suis gêné par cela. On a chacun nos petits secrets.
- Je ne te juge pas tu sais. Je cherche juste à savoir qui tu es ; et puis c’est vrai, je suis plutôt de nature curieuse.
- Oui, un jour je te dirais tout cela mais tu sais bien qui je suis. Cela fait trois semaines que nous baisons ensemble. J’ai envie de toi tout le temps dans toutes les positions. Je veux faire des folies de ton corps. Mieux, je veux que de toi-même tu fasses des folies de ton corps ; libère-toi. Moi, je jouis, rien qu’à te regarder. Tiens, la première fois que tu m’as sucé dans la voiture j’en garde un souvenir impérissable.
- Pour moi aussi tu sais. J’ai adoré, je te l’avoue. Mais j’avoue que je culpabilise un peu à cause de Bob. Je ne lui ai encore rien dit.
- Ne pense pas à cela et si cela se trouve, il en fait autant lui aussi de son côté.
- Non, je ne pense pas, je le connais, il m’aime et il sait que je l’aime.
- Parfois, je me dis que je ne le mérite pas.

Sur ces mots, Bruno se leva et embrassa Virginie sur les lèvres amoureusement.
- Tu es une femme radieuse Virginie, belle et délicieuse, dit-il. J’ai envie de toi parce que tu es belle. Laisse-moi te faire découvrir d’autres horizons.
- Embrasse-moi encore, dit la Belle, pensive et lascive.

Nono embrassa Virginie langoureusement avec la langue. La belle fermait les yeux et se laissait faire. Elle était amoureuse de lui et de l’amour qu’il avait pour elle. Se sentir désirée, se sentir aimée, c’était ce qui lui avait manqué le plus pendant toutes ces années. Soudain, le bruit et les phares d’une voiture se fit sentir dans la grande allée gravillonnée de la propriété : une voiture s’arrêta devant la propriété.

- C’est lui, fit remarquer Bruno qui se leva aussitôt de table.
- Oui, répondit Virginie timidement.

Virginie resta assise. Elle attendit les instructions. A vrai dire, elle ne savait quoi faire ni comment réagir. Sa timidité reprenait le dessus. Elle se retrouvait dans une situation inédite et chaque situation inédite comme toujours la décontenançait.

- Viens avec moi, renchérit Bruno en s’adressant à elle et en lui tendant la main.

Virginie se leva de table et attrapa la main de Bruno qui l’emmena posément vers l’extérieur.

- L’homme qui est arrivé est un ami à moi. C’est le cadeau que je t’ai promis pour ce soir. Je veux que cela reste entre nous. Tu ne le diras à personne, pas même à Bob. Je veux que ce soit notre secret, à tout jamais. Un jour, je t’expliquerai tout cela mais pas maintenant.

Virginie ne chercha pas à en savoir plus. Et puis, les secrets, elle commença à aimer cela, depuis la première fois qu’elle avait trompé Bob et qu’elle ne lui avait pas dit. Dans l’entrée, Bruno ajouta à Virginie :

- Je veux que tu rejoignes l’homme (c’est ainsi que Bruno le désignait) à l’extérieur et que tu t’accroupisses devant lui ensuite tu le suceras comme tu sais si bien le faire. Ensuite, tu aviseras. Peut-être que c’est lui qui prendra les choses en mains.

- On dirait que tu me commandes, renchérit Virginie, avec malice

- Oui, je te commande et je sais que tu aimes ça. Ne dit pas le contraire. J’ai tout de suite compris à qui j’avais affaire avec toi, le premier jour où je t’ai vue, dans l’auto-école. Toute de suite, j’ai compris et j’ai vu que tu avais un potentiel hors-normes à dépasser les limites. Dommage que ton chéri ne l’ait pas vu avant.

- Oui, dommage. Mais je te signale que je suis libre de moi-même, renchérit Virginie

- Oui, et c’est bien pour cela que je t’ai choisi. Montre-moi de quoi tu es capable.

Virginie, discrète et soucieuse de bien faire, de plaire aussi, reconnut que Bruno avait raison : elle détenait ce potentiel que peu de femmes détiennent et qui est, sinon de tout accepter, de dépasser les limites du commun des mortels, celui de la luxure, du plaisir et du libertinage. Progressivement, Virginie se découvrit libertine dans les bras de Bruno d’abord, dans ceux de Bob, ensuite, où était-ce l’inverse.


Dans le jardin, l’homme sortit de sa voiture et attendit la belle Virginie se dévêtir et s’offrir à lui comme le lui avait dit Bruno au téléphone quelques soirs auparavant. Virginie sortit de la maison à l’invitation de Bruno. En voyant Virginie, l’homme fut surpris de voir la Belle déjà pratiquement nue, revêtue uniquement de ses bas blancs et d’un porte-jarretelles que Bruno lui avait offert.

- Va ! ajouta Bruno. Je veux te voir t’approcher de lui. Je veux te voir à l’œuvre. Montre-moi ce que tu es douée et que je ne me suis pas trompé sur toi.

Virginie tourna le dos à Bruno et se dirigea en direction de l’homme. Son cœur battait la chamade comme si la peur la tétanisait. L’homme, elle ne l’avait jamais vu et ne le connaissait pas. Il était brun, grand et légèrement musclé comme elles les aiment habituellement. L’homme avait la trentaine, il était donc plus âgé qu’elle.

- Tu es un ami de Bruno, lui demanda-t-elle.

L’homme ne répondit pas et il commençait à la désirer. Virginie légèrement inquiète songea un instant de tout arrêter mais l’homme commença à humecter son parfum en l’embrassant dans le coup en caressant ses cheveux, son visage, son corps, ses épaules, ses seins. En ressentant les mains de l’homme sur ses seins, Virginie sentit qu’elle était désirée pour elle-même. L’homme caressait, palpait et soupesait. C’est dans cette caresse seulement qu’elle décida de continuer et d’aller plus loin. Sa main vint alors à la rencontre du sexe de l’individu dont elle ne connaissait pas le nom. L’homme embrassa dans le cou puis la caressa sur la chatte délicatement sensuellement en la pénétrant d’un doigt légèrement d’un doigt furtif et approprié.

Délicatement, Virginie s’accroupit devant l’entrejambe de l’homme qui avait baissé sa braguette. Virginie continua seule le reste de la besogne en glissant une main experte dans l’ouverture ainsi offerte. Bruno qui était resté sur le seuil de la porte, se satisfaisait de voir qu’il ne s’était pas trompé au sujet de la belle.



En caressant l’homme dans son entre-jambes, Virginie découvrit assez vite que l’ouverture qui s’offrit à elle cachait un bel engin d’un calibre qu’elle affectionné. Le phallus de l’homme se présentait en effet sous des proportions respectables. Peut-être 4 ou 5 cm de diamètre sur quelques 20 cm de large. C’est du moins l’impression qu’elle en eut et le souvenir qu’elle me relata des années bien plus tard.

Ses deux mains caressèrent et branlèrent le phallus qui se dressait majestueusement devant elle. L’homme laissa la belle se saisir de cet engin qu’elle ingurgita instinctivement dans sa bouche quand celui-ci vint à se retrouver tout prêt de sa bouche et de ses lèvres pulpeuses et sensuelles. Bruno regardait Virginie avait délectation :

- Je le savais, jugea-t-il dans ses pensées. Cette fille est capable de beaucoup de choses. Je devrais pourvoir pal mal m’amuser avec elle.

Virginie suça l’homme comme si bien elle savait le faire d’avant en arrière, doucement, délicatement sans exagération et sans provocation. D’un regard bref et déjà sûre d’elle, elle regardait l’homme sur son visage jouir et prendre du plaisir par cette caresse. Elle regardait dans le visage de l’homme le pouvoir qu’elle avait sur celui-ci. Elle le tenait et était la maitresse du jeu. Le gars l’aurait pénétré violemment dans la bouche qu’elle l’aurait volontiers laissé faire. Elle-même était en extase devant le plaisir qu’elle prenait et donnait par la même occasion.

En suçant cette verge qu’elle trouvait véritablement grosse et à son gout, Virginie avait de plus en plus envie de la prendre et de la recevoir dans le bas de son corps, juste en dessous de ses reins et bas e son ventre. Elle avait envie de cette queue qu’elle trouva de plus en plus grosse au fur de ses caresses. Le désir il est certain s’accroissait en elle. L’homme releva la belle et l’embrassa. Dans ses caresses, la belle s’était accroupit pour sucer et caresser ce sexe comme si toute sa vie et son savoir ne se résumaient qu’à cela. Virginie suçait l’homme avec douceur et bonheur. Elle aimait sucer et être satisfaite. Bruno la regardait faire, très satisfait, d’avoir découvert la femme qu’il espérait découvrir un jour. Mieux, il réalisait qu’à lui seul, il pouvait parfaire à son éducation : Virginie était une jeune fille douce de 22 ans. Elle avait connu qu’un seul homme dans sa vie : Bob. Il était temps dorénavant de changer tout cela.


Fin seconde partie

Les avis des lecteurs

Merci Olga. Je vous retourne le remerciement. Vos histoires contribuent grandement à l'attractivité du site. Je vous embrasse.

Merci Bob de continuer à nous faire découvrir le parcours singulier de Virginie



Texte coquin : Chambres d'hôtes (partie 2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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