COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (13/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (13/15)
Deux d’un coup, le « petit tailleur » des contes des frères Grimm, certes, c’était sept, mais des mouches alors que moi ce sont des meufs que j’ai pécho.
Pécho, meufs, les d’jneus majeurs pouvant lire ces lignes diront que Chris71 est ringard, plutôt dépassé, mais on a l’âge que l’on a, alors, traduisez par vous-même dans le langage de votre époque.
Ceci dit, à dix-huit ans satisfaire deux magnifiques jeunes femmes, comment refuser d’être fière du début de mes premières vacances de rêve.
Présentement, nous avons quitté le lit de jardin en rotin après qu’Éloise m’est donné une leçon sur les nouvelles pratiques mondiales ayant débouché sur des influenceurs surtout féminins.
C’est le cas d'Éloise qui sur Internet a un nombre de followers, suiveur ou suiveuse en traduction française.
Est-ce à moi de dire si sur Internet, seule la langue française doit avoir le droit de cité.
Nous sommes retournés sur la terrasse, car les filles se sont rendu compte que j’étais blanc en arrivant à ces vacances, alors qu’elles sont bronzées.
Par UV, l’hiver pour Nadia à Paris et au soleil dès le printemps pour Éloise.
Nadia nous a servi une citronnade bien fraiche faite maison et les deux m’ont passé de la pommade adoucissante sur mes coups de soleil.
Inutile d’attendre que ses mains sur moi me fassent bander et qu’une nouvelle fois je les fours comme un malade assis sur ma chaise.
Mes jambes seraient dans l’impossibilité de sentir la peau d’une d’entre elles sur les miennes.
Sérial niqueur, mais sérial qui a les jambes qui lui brulent.
Éloise aime raconter et comme j’aime écouter, je bois ses propos me démontrant l’évolution de Gabriel envers les filles.
• Les amis, Pierre doit être satisfait, il émettait le doute auprès de moi que son fils soit gay.
Christian s’était dans la cabine du voilier avant que nous fassions l’amour ensemble.
Hier, je me faisais bronzer sur l’arrière de mon bateau, je l’ai vu passer avec une jeune fille.
Il m’a fait un signe de la main et je les ai vu monter à bord, ouvrir l’arrière et entrer dans la cabine.
J’étais dans le poste de pilotage lorsque je les ai vu repartir et reprendre la Vespa sur laquelle ils étaient arrivés.
• Une rouquine comme toi Éloise ?
• Pas du tout, une brune, lorsqu’ils sont passés à l’aller avant de me voir, j’ai entendu un prénom, c’est facile, c’est le féminin du tien Christian.
• Christine, tu es sûre, ils parlaient peut-être de moi.
• Dis que je suis déjà gaga, c’est bien Christine qu’il l’a appelé.
Mais qu’est-ce que cela peut te faire, tu la connais ?
Je me trouve dans la merde, est-ce à moi de dire que son pucelage ôté, Gabriel semble vouloir écumer Cannes bien qu’en ces périodes de vacances, il ait énormément de travail.
• Non, à Paris, il m’avait parlé d’une rousse qui avait été son amie pendant ses dernières vacances.
• Jennifer, mais oui, elle je la connais, aux dernières vacances, les enfants voulaient organiser une soirée avec leur copain autour de la piscine.
J’ignorais qu’il en avait profité pour perdre son pucelage.
Et dire que Pierre m’a confié qu’il avait peur d’une possible homosexualité de son fils.
Tu vas m’excuser Christian, cette impression a été renforcée lorsqu’il nous a dit qu’il s’était fait un copain.
• Vous avez cru que j’étais homo et qu’avec Gabriel, nous nous caressions nos queues.
Quelle horreur, bien que les homos je les respecte, se sucer des queues, c’est leur affaire.
Disant cela, Nadia assise à mon côté, me pose sa main sur ma cuisse.
Je saute, mes coups de soleil me faisant horriblement mal.
Le tube de crème est sur la table, Éloise, le prend, l’ouvre et la douceur de la crème calme la douleur.
Une voiture, les promeneurs du mercredi sont de retour.
• Ma chérie, Éloise est passé vous voir, j’ai failli la mettre sous les roues de notre voiture à la vitesse où elle dévalait la pente.
• Oui, elle s’est arrêtée à son retour de balade dans l’arrière-pays pour prendre un bain, nous en parlerons ce soir.
• Christian, je vois que tu as bien profité de notre absence, je vois que tu as abusé du soleil, Valentine, tu échappes aux maths, mais c’est pour mieux continuer demain.
Demain, ce sera un autre jour, Nadia va-t-elle lui raconter ce que nous avons fait pendant la journée, surtout moi avec sa femme, vais-je devoir faire mon sac et aller à la gare ?
Tout va bien, dans les heures qui ont suivi, tout s’est bien passé, je me garde bien du soleil, mais la pommade adoucissante fait son effet et je reprends mes cours et ma vie comme si de rien.
Une chose à dire, j’ai une explication avec Gabriel.
Son dépucelage l’a débarrassé de sa timidité et comme Jennifer était absente lorsqu’il avait été pour la revoir, il s’était attaqué à Christine qui avait accepté de visiter le voilier.
Que dire de plus, j’ai déjà dit que Gabriel était un garçon assez secret ?
Oui, je conduis la Vespa, la rose alors qu’il est devant moi avec la bleu, Charles ayant fini la révision.
• Tu vois, c’est là qu’ils habitent, au dernier étage de cette résidence, je sais que mon père y est venu avec ma belle-mère, ils ont un appartement de cinq pièces avec terrasse au sixième.
Je les ai entendus en parler.
• Viens, on va monter les voir.
Digicode, Hugo et Lauriane P.
• Christian, Hugo, j’ai été étonné d’entendre ta voix lorsque tu as sonné.
Entrez, excusez ma tenue, je me faisais bronzer sur ma terrasse, Hugo s’est absenté jusqu’à ce soir.
Il est allé régler une affaire, qui va nous rapporter gros.
Lauriane est en peignoir, nul doute qu’elle est nue, dessous, je vais une grande partie de ses seins par l’échancrure, ils semblent libres comme doit l’être sa chatte.
Pourquoi mettre une petite culotte ici, alors qu’elle se promène sans dehors ?
La porte refermée, je la prends dans mes bras et je l’embrasse à bouche qui veux-tu.
• Je vois, Christian si Lauriane est une belle salope baisant dans un vestiaire de golf et dans des toilettes, elle doit être capable de se faire sauter chez elle !
• Tout à fait ma belle et je pense que deux jeunes queues pourraient t’apporter bien du plaisir.
Mais si Hugo est absent, c’est moins marrant, on reviendra.
• Tout doux, les jeunes, je pense que tu as appris qu’il aime me voir baisée par d’autres devant lui.
Mais sache Christian qu’à notre première rencontre au restaurant sur la croisette avec Nadia, je venais de quitter un amant d’un coup, un vacancier de passage, alors venez.
Elle nous entraine vers la terrasse, par chance ma peau étant encore un peu sensible, le soleil a tourné et des transats sont à l’ombre.
En marchant, j’attrape son peignoir qu’elle laisse tomber, quelle belle femme malgré certainement sa quarantaine.
Elle se retourne dès que nous sommes dehors, s’agenouille et commence à dégrafer Gabriel.
Je sors ma queue, celle de mon ami est déjà dans sa bouche.
Tour à tour, elle nous pompe, je regarde Gabriel qui semble étonné que tout ait été si facile.
Je commence à prendre de l’expérience, une salope reste une salope.
Être capable de baiser là où nous avons baisé, même si c’est la première fois être satisfaite par deux jeunes bites.
C’est elle sentant certainement que nous risquions de décharger, qui se relève se couche sur un transat et écarte ses jambes.
Je regarde Gabriel, même si je suis sûr qu’il a baisé, jusqu’à ou a-t-il été, je lui fais signe que la place est libre.
Il se place dans sa fourche et commence un cunnilingus, moi je m’occupe de sa bouche et de ses seins.
Pompant et se faisant baiser, Lauriane se lâche et malgré ma bite la muselant, elle commence à émettre des sons de plaisir.
• Gabriel, tu as vu son clito, suce le bien, ce genre de petite bite tu en verras rarement, profite à fond.
Je veux changer de place, je suis à deux doigts de décharger, je prends dans ma poche l’une des capotes que j’y ai placées et je me couvre.
• Viens, on change, fais-toi sucer pendant que je prends cette salope.
• Non, c’est moi, j’ai aussi amené des capotes.
• Les garçons, inutile de vous battre, lorsqu’il y en a pour un, il y en a pour deux.
Je vois Lauriane se redresser, va-t-elle nous proposer ce que nous la prenions comme je le pressens, ce serait extraordinaire !
• Allonge-toi sur le gazon Christian, je vais m’empaler sur ta bite.
J’ai oublié de signaler que sur cette grande terrasse, il y a un gazon naturel aussi bien tondu qu’un green de golf.
Je m’exécute et Lauriane me chevauche en s’empalant pour mon plus grand plaisir.
• Gabriel, encule-moi, j’aime chaque fois que je le peux me faire baiser en double pénétration.
• Si tu veux que ce soit moi, dit le, tu vas prendre ma place et je prendrais la tienne !
• Inutile, sur le voilier, j’ai sodomisé Christine, elle veut garder sa virginité pour son mari le soir de ses noces, alors elle se laisse enculer.
Aussitôt dit, aussitôt fait, lorsqu’il entre petit à petit dans l’anus de cette méga salope, je sens sa queue frotter la mienne au travers de son périnée.
• Dommage qu’Hugo est parti, il aurait aimé me voir me faire mettre par vos jolies bites.
• Je suis là, ma chérie, mon affaire a capoté, je croyais que c’était une journée de merde, grâce à toi et à tes partenaires elle finit en apothéose.
Baiser là bien, je vous regarde mes jeunes amis.
Hugo s’assoit dans un fauteuil de jardin, faut être tordu pour regarder sa femme se faire mettre par deux jeunes en double pénétration.
Mes premières vacances de rêve, ce continu...
Pécho, meufs, les d’jneus majeurs pouvant lire ces lignes diront que Chris71 est ringard, plutôt dépassé, mais on a l’âge que l’on a, alors, traduisez par vous-même dans le langage de votre époque.
Ceci dit, à dix-huit ans satisfaire deux magnifiques jeunes femmes, comment refuser d’être fière du début de mes premières vacances de rêve.
Présentement, nous avons quitté le lit de jardin en rotin après qu’Éloise m’est donné une leçon sur les nouvelles pratiques mondiales ayant débouché sur des influenceurs surtout féminins.
C’est le cas d'Éloise qui sur Internet a un nombre de followers, suiveur ou suiveuse en traduction française.
Est-ce à moi de dire si sur Internet, seule la langue française doit avoir le droit de cité.
Nous sommes retournés sur la terrasse, car les filles se sont rendu compte que j’étais blanc en arrivant à ces vacances, alors qu’elles sont bronzées.
Par UV, l’hiver pour Nadia à Paris et au soleil dès le printemps pour Éloise.
Nadia nous a servi une citronnade bien fraiche faite maison et les deux m’ont passé de la pommade adoucissante sur mes coups de soleil.
Inutile d’attendre que ses mains sur moi me fassent bander et qu’une nouvelle fois je les fours comme un malade assis sur ma chaise.
Mes jambes seraient dans l’impossibilité de sentir la peau d’une d’entre elles sur les miennes.
Sérial niqueur, mais sérial qui a les jambes qui lui brulent.
Éloise aime raconter et comme j’aime écouter, je bois ses propos me démontrant l’évolution de Gabriel envers les filles.
• Les amis, Pierre doit être satisfait, il émettait le doute auprès de moi que son fils soit gay.
Christian s’était dans la cabine du voilier avant que nous fassions l’amour ensemble.
Hier, je me faisais bronzer sur l’arrière de mon bateau, je l’ai vu passer avec une jeune fille.
Il m’a fait un signe de la main et je les ai vu monter à bord, ouvrir l’arrière et entrer dans la cabine.
J’étais dans le poste de pilotage lorsque je les ai vu repartir et reprendre la Vespa sur laquelle ils étaient arrivés.
• Une rouquine comme toi Éloise ?
• Pas du tout, une brune, lorsqu’ils sont passés à l’aller avant de me voir, j’ai entendu un prénom, c’est facile, c’est le féminin du tien Christian.
• Christine, tu es sûre, ils parlaient peut-être de moi.
• Dis que je suis déjà gaga, c’est bien Christine qu’il l’a appelé.
Mais qu’est-ce que cela peut te faire, tu la connais ?
Je me trouve dans la merde, est-ce à moi de dire que son pucelage ôté, Gabriel semble vouloir écumer Cannes bien qu’en ces périodes de vacances, il ait énormément de travail.
• Non, à Paris, il m’avait parlé d’une rousse qui avait été son amie pendant ses dernières vacances.
• Jennifer, mais oui, elle je la connais, aux dernières vacances, les enfants voulaient organiser une soirée avec leur copain autour de la piscine.
J’ignorais qu’il en avait profité pour perdre son pucelage.
Et dire que Pierre m’a confié qu’il avait peur d’une possible homosexualité de son fils.
Tu vas m’excuser Christian, cette impression a été renforcée lorsqu’il nous a dit qu’il s’était fait un copain.
• Vous avez cru que j’étais homo et qu’avec Gabriel, nous nous caressions nos queues.
Quelle horreur, bien que les homos je les respecte, se sucer des queues, c’est leur affaire.
Disant cela, Nadia assise à mon côté, me pose sa main sur ma cuisse.
Je saute, mes coups de soleil me faisant horriblement mal.
Le tube de crème est sur la table, Éloise, le prend, l’ouvre et la douceur de la crème calme la douleur.
Une voiture, les promeneurs du mercredi sont de retour.
• Ma chérie, Éloise est passé vous voir, j’ai failli la mettre sous les roues de notre voiture à la vitesse où elle dévalait la pente.
• Oui, elle s’est arrêtée à son retour de balade dans l’arrière-pays pour prendre un bain, nous en parlerons ce soir.
• Christian, je vois que tu as bien profité de notre absence, je vois que tu as abusé du soleil, Valentine, tu échappes aux maths, mais c’est pour mieux continuer demain.
Demain, ce sera un autre jour, Nadia va-t-elle lui raconter ce que nous avons fait pendant la journée, surtout moi avec sa femme, vais-je devoir faire mon sac et aller à la gare ?
Tout va bien, dans les heures qui ont suivi, tout s’est bien passé, je me garde bien du soleil, mais la pommade adoucissante fait son effet et je reprends mes cours et ma vie comme si de rien.
Une chose à dire, j’ai une explication avec Gabriel.
Son dépucelage l’a débarrassé de sa timidité et comme Jennifer était absente lorsqu’il avait été pour la revoir, il s’était attaqué à Christine qui avait accepté de visiter le voilier.
Que dire de plus, j’ai déjà dit que Gabriel était un garçon assez secret ?
Oui, je conduis la Vespa, la rose alors qu’il est devant moi avec la bleu, Charles ayant fini la révision.
• Tu vois, c’est là qu’ils habitent, au dernier étage de cette résidence, je sais que mon père y est venu avec ma belle-mère, ils ont un appartement de cinq pièces avec terrasse au sixième.
Je les ai entendus en parler.
• Viens, on va monter les voir.
Digicode, Hugo et Lauriane P.
• Christian, Hugo, j’ai été étonné d’entendre ta voix lorsque tu as sonné.
Entrez, excusez ma tenue, je me faisais bronzer sur ma terrasse, Hugo s’est absenté jusqu’à ce soir.
Il est allé régler une affaire, qui va nous rapporter gros.
Lauriane est en peignoir, nul doute qu’elle est nue, dessous, je vais une grande partie de ses seins par l’échancrure, ils semblent libres comme doit l’être sa chatte.
Pourquoi mettre une petite culotte ici, alors qu’elle se promène sans dehors ?
La porte refermée, je la prends dans mes bras et je l’embrasse à bouche qui veux-tu.
• Je vois, Christian si Lauriane est une belle salope baisant dans un vestiaire de golf et dans des toilettes, elle doit être capable de se faire sauter chez elle !
• Tout à fait ma belle et je pense que deux jeunes queues pourraient t’apporter bien du plaisir.
Mais si Hugo est absent, c’est moins marrant, on reviendra.
• Tout doux, les jeunes, je pense que tu as appris qu’il aime me voir baisée par d’autres devant lui.
Mais sache Christian qu’à notre première rencontre au restaurant sur la croisette avec Nadia, je venais de quitter un amant d’un coup, un vacancier de passage, alors venez.
Elle nous entraine vers la terrasse, par chance ma peau étant encore un peu sensible, le soleil a tourné et des transats sont à l’ombre.
En marchant, j’attrape son peignoir qu’elle laisse tomber, quelle belle femme malgré certainement sa quarantaine.
Elle se retourne dès que nous sommes dehors, s’agenouille et commence à dégrafer Gabriel.
Je sors ma queue, celle de mon ami est déjà dans sa bouche.
Tour à tour, elle nous pompe, je regarde Gabriel qui semble étonné que tout ait été si facile.
Je commence à prendre de l’expérience, une salope reste une salope.
Être capable de baiser là où nous avons baisé, même si c’est la première fois être satisfaite par deux jeunes bites.
C’est elle sentant certainement que nous risquions de décharger, qui se relève se couche sur un transat et écarte ses jambes.
Je regarde Gabriel, même si je suis sûr qu’il a baisé, jusqu’à ou a-t-il été, je lui fais signe que la place est libre.
Il se place dans sa fourche et commence un cunnilingus, moi je m’occupe de sa bouche et de ses seins.
Pompant et se faisant baiser, Lauriane se lâche et malgré ma bite la muselant, elle commence à émettre des sons de plaisir.
• Gabriel, tu as vu son clito, suce le bien, ce genre de petite bite tu en verras rarement, profite à fond.
Je veux changer de place, je suis à deux doigts de décharger, je prends dans ma poche l’une des capotes que j’y ai placées et je me couvre.
• Viens, on change, fais-toi sucer pendant que je prends cette salope.
• Non, c’est moi, j’ai aussi amené des capotes.
• Les garçons, inutile de vous battre, lorsqu’il y en a pour un, il y en a pour deux.
Je vois Lauriane se redresser, va-t-elle nous proposer ce que nous la prenions comme je le pressens, ce serait extraordinaire !
• Allonge-toi sur le gazon Christian, je vais m’empaler sur ta bite.
J’ai oublié de signaler que sur cette grande terrasse, il y a un gazon naturel aussi bien tondu qu’un green de golf.
Je m’exécute et Lauriane me chevauche en s’empalant pour mon plus grand plaisir.
• Gabriel, encule-moi, j’aime chaque fois que je le peux me faire baiser en double pénétration.
• Si tu veux que ce soit moi, dit le, tu vas prendre ma place et je prendrais la tienne !
• Inutile, sur le voilier, j’ai sodomisé Christine, elle veut garder sa virginité pour son mari le soir de ses noces, alors elle se laisse enculer.
Aussitôt dit, aussitôt fait, lorsqu’il entre petit à petit dans l’anus de cette méga salope, je sens sa queue frotter la mienne au travers de son périnée.
• Dommage qu’Hugo est parti, il aurait aimé me voir me faire mettre par vos jolies bites.
• Je suis là, ma chérie, mon affaire a capoté, je croyais que c’était une journée de merde, grâce à toi et à tes partenaires elle finit en apothéose.
Baiser là bien, je vous regarde mes jeunes amis.
Hugo s’assoit dans un fauteuil de jardin, faut être tordu pour regarder sa femme se faire mettre par deux jeunes en double pénétration.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et c'est âs fini j'en invente tous les jours souvent la nuit je dors peu
Où vas-tu chercher toute cette imagination mon cher Chris...
Que d'aventures plus hot, les unes que les autres...
Cyrille
Que d'aventures plus hot, les unes que les autres...
Cyrille