COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (3/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION ÉCHANGISME. La petite Japonaise (3/5)
Fujiko, mais surtout Kiriko, ce sont les noms de ce couple japonais que j’ai rencontré dans le sentier m’ayant demandé où se trouvait le musée Grévin.
Je rentrais chez moi et je passe tout près du musée, je me propose de les accompagner finissant même dans la chambre du palace où ils sont descendus.
Kiriko, exemplaire parfait de petite fille de son pays, avec ses yeux fendus me faisant immédiatement craquer.
Kiriko qui, hélas, chaque fois qu’elle me montre son petit cul drapé dans son tailleur, certainement hors de prix comparé à la pauvre paye d’homme multi-tâches que je touche me fait bander.
Je travaille dans le quartier à quelques mètres de l’endroit où je les rencontre.
Je revenais de chez ma patronne lorsqu’ils m’abordent la queue basse, les putains d’Anglais ayant débarqué.
Les rosbifs, ils nous auront toujours emmerdé Trafalgar, finissant par quitter l’Europe et maintenant les larmes de sang me frustrant.
Je voulais profiter de l’absence de mon patron parti pour ses affaires en Allemagne pour commander des tissus pour niquer ma patronne, je la savais consentante.
Hélas, les ours de Sabrina sont venus m’emmerder.
Sabrina, c’est le nom de ma patronne pulpeuse blonde aux gros seins.
Soirée que je crois de merde puisque Fujiko son mec impressionnant, car bien plus grand qu’elle, soit constamment avec nous.
Je compte sur Julien mon copain restaurateur si j’ai une ouverture, sauf sa main sur ma cuisse je sens que je vais être marron.
Comme un toutou je la suis jusqu’à ce qu’ils m’invitent à venir boire un dernier verre.
Dans l’hôtel 5 étoiles, c’est dans leur chambre que Kiriko m’apprend qu’ils sont libertins et que je suis le garçon que ma convoitise a choisi pour passer une dernière nuit dans notre capitale.
Sucette et maintenant Jacuzzi par chance deux places ou la jeune femme vient se coucher sur mon corps d’athlète.
Je sens que je suis en train d’atteindre mon but, si je voulais, je pourrais la prendre là dans ce bain bouillonnant, mais je la veux pantelante sur son lit alors je la repousse doucement de peur de casser le charme qui semble s’établir entre nous.
• Non, l’hygiène est très stricte au Japon, je veux te savonner.
Je me lève, ma verge fièrement tendue presque à éclater sans qu’elle me touche.
Je dois me calmer si je veux lui faire voir que les Français sont les mâles qui sont reconnus dans le monde entier.
Kiriko en évitant de me toucher à ce point sensible me montre toute l’étendue qu’elle a du sexe certainement acquis au moment où elle partouzait avec Fujiko.
Je suis propre, je saute du Jacuzzi la prenant par les hanches, les serviettes de bain sont très épaisses et c’est avec plaisir que je passe celle que j’ai récupérée sur le présentoir sur l’ensemble de son petit corps fripon.
Même si je suis peu enclin à aller faire du sport, j’ai des pectoraux assez développés, c’est de famille, du peu que j’ai connu mon père, monsieur Univers des années 80.
Il faisait des compétitions internationales et c’est au Mexique qu’il doit vivre après avoir quitté, maman, s’il a continué à lever de la fonte.
Je la prends dans mes bras, la soulevant comme un sac de plume et retournant vers la chambre, je constate que Fujiko s’est éclipsé.
Ayant vu que les choses étaient bien engagées avec sa femme, seul le verre de whisky montrant qu’il a quitté la chambre discrètement montre qu’il est parti sans le terminer.
Je couche Kiriko sur le lit tombant ma figure dans sa fourche, elle devait faire de la gym étant petite, car elle écarte ses cuisses à 180° comme le ferait une ballerine en faisant le grand écart.
Son clito est exacerbé et extrêmement sensible dès que je le touche de la pointe de ma langue.
• Huff...
• Excuse, t’ai-je fait mal ?
• Non, au contraire continu, j’ai simplement été surprise.
Je suis calmé tout en bandant suffisamment pour la pénétrer, mais je veux me relever quand elle me retient.
• Non, attend, je veux, aller chercher une capote dans mon jean !
• Une capote, j’ignore ce mot.
• Un préservatif si tu préfères !
• Au oui, un « kondomu », regarde ce vase de Sèvres sur la table de nuit, tu vas y trouver ton bonheur, j’attendais la fin de ton cunni pour te demander d’y plonger la main.
Je le fais, le vase contient assez de préservatifs pour qu’elle se fasse défoncer par tout un régiment, enfin, pour l’heure, il faudra qu’elle se contente de ma simple bite.
• Attends, donne-la, je vais te la mettre, j’adore mettre des capotes aux hommes pour le plus grand plaisir de Fujiko lorsque nous sommes à l’étranger.
Elle déchire l’étui avec ses dents, avant dans sortir la capote qu’elle place dans sa bouche et la présentant à mon gland.
C’est la première fois qu’une femme me couvre surtout avec sa bouche et déroule le préservatif jusqu’à s’en faire une gorge profonde.
Comment une aussi petite bouche est-elle capable de m’avaler dans son intégralité sans le moindre haut-le-cœur ?
• Couche-toi, j’adore être sur le dessus quand je fais l’amour.
Ça me va bien, je me couche et prestement elle passe sa jambe me remontrant sa fente rose baillant littéralement et dégoulinante de sa cyprine.
Elle s’enfonce sur ma bite.
C’est à ce moment que sortant de la pièce voisine du Jacuzzi, Fujiko pénètre dans la chambre, entièrement à poil me montrant une parfaite virilité.
Kiriko sent mon petit recul.
• Christian, si tu peux me baiser, c’est grâce à mon choix tout à l’heure dans la foule du quartier du sentier.
• Pourquoi moi ?
• Pardon, il est une heure, avant-hier, nous sommes allés sur la butte Montmartre et j’ai vu des dessinateurs qui dessinaient des Poulbots.
J’en ai acheté un que je te montrerais qui te ressemblait, alors je t’ai choisi au risque que tu aies d’autres obligations.
Comme je te l’ai dit, l’an passer Fujiko a été repoussé de mes jeux érotiques avec ces deux petites salopes marocaines, Wafae et Radia.
Dans l’avions, je lui ai fait une promesse qu’en gentleman il a acceptée, il m’a sodomisé dès notre première rencontre et rêvait de me prendre en double pénétration.
Il m’a avoué que si les partouzes avaient continué, me faire prendre par deux bites seraient déjà faits, ça faisait partie de ses fantasmes.
Il me considère comme une poupée et il m’a avoué rêver de me voir prendre par deux bites.
Je lui ai promis qu’à Paris nous trouverions un partenaire à mon goût et qu’il pourrait réaliser son fantasme.
Continu à me baiser, il va m’enculer, c’est pour cela que je t’ai dit vouloir être dessus.
Quelle belle petite cochonne, je vois Fujiko qui s’avance me faisant un clin d’œil et je sens centimètres par centimètres sa verge entrer dans sa femme.
J’ignore le niveau d’isolation acoustique de la chambre, mais rapidement les cris qu’elle se met à pousser en jouissant risque de nous faire venir les pompiers suivis de la police pensant que nous sommes en train de l’égorger.
Je reprends sa bouche les derniers spasmes de sa jouissance finissant au fond de ma gorge.
Je décharge, je sens au travers de son périnée mon partenaire d’un soir décharger, lui aussi dans le cul de sa jolie petite femme, plutôt sa jolie petite salope.
Repus de notre prise à deux nous devons nous endormir, j’ai le temps d’ôter ma capote la déposant sur le tapis à côté du lit.
Quelle heure peut-il être lorsque je sens un mouvement sur ma queue, il semble que Kiriko veuille remettre le couvert, sa main puis sa bouche viennent reprendre ma verge, immédiatement ça la fait bander.
La lumière d’une veilleuse me permet de voir Kiriko, les yeux grands ouverts la tête à mon côté.
C’est impossible que sa bouche soit sur mon sexe et sa jolie frimousse en face de moi.
Je vais pour me relever.
• Laisse Fujiko te sucer pour te redonner vie, donne-moi ta main et pose là sur sa verge pour le faire, lui aussi bander.
Il va me prendre par la chatte et si tu veux bien, tu vas m’enculer, le plaisir que vous m’avez apporté, je veux le ramener dans ma mémoire jusqu’à l’année prochaine où nous irons en vacances au Canada.
Le temps de cette explication, la bouche de ce grand Japonais qui me suce m’a redonné la pleine forme, alors je le masturbe sans plus me poser de questions.
Une bouche en vaut une autre, même si c’est celle d’un garçon.
Kiriko, comme elle l’a faite avec moi, vient s’empaler sur la bite, que ma main a redonné vie.
Je pivote et pour la première fois j’entre centimètres par centimètres dans le cul de celle que j’avais peur d’être renvoyé sans l’avoir baisé.
La queue de mon comparse se met en mouvement et une nouvelle fois Kiriko se met à hurler son plaisir.
Nous finissons de nouveau tous les trois par prendre un pied en parfaite osmose surtout grâce à ce petit bout de femmes aux yeux bridés qui s’avère comme je l’ai dit être une parfaire salope.
Nous devons avoir sombré de nouveau dans les bras de morphé quand la sonnerie du téléphone me réveille.
Par la fenêtre le jour commence à poindre, quelle merveilleuse nuit...
Je rentrais chez moi et je passe tout près du musée, je me propose de les accompagner finissant même dans la chambre du palace où ils sont descendus.
Kiriko, exemplaire parfait de petite fille de son pays, avec ses yeux fendus me faisant immédiatement craquer.
Kiriko qui, hélas, chaque fois qu’elle me montre son petit cul drapé dans son tailleur, certainement hors de prix comparé à la pauvre paye d’homme multi-tâches que je touche me fait bander.
Je travaille dans le quartier à quelques mètres de l’endroit où je les rencontre.
Je revenais de chez ma patronne lorsqu’ils m’abordent la queue basse, les putains d’Anglais ayant débarqué.
Les rosbifs, ils nous auront toujours emmerdé Trafalgar, finissant par quitter l’Europe et maintenant les larmes de sang me frustrant.
Je voulais profiter de l’absence de mon patron parti pour ses affaires en Allemagne pour commander des tissus pour niquer ma patronne, je la savais consentante.
Hélas, les ours de Sabrina sont venus m’emmerder.
Sabrina, c’est le nom de ma patronne pulpeuse blonde aux gros seins.
Soirée que je crois de merde puisque Fujiko son mec impressionnant, car bien plus grand qu’elle, soit constamment avec nous.
Je compte sur Julien mon copain restaurateur si j’ai une ouverture, sauf sa main sur ma cuisse je sens que je vais être marron.
Comme un toutou je la suis jusqu’à ce qu’ils m’invitent à venir boire un dernier verre.
Dans l’hôtel 5 étoiles, c’est dans leur chambre que Kiriko m’apprend qu’ils sont libertins et que je suis le garçon que ma convoitise a choisi pour passer une dernière nuit dans notre capitale.
Sucette et maintenant Jacuzzi par chance deux places ou la jeune femme vient se coucher sur mon corps d’athlète.
Je sens que je suis en train d’atteindre mon but, si je voulais, je pourrais la prendre là dans ce bain bouillonnant, mais je la veux pantelante sur son lit alors je la repousse doucement de peur de casser le charme qui semble s’établir entre nous.
• Non, l’hygiène est très stricte au Japon, je veux te savonner.
Je me lève, ma verge fièrement tendue presque à éclater sans qu’elle me touche.
Je dois me calmer si je veux lui faire voir que les Français sont les mâles qui sont reconnus dans le monde entier.
Kiriko en évitant de me toucher à ce point sensible me montre toute l’étendue qu’elle a du sexe certainement acquis au moment où elle partouzait avec Fujiko.
Je suis propre, je saute du Jacuzzi la prenant par les hanches, les serviettes de bain sont très épaisses et c’est avec plaisir que je passe celle que j’ai récupérée sur le présentoir sur l’ensemble de son petit corps fripon.
Même si je suis peu enclin à aller faire du sport, j’ai des pectoraux assez développés, c’est de famille, du peu que j’ai connu mon père, monsieur Univers des années 80.
Il faisait des compétitions internationales et c’est au Mexique qu’il doit vivre après avoir quitté, maman, s’il a continué à lever de la fonte.
Je la prends dans mes bras, la soulevant comme un sac de plume et retournant vers la chambre, je constate que Fujiko s’est éclipsé.
Ayant vu que les choses étaient bien engagées avec sa femme, seul le verre de whisky montrant qu’il a quitté la chambre discrètement montre qu’il est parti sans le terminer.
Je couche Kiriko sur le lit tombant ma figure dans sa fourche, elle devait faire de la gym étant petite, car elle écarte ses cuisses à 180° comme le ferait une ballerine en faisant le grand écart.
Son clito est exacerbé et extrêmement sensible dès que je le touche de la pointe de ma langue.
• Huff...
• Excuse, t’ai-je fait mal ?
• Non, au contraire continu, j’ai simplement été surprise.
Je suis calmé tout en bandant suffisamment pour la pénétrer, mais je veux me relever quand elle me retient.
• Non, attend, je veux, aller chercher une capote dans mon jean !
• Une capote, j’ignore ce mot.
• Un préservatif si tu préfères !
• Au oui, un « kondomu », regarde ce vase de Sèvres sur la table de nuit, tu vas y trouver ton bonheur, j’attendais la fin de ton cunni pour te demander d’y plonger la main.
Je le fais, le vase contient assez de préservatifs pour qu’elle se fasse défoncer par tout un régiment, enfin, pour l’heure, il faudra qu’elle se contente de ma simple bite.
• Attends, donne-la, je vais te la mettre, j’adore mettre des capotes aux hommes pour le plus grand plaisir de Fujiko lorsque nous sommes à l’étranger.
Elle déchire l’étui avec ses dents, avant dans sortir la capote qu’elle place dans sa bouche et la présentant à mon gland.
C’est la première fois qu’une femme me couvre surtout avec sa bouche et déroule le préservatif jusqu’à s’en faire une gorge profonde.
Comment une aussi petite bouche est-elle capable de m’avaler dans son intégralité sans le moindre haut-le-cœur ?
• Couche-toi, j’adore être sur le dessus quand je fais l’amour.
Ça me va bien, je me couche et prestement elle passe sa jambe me remontrant sa fente rose baillant littéralement et dégoulinante de sa cyprine.
Elle s’enfonce sur ma bite.
C’est à ce moment que sortant de la pièce voisine du Jacuzzi, Fujiko pénètre dans la chambre, entièrement à poil me montrant une parfaite virilité.
Kiriko sent mon petit recul.
• Christian, si tu peux me baiser, c’est grâce à mon choix tout à l’heure dans la foule du quartier du sentier.
• Pourquoi moi ?
• Pardon, il est une heure, avant-hier, nous sommes allés sur la butte Montmartre et j’ai vu des dessinateurs qui dessinaient des Poulbots.
J’en ai acheté un que je te montrerais qui te ressemblait, alors je t’ai choisi au risque que tu aies d’autres obligations.
Comme je te l’ai dit, l’an passer Fujiko a été repoussé de mes jeux érotiques avec ces deux petites salopes marocaines, Wafae et Radia.
Dans l’avions, je lui ai fait une promesse qu’en gentleman il a acceptée, il m’a sodomisé dès notre première rencontre et rêvait de me prendre en double pénétration.
Il m’a avoué que si les partouzes avaient continué, me faire prendre par deux bites seraient déjà faits, ça faisait partie de ses fantasmes.
Il me considère comme une poupée et il m’a avoué rêver de me voir prendre par deux bites.
Je lui ai promis qu’à Paris nous trouverions un partenaire à mon goût et qu’il pourrait réaliser son fantasme.
Continu à me baiser, il va m’enculer, c’est pour cela que je t’ai dit vouloir être dessus.
Quelle belle petite cochonne, je vois Fujiko qui s’avance me faisant un clin d’œil et je sens centimètres par centimètres sa verge entrer dans sa femme.
J’ignore le niveau d’isolation acoustique de la chambre, mais rapidement les cris qu’elle se met à pousser en jouissant risque de nous faire venir les pompiers suivis de la police pensant que nous sommes en train de l’égorger.
Je reprends sa bouche les derniers spasmes de sa jouissance finissant au fond de ma gorge.
Je décharge, je sens au travers de son périnée mon partenaire d’un soir décharger, lui aussi dans le cul de sa jolie petite femme, plutôt sa jolie petite salope.
Repus de notre prise à deux nous devons nous endormir, j’ai le temps d’ôter ma capote la déposant sur le tapis à côté du lit.
Quelle heure peut-il être lorsque je sens un mouvement sur ma queue, il semble que Kiriko veuille remettre le couvert, sa main puis sa bouche viennent reprendre ma verge, immédiatement ça la fait bander.
La lumière d’une veilleuse me permet de voir Kiriko, les yeux grands ouverts la tête à mon côté.
C’est impossible que sa bouche soit sur mon sexe et sa jolie frimousse en face de moi.
Je vais pour me relever.
• Laisse Fujiko te sucer pour te redonner vie, donne-moi ta main et pose là sur sa verge pour le faire, lui aussi bander.
Il va me prendre par la chatte et si tu veux bien, tu vas m’enculer, le plaisir que vous m’avez apporté, je veux le ramener dans ma mémoire jusqu’à l’année prochaine où nous irons en vacances au Canada.
Le temps de cette explication, la bouche de ce grand Japonais qui me suce m’a redonné la pleine forme, alors je le masturbe sans plus me poser de questions.
Une bouche en vaut une autre, même si c’est celle d’un garçon.
Kiriko, comme elle l’a faite avec moi, vient s’empaler sur la bite, que ma main a redonné vie.
Je pivote et pour la première fois j’entre centimètres par centimètres dans le cul de celle que j’avais peur d’être renvoyé sans l’avoir baisé.
La queue de mon comparse se met en mouvement et une nouvelle fois Kiriko se met à hurler son plaisir.
Nous finissons de nouveau tous les trois par prendre un pied en parfaite osmose surtout grâce à ce petit bout de femmes aux yeux bridés qui s’avère comme je l’ai dit être une parfaire salope.
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Bonjour
Toujours une belle écriture et des textes des plus excitant
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