COCHON UN JOUR, COCHON TOUJOURS !

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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COCHON UN JOUR, COCHON TOUJOURS !
Je m’en voulais de mon geste. Ma brutalité a rendu Catherine fuyante. Elle m’évite, s’efforce de croiser mon regard le moins possible et ne reste jamais seule dans la même pièce que moi.
Jusqu’à ce jour, où je dois bricoler dans une chambre et dont j’ai le choc d’y trouver Catherine. Je ne m’y attendais pas à celle-là. Et elle est bien la dernière personne que je tiens à voir. Et l’inverse est sûrement vrai. Du moins, je le croyais. Aussi, je reste étonné quand, au lieu de crier après moi comme je redoutais, elle me sourit.
Le chandail qu’elle porte ce matin-là, laisse entrevoir une poitrine enserrée par un soutien-gorge de couleur rouge. Je sens le désir monter en moi. Elle me dévore du regard. Elle a sans doute réfléchi depuis notre dernier épisode. Et se persuader qu’elle avait plus à gagner qu’à perdre avec moi !
-Je voudrais m’excuser.
-Tu veux vraiment t’excuser ?
-Oui Catherine, j’y tiens !
-Alors enfile-toi ça, me lâche-t-elle, en me jetant un collant blanc.
-Il est à toi ? Fais-je en le saisissant.
-Non, il traînait dans la corbeille.
C’était donc celle qui avait dormi dans la chambre.
De la sorte, Inès. D’ailleurs, des émanations de son parfum capiteux m’arrivent jusqu’à mes narines. Sourire aux lèvres, Catherine me défit du regard. J’hésite un instant sur la conduite à suivre. Puis je décide de retirer mon pantalon. D’enlever ma culotte, ce serait certainement plus confortable.
-Tiens, tu n’as pas pris la peine de sentir le collant.
-Pas la peine… je ne suis pas un grand fan de cette fille !
Je prends place sur le bord du lit et enfile le collant. J’enfouis mon pied et ma jambe dans le vêtement de lingerie exquis, ensuite l’autre jambe. Je sens aussitôt une sensation très jouissante m’envahir. Un plaisir sexuel m’envahit. Je continue à enfiler le collant, jusqu’à mes hanches et recouvrir ma queue de ce voile si doux et délicat. Ça y est ! J’ai enfin enfilé les collants d’Inès. Le nylon m’offre une sensation plus intense encore que je l’espérais. Ils sont tellement doux.
Devant le regard de Catherine, je me caresse les jambes, les cuisses, les hanches, et pour finir ma queue. Je sens mon désir pour elle monter de seconde en seconde.
-Ça te va bien, me lance-t-elle en s’avançant jusqu’à moi.
Ondulant honteusement des hanches. Consciente de ce qu’elle produit chez moi.
-J’aimerais aussi que tu saches que j’aime la baise. Oui, comme je te le dis. Surtout avec tes types pervers de ton genre. Un flaireur de culottes souillées. D’ailleurs, je porte depuis trois jours la même culotte blanche. Je peux te dire qu’elle est souillée. Cela t’intéresse ?
-Pas qu’un peu !
-Cochon !
Elle déboutonne son pantalon. Le fait rouler le long de ses jambes. Dessous, elle a effectivement une banale culotte blanche, dont je vois bien à travers, qu’elle était sale.
- Approche, tu vas pouvoir constater de visu ce que je te dis.
Je soulève le coton de la culotte du bout de l’index. Elle ne mentait effectivement pas. J’examine scrupuleusement les dégâts. L’intérieur du slip est badigeonné de tout genre. Excité comme une puce, je me masse la queue à travers mon pantalon.
- J’adore sentir monter jusqu’à mes narines mes odeurs. Tu dois te dire que je suis une sale cochonne !
-J’adore les cochonnes comme toi !
-Alors… tu la veux ?
-Pas qu’un peu que je la veux !
Elle se tend vers moi et colle son cul au bord de la table. Soulevant légèrement les hanches, elle passe l’élastique de son slip sous ses fesses. Elle est en train de se déculotter. Elle termine de baisser sa culotte. Elle l’a maintenant entre ses genoux disjoints. Elle repousse encore l’élastique, la culotte dévale, court lui chatouiller les chevilles. Elle soulève un talon, puis l’autre. Elle se penche, referme sa main sur le coton. Elle me la tend. Je m’empare du cadeau.
Incapable de me retenir plus longtemps, j’agis sans réfléchir, je la colle à mes narines et hume à plein poumons tout ce que la petite lingerie a à m’offrir. Une forte odeur relevée, mélange de sucré et amer. Qui vaut bien, pour moi, toutes les saveurs les plus raffinées du monde. C’est alors que je l’entends s’écrier :
- Nettoie-moi, je suis sale.
Je délaisse le trophée, pour faire balader ma langue dans son intimité. Faisant disparaître toute trace de salissure.
- Mets ton doigt dans mon cul. J’ai envie que tu me fouilles.
Je fais disparaître mon index avec une aisance facilement explicable. Même s'il semble très serré, la présence de ma salive le lubrifie correctement. Je ne la fouille pas comme elle le souhaitait si bien, mais je lui ramone le trou. Si bien qu’il se dilate.
À un tel point que cela m’incite à y fourrer un second doigt dans le fondement de Madame. Sans doute savait-elle ce que j’allais le faire. Le reste est venu naturellement. Et j’ai été le premier surpris quand je me suis rendu compte que ma main avait disparu. J’ai le poignet qui dépasse de son anus. Ma main voyage en elle. Je prends tout mon temps. Je savoure l’instant. Dans ma longue expérience sur le cul, je me suis rarement trouvé devant un tel fait !
Je prends la mesure de son rectum. Le bout de mes doigts frôle la délicatesse des muqueuses de la cavité. Je suis pris dans une telle volute d’exhortation que je me laisse emporter à glisser mon autre main dans sa chatte. Dans un premier temps, je voulais seulement lui donner du plaisir en massant son vagin, voire son clitoris. Mais voilà, que mes doigts se trouvent comme avalés par le conduit. C’est une sensation exaltante que de fouiller les deux en même temps. Il m’est arrivé même, une paire de fois, de faire avec des doigts, mais avec deux mains ?
Je sens son corps se raidir, alors que les premiers spasmes de la jouissance s’emparent d’elle. J’ai bougé avec plus de cruauté. Pilonnant ses muqueuses. Sortant et rentrant plusieurs fois de son anus. Elle a joui, son corps agité de spasmes violents, en criant.
Sitôt son orgasme consommé, la voilà qu’elle tend les jambes de sorte que la pointe de ses pieds atteignent ma queue. Très vite, mon sexe se trouve à l'étroit dans sa prison en nylon. Cette Catherine me rend fou. Elle continue à me caresser avec ses gros orteils. Je suis en plein rêve.
Pendant que ses pieds me caressent, Catherine se touche. Elle se donne du plaisir en même temps. Pour mon plus grand désarroi, voilà qu’elle arrête son amusement avec ses pieds sur ma queue et porte son pied droit à hauteur de ma bouche. Je lèche son pied avec enthousiasme. Je tète ses orteils. Je déguste la plante, le talon, pendant que Catherine continue de se chatouiller la chatte. Après quelques minutes de léchage intensif, Catherine se met à trembler et à crier plus fort.
Je me saisis de son deuxième pied et le frotte à mon érection. Comme souhaité, je crache mon sperme. Une quantité importante. Catherine se met à lécher le nylon blanc souillé par mon foutre. Sur un air coquin, elle me
dit :
-Tu vois, tu ne m'as pas sauté, comme je ne t'ai pas pompé la queue. Mais cela ne m’empêche pas d’aimer le goût de ton sperme. Mais si cela te dit…
Sa phrase est coupée par la sonnerie de son portable. Elle s’avance jusqu’à lui, se renseigne à savoir qui l'appelle, elle engage le haut-parleur et répond :
-Oui ma chérie !
-Allo, maman, tu es au boulot là ?
-Oui, comme tu sais !
-Je peux te parler ?
-Je t'écoute, ma fille.
-Ça ne s’arrange pas avec lui. J’ai pourtant fait tout ce que tu m’as
dit !
-Écoute, ce n'est pas grave, si tu veux une consolation, j’ai ce qu'il te faut !
J’entends Julie rigoler.
-On parle bien de la personne dont nous avons eu la discussion pas plus tard qu'hier soir ?
-De lui-même, oui !
-Tu es sérieuse, maman ?
-Je ne me connais pas encore assez, ma fille, pour savoir que je ne plaisante jamais avec ça. Alors ?
-Alors… pourquoi pas maman… enfin, si…
-Tu sais bien, ma fille, que je cherche que ton bien ! Je te l'envoie. Il va s’occuper de toi. Comme je te l’ai dit, c’est vraiment un gros cochon. Et encore, le mot est faible…
-Tant mieux… j’ai besoin de cela !
La coquine me propose de m’envoyer à sa fille.
Jusqu’à ce jour, où je dois bricoler dans une chambre et dont j’ai le choc d’y trouver Catherine. Je ne m’y attendais pas à celle-là. Et elle est bien la dernière personne que je tiens à voir. Et l’inverse est sûrement vrai. Du moins, je le croyais. Aussi, je reste étonné quand, au lieu de crier après moi comme je redoutais, elle me sourit.
Le chandail qu’elle porte ce matin-là, laisse entrevoir une poitrine enserrée par un soutien-gorge de couleur rouge. Je sens le désir monter en moi. Elle me dévore du regard. Elle a sans doute réfléchi depuis notre dernier épisode. Et se persuader qu’elle avait plus à gagner qu’à perdre avec moi !
-Je voudrais m’excuser.
-Tu veux vraiment t’excuser ?
-Oui Catherine, j’y tiens !
-Alors enfile-toi ça, me lâche-t-elle, en me jetant un collant blanc.
-Il est à toi ? Fais-je en le saisissant.
-Non, il traînait dans la corbeille.
C’était donc celle qui avait dormi dans la chambre.
De la sorte, Inès. D’ailleurs, des émanations de son parfum capiteux m’arrivent jusqu’à mes narines. Sourire aux lèvres, Catherine me défit du regard. J’hésite un instant sur la conduite à suivre. Puis je décide de retirer mon pantalon. D’enlever ma culotte, ce serait certainement plus confortable.
-Tiens, tu n’as pas pris la peine de sentir le collant.
-Pas la peine… je ne suis pas un grand fan de cette fille !
Je prends place sur le bord du lit et enfile le collant. J’enfouis mon pied et ma jambe dans le vêtement de lingerie exquis, ensuite l’autre jambe. Je sens aussitôt une sensation très jouissante m’envahir. Un plaisir sexuel m’envahit. Je continue à enfiler le collant, jusqu’à mes hanches et recouvrir ma queue de ce voile si doux et délicat. Ça y est ! J’ai enfin enfilé les collants d’Inès. Le nylon m’offre une sensation plus intense encore que je l’espérais. Ils sont tellement doux.
Devant le regard de Catherine, je me caresse les jambes, les cuisses, les hanches, et pour finir ma queue. Je sens mon désir pour elle monter de seconde en seconde.
-Ça te va bien, me lance-t-elle en s’avançant jusqu’à moi.
Ondulant honteusement des hanches. Consciente de ce qu’elle produit chez moi.
-J’aimerais aussi que tu saches que j’aime la baise. Oui, comme je te le dis. Surtout avec tes types pervers de ton genre. Un flaireur de culottes souillées. D’ailleurs, je porte depuis trois jours la même culotte blanche. Je peux te dire qu’elle est souillée. Cela t’intéresse ?
-Pas qu’un peu !
-Cochon !
Elle déboutonne son pantalon. Le fait rouler le long de ses jambes. Dessous, elle a effectivement une banale culotte blanche, dont je vois bien à travers, qu’elle était sale.
- Approche, tu vas pouvoir constater de visu ce que je te dis.
Je soulève le coton de la culotte du bout de l’index. Elle ne mentait effectivement pas. J’examine scrupuleusement les dégâts. L’intérieur du slip est badigeonné de tout genre. Excité comme une puce, je me masse la queue à travers mon pantalon.
- J’adore sentir monter jusqu’à mes narines mes odeurs. Tu dois te dire que je suis une sale cochonne !
-J’adore les cochonnes comme toi !
-Alors… tu la veux ?
-Pas qu’un peu que je la veux !
Elle se tend vers moi et colle son cul au bord de la table. Soulevant légèrement les hanches, elle passe l’élastique de son slip sous ses fesses. Elle est en train de se déculotter. Elle termine de baisser sa culotte. Elle l’a maintenant entre ses genoux disjoints. Elle repousse encore l’élastique, la culotte dévale, court lui chatouiller les chevilles. Elle soulève un talon, puis l’autre. Elle se penche, referme sa main sur le coton. Elle me la tend. Je m’empare du cadeau.
Incapable de me retenir plus longtemps, j’agis sans réfléchir, je la colle à mes narines et hume à plein poumons tout ce que la petite lingerie a à m’offrir. Une forte odeur relevée, mélange de sucré et amer. Qui vaut bien, pour moi, toutes les saveurs les plus raffinées du monde. C’est alors que je l’entends s’écrier :
- Nettoie-moi, je suis sale.
Je délaisse le trophée, pour faire balader ma langue dans son intimité. Faisant disparaître toute trace de salissure.
- Mets ton doigt dans mon cul. J’ai envie que tu me fouilles.
Je fais disparaître mon index avec une aisance facilement explicable. Même s'il semble très serré, la présence de ma salive le lubrifie correctement. Je ne la fouille pas comme elle le souhaitait si bien, mais je lui ramone le trou. Si bien qu’il se dilate.
À un tel point que cela m’incite à y fourrer un second doigt dans le fondement de Madame. Sans doute savait-elle ce que j’allais le faire. Le reste est venu naturellement. Et j’ai été le premier surpris quand je me suis rendu compte que ma main avait disparu. J’ai le poignet qui dépasse de son anus. Ma main voyage en elle. Je prends tout mon temps. Je savoure l’instant. Dans ma longue expérience sur le cul, je me suis rarement trouvé devant un tel fait !
Je prends la mesure de son rectum. Le bout de mes doigts frôle la délicatesse des muqueuses de la cavité. Je suis pris dans une telle volute d’exhortation que je me laisse emporter à glisser mon autre main dans sa chatte. Dans un premier temps, je voulais seulement lui donner du plaisir en massant son vagin, voire son clitoris. Mais voilà, que mes doigts se trouvent comme avalés par le conduit. C’est une sensation exaltante que de fouiller les deux en même temps. Il m’est arrivé même, une paire de fois, de faire avec des doigts, mais avec deux mains ?
Je sens son corps se raidir, alors que les premiers spasmes de la jouissance s’emparent d’elle. J’ai bougé avec plus de cruauté. Pilonnant ses muqueuses. Sortant et rentrant plusieurs fois de son anus. Elle a joui, son corps agité de spasmes violents, en criant.
Sitôt son orgasme consommé, la voilà qu’elle tend les jambes de sorte que la pointe de ses pieds atteignent ma queue. Très vite, mon sexe se trouve à l'étroit dans sa prison en nylon. Cette Catherine me rend fou. Elle continue à me caresser avec ses gros orteils. Je suis en plein rêve.
Pendant que ses pieds me caressent, Catherine se touche. Elle se donne du plaisir en même temps. Pour mon plus grand désarroi, voilà qu’elle arrête son amusement avec ses pieds sur ma queue et porte son pied droit à hauteur de ma bouche. Je lèche son pied avec enthousiasme. Je tète ses orteils. Je déguste la plante, le talon, pendant que Catherine continue de se chatouiller la chatte. Après quelques minutes de léchage intensif, Catherine se met à trembler et à crier plus fort.
Je me saisis de son deuxième pied et le frotte à mon érection. Comme souhaité, je crache mon sperme. Une quantité importante. Catherine se met à lécher le nylon blanc souillé par mon foutre. Sur un air coquin, elle me
dit :
-Tu vois, tu ne m'as pas sauté, comme je ne t'ai pas pompé la queue. Mais cela ne m’empêche pas d’aimer le goût de ton sperme. Mais si cela te dit…
Sa phrase est coupée par la sonnerie de son portable. Elle s’avance jusqu’à lui, se renseigne à savoir qui l'appelle, elle engage le haut-parleur et répond :
-Oui ma chérie !
-Allo, maman, tu es au boulot là ?
-Oui, comme tu sais !
-Je peux te parler ?
-Je t'écoute, ma fille.
-Ça ne s’arrange pas avec lui. J’ai pourtant fait tout ce que tu m’as
dit !
-Écoute, ce n'est pas grave, si tu veux une consolation, j’ai ce qu'il te faut !
J’entends Julie rigoler.
-On parle bien de la personne dont nous avons eu la discussion pas plus tard qu'hier soir ?
-De lui-même, oui !
-Tu es sérieuse, maman ?
-Je ne me connais pas encore assez, ma fille, pour savoir que je ne plaisante jamais avec ça. Alors ?
-Alors… pourquoi pas maman… enfin, si…
-Tu sais bien, ma fille, que je cherche que ton bien ! Je te l'envoie. Il va s’occuper de toi. Comme je te l’ai dit, c’est vraiment un gros cochon. Et encore, le mot est faible…
-Tant mieux… j’ai besoin de cela !
La coquine me propose de m’envoyer à sa fille.
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