COLLECTION BLACK. Black and black. Bain de Minuit. (4/7)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Black and black. Bain de Minuit. (4/7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION BLACK. Black and black. Bain de Minuit. (4/7)
- Oui mon petit bouchon mais je peux être le loup et le chasseur si je le veux, l’avenir te le dira.

Dans mon demi-brouillard cette phrase aurait mérité que je lui demande de l’approfondir.
Mais comme il la ponctue d’un de ses baisers langoureux dont il a le secret, je mouille et je suis heureuse de retrouver l’air libre, son bras de nouveau autour de ma taille.

C’est vers la plage, à une centaine de mètres, qu’il m’entraîne et tout naturellement arrivés au bord de l’eau, il m’enlève mon débardeur, faisant apparaître mes seins qui sont sans soutien.
J’en avais mis un, mais dans ma glace, avant de le rejoindre, je me suis aperçue que j’allais pouvoir l’exciter surtout avec mon mini-short de même couleur que je porte sans petite culotte.
Chez maman, en me préparant, me retournant pour me regarder, là encore dans ma glace, on la voyait poindre sur mon petit cul rebondi.

J’en fais de même pour sa chemise coupée au millimètre et de son pantalon quand je défais sa ceinture, que j’enlève le premier bouton, tombant à ses pieds, me montrant ma convoitise.
Il me prend par la main, manquant de me faire tomber car il avait déjà enlevé ses mocassins en daim alors que je suis toujours perchée sur des chaussures à semelles hautes.
Sur un pied j’arrive à défaire la deuxième lanière et le suivre dans l’eau pour un bain de minuit à presque deux heures du matin.
L’eau est froide malgré la chaleur de la journée et je m’affale de tout mon long dans une gerbe d’eau autour de moi.
J’ai le plaisir de le voir être aspergé alors qu’il en a à peine aux genoux.

Les vieux ont plus de mal à entrer dans l’eau, la lune me le fait voir rentrant son ventre très plat par ailleurs, les bras levés.
Une vague m’attrape par-derrière me faisant rouler et comme cette après-midi je bois une tasse.
Il m’attrape, me relève et avec sa musculature me soulève pour me prendre par la taille.
J’ai le plaisir de lui faire de l’effet car sa verge se redresse et vient se faufiler entre mes cuisses.
J’ai l’impression de me retrouver à califourchon sur une branche, rêvant à un prince charmant comme c’était le cas chez ma grand-mère quand je grimpais sur son cerisier.

Tendu au maximum, il me soulève d’une main alors que j’ai les bras autour de son cou et les yeux dans les yeux à la lumière diffuse de la lune, il m’empale.
Avançant dans l’eau, il se met à aller vers le large me donnant des sensations.

Il force pour marcher au fond de l’eau, et arrivée à la taille, un orgasme me dévaste.
En bonne louve que je suis devenue, je hurle à la lune, montrant à mon mâle que son traitement a été efficace.

Il avance parallèlement à la plage, sans éjaculer, de droite à gauche avant de se rapprocher du rivage avant de me poser les fesses dans dix centimètres d’eau.
Je m’allonge, il est toujours en moi.
Il commence à me labourer, les vagues venant rafraîchir nos corps enlacés.
Je suis au paradis, me faire baiser sous le regard de la lune, les vagues venant lécher mon intimité, que demander de plus.
On dit que la vie commence à 40 ans, pour moi elle commence à 22 ans.

C’est drôle de penser à cela alors que je devrais me concentrer sur le sexe qui me laboure.
À ce moment, je prendre des décisions pouvant orienter ma vie.
Vie que je mange à pleines dents depuis que j’ai rencontré Jason et certainement loin d’un bureau sentant la poussière dans une étude notariée qui plus est au centre d’Arras.
J’ai l’impression que ma chatte est déjà celle d’une vieille baiseuse alors que Jason vient de l’ouvrir à la vie.
Il me fait hurler une nouvelle fois de plaisir surtout quand il me remplit de ses longs traits de sperme me laissant pantelante.
Nous restons allongés l’un sur l’autre, même si son poids assez imposant me pèse je reste accrochée à son cou, nos sexes se séparant.

Le froid que nous procurent les vagues sur nos corps nous oblige à nous séparer quand il roule à mon côté.

- Excuse-moi de m’être assoupie, j’ai dû te peser, il fallait me réveiller.
- Mon grand loup, te sentir sur moi et en moi-même si tu as fini par débander.
Je sentais ta verge à l’entrée de ma grotte j’en ai presque ressenti du plaisir mais je l’ai retenue de peur de te réveiller.
Tu sais j’ai tellement rêvé de vivre un moment aussi intense avec un homme sur moi que c’était un pur bonheur.
J’avais un fantasme que tu as réalisé à ton insu.
- Quel fantasme ?


En lui parlant de mon fantasme je prends conscience qu’il peut mal le prendre et croire que je l’ai attiré dans mes filets en faisant croire que je me noyais sur la plage cet après-midi.
Une fraction de seconde je pense que notre relation va se terminer ici sur cette plage, là où tout a commencé.

- J’ai trop parlé Jason, tu vas croire des choses ignobles.
- Veux-tu que je parte en courant sans que tu me dises le pourquoi du comment ?
- Non, un jour à la piscine un homme m’a montré sa queue gigantesque toute noire et depuis ce jour je me masturbais en la revoyant en rêve, mais tu sais, il était moins impressionnant que toi.


Pour la première fois, comme pour se venger, il me prend par les cheveux et m’oblige à venir jusqu’à sa queue hélas lavée par la mer de son sperme.

- Alors suce petite salope, de la queue noire tu vas en avoir et au centuple.

Une nouvelle fois je suis contente de m’exécuter sans me poser la moindre question.
Que veut-il dire sur de la queue noire que je vais avoir à profusion ?
Je suis de plus en plus forte avec ma bouche et mes mains.
Une nouvelle fois j’arrive à le faire éjaculer, dégustant une quantité inférieure de sperme par rapport à celui expulsé lors de nos premiers rapports.
Il est vrai que lorsqu’on aime on évite de compter.

Je me redresse, me pourléchant les lèvres quand je prends conscience qu’un couple longe le bord de mer, les pieds dans l’eau, les chaussures à la main.
Ils nous frôlent semblant nous ignorer.
Une fraction de seconde j’ai l’impression de reconnaître maman et Robert rentrant chez eux.
Venaient-ils d’une boîte autre que celle dont nous venons ?
Je sais qu’elle m’a dit en fréquenter certains soirs, où toutes les danses qu’elle m’a apprises sont jouées.
Venaient-ils pour un bain de minuit, je vais bien me garder de lui poser la question la prochaine fois où je la verrais ?

Nous retournons jouer dans les vagues, nous nous embrassons encore et encore, nos langues semblant avoir une folle envie de rester soudées pour l’éternité.
Du moins, en bonne midinette que j’ai consciente d’être un peu, quand je regarde maman, quand elle a vécu son premier amour avec papa ou un autre, ses pensées étaient certainement les mêmes.

Nous rentrons vers la chambre de l’hôtel quand mon portable qui m’avait laissé tranquille depuis que j’ai rencontré le black de ma vie sonne.

- Allô ?
- Alors ma fille, as-tu passé une bonne journée ?

Que puis-je répondre, parler de ma première journée de femme !
Si c’est elle qui est passée avec son amant, il faisait nuit, la journée était terminée.
Que lui dire, que je me suis fait baiser par Jason autant qu’il l’a voulu ?
Lui dire que j’ai réalisé un fantasme sans le vouloir ?

- Très bonne maman, j’espère que toi aussi ta journée a été bonne, bonne nuit, à demain.

Ce qu’il y a de bien avec un téléphone c’est la vitesse où on le coupe, évitant dans dire plus.

À l’hôtel je tombe comme une masse, m’endormant même dans la baignoire.
Il m’en a sorti le lendemain matin car la bonne odeur de café me réveiller.
Je me trouve entièrement nue sur le dessus des draps.

La première chose que je vois c’est ma chatte rasée ce qui est bien nouveau pour moi et dans un même regard Jason, nu lui aussi, sur la terrasse dégustant une tartine beurrée, une tasse à la main.

- Tu émerges petit cœur, as-tu vu l’heure !

Je regarde à droite et à gauche s’il y a une pendule et comme j’ignore ce qu’est une montre je suis bien avancée.

- Regarde ton portable.

Je le récupère m’indiquant qu’il est 14 heures.
Je saute au sol, j’arrive sur la petite terrasse.
Je m’agenouille en petite chienne amoureuse, je m’approche de mon roudoudou.
Je sais, c’est une gourmandise de l’époque de maman, mais qui existe toujours.
Mon roudoudou a un grand bâton noir terminé par un gland qui, si je suis efficace, va me donner ma rasade de sperme à la place de la poudre que maman adorait.

Je commence bien ma journée surtout que Jason semble avoir repris un maximum de force.
Je dois dire qu’ici le soleil brille pour une jeune femme débutant sa vie.
Aurais-je dû la privilégier à mes études pour me retrouver dans une étude, fusse notariale…



Une nouvelle fois merci à Anne.

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