COLLECTION HISTOIRE COURTE. À deux doigts de me pendre (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. À deux doigts de me pendre (1/1)
C’est bizarre ce sentiment d’être abandonnée de tous.
La trentaine qui me rattrape bien que j’aie été honorablement pourvue là où il faut par la nature.
Mon mari Charles-Antoine qui me quitte lorsqu’il apprend que la médecine décide que la maternité me serait à tout jamais refusée.
Un premier amant rencontré autour d’un verre dans un bar du centre de notre ville qui me laisse sur ma faim.
Un deuxième, troisième et jusqu’au quatrième, qui hier c’est permis de me dire mes quatre vérités.
J’ai beau avoir des seins magnifiques, bien ferme pour mon âge, il a trouvé qu’il y avait vu mieux dans un pieu, alors que moi, je sais que ce sont eux qui sont loin d’être à la hauteur.
À ce moment là, lorsque l’on dit que toute vérité est loin d’être bonne à dire, on est en plein dedans.
Que Franck se permette de dire que je suis une coincée du cul, alors que j’ai fait des efforts surhumains pour lui faire une fellation.
Qu’il me place en levrette et que dans cette position dégradante pour une femme, il me pilonne tenue par mes hanches, passe encore.
Le sommet, ça a été quand j’ai senti qu’il voulait me prendre comme une chienne lubrique en me perforant l’anus.
La baffe qu’il a ramassée à céler notre différence d’opinion et après qu’il m’ait dit les mots cités plus haut, je me suis retrouvée à la case départ.
Trouver un autre homme était pourtant primordial pour moi, j’ai toujours été entouré.
La seule solution aurait été d’accepter, mais mon éducation me l’interdit.
J’ai été élevé dans un milieu où les tabous sont tels que me faire enculer est hors de mes possibilités.
Tout ça va paraître puéril à notre époque, mais il est difficile de se refaire une virginité, celle-ci m’ayant été enlevée par Charles-Antoine le soir de nos noces.
On pourrait croire que Charles-Antoine par son nom est un aristo possédant des châteaux en Espagne.
À part l’Espagne, sa famille en possédait un, mais qu’ils ont vendu au franc symbolique tellement il était délabré.
Alors que moi, mes parents m’ont appelé Marie-Antoinette et je dis la vérité, je le suis aussi, mais sans le moindre bien.
Des noms ronflants sont loin de faire des gens riches.
Nous habitons dans un pavillon de banlieue dans une cité pavillonnaire non loin du travail de mon ex.
Je devrais dire, « nous habitions, » car rapidement les problèmes d’argent se sont fait jour.
L’un des problèmes dans ma situation, c’est que c’était lui qui faisait bouillir la marmite, en un mot qui réglait toute ma vie sans que je ressente le besoin de travailler.
Si j’avais su lorsque nous étions jeunes mariés qu’il souhaitait que je reste à la maison pour me préparer à donner un successeur à sa lignée, j’aurais trouvé à être indépendante financièrement.
Lui donner un enfant, mais si possible un mâle, ce qu’hélas, j’ai été incapable de lui pondre.
C’est dans le garage de Charles-Antoine là où il garait sa petite Citroën que la solution m’a paru évident.
Là encore, j’étais l’un de ses jouets comme sa voiture qu’il bichonnait chaque fois qu’il avait cinq minutes.
Certes, pour avoir un enfant, il faut coucher.
Je dirais qu’il fallait simplement que je me couche, que j’écarte mes cuisses et qu’il me pénètre sa tête dans mon cou ânonnant des mots salaces.
Une fois qu’il avait déchargé sa semence en moi, il se retournait et s’endormait espérant chaque mois, voire disparaître mes règles.
On connaît la suite et pourquoi son départ, chaque mois, elles revenaient.
Un garage, une poutre et une corde à tout faire.
Moi je sais ce que je vais en faire.
À oui, j’oubliais, le tabouret qui va me permettre d’être à la bonne hauteur.
Un noeud coulant, la corde jetée par-dessus la poutre, réglage à la bonne hauteur avant de l’attacher au pied de l’établi fixé dans le sol.
Adieu monde cruel.
• Madame, qu’est-ce que tu fais.
J’avais peur de pourrir accroché à cette poutre, j’ai laissé la porte du garage ouverte.
Je me retrouve l’air con perché sur mon tabouret, mon nœud prêt à être passé autour de mon cou.
• Je me prépare à pendre un lapin pour le cuir en gibelotte.
Lorsque l’on est dans une situation insolite devant un enfant, il faut savoir réagir vite.
Le coup du lapin, c’est la seule chose qui me vient à l’esprit.
Le coup du lapin, dans ma situation, je me trouve beaucoup d’humour alors que j’allais mettre fin ç ma vie.
• Quel âge as-tu ?
• Six ans madame, je suis en cours préparatoire et je m’appelle Antoine.
• Enchanté Antoine, tu es très bien élevé.
Scène surréaliste, entre un enfant et une femme debout sur son tabouret à deux doigts de terminer sa vie.
• Que fais-tu chez moi ?
• Maman a fait cuire des madeleines, nous venons d’arriver dans la maison à côté de chez toi et elle m’a dit de venir te les offrir.
• C’est gentil, mais j’ai à faire, reviens plus tard.
• Antoine, ou es-tu, je t’avais dit de rester quelques minutes pour éviter d’embêter la dame.
• Je suis là maman, la dame, elle veut que je revienne plus tard, elle va pendre un lapin en gibelotte.
• Mon dieu, qu’alliez-vous faire, Antoine rentre à la maison, va lire ton livre de bibliothèque que la maitresse t’a donné sur la lettre A.
• Oui, maman.
Antoine repart, sa maman récupère le plat avec les madeleines.
• Vous êtes folle, vous alliez vous pendre devant mon fils.
Je saute de mon tabouret, la scène est surréaliste, nous sommes à deux doigts que cette jeune blonde m’engueule, car étant chez moi, j’ai décidé de me suicider.
Lui ai-je demandé de me cuire des madeleines.
• Pardon, je m’emporte alors que si vous vous retrouvez dans cette situation, c’est que votre vie doit être un enfer.
Lorsque l’on est con une fois, pourquoi pas deux.
• Il voulait m’enculer et j’ai refusé, mon mari m’a quitté et mon amant aussi.
• C’est votre mari quoi voulait vous enculer !
• Non, lui il voulait me baiser pour avoir un successeur.
Nous quittons le garage et nous nous dirigeons vers mon salon.
• Alors c’est votre amant qui voulait...
• Voilà vous y êtes, c’est lui qui voulait...
• Pourtant, c’est bon, une bonne sodo, j’en raffole et de là à se pendre, il faut être folle, la vie est si belle.
• Parlez pour vous, si vous saviez ce que j’endure, vous au moins vous avez pu avoir un enfant.
• Comment vous appelez-vous ?
• Marie-Antoinette !
• Ma pauvre amie, je vois, retournons dans votre garage, je vais vous passer la corde au cou.
Je pense qu’il est plus facile que je vous appelle simplement Marie.
Je risque d’éclater de rire si chaque fois je vous appelle comme celle qui se promène la tête tranchée.
• Oui, vous avez raison, mais ce sera impossible si je me prends.
• Tu as toujours le mot pour rire, alors si tu ris, tu oublies de te suicider.
• Oui, mais je suis malheureuse !
• Non, regarde-moi, j’avais trouvé un homme qui disait m’aimer.
Entre parentaise, j’adorais qu’il m’encule et qu’il me fasse toutes les fantaisies qu’un homme et une femme peuvent faire ensemble.
Nous baisions à chaque fois que l’un ou l’autre en sentait la nécessité.
Nous étions comme le lapin que tu disais vouloir pendre devant mon fils.
Et pourtant, lorsqu’il a vu une petite pétasse qui lui a fait du charme, il nous a abandonné Antoine et moi.
• Il y a longtemps !
• Deux ans, quand nous étions ensemble, il a voulu que j’élève notre enfant et j’ai arrêté à la veille d’avoir mon diplôme d’infirmière.
Mon fils et mes études, j’ai tout repris, les couches et les devoirs avec la pension et les aides de l’État.
Lorsqu’à Pôle emploi on m’a proposé un poste à l’hôpital de notre ville à 500 kilomètres de ma ville natale, j’ai relevé les manches et nous voilà.
Elle est là et bien là.
Il y a quelques heures que nous sommes mariées.
Antoine nous suivait à l’entrée et à la sortie de la mairie.
Il avait dans ses mains les voiles de ses deux mamans.
L’une de naissance l’autre par véritable amour pour lui.
Au restaurant où nous nous sommes retrouvés tous les trois, au menu, j’avais demandé que l’on nous prépare du lapin à la gibelotte, rien que du râble.
Nous avons pouvoir vivre notre nuit de noces, avec Alice, mon petit bouchon de champagne, Antoine des étoiles plein les yeux de cette journée de fête, vient enfin de s’endormir.
J’ai déshabillé la mariée qui a déshabillé l’autre mariée.
• Es-tu prête mon cœur ?
• Oui, je suis prête, encule-moi.
Voilà, je vais connaitre ce qui a fait prendre une tout autre tournure pour moi.
Dans la préparation de notre mariage, j’ai fait venir par une société française d’achat et de distribution, un gode ceinture.
La ceinture est réglable et trois tailles de godes est fournie.
Elle a choisi la taille X.
Par amour pour elle, j’étais prête à ce qu’elle m’enfile le XL voire le XXL.
Ce sera pour les jours prochains.
Quoique dès ce soir, on pourrait adapter le XXL pour nous défoncer les chattes.
Et dire que j’ai failli pendre un lapin dans notre garage.
La trentaine qui me rattrape bien que j’aie été honorablement pourvue là où il faut par la nature.
Mon mari Charles-Antoine qui me quitte lorsqu’il apprend que la médecine décide que la maternité me serait à tout jamais refusée.
Un premier amant rencontré autour d’un verre dans un bar du centre de notre ville qui me laisse sur ma faim.
Un deuxième, troisième et jusqu’au quatrième, qui hier c’est permis de me dire mes quatre vérités.
J’ai beau avoir des seins magnifiques, bien ferme pour mon âge, il a trouvé qu’il y avait vu mieux dans un pieu, alors que moi, je sais que ce sont eux qui sont loin d’être à la hauteur.
À ce moment là, lorsque l’on dit que toute vérité est loin d’être bonne à dire, on est en plein dedans.
Que Franck se permette de dire que je suis une coincée du cul, alors que j’ai fait des efforts surhumains pour lui faire une fellation.
Qu’il me place en levrette et que dans cette position dégradante pour une femme, il me pilonne tenue par mes hanches, passe encore.
Le sommet, ça a été quand j’ai senti qu’il voulait me prendre comme une chienne lubrique en me perforant l’anus.
La baffe qu’il a ramassée à céler notre différence d’opinion et après qu’il m’ait dit les mots cités plus haut, je me suis retrouvée à la case départ.
Trouver un autre homme était pourtant primordial pour moi, j’ai toujours été entouré.
La seule solution aurait été d’accepter, mais mon éducation me l’interdit.
J’ai été élevé dans un milieu où les tabous sont tels que me faire enculer est hors de mes possibilités.
Tout ça va paraître puéril à notre époque, mais il est difficile de se refaire une virginité, celle-ci m’ayant été enlevée par Charles-Antoine le soir de nos noces.
On pourrait croire que Charles-Antoine par son nom est un aristo possédant des châteaux en Espagne.
À part l’Espagne, sa famille en possédait un, mais qu’ils ont vendu au franc symbolique tellement il était délabré.
Alors que moi, mes parents m’ont appelé Marie-Antoinette et je dis la vérité, je le suis aussi, mais sans le moindre bien.
Des noms ronflants sont loin de faire des gens riches.
Nous habitons dans un pavillon de banlieue dans une cité pavillonnaire non loin du travail de mon ex.
Je devrais dire, « nous habitions, » car rapidement les problèmes d’argent se sont fait jour.
L’un des problèmes dans ma situation, c’est que c’était lui qui faisait bouillir la marmite, en un mot qui réglait toute ma vie sans que je ressente le besoin de travailler.
Si j’avais su lorsque nous étions jeunes mariés qu’il souhaitait que je reste à la maison pour me préparer à donner un successeur à sa lignée, j’aurais trouvé à être indépendante financièrement.
Lui donner un enfant, mais si possible un mâle, ce qu’hélas, j’ai été incapable de lui pondre.
C’est dans le garage de Charles-Antoine là où il garait sa petite Citroën que la solution m’a paru évident.
Là encore, j’étais l’un de ses jouets comme sa voiture qu’il bichonnait chaque fois qu’il avait cinq minutes.
Certes, pour avoir un enfant, il faut coucher.
Je dirais qu’il fallait simplement que je me couche, que j’écarte mes cuisses et qu’il me pénètre sa tête dans mon cou ânonnant des mots salaces.
Une fois qu’il avait déchargé sa semence en moi, il se retournait et s’endormait espérant chaque mois, voire disparaître mes règles.
On connaît la suite et pourquoi son départ, chaque mois, elles revenaient.
Un garage, une poutre et une corde à tout faire.
Moi je sais ce que je vais en faire.
À oui, j’oubliais, le tabouret qui va me permettre d’être à la bonne hauteur.
Un noeud coulant, la corde jetée par-dessus la poutre, réglage à la bonne hauteur avant de l’attacher au pied de l’établi fixé dans le sol.
Adieu monde cruel.
• Madame, qu’est-ce que tu fais.
J’avais peur de pourrir accroché à cette poutre, j’ai laissé la porte du garage ouverte.
Je me retrouve l’air con perché sur mon tabouret, mon nœud prêt à être passé autour de mon cou.
• Je me prépare à pendre un lapin pour le cuir en gibelotte.
Lorsque l’on est dans une situation insolite devant un enfant, il faut savoir réagir vite.
Le coup du lapin, c’est la seule chose qui me vient à l’esprit.
Le coup du lapin, dans ma situation, je me trouve beaucoup d’humour alors que j’allais mettre fin ç ma vie.
• Quel âge as-tu ?
• Six ans madame, je suis en cours préparatoire et je m’appelle Antoine.
• Enchanté Antoine, tu es très bien élevé.
Scène surréaliste, entre un enfant et une femme debout sur son tabouret à deux doigts de terminer sa vie.
• Que fais-tu chez moi ?
• Maman a fait cuire des madeleines, nous venons d’arriver dans la maison à côté de chez toi et elle m’a dit de venir te les offrir.
• C’est gentil, mais j’ai à faire, reviens plus tard.
• Antoine, ou es-tu, je t’avais dit de rester quelques minutes pour éviter d’embêter la dame.
• Je suis là maman, la dame, elle veut que je revienne plus tard, elle va pendre un lapin en gibelotte.
• Mon dieu, qu’alliez-vous faire, Antoine rentre à la maison, va lire ton livre de bibliothèque que la maitresse t’a donné sur la lettre A.
• Oui, maman.
Antoine repart, sa maman récupère le plat avec les madeleines.
• Vous êtes folle, vous alliez vous pendre devant mon fils.
Je saute de mon tabouret, la scène est surréaliste, nous sommes à deux doigts que cette jeune blonde m’engueule, car étant chez moi, j’ai décidé de me suicider.
Lui ai-je demandé de me cuire des madeleines.
• Pardon, je m’emporte alors que si vous vous retrouvez dans cette situation, c’est que votre vie doit être un enfer.
Lorsque l’on est con une fois, pourquoi pas deux.
• Il voulait m’enculer et j’ai refusé, mon mari m’a quitté et mon amant aussi.
• C’est votre mari quoi voulait vous enculer !
• Non, lui il voulait me baiser pour avoir un successeur.
Nous quittons le garage et nous nous dirigeons vers mon salon.
• Alors c’est votre amant qui voulait...
• Voilà vous y êtes, c’est lui qui voulait...
• Pourtant, c’est bon, une bonne sodo, j’en raffole et de là à se pendre, il faut être folle, la vie est si belle.
• Parlez pour vous, si vous saviez ce que j’endure, vous au moins vous avez pu avoir un enfant.
• Comment vous appelez-vous ?
• Marie-Antoinette !
• Ma pauvre amie, je vois, retournons dans votre garage, je vais vous passer la corde au cou.
Je pense qu’il est plus facile que je vous appelle simplement Marie.
Je risque d’éclater de rire si chaque fois je vous appelle comme celle qui se promène la tête tranchée.
• Oui, vous avez raison, mais ce sera impossible si je me prends.
• Tu as toujours le mot pour rire, alors si tu ris, tu oublies de te suicider.
• Oui, mais je suis malheureuse !
• Non, regarde-moi, j’avais trouvé un homme qui disait m’aimer.
Entre parentaise, j’adorais qu’il m’encule et qu’il me fasse toutes les fantaisies qu’un homme et une femme peuvent faire ensemble.
Nous baisions à chaque fois que l’un ou l’autre en sentait la nécessité.
Nous étions comme le lapin que tu disais vouloir pendre devant mon fils.
Et pourtant, lorsqu’il a vu une petite pétasse qui lui a fait du charme, il nous a abandonné Antoine et moi.
• Il y a longtemps !
• Deux ans, quand nous étions ensemble, il a voulu que j’élève notre enfant et j’ai arrêté à la veille d’avoir mon diplôme d’infirmière.
Mon fils et mes études, j’ai tout repris, les couches et les devoirs avec la pension et les aides de l’État.
Lorsqu’à Pôle emploi on m’a proposé un poste à l’hôpital de notre ville à 500 kilomètres de ma ville natale, j’ai relevé les manches et nous voilà.
Elle est là et bien là.
Il y a quelques heures que nous sommes mariées.
Antoine nous suivait à l’entrée et à la sortie de la mairie.
Il avait dans ses mains les voiles de ses deux mamans.
L’une de naissance l’autre par véritable amour pour lui.
Au restaurant où nous nous sommes retrouvés tous les trois, au menu, j’avais demandé que l’on nous prépare du lapin à la gibelotte, rien que du râble.
Nous avons pouvoir vivre notre nuit de noces, avec Alice, mon petit bouchon de champagne, Antoine des étoiles plein les yeux de cette journée de fête, vient enfin de s’endormir.
J’ai déshabillé la mariée qui a déshabillé l’autre mariée.
• Es-tu prête mon cœur ?
• Oui, je suis prête, encule-moi.
Voilà, je vais connaitre ce qui a fait prendre une tout autre tournure pour moi.
Dans la préparation de notre mariage, j’ai fait venir par une société française d’achat et de distribution, un gode ceinture.
La ceinture est réglable et trois tailles de godes est fournie.
Elle a choisi la taille X.
Par amour pour elle, j’étais prête à ce qu’elle m’enfile le XL voire le XXL.
Ce sera pour les jours prochains.
Quoique dès ce soir, on pourrait adapter le XXL pour nous défoncer les chattes.
Et dire que j’ai failli pendre un lapin dans notre garage.
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