COLLECTION DOMINANT DOMINE. J’ai trouvé un sens à ma vie (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2410 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 037 012 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 4 341 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION DOMINANT DOMINE. J’ai trouvé un sens à ma vie (1/2)
Je vais commencer mon histoire en me présentant.
Je pourrais dire que je suis l’héroïne de cette histoire, mais j’en suis plutôt la salope, la pute acceptant la domination du jeune homme que nous avons rencontré ce soir-là !
Je m’appelle Gardénia et j’ai quarante-huit ans, mariés à Gilbert depuis vingt-huit ans.
J’avais vingt ans lors de notre rencontre et c’est le seul homme de ma vie à ce jour.
Je suis institutrice, maintenant on nous appelle prof des écoles.
Nous sommes, sans enfants, gérer vingt-cinq de ces têtes blondes toutes les semaines sauf celles ou nous sommes en vacances et les week-ends, ça m’a évité de me poser des questions.
Un moment j’ai été à deux doigts de demander à Gilbert que nous fassions des examens, mais j’ai renoncé trouvant ma vie assez remplie comme ça.
Vingt-cinq dans la journée, deux ou trois en rentrant à la maison, c’était un truc à me tirer des balles.
Ce soir Gilbert m’a emmené au restaurant avec mon argent, car il est au chômage en fin de droit.
Je me satisfais de ma situation bien que par moments l’envie d’aller voir ailleurs me taraude.
Jusque dans notre lit, rapidement, après notre mariage, la frustration a été là.
Longueur de sa bite, aucune excuse, j’en ai quelquefois parlé avec Agnès et Olga deux collèges, l’une du CP et l’autre de CM², l’anatomie des mecs est indépendante de la manière dont il nous baise.
Je me suis bien gardé de leur dire que de ce côté-là, je faisais partie des classes dites inférieures, ce qui se passe dans notre lit, regarde ceux qui sont dans ce lit.
Au resto, à la table près de la nôtre mange un jeune homme assez massif nous présentant une barbe de trois jours.
J’ai toujours entendu dire que ce genre de barbe était le plus difficile à entretenir, pour que nous ayons l’impression qu’elle est de trois jours.
Il me regarde, pour la première fois, je sens ma petite culotte s’humidifier.
Qu’avons-nous dit ayant pu faire penser à Sylvestre, j’anticipe à ce moment de notre histoire, c’est encore un inconnu ?
Qu’avons-nous dit pour qu’au dessert, le chef cuistot avec son apprenti nous amène un gâteau brillant de mille feux afin de fêter notre anniversaire de mariage ?
Tous les ans, j’ai droit au resto, c’est la première fois lorsqu’il a réservé, il a pu dire que c’était notre anniversaire.
• Ce monsieur a demandé à la serveuse de vous offrir ce gâteau pour votre anniversaire de mariage.
• Je peux me joindre à vous, patron amenez nous une bouteille de champagne !
Je suis à deux doigts de rembarrer ce gars, comment peut-on s’inviter à une table même avec gâteau et champagne.
• Patron mettez à la disposition de monsieur une chaise à notre table, il est bien aimable de venir fêter avec nous notre anniversaire de mariage.
Petite bite, mais toujours à l’affut d’un bon coup, Gilbert invite le gars à notre table.
• Venez-vous à la maison, que nous buvions un dernier verre ?
Au moment où Gilbert fait cette proposition à Sylvestre, qui dès qu’il a été à notre table, s’est présenté, le revers de sa veste s’ouvre me montrant qu’il est armé.
Pendant tout ce temps il a été charmant, il devient charmeur et pour la première fois malgré notre différence d’âge, du regard, je réponds à ses sollicitations.
Nous nous levons, je récupère mon manteau et Sylvestre un sac de sport semblant assez lourd.
Il sort de sa poche une liasse de billets réglant nos trois repas.
• Gilbert tu conduis, je vais monter derrière avec Anne, tu sais ou tu habites.
C’est à ce moment que mon mari me montre son vrai visage, il est impossible qu’il ignore pourquoi Sylvestre sur un ton froid lui fait cette proposition.
Je pourrais le rembarrer et lui dire ses quatre vérités, mais de la façon dont les choses s’enchainent, moi aussi je me tais et je monte à l’arrière.
Aussitôt la voiture démarrée, il me prend la tête et me colle contre lui, mon sein est en contact avec son arme.
À partir de ce moment, il sait que j’avais vu et que je sens qu’il est armé et que cela m’excite, car lorsqu’il me prend la bouche, je réponds à ses sollicitations.
Du coin de l’œil, je vois mon mari regarder dans le rétro, nos yeux se croisent, il est impossible qu’il ignore ce que je fais avec Sylvestre.
Je sens le coup monté, les deux hommes ont-ils monté un coup afin de me faire pratiquer l’adultère sans me demander mon autorisation.
Je sens sa main passer entre nous, je suis à deux doigts de penser qu’il veut me tâter le sein, il prend son arme et la dirige vers mon mari.
• Toi, la lopette, tu regardes devant toi, je vais m’occuper de ta salope, je suis sûr qu’elle mouille d’envie d’avoir un véritable homme s’occupant d’elle.
C’est sûr, la scène que nous subissons écarte le complot entre les deux hommes.
Les yeux de Gilbert tournant pour regarder la route me confirment que mon mari me montre son vrai visage, c’est un pleutre.
C’est moi qui prends l’initiative, j’embrasse déjà soumise à ce jeune gars et son arme que je vois dans sa main du coin de l’œil.
C’est moi qui pose ma main sur sa cuisse, plutôt directement un peu plus haut, je suis conquise, ce que je sens m’intéresse fortement.
Nous arrivons chez nous, Gilbert fait descendre la voiture dans le parking avant de couper le moteur, il garde ses mains sur le volant.
À l’arrière, Sylvestre prend son arme et me la met dans ma bouche.
• Pauvre type, on va monter chez vous et je vais m’occuper de ta femme, elle en mouille d’envie, si tu cries, la première balle sera pour elle.
La deuxième même si tu cherches à t’échapper sera pour toi alors pas de connerie.
Pourquoi lorsqu’il dit ces mots, je suis sûr qu’il ment, que Gilbert en prenne une, s’est plausible, mais ce que j’ai en main me prouve son mensonge ?
Ment-on lorsque l’on bande pour une femme qui mouille pour vous ?
• Espèce de tantouse, c’est mon arme qui te fait peur, au resto, je me cachais de la police, je venais de faire un braquage d’une banque deux rues plus loin.
J’ai appris de longues expériences que c’est lorsque l’on se cache le moins que l’on passe le plus inaperçu.
Lorsque j’ai vu Anne, ta femme me regarder, il m’a fallu quelques secondes pour savoir qu’elle attendait un signe de moi pour te faire cocue mon pauvre ami.
Lorsqu’il me prend dans ses bras, me serrant sur son cœur, j’aurais dû réagir et le repousser, mais l’état de mes parties intimes m’empêchait de résonner.
Je me pame lorsque sa bouche retrouve la sienne, surtout qu’il passe sa main sur ma chatte sous les yeux agare de Gilbert.
C’est un mauvais amant, mais pour autant mérite-t-il l’indifférence dont je fais preuve.
• Elle est bonne ta salope, tient prend mon arme, je vais la baiser.
Je vois Gilbert se saisir de l’arme que Sylvestre lui tend par le canon.
Ce geste me fait peur, mon mari va-t-il avoir un regain de courage et tirer sur celui qui me subjuge ?
Je vois son doigt appuyer sur la détente sans qu’aucune balle sorte.
• Mais c’est qu’il serait courageux ton avortons Anne ma chérie !
Je le croyais pleutre, c’est simplement un con qui a oublié qu’une arme a un grand de sureté qu’il faut enlever pour tirer.
Mais c’est bien, dit moi depuis que tu as compris que ta femme bavait que je la saute, tu as toujours fermé ta gueule.
Pourtant pendant le dessert tu l’avais ouverte plus que de raison, tu as une question, pourquoi je te fais ça ?
• Allez-vous rester longtemps ?
• Ben voilà, on commence à se comprendre, ta femme je vais la sauter pendant trois semaines, si elle est d’accord ma foi, c’est la durée qu’il faut pour calmer les Keufs.
Après ils ont tellement d’affaire qu’ils laissent tomber.
J’aurais dû me servir de l’ouverture qu’il vient de faire en lui demandant de me laisser tranquille.
Mais la queue que j’ai senti vibrer, je la veux, je la veux.
• Tu vois, tu as encore perdu, rends-moi mon arme, Anne conduit moi dans votre chambre afin que je te baise comme tu le mérites.
Dans une heure tu nous apporteras un plateau-repas, je vais même te faire confiance, j’ai vu une épicerie à deux pas lorsque nous sommes arrivés avec la voiture.
Tu prendras dans ce sac de sport un billet ou deux de cent, il doit, au bas mot, avoir 90 000 € à l’intérieur.
À ton regard qui s’éclaire, tu dois te dire quel connard ce mec !
Pendant qu’il baisera, ma femme je vais descendre jusqu’au commissariat que j’ai vu à côté et je vais dire au poulet que le braqueur de la banque ce matin est chez moi.
Soit sans crainte, je tiens à ma vie, surtout avec ta poulette qui pendant que nous parlons viens de sortir ma bite pour me la sucer.
Mec, tu es pathétique, je lis en toi comme dans un livre.
Si tu entres pour me donner, je me laisserai arrêter, pour le braquage de ce matin, au bas mot, je prendrais dix ans.
Dix ans divisés par deux pour bonne conduite et peut-être un peu moins si une canicule survient et qu’il faut vider les prisons pour éviter les émeutes carcérales.
Bref si tu me donnes au flic, j’attendrais patiemment d’être sorti et je te retrouverais là ou que tu sois et avec cette arme ou une autre.
J’en ai caché après le braquage d’une armurerie l’an passé et je te mettrais une balle entre les deux yeux.
Gilbert s’est de nouveau prostré devant nous, son regain de courage étant proportionnel avec ses élans pour trouver du boulot.
Comme l’on dit, pourquoi remettre au lendemain ce que nous pourrons faire le surlendemain ?
C’est un peu la devise de mon mari depuis qu’il est au chômage et que c’est moi qui fais bouillir la marmite.
Je prends la main de la verge sur pied que je veux découvrir plus profondément et c’est moi qui le tire vers notre chambre.
Je sens ma mouille couler le long de mes jambes.
Je suis chaude comme la braise...
Je pourrais dire que je suis l’héroïne de cette histoire, mais j’en suis plutôt la salope, la pute acceptant la domination du jeune homme que nous avons rencontré ce soir-là !
Je m’appelle Gardénia et j’ai quarante-huit ans, mariés à Gilbert depuis vingt-huit ans.
J’avais vingt ans lors de notre rencontre et c’est le seul homme de ma vie à ce jour.
Je suis institutrice, maintenant on nous appelle prof des écoles.
Nous sommes, sans enfants, gérer vingt-cinq de ces têtes blondes toutes les semaines sauf celles ou nous sommes en vacances et les week-ends, ça m’a évité de me poser des questions.
Un moment j’ai été à deux doigts de demander à Gilbert que nous fassions des examens, mais j’ai renoncé trouvant ma vie assez remplie comme ça.
Vingt-cinq dans la journée, deux ou trois en rentrant à la maison, c’était un truc à me tirer des balles.
Ce soir Gilbert m’a emmené au restaurant avec mon argent, car il est au chômage en fin de droit.
Je me satisfais de ma situation bien que par moments l’envie d’aller voir ailleurs me taraude.
Jusque dans notre lit, rapidement, après notre mariage, la frustration a été là.
Longueur de sa bite, aucune excuse, j’en ai quelquefois parlé avec Agnès et Olga deux collèges, l’une du CP et l’autre de CM², l’anatomie des mecs est indépendante de la manière dont il nous baise.
Je me suis bien gardé de leur dire que de ce côté-là, je faisais partie des classes dites inférieures, ce qui se passe dans notre lit, regarde ceux qui sont dans ce lit.
Au resto, à la table près de la nôtre mange un jeune homme assez massif nous présentant une barbe de trois jours.
J’ai toujours entendu dire que ce genre de barbe était le plus difficile à entretenir, pour que nous ayons l’impression qu’elle est de trois jours.
Il me regarde, pour la première fois, je sens ma petite culotte s’humidifier.
Qu’avons-nous dit ayant pu faire penser à Sylvestre, j’anticipe à ce moment de notre histoire, c’est encore un inconnu ?
Qu’avons-nous dit pour qu’au dessert, le chef cuistot avec son apprenti nous amène un gâteau brillant de mille feux afin de fêter notre anniversaire de mariage ?
Tous les ans, j’ai droit au resto, c’est la première fois lorsqu’il a réservé, il a pu dire que c’était notre anniversaire.
• Ce monsieur a demandé à la serveuse de vous offrir ce gâteau pour votre anniversaire de mariage.
• Je peux me joindre à vous, patron amenez nous une bouteille de champagne !
Je suis à deux doigts de rembarrer ce gars, comment peut-on s’inviter à une table même avec gâteau et champagne.
• Patron mettez à la disposition de monsieur une chaise à notre table, il est bien aimable de venir fêter avec nous notre anniversaire de mariage.
Petite bite, mais toujours à l’affut d’un bon coup, Gilbert invite le gars à notre table.
• Venez-vous à la maison, que nous buvions un dernier verre ?
Au moment où Gilbert fait cette proposition à Sylvestre, qui dès qu’il a été à notre table, s’est présenté, le revers de sa veste s’ouvre me montrant qu’il est armé.
Pendant tout ce temps il a été charmant, il devient charmeur et pour la première fois malgré notre différence d’âge, du regard, je réponds à ses sollicitations.
Nous nous levons, je récupère mon manteau et Sylvestre un sac de sport semblant assez lourd.
Il sort de sa poche une liasse de billets réglant nos trois repas.
• Gilbert tu conduis, je vais monter derrière avec Anne, tu sais ou tu habites.
C’est à ce moment que mon mari me montre son vrai visage, il est impossible qu’il ignore pourquoi Sylvestre sur un ton froid lui fait cette proposition.
Je pourrais le rembarrer et lui dire ses quatre vérités, mais de la façon dont les choses s’enchainent, moi aussi je me tais et je monte à l’arrière.
Aussitôt la voiture démarrée, il me prend la tête et me colle contre lui, mon sein est en contact avec son arme.
À partir de ce moment, il sait que j’avais vu et que je sens qu’il est armé et que cela m’excite, car lorsqu’il me prend la bouche, je réponds à ses sollicitations.
Du coin de l’œil, je vois mon mari regarder dans le rétro, nos yeux se croisent, il est impossible qu’il ignore ce que je fais avec Sylvestre.
Je sens le coup monté, les deux hommes ont-ils monté un coup afin de me faire pratiquer l’adultère sans me demander mon autorisation.
Je sens sa main passer entre nous, je suis à deux doigts de penser qu’il veut me tâter le sein, il prend son arme et la dirige vers mon mari.
• Toi, la lopette, tu regardes devant toi, je vais m’occuper de ta salope, je suis sûr qu’elle mouille d’envie d’avoir un véritable homme s’occupant d’elle.
C’est sûr, la scène que nous subissons écarte le complot entre les deux hommes.
Les yeux de Gilbert tournant pour regarder la route me confirment que mon mari me montre son vrai visage, c’est un pleutre.
C’est moi qui prends l’initiative, j’embrasse déjà soumise à ce jeune gars et son arme que je vois dans sa main du coin de l’œil.
C’est moi qui pose ma main sur sa cuisse, plutôt directement un peu plus haut, je suis conquise, ce que je sens m’intéresse fortement.
Nous arrivons chez nous, Gilbert fait descendre la voiture dans le parking avant de couper le moteur, il garde ses mains sur le volant.
À l’arrière, Sylvestre prend son arme et me la met dans ma bouche.
• Pauvre type, on va monter chez vous et je vais m’occuper de ta femme, elle en mouille d’envie, si tu cries, la première balle sera pour elle.
La deuxième même si tu cherches à t’échapper sera pour toi alors pas de connerie.
Pourquoi lorsqu’il dit ces mots, je suis sûr qu’il ment, que Gilbert en prenne une, s’est plausible, mais ce que j’ai en main me prouve son mensonge ?
Ment-on lorsque l’on bande pour une femme qui mouille pour vous ?
• Espèce de tantouse, c’est mon arme qui te fait peur, au resto, je me cachais de la police, je venais de faire un braquage d’une banque deux rues plus loin.
J’ai appris de longues expériences que c’est lorsque l’on se cache le moins que l’on passe le plus inaperçu.
Lorsque j’ai vu Anne, ta femme me regarder, il m’a fallu quelques secondes pour savoir qu’elle attendait un signe de moi pour te faire cocue mon pauvre ami.
Lorsqu’il me prend dans ses bras, me serrant sur son cœur, j’aurais dû réagir et le repousser, mais l’état de mes parties intimes m’empêchait de résonner.
Je me pame lorsque sa bouche retrouve la sienne, surtout qu’il passe sa main sur ma chatte sous les yeux agare de Gilbert.
C’est un mauvais amant, mais pour autant mérite-t-il l’indifférence dont je fais preuve.
• Elle est bonne ta salope, tient prend mon arme, je vais la baiser.
Je vois Gilbert se saisir de l’arme que Sylvestre lui tend par le canon.
Ce geste me fait peur, mon mari va-t-il avoir un regain de courage et tirer sur celui qui me subjuge ?
Je vois son doigt appuyer sur la détente sans qu’aucune balle sorte.
• Mais c’est qu’il serait courageux ton avortons Anne ma chérie !
Je le croyais pleutre, c’est simplement un con qui a oublié qu’une arme a un grand de sureté qu’il faut enlever pour tirer.
Mais c’est bien, dit moi depuis que tu as compris que ta femme bavait que je la saute, tu as toujours fermé ta gueule.
Pourtant pendant le dessert tu l’avais ouverte plus que de raison, tu as une question, pourquoi je te fais ça ?
• Allez-vous rester longtemps ?
• Ben voilà, on commence à se comprendre, ta femme je vais la sauter pendant trois semaines, si elle est d’accord ma foi, c’est la durée qu’il faut pour calmer les Keufs.
Après ils ont tellement d’affaire qu’ils laissent tomber.
J’aurais dû me servir de l’ouverture qu’il vient de faire en lui demandant de me laisser tranquille.
Mais la queue que j’ai senti vibrer, je la veux, je la veux.
• Tu vois, tu as encore perdu, rends-moi mon arme, Anne conduit moi dans votre chambre afin que je te baise comme tu le mérites.
Dans une heure tu nous apporteras un plateau-repas, je vais même te faire confiance, j’ai vu une épicerie à deux pas lorsque nous sommes arrivés avec la voiture.
Tu prendras dans ce sac de sport un billet ou deux de cent, il doit, au bas mot, avoir 90 000 € à l’intérieur.
À ton regard qui s’éclaire, tu dois te dire quel connard ce mec !
Pendant qu’il baisera, ma femme je vais descendre jusqu’au commissariat que j’ai vu à côté et je vais dire au poulet que le braqueur de la banque ce matin est chez moi.
Soit sans crainte, je tiens à ma vie, surtout avec ta poulette qui pendant que nous parlons viens de sortir ma bite pour me la sucer.
Mec, tu es pathétique, je lis en toi comme dans un livre.
Si tu entres pour me donner, je me laisserai arrêter, pour le braquage de ce matin, au bas mot, je prendrais dix ans.
Dix ans divisés par deux pour bonne conduite et peut-être un peu moins si une canicule survient et qu’il faut vider les prisons pour éviter les émeutes carcérales.
Bref si tu me donnes au flic, j’attendrais patiemment d’être sorti et je te retrouverais là ou que tu sois et avec cette arme ou une autre.
J’en ai caché après le braquage d’une armurerie l’an passé et je te mettrais une balle entre les deux yeux.
Gilbert s’est de nouveau prostré devant nous, son regain de courage étant proportionnel avec ses élans pour trouver du boulot.
Comme l’on dit, pourquoi remettre au lendemain ce que nous pourrons faire le surlendemain ?
C’est un peu la devise de mon mari depuis qu’il est au chômage et que c’est moi qui fais bouillir la marmite.
Je prends la main de la verge sur pied que je veux découvrir plus profondément et c’est moi qui le tire vers notre chambre.
Je sens ma mouille couler le long de mes jambes.
Je suis chaude comme la braise...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Chris.
La chipie
La chipie
Demain j'ignore à qu'elle heure...
A quand la suite mon cher Chris