COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (2/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (2/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (2/5)
La croisière s’amuse à mal démarrer pour papa qui dégueule ses tripes pendant que je gagne du fric aux machines à sous et qu’en ce moment Viviane la belle directrice d’école d’une cinquantaine d’années me suce la queue.

• Viens Christian tu bandes assez je vais te faire connaître une femme pour ta première fois, tu vas aimer.

Elle se relève ôte ses vêtements pendant que j’en fais de même avec les miens me prends la main et me tire vers son lit où elle se laisse tomber le dos sur le matelas, elle me tire à elle et ma poitrine vient en contact de ses seins arrondis et ferme pour son âge.

• Entre.

Pour m’aider elle me prend la queue dans sa main et mes jets l’arrose la faisant éclater de rire.

• Non mon poussin soit zen, c’est normal la première fois j’ai dû trop te sucer et tu as dû attendre ce moment depuis trop longtemps, la nuit est longue tu vas voir avant le jour tu seras venu au fond de ma grotte et tu auras enfin perdu ton pucelage.

Moins d’une demi-heure après sa main douce me caresse, je suis de nouveau en pleine forme et elle me redonne sa bouche prête à me recevoir.

• Fais le vide en toi, regarde, je suis ruisselante d’attente, veux-tu me lécher la chatte, j’adore quand mes amants me le font.

Je la regarde d’un drôle d’air, j’attends d’enfoncer ma queue en elle et elle veut que je la suce, il est vrai qu’elle veut mon plaisir et certainement prendre le sien.
Mon corps recule vers le pied du lit et dès que ma bouche le peu je la plaque sur sa fente qu’elle tient ouverte avec ses mains de chaque côté et ses jambes ouvertes au maximum.

• Christian regarde, tu vois l’excroissance en haut de mon vagin, caresse là avec ta langue, c’est mon clitoris c’est un peu le pénis des femmes et si tu sais le stimuler tu vas me faire jouir.
Oui, comme cela c’est bien, sens comme je suis mouillée, tu me fais mouiller.

Je m’applique car au fond de moi je suis content de trouver la maîtresse qui fera de moi un homme et surtout un amant qui saura prendre du plaisir mais surtout en donner à ma partenaire.

• Continu, tu es très doué, j’espère que le goût de la femme te plaît autant que le goût du sperme des hommes que j’adore avaler.
Oui entre ta langue profondément, je vais.

Sa phrase et surtout le mot « jouir » reste au bord de ses lèvres quand un grand frisson parcourt son corps et qu’elle dit.

• Ah ! ah ! ah !

En quittant ses grandes lèvres pour m’appuyer plus fort sur la tête.
Quelques minutes se passent et sa tension retombe.

• Tu m’as fait jouir poussin, c’est le moment de venir en moi et de prendre toi aussi ton plaisir.

Je suis très tendu après ce que je viens de faire à Viviane mais assez maître de la situation par rapport à la première tentative et dans la position ouverte ou elle est ma verge trouve son chemin toute seule quand je sens mes couilles toucher son intimité.
Sans douleur, j’ai perdu ma virginité et je suis maintenant un homme juste quand le réveil placé à la tête du lit sonne minuit, c’est fait j’ai 18 ans et je suis content d’être devenu un homme au cours de cette croisière.
Papa est peut-être malade mais moi j’ai franchi le cap incertain si j’étais parti avec Julie au Portugal car la jeune fille ne m’avait fait aucune promesse que nous ferions l’amour.

• C’est bien mon chéri, oui à cette vitesse, caresse-moi les seins, comme cela, bien sûr pince la pointe qui bande pour toi, la plupart des femmes aiment se faire rudoyer du moins moi j’aime cela.
Deux fois.

Une nouvelle fois les mots refusent de sortir quand elle crie son plaisir si fort qu’elle doit réveiller les voisins malgré le ronronnement des moteurs qui parvient jusqu’à nous.
Je m’écroule à son côté sortant de son sexe qui est tout humide des sécrétions que mon pilonnage a fait sortir d’elle.

• Tourne-toi met toi à quatre pattes.
• Tu vas me prendre en levrette, petit cochon, je vois que tu as regardé les pornos sur canal, tu as raison avec la cuillère c’est une position que je préfère, tu te rends compte tu es mon premier amant qui me fait avoir deux orgasmes successifs.

Elle se tourne se positionne me faisant voir ses fesses avec quelques vergetures me rappelant que j’ai affaire à une femme d’expérience et ma queue retrouve son fourreau avec délectation jusqu’à ce qu’une grande gerbe éclate simultanément en elle et en moi.
Pour la première fois merci papa et maman de m’avoir permis de jouir dans la chatte d’une femme.
Nous roulons sur le lit lové les bras l’un dans l’autre et une seconde après je dors en ayant retrouvé le sein maternel quitter depuis longtemps.

• Mon petit oiseau, réveille-toi, il est 5 heures il faut regagner ta cabine, ta maman risque de te chercher et croire que tu es tombé par-dessus bord.

Je l’embrasse, je m’habile et quand je touche mon portefeuille je me rappelle que j’ai oublié de mettre une capote, Viviane voit mon tourment.

• Je sais tu as des capotes dans ta poche et tu as oublié d’en mettre une, j’y ai pensé mais je peux te faire voir le contrôle du virus que j’ai fait avant notre départ et qui est négatif, je suis ménopausé, rien à crainte côté bébé.
• Mais toi.
• J’ai tout de suite vu que tu étais puceau et je prends mon risque, je fais souvent des croisières et tu seras le seul homme avec qui j’aurais des rapports, tu peux revenir quand tu veux.
Je comprendrais que tu trouves des jeunes filles de ton âge qui veulent s’amuser, j’ai bien vu le regard d’une des jumelles au resto tout à l’heure, je connais bien les femmes, celle qui te regardait t’es déjà acquise.
• Merci, tu seras toujours dans mon cœur et je te promets de revenir avant la fin de la croisière mais donne-moi ton numéro de portable je t’appellerais à notre retour et je viendrais te voir.

Habillé je la quitte, je passe par la piscine de notre classe ou des jeunes se baignent.
Je me mets en maillot et je plonge avant de regagner ma cabine, j’écoute celle de mes parents rien ne semble bouger.
À 11 heures je frappe chez mes parents ou le médecin est de nouveau auprès de lui, il l’ausculte et lui donne le vase car il a un nouveau spasme.

• Nous arrivons à Trieste si votre état reste le même nous vous débarquerons et je vous fais rapatrier sur la France, vous pourrez partir avec lui madame, votre fils aussi, ma compagnie réglera le problème financier.

C’est avec une petite voix qu’entre deux hauts le cœur que papa prend la parole.

• Non ma chérie tu rêvais de cette croisière avec ton fils pour ses dix-huit ans je suis malade mais vous êtes en pleine forme, vous restez je vous retrouverais à Marseille, docteur ma famille continue.

Merci papa j’ai déjà perdu mon pucelage cette nuit mais j’ai dans mon viseur des jumelles blondes et cette croisière commence à m’amuser.

Quand nous accostons les services sanitaires viennent chercher papa et sous les regards de nombreux autres passagers et membres d’équipage nous descendons sur le plancher des vaches.

• Madame j’ai tenu personnellement à venir vous réconfortez, j’ai vu des cas de personnes ayant le mal de mer mais je dois dire que le cas de votre époux est assez exceptionnel, vous serez l’invité personnel du commandant tout le reste de la croisière.

Maman est aux anges elle qui rêvait de l’avoir à sa table à un repas comme c’est le cas dans la série, elle va l’avoir à ses pieds surtout qu’il est beau gosse dans sa tenue blanche.
Nous embrassons papa et l’ambulance démarre me privant de mon géniteur mais me permettant d’échapper définitivement à la check-list du déroulement de la croisière.

• Madame, je me présente maintenant que votre mari est en de bonnes mains, je m’appelle Gavin j’ai vu sur mes écrans que vous vous appelez Alice quel doux prénom.
Nous nous reverrons ce soir chère madame, je dois retourner faire fonctionner cet hôtel flottant.

Il nous quitte et j’aide maman à remonter à bord répondant à de nombreuses personnes que papa est vivant bien qu’affaiblit.

• Ich vate se branche ?

Les jumelles descendre à ce moment et semblent me parler sans que je comprenne.

• Parlez-vous français ?
• Nein, un poco italien.
• Non allemand moi non, anglais ?
• Nein, un poco italien.

J’ai compris, mes amours sont compromis car il me sera difficile de leur demander d’enlever leur culotte si je dois constamment avoir un dictionnaire à la main.
Maman entre dans sa cabine pour pleurer et je viens de refermer la porte quand on m’apostrophe.

• Christian quel malheur, je venais vous demander un service et j’apprends ce qui vous arrive.
• Que puis-je faire pour vous Emmanuelle ?

Elle minaude dans son joli maillot de bain deux pièces multicolores.

• Je vois que nous sommes voisins, j’allais chercher un membre d’équipage car Raoult est parti à terre chercher des cigarettes et je suis enfermé dehors je venais demander à votre mère l’hospitalité.

Un peu confus l’explication, « elle allait chercher un membre de l’équipage et venait voir maman. »J’ouvre ma porte la poussant à l’intérieur.

• Vous prendrez bien un verre…

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Histoire sexe : Une rose rouge
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