COLLECTION CANDAULISTE. Le voisin (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2410 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 033 963 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 8 335 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION CANDAULISTE. Le voisin (1/1)
Quelle chance, à 35 ans je suis enfin enceinte de plus de 6 mois, mon ventre commence à s’arrondir et mes seins à prendre du volume.
Nous habitons avec mon homme dans un lotissement à l’arrière de Toulon depuis 2 ans.
Hubert est entrepreneur en travaux publics et à cette époque rentre tous les jours bien fatigué, il rentre il soupe embrasse mon ventre mes seins et après une douche se couche.
La petite Vanessa est chaque soir frustrée car elle a encore des envies malgré sa grossesse, sa petite chatte bien épilée la démange, elle se caresse le clito hypersensible surtout depuis qu’elle est dans cet état quand elle est seule, alors que mon mari depuis qu’elle lui a dit qu'il allait être papa semble réservé au point que depuis elle attend qu’il la touche.
Je suis toute la journée sur le bord de notre piscine à faire bronzer mon ventre, entièrement nue sans aucun problème car la seule maison voisine est inoccupée, mise en vente par Jennifer et Nicolas paysagiste, ils sont allés vers Annecy reprendre une société où le patron prenait sa retraite.
Ils sont partis si vite que nous avons à peine eu le temps de nous embrasser, ainsi est la vie, Jennifer sera la marraine de notre enfant dont on ignorera le sexe jusqu’à la naissance et ils viendront en vacances chaque année nous en faisant de même surtout l’hiver car ils sont à deux portées de spatules d’un champ de neige.
Ce soir est identique à la veille et pour une fois le film de début de soirée est assez sage pour laisser mon intimité tranquille, que se serait-il passée si j’avais éteint dès le mot fin mais le destin m’a choisi un autre destin et quand je me réveille d’un léger assoupissement les partenaires à l’écran s’en donne à cœur joie.
Pas dans un porno car si nous avons des chaînes grâce à notre parabole pour en capter présentement c’est un film dit de charme interdit aux enfants de moins de 16 ans devant lequel je suis.
Sur l’écran même si le sexe est caché par la tête de l’actrice on comprend nettement qu’elle pompe le gars, j’ai moi-même essayé de masturber Hubert comprenant qu’il refuse mon sexe à cause du bébé mais sa réaction a été étrange car il s’est retourné dans un grognement et c’est mis à ronfler.
Je manque de mettre ma main et mes doigts mais j’ai peur qu’Hubert ne se réveille et vient surprendre sa femme à avoir des gestes impudiques.
Il est 23 heures quand le film fini, la chaleur de ce mois de juillet conjugué au rouge de mes joues à cause de mes envies me font penser qu’une baignade serait la bienvenue.
L’eau est divine et sa fraîcheur toute relative me permet de faire retomber la tension.
Il y a dû avoir un orage non loin d’ici car des nuages noirs cachent la lune au moment où je remonte de l’eau.
J’aurais dû laisser la lumière allumée dans la salle mais je connais le chemin et quand je sens l’herbe sous mes pieds je sais où je suis.
C’est à ce moment que je me sens saisie par un bras qui entourne ma poitrine la main venant se poser sur mon sein.
L’eau froide a déjà érigé ma pointe mais la main d’Hubert la fait gonfler encore plus.
Un autre bras contourne mon corps plus bas et les doigts viennent en contact de ma chatte.
• Oui, baise-moi, depuis le temps que je t’attends, sens comme je mouille, prends-moi le bébé est bien au chaud dans mon ventre et ne crains rien.
Hubert m’appuie sur le dos pour que je me mette à quatre pattes et après une attente qui me semble une éternité il entre en moi.
• Vas-y mon salaud, bourre-moi, tu sens comme tu coulisses bien en moi, je vais jouir.
Depuis le début de notre mariage et même avant quand nous faisions l’amour mon mari est resté bien en dedans que je vis ce soir, est-ce la situation, l’endroit ou les deux mais l’orgasme qui me submerge n’a d'égale que les coups de pied que me donne bébé devant lui aussi sentir la jouissance que mon homme m’a procurée.
Je sens qu’il décharge mais il a dû avoir des scrupules car je sens que son sperme est retenu par une capote, mais s’il avait peur que le petit ou petite ne soit perturbé par les jets qu’il a propulsés et que j’ai bien senti la membrane se tendant, je veux bien admettre qu’il en a mis une.
J’ai été si heureuse que je me laisse tomber sur la pelouse afin de reprendre mon souffle et récupérer mes esprits, quel temps je mets je l’ignore mais je finis par me relever afin de rejoindre mon homme qui enfin m’a fait reprendre goût au sexe.
Quand j’arrive dans la chambre la veilleuse du radio-réveil me fait voir qu’après son exploit mon homme est retourné à ses ronflements et je m’allonge à ses côtés afin d’éviter de le réveiller.
Quand les rayons du soleil viennent caresser mon corps par un Velux sur le toit je m’étire comme une chatte, bébé est réveillé ou c'est la chaleur du soleil qui le fait bouger.
Je me lève et une nouvelle fois je décide de le rafraîchir dans la piscine, quand je descends la petite pente de la pelouse je passe à côté de la capote dont Hubert s'est servi.
Mon premier geste est de la ramasser bien sûr mais j’ai un geste surprenant, je la porte à mon nez pour sentir l’odeur de mon homme, elle manque de m’échapper et du sperme entre dans mon nez et glisse jusqu’à mes lèvres.
Je suis contente qu’enfin il ait répondu à mon envie en me prenant ici même hier au soir.
Je m’allonge sur ma chaise longue, je profite de mon bébé en me posant mes mains sur le ventre qui discernent les moindres soubresauts qu’il donne.
Il doit être réveillé car c’est la sarabande à l’intérieur, on pourrait croire si la photo de l’écographie me l’avait confirmé qu’il est seul ou si c'est une fille seule et que les deux ont appris la gigue.
• Bonjour Vanessa comment va ma voisine depuis hier au soir, merci de m’avoir dit de te faire l’amour, je suis dingue des femmes enceintes.
• Hier soir, l’amour, vous êtes singlés, hier j’ai bien fait l’amour auprès de ma piscine mais c’était avec mon mari.
• « Vas-y mon salaud, bourre-moi », c’est bien toi qui m’as demandée de te prendre sur ce carré d’herbe, regarde à côté de ton transat il y a la capote dont je me suis servie, il faut sortir couvert avec les dames.
• Si c’est vous qui m’avez fait l’amour, vous m’avez violée, je vais aller à la police et le dire à mon mari.
• Mais, si tu m’avais dit que tu refusais de faire l’amour je t’aurais respectée. D’ailleurs le temps où j’ai mis la capote tu aurais pu partir mais tu es restée et je te sentais frétiller sur ma queue, tu étais en manque, je suis sûre que ton homme refuse de te prendre car tu es en cloque, moi c'est le contraire une femme ayant ton état me stimule, regarde je bande encore.
• Monsieur j’ignore qui vous êtes et d’où vous venez mais j’aime mon mari au point de lui faire un enfant et vous si les choses se sont passées comme vous le dite vous étiez une erreur que je vais éviter de recommencer.
• Mais j’ai mal, moi, suce-moi au moins, je te promets de laisser ta chatte tranquille.
• Tu es fou, je te l’ai déjà dit, rentre cette queue, c’est ignoble.
Je m’excuse je devrais continuer à vous vouvoyer et je vous ai tutoyées.
• J’aime, allez prend là tu en meurs d’envie.
Je dois devenir folle car j’avance mes lèvres, ma bouche s’ouvre et il s’engouffre en moi jusqu’à entrer dans le fonds de ma gorge.
Dans le film qui m’a conduit à aller jusqu’à ma piscine me rafraîchir une femme faisait une chose identique et l’homme lui a dit « Oui fait moi une gorge profonde » j’étais loin de penser que moins de 24 heures après je l’imiterais.
Je vais plus loin, sans qu’il me le demande je lui prends les couilles que je masturbe tendrement sortant sa verge pour les prendre dans ma bouche l’une après l’autre.
• Remets-toi en levrette, juste le temps de remettre une capote pour que tu sois protégée.
Incroyable, je le fais sans me poser de question, c’était si bon hier.
Quand je suis prête je le sens approcher et je sens quelque chose d’humide venir sur ma rosette et dès qu’il sent que je suis assez mouillée il me plante sa verge dans l’anus.
• Salaud tu m’encules, c’est ignoble.
• Je t’avais promis d’ignorer ta chatte non ton cul, évite de bouger une minute et tu verras que tu vas aimer.
• Vas-y mon salaud bourre-moi la rosette, j’adore.
• Et demain tu diras que je t’ai violée.
• Idiot tu me donnes du plaisir continu, ignore mon mari, il avait qu’à en faire autant au lieu de dormir.
À partir de ce moment mon bébé et moi nous adorons ce qu’il nous fait, surtout qu’une de ses mains attrape mon clito et que les doigts de l’autre entrent dans ma bouche me tirant la tête en arrière me cabrant comme un cheval sauvage.
Une nouvelle fois je jouis et j’entends mes cris arriver dans mes oreilles au même moment où il emplit sa capote.
C’est ignoble, je me retourne enlève la capote et je bois le sperme à l’intérieur comme je le faisais avec des bonbons quand je récupérais le jus coloré sucré.
• J’avais raison, tu es une vraie salope, Hubert doit être fier de nous.
• Hubert ?
• Regarde dans le fauteuil sur votre terrasse qui est là.
• Bravo mon cœur il y a des mois que je voulais te voir prendre par mon copain de jeunesse, tu sais je t’en ai parlé au moment de notre mariage, je regrettais que Maxime soit en Afrique et ne puisse revenir.
Je tombe sur le transat de peur et de honte.
• Chéri, c’est lui, hier il m’a violée avant que je monte me coucher.
• Vas-y bourre-moi, hélas avec la lune cachée mes yeux ont loupé le moment ou ma femme qui porte mon enfant est devenue une salope, une truie, une chienne mais j’ai entendu très nettement ta demande et j’ai inondé notre terrasse de mon sperme en t’entendant.
Aujourd’hui j’ai eu plus de chance tu as recommencé à te laisser faire et j’ai très nettement vu le sexe de mon copain d’enfance entrer en toi, je crois même à ce que j’ai là aussi entendu que tu t’es fait sodomiser.
• C’est toi le salaud et pas ton copain pourquoi as-tu monté un tel plan.
• Depuis le premier jour de notre puberté nous avons toujours baisé les mêmes femmes, lui le premier moi le deuxième, moi le premier lui le deuxième.
Quand il est revenu je suis allée le chercher à l’aéroport, il m’a dit chercher une maison qu’il payait comptant avec ses gains en Afrique.
J’ai souvent aimé le voir faire l’amour à nos conquêtes et j’ai pris conscience que j’étais candaulisme, je me suis forcée à éviter de te faire l’amour pour te frustrer et que sa queue t’apparaisse comme une nécessité et tout a bien fonctionné.
• Et si j’étais restée dans la maison au lieu d’aller à la piscine.
• Nous avions un plan B qui aurait retardé notre trio.
• Et il était.
• Un secret on peut en avoir besoin une autre fois.
• Venez me baiser subordinateur, je crois que je vais adorer et ton fils aussi, de me faire prendre par deux verges simultanément.
Depuis mon acceptation je suis une femme comblée j’ai souvent deux verges à ma disposition mais au moins une toujours prête à l’emploi.
Comme je l’avais prévu j’ai eu un petit Édouard et dès mon retour de couches mes hommes me font jouir régulièrement, à un détail près, Maxime me prend sans capote et nous espérons que l’un ou l’autre de mes hommes me fera une petite fille.
Jennifer est la marraine d’Édouard et Maxime le parrain, nous verrons à trouver une femme pour être celle de Lise, Nicolas sera enchanté d’être son parrain mais nous avons le temps elle n’est peut-être qu’un petit haricot dans mon ventre.
Nous habitons avec mon homme dans un lotissement à l’arrière de Toulon depuis 2 ans.
Hubert est entrepreneur en travaux publics et à cette époque rentre tous les jours bien fatigué, il rentre il soupe embrasse mon ventre mes seins et après une douche se couche.
La petite Vanessa est chaque soir frustrée car elle a encore des envies malgré sa grossesse, sa petite chatte bien épilée la démange, elle se caresse le clito hypersensible surtout depuis qu’elle est dans cet état quand elle est seule, alors que mon mari depuis qu’elle lui a dit qu'il allait être papa semble réservé au point que depuis elle attend qu’il la touche.
Je suis toute la journée sur le bord de notre piscine à faire bronzer mon ventre, entièrement nue sans aucun problème car la seule maison voisine est inoccupée, mise en vente par Jennifer et Nicolas paysagiste, ils sont allés vers Annecy reprendre une société où le patron prenait sa retraite.
Ils sont partis si vite que nous avons à peine eu le temps de nous embrasser, ainsi est la vie, Jennifer sera la marraine de notre enfant dont on ignorera le sexe jusqu’à la naissance et ils viendront en vacances chaque année nous en faisant de même surtout l’hiver car ils sont à deux portées de spatules d’un champ de neige.
Ce soir est identique à la veille et pour une fois le film de début de soirée est assez sage pour laisser mon intimité tranquille, que se serait-il passée si j’avais éteint dès le mot fin mais le destin m’a choisi un autre destin et quand je me réveille d’un léger assoupissement les partenaires à l’écran s’en donne à cœur joie.
Pas dans un porno car si nous avons des chaînes grâce à notre parabole pour en capter présentement c’est un film dit de charme interdit aux enfants de moins de 16 ans devant lequel je suis.
Sur l’écran même si le sexe est caché par la tête de l’actrice on comprend nettement qu’elle pompe le gars, j’ai moi-même essayé de masturber Hubert comprenant qu’il refuse mon sexe à cause du bébé mais sa réaction a été étrange car il s’est retourné dans un grognement et c’est mis à ronfler.
Je manque de mettre ma main et mes doigts mais j’ai peur qu’Hubert ne se réveille et vient surprendre sa femme à avoir des gestes impudiques.
Il est 23 heures quand le film fini, la chaleur de ce mois de juillet conjugué au rouge de mes joues à cause de mes envies me font penser qu’une baignade serait la bienvenue.
L’eau est divine et sa fraîcheur toute relative me permet de faire retomber la tension.
Il y a dû avoir un orage non loin d’ici car des nuages noirs cachent la lune au moment où je remonte de l’eau.
J’aurais dû laisser la lumière allumée dans la salle mais je connais le chemin et quand je sens l’herbe sous mes pieds je sais où je suis.
C’est à ce moment que je me sens saisie par un bras qui entourne ma poitrine la main venant se poser sur mon sein.
L’eau froide a déjà érigé ma pointe mais la main d’Hubert la fait gonfler encore plus.
Un autre bras contourne mon corps plus bas et les doigts viennent en contact de ma chatte.
• Oui, baise-moi, depuis le temps que je t’attends, sens comme je mouille, prends-moi le bébé est bien au chaud dans mon ventre et ne crains rien.
Hubert m’appuie sur le dos pour que je me mette à quatre pattes et après une attente qui me semble une éternité il entre en moi.
• Vas-y mon salaud, bourre-moi, tu sens comme tu coulisses bien en moi, je vais jouir.
Depuis le début de notre mariage et même avant quand nous faisions l’amour mon mari est resté bien en dedans que je vis ce soir, est-ce la situation, l’endroit ou les deux mais l’orgasme qui me submerge n’a d'égale que les coups de pied que me donne bébé devant lui aussi sentir la jouissance que mon homme m’a procurée.
Je sens qu’il décharge mais il a dû avoir des scrupules car je sens que son sperme est retenu par une capote, mais s’il avait peur que le petit ou petite ne soit perturbé par les jets qu’il a propulsés et que j’ai bien senti la membrane se tendant, je veux bien admettre qu’il en a mis une.
J’ai été si heureuse que je me laisse tomber sur la pelouse afin de reprendre mon souffle et récupérer mes esprits, quel temps je mets je l’ignore mais je finis par me relever afin de rejoindre mon homme qui enfin m’a fait reprendre goût au sexe.
Quand j’arrive dans la chambre la veilleuse du radio-réveil me fait voir qu’après son exploit mon homme est retourné à ses ronflements et je m’allonge à ses côtés afin d’éviter de le réveiller.
Quand les rayons du soleil viennent caresser mon corps par un Velux sur le toit je m’étire comme une chatte, bébé est réveillé ou c'est la chaleur du soleil qui le fait bouger.
Je me lève et une nouvelle fois je décide de le rafraîchir dans la piscine, quand je descends la petite pente de la pelouse je passe à côté de la capote dont Hubert s'est servi.
Mon premier geste est de la ramasser bien sûr mais j’ai un geste surprenant, je la porte à mon nez pour sentir l’odeur de mon homme, elle manque de m’échapper et du sperme entre dans mon nez et glisse jusqu’à mes lèvres.
Je suis contente qu’enfin il ait répondu à mon envie en me prenant ici même hier au soir.
Je m’allonge sur ma chaise longue, je profite de mon bébé en me posant mes mains sur le ventre qui discernent les moindres soubresauts qu’il donne.
Il doit être réveillé car c’est la sarabande à l’intérieur, on pourrait croire si la photo de l’écographie me l’avait confirmé qu’il est seul ou si c'est une fille seule et que les deux ont appris la gigue.
• Bonjour Vanessa comment va ma voisine depuis hier au soir, merci de m’avoir dit de te faire l’amour, je suis dingue des femmes enceintes.
• Hier soir, l’amour, vous êtes singlés, hier j’ai bien fait l’amour auprès de ma piscine mais c’était avec mon mari.
• « Vas-y mon salaud, bourre-moi », c’est bien toi qui m’as demandée de te prendre sur ce carré d’herbe, regarde à côté de ton transat il y a la capote dont je me suis servie, il faut sortir couvert avec les dames.
• Si c’est vous qui m’avez fait l’amour, vous m’avez violée, je vais aller à la police et le dire à mon mari.
• Mais, si tu m’avais dit que tu refusais de faire l’amour je t’aurais respectée. D’ailleurs le temps où j’ai mis la capote tu aurais pu partir mais tu es restée et je te sentais frétiller sur ma queue, tu étais en manque, je suis sûre que ton homme refuse de te prendre car tu es en cloque, moi c'est le contraire une femme ayant ton état me stimule, regarde je bande encore.
• Monsieur j’ignore qui vous êtes et d’où vous venez mais j’aime mon mari au point de lui faire un enfant et vous si les choses se sont passées comme vous le dite vous étiez une erreur que je vais éviter de recommencer.
• Mais j’ai mal, moi, suce-moi au moins, je te promets de laisser ta chatte tranquille.
• Tu es fou, je te l’ai déjà dit, rentre cette queue, c’est ignoble.
Je m’excuse je devrais continuer à vous vouvoyer et je vous ai tutoyées.
• J’aime, allez prend là tu en meurs d’envie.
Je dois devenir folle car j’avance mes lèvres, ma bouche s’ouvre et il s’engouffre en moi jusqu’à entrer dans le fonds de ma gorge.
Dans le film qui m’a conduit à aller jusqu’à ma piscine me rafraîchir une femme faisait une chose identique et l’homme lui a dit « Oui fait moi une gorge profonde » j’étais loin de penser que moins de 24 heures après je l’imiterais.
Je vais plus loin, sans qu’il me le demande je lui prends les couilles que je masturbe tendrement sortant sa verge pour les prendre dans ma bouche l’une après l’autre.
• Remets-toi en levrette, juste le temps de remettre une capote pour que tu sois protégée.
Incroyable, je le fais sans me poser de question, c’était si bon hier.
Quand je suis prête je le sens approcher et je sens quelque chose d’humide venir sur ma rosette et dès qu’il sent que je suis assez mouillée il me plante sa verge dans l’anus.
• Salaud tu m’encules, c’est ignoble.
• Je t’avais promis d’ignorer ta chatte non ton cul, évite de bouger une minute et tu verras que tu vas aimer.
• Vas-y mon salaud bourre-moi la rosette, j’adore.
• Et demain tu diras que je t’ai violée.
• Idiot tu me donnes du plaisir continu, ignore mon mari, il avait qu’à en faire autant au lieu de dormir.
À partir de ce moment mon bébé et moi nous adorons ce qu’il nous fait, surtout qu’une de ses mains attrape mon clito et que les doigts de l’autre entrent dans ma bouche me tirant la tête en arrière me cabrant comme un cheval sauvage.
Une nouvelle fois je jouis et j’entends mes cris arriver dans mes oreilles au même moment où il emplit sa capote.
C’est ignoble, je me retourne enlève la capote et je bois le sperme à l’intérieur comme je le faisais avec des bonbons quand je récupérais le jus coloré sucré.
• J’avais raison, tu es une vraie salope, Hubert doit être fier de nous.
• Hubert ?
• Regarde dans le fauteuil sur votre terrasse qui est là.
• Bravo mon cœur il y a des mois que je voulais te voir prendre par mon copain de jeunesse, tu sais je t’en ai parlé au moment de notre mariage, je regrettais que Maxime soit en Afrique et ne puisse revenir.
Je tombe sur le transat de peur et de honte.
• Chéri, c’est lui, hier il m’a violée avant que je monte me coucher.
• Vas-y bourre-moi, hélas avec la lune cachée mes yeux ont loupé le moment ou ma femme qui porte mon enfant est devenue une salope, une truie, une chienne mais j’ai entendu très nettement ta demande et j’ai inondé notre terrasse de mon sperme en t’entendant.
Aujourd’hui j’ai eu plus de chance tu as recommencé à te laisser faire et j’ai très nettement vu le sexe de mon copain d’enfance entrer en toi, je crois même à ce que j’ai là aussi entendu que tu t’es fait sodomiser.
• C’est toi le salaud et pas ton copain pourquoi as-tu monté un tel plan.
• Depuis le premier jour de notre puberté nous avons toujours baisé les mêmes femmes, lui le premier moi le deuxième, moi le premier lui le deuxième.
Quand il est revenu je suis allée le chercher à l’aéroport, il m’a dit chercher une maison qu’il payait comptant avec ses gains en Afrique.
J’ai souvent aimé le voir faire l’amour à nos conquêtes et j’ai pris conscience que j’étais candaulisme, je me suis forcée à éviter de te faire l’amour pour te frustrer et que sa queue t’apparaisse comme une nécessité et tout a bien fonctionné.
• Et si j’étais restée dans la maison au lieu d’aller à la piscine.
• Nous avions un plan B qui aurait retardé notre trio.
• Et il était.
• Un secret on peut en avoir besoin une autre fois.
• Venez me baiser subordinateur, je crois que je vais adorer et ton fils aussi, de me faire prendre par deux verges simultanément.
Depuis mon acceptation je suis une femme comblée j’ai souvent deux verges à ma disposition mais au moins une toujours prête à l’emploi.
Comme je l’avais prévu j’ai eu un petit Édouard et dès mon retour de couches mes hommes me font jouir régulièrement, à un détail près, Maxime me prend sans capote et nous espérons que l’un ou l’autre de mes hommes me fera une petite fille.
Jennifer est la marraine d’Édouard et Maxime le parrain, nous verrons à trouver une femme pour être celle de Lise, Nicolas sera enchanté d’être son parrain mais nous avons le temps elle n’est peut-être qu’un petit haricot dans mon ventre.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ok pour le Mail chr.r.r@sfr.fr merci d'avoir aimé...
J'ai adoré!!!
Quel histoire bandante et jouissante, j'en ai plein le torse, merci!
J'imagine ma femme à ta place...
A bientôt par mail peut-être...
Quel histoire bandante et jouissante, j'en ai plein le torse, merci!
J'imagine ma femme à ta place...
A bientôt par mail peut-être...