COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Saison I (2/3)
Je m’appelle Gladys, je viens d’avoir 30 ans, certains pourraient dire que je suis une coincée du cul.
Moi je dirais que je suis une jeune femme ayant été élevée dans une stricte discipline par mes parents et surtout mon papa.
Nous habitons à Paris dans le 14e, mon mari Gaétan, 32 ans est informaticien dans une start-up en développement.
Pour ma part, je suis professeur des écoles et à ce titre, j’ai eu une année difficile, car Gabriel se retrouvait dans ma classe.
Depuis quelque temps, j’ai commencé à sentir Gaétan un peu distant avec moi.
J’ai mis cela sur le compte de nos âges avançant et de notre travail de plus en plus prenant pour lui et stressant pour moi.
Stressant, car mon travail et deux enfants grandissants à gérer, j’ai un peu de mal à assurer, du moins je le croyaisÀ quelques jours de nos vacances dans les Landes dans une villa presque les pieds dans l’eau, je me suis aperçue que le mal était plus profond.
Gaétan remettait en cause nos rapports sexuels qu’il trouvait trop distants et surtout trop répétitifs.
J’ai une amie Magali, à qui je m’étais confiée avant cette altercation et qui m’avait ouvert les yeux sur ce que les hommes aiment que leurs femmes fassent avec leurs hommes dans un lit ou ailleurs.
Je dis ailleurs, car depuis qu’il m’a dépucelée, je me donne à Gaétan avec envie, mais toujours la lumière éteinte au fond de notre lit.
La venue des enfants a amplifié le problème, car j’évite de faire du bruit lorsque je jouis allant même jusqu’à me mordre la lèvre.
En arrivant à la villa louée pour le temps de notre séjour, quelle surprise de découvrir que c'est une villa mixte.
Nous nous installons tout de même espérant que la deuxième partie restera libre comme cela arrive dans ces régions, les volets étant fermés.
C’est dans la chambre, que j’attribue à Gwendolyne que je me donne à lui en levrette, dévastant son lit.
Gaétan vient de m’ouvrir à une vie sexuelle qu’au fond de moi, je pressentais existée après ce que Magali m’en a dit.
Mes enfants semblent se poser moins de questions.
Pendant que nous batifolions, ils ont fugué vers la mer, que nous leur avions promise tout au long du voyage et un peu oubliée lors de ma première transformation.
Voulant sauter dans l’eau, ils ont lâché leurs vêtements sans se poser la moindre question.
C’est ainsi que les ramenant dans nos bras, nus avec leurs vêtements nous découvrons un autre problème, nous sommes en zone naturiste et Clarisse qui nous accueille pour le verre de l’amitié est entièrement dénudée.
Svelte et blonde, aussi mince que moi, c’est la propriétaire de ces villas mitoyennes habitant Bordeaux non loin d’ici.
Nos enfants étant retournés à la plage avec Abby, la baby-sitter, Clarisse nous propose de retourner à l’agence pour essayer de trouver une solution à ce problème.
Une phrase de Magali dite un mercredi après-midi dans un salon de thé à la porte d’Orléans me revenant à l’esprit, après qu’elle m’ait affranchie sur certaines pratiques sexuelles.
« Soit audacieuse, surprend Gaétan, les hommes adorent croire qu’ils sont les maîtres de nos corps, alors que c’est nous qui les tenons au bout d’une laisse chaque fois que nous prenons une initiative nouvelle. »
C’est pour mettre en pratique ce conseil, que pour la première fois, j’ai accepté qu’il me baise en levrette tout à l’heure et que je détache mon bout de tissu au départ ayant l’impression d’être plus que nue.
• Voilà, nous savons tout des uns et des autres, vous ferez connaissance d’Alain, dans trois jours, il m’a promis de décrocher jusqu’à fin août.
• Sinon, tu divorces !
• Surtout pas, j’ai le meilleur des maris, nous nous connaissons depuis notre enfance.
Nos parents étaient naturistes et nous nous sommes connus comme tes enfants ont rencontré les miens, nus dès le premier jour, nous avions 2 ans.
• Et il t’a demandé en mariage !
• Tu es folle, Gladys, mais à cinq ans j’ai dit oui et nous voilà, 35 ans de bonheur dans des esprits libres.
J’entends les enfants qui reviennent, je vous en conjure, restez nus avec eux et regardez, comment ils réagissent, demain nous aviserons.
Nous quittons Clarisse, je vois bien Gaétan la reluquer et aussi Abby, il faut dire que du haut de ses 18 ans, elle a un joli petit cul, j’en serais presque jalouse.
Rousse avec sa toison, alors que moi je suis brune avec une simple touffe que j’aime à garder.
• Maman, c’est la première fois que je vois ta zézette, c’est drôle, les petits poils que tu as.
Et c’est tout, elle part vers la salle de bains rejoindre son frère dans son bain.
• Dit-moi Gaétan, ta fille a fait une remarque sur ma touffe et rien sur ton sexe, es-tu un père indigne.
• Viens dans mes bras mon amour, je voulais te remercier pour ton initiative chez Clarisse, tu m’as agréablement surprise, je crois que je t’aime plus que jamais.
Pour cette histoire de sexe, tu te souviens en mai de notre week-end sur les bords du Loing, vous dormiez sur la nappe où nous avions mangé.
Je lisais et j’ai eu envie de pisser, je me suis levé et je me suis rapproché d’un buisson sans voir que Gwendolyne m’avait suivi avec son doudou.
J’ai baissé mon maillot et elle m’a vu.
« T’as un plus gros zizi que Gabriel papa. »Et elle est repartie vers vous.
Tu vois, Zizi, Zézette, tu es institutrice, tu devrais savoir que c’est à ces âges que les enfants découvrent leur corps.
Hier, quand tu finissais les valises, j’ai lavé Gabriel pour lui montrer, comment il fallait se décalotter pour enlever les impuretés.
Elles risquent d’être dangereuses à la puberté comme nous l'a dit notre docteur. Pour moi, ça m’a valu une circoncision dès nos premiers rapports, car je me déchirais à chacune de tes pénétrations.
Il bandait.
● À 8 ans, tu es un pervers.
● Eh non, ton fils bande depuis que je lui ai montré, comment il fallait faire.
Il est dans son bain, va le laver et demande lui de se décalotter.
Tu verras, c’est naturel, le sang monte dans ma verge comme il monte dans la sienne.
J’y vais, de toute façon, Gaétan a toujours refusé de laver Gwendolyne depuis sa naissance, c’est toujours moi qui le fais.
À oui, il a raison.
J’ai amené ce qu’il fallait pour notre premier repas, je suis végétarienne depuis que j’ai vu que je prenais un peu de poids.
Nous dinons sur la terrasse où il y a une table ronde, six chaises et quatre transats pour bronzer ou nous reposer.
Comme promis à Clarisse, nous sommes nus tous les six.
À oui, nous avons un couple d’invités installés déshabillés comme les autres.
Pauline et Paul, le couple de poupées que notre fille à installer sur les sièges libres.
• On débarrasse les enfants et après au lit !
• Vous avez compris, même si vous étiez nos invités, au travail !
• Gwendolyne, depuis quand tes poupées sont capables de débarrasser ?
• Elles ont bien réussi à manger !
Pragmatisme d’enfant, mais je fais les gros yeux et dix minutes après ils dorment chacun dans leur chambre.
Je ferai la vaisselle demain matin, je sais que Gaétan va aller découvrir le village et surtout le PMU.
Il gagne bien sa vie et a le droit à une petite compensation.
Nous avons fait une cagnotte que je contrôle, c’est un mec qui aime les chiffres et qui les étudie avant de jouer.
On appelle ça des martingales, la dernière fois que j’ai ouvert sa boîte, il y avait plus de 2 000 €, nous pensions trouver une baby-sitter pour notre 10e anniversaire de mariage.
Après resto et maintenant j’en suis sûr, grande baise où nous nous trouverons, m’ouvrir au sexe, j’ai quelques fantasmes.
En ce début août, il fait doux et nous allons sur les transats où Gaétan a mis les coussins rangés dans la remise près du portillon que les enfants ont franchi se retrouvant seuls sur la plage.
Il lit et je somnole, le trajet et les différentes découvertes m’ont un peu fatiguée.
• Ah, ah, ah oui...
Ce bruit nous parvient faiblement, mais nous parvient.
• Gaétan, un couple fait l’amour chez Clarisse, ça vient de sa chambre derrière le mur de séparation, elle a un amant !
• Eh non, ma chérie, ça fait dix minutes que j’entends ces bruits étouffés et c’est Clarisse et Abby qui se gouinent.
• Oh chéri, quel vilain mot, je sais qu’il arrive que des femmes fassent l’amour entre elles, mais Clarisse et sa baby-sitter !
• Nos enfants sont couchés et les siens aussi, Abby est majeure à ce qu’elle nous a dit.
Clarisse est bi-sexuelle, elle aime homme et femme.
Je suis estomaquée, notre proprio est une lesbienne !
Bien que les pratiques de l’amour entre femmes me soit étranger, quand il glisse de son transat pour venir m’écarter mes cuisses, je l’aide en devançant son désir.
Quelques minutes après, ce premier cunnilingus m’apporte ma dose de plaisirs
• Viens
Cunnilingus pour moi et fellation pour lui, mon éducation sexuelle, même à trente ans, avance à grands pas.
Magali m’a donné de bons conseils, Gaétan m’a félicité quand je me suis entièrement mise nue devant Clarisse.
Que dire quand j’avale son sperme alors qu’il m’envoie de grandes giclées pourtant, il a déjà déchargé lorsqu’il m’a pris en levrette ?...
Moi je dirais que je suis une jeune femme ayant été élevée dans une stricte discipline par mes parents et surtout mon papa.
Nous habitons à Paris dans le 14e, mon mari Gaétan, 32 ans est informaticien dans une start-up en développement.
Pour ma part, je suis professeur des écoles et à ce titre, j’ai eu une année difficile, car Gabriel se retrouvait dans ma classe.
Depuis quelque temps, j’ai commencé à sentir Gaétan un peu distant avec moi.
J’ai mis cela sur le compte de nos âges avançant et de notre travail de plus en plus prenant pour lui et stressant pour moi.
Stressant, car mon travail et deux enfants grandissants à gérer, j’ai un peu de mal à assurer, du moins je le croyaisÀ quelques jours de nos vacances dans les Landes dans une villa presque les pieds dans l’eau, je me suis aperçue que le mal était plus profond.
Gaétan remettait en cause nos rapports sexuels qu’il trouvait trop distants et surtout trop répétitifs.
J’ai une amie Magali, à qui je m’étais confiée avant cette altercation et qui m’avait ouvert les yeux sur ce que les hommes aiment que leurs femmes fassent avec leurs hommes dans un lit ou ailleurs.
Je dis ailleurs, car depuis qu’il m’a dépucelée, je me donne à Gaétan avec envie, mais toujours la lumière éteinte au fond de notre lit.
La venue des enfants a amplifié le problème, car j’évite de faire du bruit lorsque je jouis allant même jusqu’à me mordre la lèvre.
En arrivant à la villa louée pour le temps de notre séjour, quelle surprise de découvrir que c'est une villa mixte.
Nous nous installons tout de même espérant que la deuxième partie restera libre comme cela arrive dans ces régions, les volets étant fermés.
C’est dans la chambre, que j’attribue à Gwendolyne que je me donne à lui en levrette, dévastant son lit.
Gaétan vient de m’ouvrir à une vie sexuelle qu’au fond de moi, je pressentais existée après ce que Magali m’en a dit.
Mes enfants semblent se poser moins de questions.
Pendant que nous batifolions, ils ont fugué vers la mer, que nous leur avions promise tout au long du voyage et un peu oubliée lors de ma première transformation.
Voulant sauter dans l’eau, ils ont lâché leurs vêtements sans se poser la moindre question.
C’est ainsi que les ramenant dans nos bras, nus avec leurs vêtements nous découvrons un autre problème, nous sommes en zone naturiste et Clarisse qui nous accueille pour le verre de l’amitié est entièrement dénudée.
Svelte et blonde, aussi mince que moi, c’est la propriétaire de ces villas mitoyennes habitant Bordeaux non loin d’ici.
Nos enfants étant retournés à la plage avec Abby, la baby-sitter, Clarisse nous propose de retourner à l’agence pour essayer de trouver une solution à ce problème.
Une phrase de Magali dite un mercredi après-midi dans un salon de thé à la porte d’Orléans me revenant à l’esprit, après qu’elle m’ait affranchie sur certaines pratiques sexuelles.
« Soit audacieuse, surprend Gaétan, les hommes adorent croire qu’ils sont les maîtres de nos corps, alors que c’est nous qui les tenons au bout d’une laisse chaque fois que nous prenons une initiative nouvelle. »
C’est pour mettre en pratique ce conseil, que pour la première fois, j’ai accepté qu’il me baise en levrette tout à l’heure et que je détache mon bout de tissu au départ ayant l’impression d’être plus que nue.
• Voilà, nous savons tout des uns et des autres, vous ferez connaissance d’Alain, dans trois jours, il m’a promis de décrocher jusqu’à fin août.
• Sinon, tu divorces !
• Surtout pas, j’ai le meilleur des maris, nous nous connaissons depuis notre enfance.
Nos parents étaient naturistes et nous nous sommes connus comme tes enfants ont rencontré les miens, nus dès le premier jour, nous avions 2 ans.
• Et il t’a demandé en mariage !
• Tu es folle, Gladys, mais à cinq ans j’ai dit oui et nous voilà, 35 ans de bonheur dans des esprits libres.
J’entends les enfants qui reviennent, je vous en conjure, restez nus avec eux et regardez, comment ils réagissent, demain nous aviserons.
Nous quittons Clarisse, je vois bien Gaétan la reluquer et aussi Abby, il faut dire que du haut de ses 18 ans, elle a un joli petit cul, j’en serais presque jalouse.
Rousse avec sa toison, alors que moi je suis brune avec une simple touffe que j’aime à garder.
• Maman, c’est la première fois que je vois ta zézette, c’est drôle, les petits poils que tu as.
Et c’est tout, elle part vers la salle de bains rejoindre son frère dans son bain.
• Dit-moi Gaétan, ta fille a fait une remarque sur ma touffe et rien sur ton sexe, es-tu un père indigne.
• Viens dans mes bras mon amour, je voulais te remercier pour ton initiative chez Clarisse, tu m’as agréablement surprise, je crois que je t’aime plus que jamais.
Pour cette histoire de sexe, tu te souviens en mai de notre week-end sur les bords du Loing, vous dormiez sur la nappe où nous avions mangé.
Je lisais et j’ai eu envie de pisser, je me suis levé et je me suis rapproché d’un buisson sans voir que Gwendolyne m’avait suivi avec son doudou.
J’ai baissé mon maillot et elle m’a vu.
« T’as un plus gros zizi que Gabriel papa. »Et elle est repartie vers vous.
Tu vois, Zizi, Zézette, tu es institutrice, tu devrais savoir que c’est à ces âges que les enfants découvrent leur corps.
Hier, quand tu finissais les valises, j’ai lavé Gabriel pour lui montrer, comment il fallait se décalotter pour enlever les impuretés.
Elles risquent d’être dangereuses à la puberté comme nous l'a dit notre docteur. Pour moi, ça m’a valu une circoncision dès nos premiers rapports, car je me déchirais à chacune de tes pénétrations.
Il bandait.
● À 8 ans, tu es un pervers.
● Eh non, ton fils bande depuis que je lui ai montré, comment il fallait faire.
Il est dans son bain, va le laver et demande lui de se décalotter.
Tu verras, c’est naturel, le sang monte dans ma verge comme il monte dans la sienne.
J’y vais, de toute façon, Gaétan a toujours refusé de laver Gwendolyne depuis sa naissance, c’est toujours moi qui le fais.
À oui, il a raison.
J’ai amené ce qu’il fallait pour notre premier repas, je suis végétarienne depuis que j’ai vu que je prenais un peu de poids.
Nous dinons sur la terrasse où il y a une table ronde, six chaises et quatre transats pour bronzer ou nous reposer.
Comme promis à Clarisse, nous sommes nus tous les six.
À oui, nous avons un couple d’invités installés déshabillés comme les autres.
Pauline et Paul, le couple de poupées que notre fille à installer sur les sièges libres.
• On débarrasse les enfants et après au lit !
• Vous avez compris, même si vous étiez nos invités, au travail !
• Gwendolyne, depuis quand tes poupées sont capables de débarrasser ?
• Elles ont bien réussi à manger !
Pragmatisme d’enfant, mais je fais les gros yeux et dix minutes après ils dorment chacun dans leur chambre.
Je ferai la vaisselle demain matin, je sais que Gaétan va aller découvrir le village et surtout le PMU.
Il gagne bien sa vie et a le droit à une petite compensation.
Nous avons fait une cagnotte que je contrôle, c’est un mec qui aime les chiffres et qui les étudie avant de jouer.
On appelle ça des martingales, la dernière fois que j’ai ouvert sa boîte, il y avait plus de 2 000 €, nous pensions trouver une baby-sitter pour notre 10e anniversaire de mariage.
Après resto et maintenant j’en suis sûr, grande baise où nous nous trouverons, m’ouvrir au sexe, j’ai quelques fantasmes.
En ce début août, il fait doux et nous allons sur les transats où Gaétan a mis les coussins rangés dans la remise près du portillon que les enfants ont franchi se retrouvant seuls sur la plage.
Il lit et je somnole, le trajet et les différentes découvertes m’ont un peu fatiguée.
• Ah, ah, ah oui...
Ce bruit nous parvient faiblement, mais nous parvient.
• Gaétan, un couple fait l’amour chez Clarisse, ça vient de sa chambre derrière le mur de séparation, elle a un amant !
• Eh non, ma chérie, ça fait dix minutes que j’entends ces bruits étouffés et c’est Clarisse et Abby qui se gouinent.
• Oh chéri, quel vilain mot, je sais qu’il arrive que des femmes fassent l’amour entre elles, mais Clarisse et sa baby-sitter !
• Nos enfants sont couchés et les siens aussi, Abby est majeure à ce qu’elle nous a dit.
Clarisse est bi-sexuelle, elle aime homme et femme.
Je suis estomaquée, notre proprio est une lesbienne !
Bien que les pratiques de l’amour entre femmes me soit étranger, quand il glisse de son transat pour venir m’écarter mes cuisses, je l’aide en devançant son désir.
Quelques minutes après, ce premier cunnilingus m’apporte ma dose de plaisirs
• Viens
Cunnilingus pour moi et fellation pour lui, mon éducation sexuelle, même à trente ans, avance à grands pas.
Magali m’a donné de bons conseils, Gaétan m’a félicité quand je me suis entièrement mise nue devant Clarisse.
Que dire quand j’avale son sperme alors qu’il m’envoie de grandes giclées pourtant, il a déjà déchargé lorsqu’il m’a pris en levrette ?...
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