COLLECTION BLACK. Lors des heures de travail. Début de la saison II (4/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Lors des heures de travail. Début de la saison II (4/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION BLACK. Lors des heures de travail. Début de la saison II (4/6)
Sucer la bite d’un grand noir dans une cabine d’essayage d’une boutique de vêtements masculins, l’aurais-je fait il y a encore 24 heures avec mon mari ?
Certes, Renzo achète ses vêtements sans moi et est habillé sport, la cravate on oublie.
Prof dans la lignée de ceux de mai 68, il porte un foulard autour du cou sur une chemise blanche avec un jean et des baskets.
L’hiver, je l’ai toujours vu couvert d’un duffelcoat avec des boutons en buis.
Ajoutons à ça son vieux cartable qu’il traine depuis ses débuts et on voit qui j’ai épousé.
Un cartable, je lui en ai offert un neuf qui traine dans le fond d’un placard.
Quand je le vois, j’ai envie de lui mettre des coups de couteau, mais j’ai peur qu’il me fasse une crise en se roulant au sol comme pourrait le faire un de mes enfants lorsqu’il fait sa colère.
La jeune vendeuse est partie s’occuper de l’ourlet, je suce la bite d’Amara quand j’entends dans mon dos.

• Oh ! pardon.

La jeune fille est déjà de retour.
Amara range son engin, qui a du mal à tenir, un bon tiers sort à l’extérieur.

• Nous faisons des ourlets avec un système autocollant et un coup de fer, je peux revenir.
• Inutile, laissez le temps à mon ami de débander.
Vous seriez dans l’impossibilité de voir votre travail sur son bas de pantalon.

La jeune fille écarquille les yeux.
En avait-elle déjà vu, qui plus ait des grosses et surtout des noires !

• La patronne va arriver, je vais être fichu dehors, j’ai eu du mal à trouver ce travail.

Même si la bosse de son pantalon se voit encore, Amara enfile le costume trois-pièces gris, je lui choisis une cravate très sobre et je passe à la caisse ou je paye, c’est déjà un autre homme.
La vendeuse nous voit partir avec soulagement surtout que lorsque Amara m’ouvre la porte de la boutique, une femme bon chic bon genre entre.

• Vous avez vendu ce costume à ces pers...

Le reste est inaudible, car la porte se referme.
À quelques mètres, deuxième arrêt.
Chaussures de couleur marron très défraichies avec ce costume gris, ça fait désordre.
Chaussure noires classiques tailles 45 c’est facile à trouver.
Enfin, arrêt chez Olivia, ma coiffeuse.

• Ton mari peut prendre monsieur Amara et lui faire une coupe un peu moins hirsute que celle qu’il nous présente !

Voilà, Amara, devient monsieur Amara.
Direction la Tour Montparnasse ou à son sommet se trouve le restaurant « Ciel de Paris » ou doit nous attendre, Sammy, c’est le nom que sa secrétaire a donné au téléphone.
J’ignore comment est fait cet homme.
C’est un dénommé Thierry qui m’a expliqué les détails qu’il leur fallait pour la fabrication du proto que nous installerons sur la première éolienne.
Si tout est validé et que cela fonctionne ils fabriqueront en série.

Dans le restaurant, la directrice vient vers nous.
C’est Marie qui a organisé se déjeuner de travail en haut de cette tour de façon à impressionner notre PDG canadien.
J’aurais voulu le restaurant de la tour Eiffel, mais même en temps de crise, c’était complet.

• Bonjour, bien venue au Ciel de Paris, avez-vous réservé ?
• Oui, au nom de madame Françoise, j’attends des amis canadiens.

Je vois qu’Amara fait son effet, il est vrai qu’hors nos rapports de la veille et tout à l’heure dans la cabine d’essayage, sa transformation est spectaculaire.
Je le rencontrerais pour la première fois, même si j’aime mon mari, je pourrais craquer.
Que je suis bête, ça c’est déjà fait.

• Suivez-moi, ils sont arrivés !

Nous traversons la salle, face à nous, un couple se lève.
Un homme jeune se lève avec lui une femme élégante qui doit être sa femme.
La trentaine pour lui, quarante pour la femme.
Une cougar qui a dû savoir se faire épouser par ce jeunot.
La femme me tend sa main.
Moyennement grande, élégante dans un tailleur blanc.
Elle est même en blanc de la tête aux pieds.

• Samy, vous êtes Françoise !
• Oui.
• Je vois que vous êtes étonné, Thierry, dites-moi que vous avez oublié de préciser à nos amis français que je suis une femme.
Samy, car vous connaissez Sammy Davis junior !
Mais Samy avec un seul M.

Elle me tend la main, je suis à deux doigts de m’incliner pour lui baiser.
Je me reprends et je la serre simplement.
J’ai le temps de voir ses seins assez volumineux qui semblent libres sous le voile blanc qui les recouvre.
Une idée farfelue monte à mon cerveau qui devient malade.
Avant Amara, aurais-je regardé les seins de cette canadienne avec un peu d’insistance comme je le fais.

• Il se peut, madame, je me suis concentré sur le projet.
• C’est bon, je suis heureuse d’être en France et j’espère que notre collaboration ira à son terme de façon favorable.
• Oui, installons-nous, la vue est superbe, par chance, ma secrétaire a pu avoir une table face à la tour Eiffel grâce à des amis bien placés.

J’ai eu cette idée qui m’est venue de parler d’amis bien placés pour impressionner la femme qui est devant moi.

• Je manque à tous mes devoirs, je vous présente, monsieur Amara.
Ce sera mon ingénieur en chef.
Si nous faisons affaire, c’est lui qui suivra la partie technique, je m’occuperais des contrats et je serais votre correspondante.

Je sens que mon amant fait impression, serait-il possible qu’il soit si facile d’emporter un contrat simplement grâce à la présence d’un homme bleu.
Il est vrai qu’à la lumière du jour qu’il a des yeux magnifiques d’un noir profond.
Samy avait déjà sa place, je me retrouve face à elle Amara à ses côtés.
J’hérite de Thierry qui semble plus intéressé par ma personne qu’à notre projet.
Dans la conversation, Amara recentre les choses de façon fort judicieuse sur certains points de notre affaire.
Quant à Thierry, en l’ignorant, je crois m’en être débarrassé, quand je sens sa jambe venir en contact avec la mienne.
À la même seconde, un pied vient entre mes jambes et cherche à remonter tous en me caressant.
J’ai un mouvement pour expulser celle de mon voisin, repoussant par la même occasion celle de Samy qui me regarde amusée.
Je suis au bord des larmes, je suis sûr que ce connard de Thierry vient de me faire perdre mon contrat, que m’aurait coûté de me laisser caresser la chatte par le pied de cette canadienne avenante.
Le repas se termine.

• Alors Thierry, qu’en pensez-vous, nous allons plus loin avec nos amis.

Je suis pendu à ses lèvres, ma rebuffade, l’a-t-il braqué contre mon projet ?

• Je pense que tout tient la route, monsieur Amara m’a donné les grandes lignes, il a été convaincant surtout sur une modification initiale.
Vous pouvez leur proposer la deuxième phase de votre idée.
• Bien, nous sommes à deux doigts d’être d’accord, je vous demande si cela est possible de me faire visiter Brest où vous avez vos ateliers.
• Il est quinze heures, j’ignore s’il y a des TGV.
• Inutile, j’ai loué un hélicoptère au Bourget et j’ai réservé trois chambres à l’hôtel Mercure de cette ville.
Je sais, je suis comme ça, j’ai tendance à vouloir faire les choses trop vite.
Mais tu es mariée Françoise à ce que j’ai compris dans nos conversations et l’alliance ornée de diamant que tu nous présentes à ton doigt nous le confirme.
• Je peux demander à Renzo de garder les enfants, il est prof et c’est déjà lui qui s’en occupe quand je suis absente.
Vous permettez, je vais l’appeler.
• Tutoyons-nous, comme je viens de le faire.
Va téléphoner, à ton mari et embrasse les enfants.

Ouf, Samy semble vouloir continuer notre coopération.
Je vais faire très attention si elle revient à la charge, il faut dire que sa prestance m’impressionne et aussi son aplomb.
Renzo est enchanté, il faut dire qu’il est, comme au lit, cool et mon escapade pour la bonne cause, c’est du moins ce qu’il me donne comme sentiment lui fait plaisir.
Je le connais, il va les emmener chez Ronald, même s’il fait très bien les endives aux jambons avec sa sauce Béchamel et les coucher en leur racontant une histoire.

• C’est bon, mon mari s’occupe de tout, je peux vous accompagner.
• Pendant ton absence, Thierry vient de soulever un problème, l’hélicoptère que je vais piloter est prévu pour trois et nous sommes quatre.
J’ignorais que vous seriez accompagné par monsieur Amara, mais le problème est résolu, Thierry restera à Paris, nous partons tous les trois.
• Mes parents habitent à Montrouge, je vais aller les voir, ils seront satisfaits de voir leur fils habitant à des milliers de kilomètres depuis de nombreux mois.
À Brest, j’ai réservé trois chambres, Amara prendra la mienne.

Bref, j’apprends qu’au Canada, Samy a une maison dans la forêt à plus de cent kilomètres de son entreprise et c’est dans son hélico personnel qu’elle parcourt la distance matin et soir.
J’avais entendu parler des distances gigantesques d’un point à un autre dans ce pays, mais là je suis scotchée.

Pour piloter, elle sait très bien le faire et c’est une France magnifique que nous survolons dans cette bulle de plexi qui me donne l’impression que je vais tomber dans le vide.
C’est excitant.
Il est 19 heures lorsque nous nous installons dans nos chambres.
Nous avons rendez-vous à 20 heures pour dîner qui se passe sans accroc.
Nous retrouvons nos chambres, je me dénude et je prends un bain.
Il est vingt-deux heures, la chambre d’Amara est après celle de Samy.
Seulement, vêtu du peignoir de l’hôtel, j’ouvre ma porte pour rejoindre celui qui a fait basculer ma vie.
J’ai pris la bouteille de champagne dans le frigo.
Il est 22 heures tous est calme.
Je frappe tout doucement, la porte s’ouvre.

• Entrez, déposez le plateau sur cette table.
Merde Françoise.

Samy est là, le même peignoir que moi sur ses épaules.
Amara est près de son lit, lui a son peignoir, mais au bas des pieds, la salope devait le sucer...

Les avis des lecteurs

oui mais moi je sais comment ca fini.....
Amitié...

Histoire Libertine
En même temps si elle s’emmerde elle vire son mari !!!
Ah non il gère les gamins !!!



Texte coquin : COLLECTION BLACK. Lors des heures de travail. Début de la saison II (4/6)
Histoire sexe : Une rose rouge
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