COLLECTION HISTOIRE COURTE. Gang bang à nos dernières vendanges (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Gang bang à nos dernières vendanges (1/1)
Ce sont les dernières vendanges que nous ferons sur notre domaine de 8 hectares mis en terre par mon arrière-grand-père sur la côte chalonnaise et qui ont été vendus à des fonds spéculatifs après deux années de récolte blanche.
Des orages de printemps avaient dévasté les jeunes pousses et là où mon père aurait pu espérer plus de 10 000 bouteilles, ce que nous avons récolté était quantité négligeable.
Après avoir vendu, ils se sont empressés d’acheter leur rêve, un camping caret sont partis dans les hautes alpes finir leur vie au fond d’un ravin.
Avec Gloria ma femme nous avons récupéré ce qui restait de la vente du domaine.
De la maison datant de l’année 1810 comme marqué dans la pierre.
Le chai avec ses tonneaux vides sauf la récolte 2018 que nous venons de mettre en bouteilles et la cuvée 2019 que nous allons récolter avec mes copains ce samedi.
Cette dernière récolte vient d’une parcelle de 2 000 carrés que mon père avait mis à mon nom à ma naissance.
L’endroit où elle se trouve a été déclaré constructible et les 1 000 bouteilles que je récolte devront être couvertes dans plus de 10 ans s’il n’y a pas d’année blanche.
Il nous faut une après-midi pour récolter, égrener et mettre dans la cuve de préparation le raisin que nous allons couper.
Il est 13 heures quand je vois arriver le tracteur avec sa plateforme que Paulo mon copain d’enfance m’apporte pour m’aider.
Sur son aile, Luc son fils de 18 ans qui entre en fac fin septembre.
Ils sont suivis par une voiture où se trouvent les quatre autres amis, José, Antonio, ils sont d’origine portugaise, communauté très nombreuse dans notre région.
L’autre est Fabien, copain de foot comme tous les autres d’ailleurs.
Tous embrassent Gloria qui pour le moment est la seule femme.
Nous avons deux enfants, des jumeaux avec le choix du roi, garçon et fille et ma femme conseillère de banque tient à ce que notre descendance s’arrête là.
Ils sont chez mes beaux-parents retraités dans le Beaujolais, ils vont les ramener demain en fin d’après-midi quand nous aurons fini cette dernière vendange.
- Paulo, Louisa n’est pas avec vous !
- Non Gloria, elle s’excuse de te faire faux bond, mais elle a ses regagnas et est comme chaque fois couchée à l’isolement dans le noir complet.
- Aucun problème Paulo, je vais l’appeler.
- Surtout pas, elle doit dormir à cette heure.
- C’est bien, je vais assumer, de toute façon, le bœuf bourguignon annuel pour la paulée de fin de vendange mijote déjà.
Il reste seulement à monter la table pendant que vous êtes dans la vigne et dans le chai pour récupérer le raisin.
Nous partons tous dans la vigne à quelques centaines de mètres de chez nous.
Tout se passe bien et cette dernière récolte est à quelques mètres de nous quand c’est l’heure de l’apéro.
Gloria s’est changé, elle a passé sa robe de cuir noir avec ses bas résille et ses chaussures à hauts talons.
Elle a mis son chemisier blanc sur son soutien-gorge noir comme sa jupe bas et chaussures.
Elle fait du 100 mais comme elle sait que j’adore et ses cheveux roux coiffés en chignon et ses seins, elle a dû mettre du 95 pour qu’il soit magnifiquement mis en valeur.
- À la tienne Christian, à ta dernière vendange, une page se tourne.
À table, je suis en face du jeune boutonneux Luc.
Paulo à mes côtés avec en face de lui José suivi d’Antonio avec Fabien.
Gloria est en bout de table près de moi et Luc.
De quoi peuvent parler six mecs autour d’une table pour l’apéro.
De foot bien sûr, je dix six je devrais dire cinq car à cette heure, je n’ai pas entendu le son de la voix de Luc.
Ronaldo pour les Portugais est le meilleur joueur de monde, pour Fabien d’origine espagnole il y a plusieurs générations c’est Lionel Messi.
Je me tais, je supporte le PSG, eux Porto ou Barcelone.
Je me contente de boire, Ricard pour moi, pour une fois, une bouteille de Coca étant à sa portée de main, Gloria bois quelques verres de ce breuvage avec du whisky.
Le coca était pour Luc détestant l’alcool.
J’étais comme lui dans ma jeunesse jusqu’à ce que je coure les conscrits traditions dans notre région et que bière ou Ricard n’est plus de secret pour moi.
Avec le bœuf bourguignon et les fromages, je sers des bouteilles de rouge de 2005, les dernières de cette année-là.
Bref nous sommes en pleine forme avant le dessert, Gloria donne des ordres vite exécutés.
- Paulo, musique, j’ai envie de danser.
Gloria ayant légèrement allumé se lève un peu vacillante sur ses hauts talons et se met à se trémousser.
Je vois Luc qui a les yeux lui sortant de la tête à voir ses seins balancer de droite à gauche.
Je suis certain que sous la table il bande, c’est de son âge.
Moi aussi je suis chaud, je viens le long du corps de ma femme qui vient me caresser la verge avec son cul.
Elle devrait s’arrêter là, mais chacun des copains a le droit au frottement de ses fesses sur leurs pantalons.
Est-ce pour débander, Luc s'est levé et débarrasse les assiettes sur la desserte que Gloria a amenée dans le chai.
Seuls les verres restent, ils vont avoir encore soif pour le dessert.
- Un strip, Gloria, un strip.
- Paulo met une musique tendre, aidez-moi à monter sur la table les gars.
Incrédule était assez saoul pour ne pas réagir, je vois ma moitié s’envoler et se faire poser sur la table.
Elle marche au bruit de la musique qui vient de démarrer entre les verres.
Elle se baisse un coup à droite l’autre à gauche montrant sa petite culotte à chacun des gars qui lancent un banc bourguignon.
Ça semble l’émoustiller, elle se redresse tend son pied à Fabien, l’autre à Antonio se retrouvant nu-pied.
Retraversant la table, elle vient jusqu’à Luc, lui tend son pied droit.
- Lèche.
L’ordre est si impératif que dans le brouillard de mes yeux, quand le jeune homme prend le pied de ma femme et lui tenant sa cheville commence à lui sucer les orteils à travers son bas, je bande moi aussi.
Dans le même mouvement elle enlève son chemisier et se penchant le dos vers Paulo, se fait détacher son soutien-gorge ses seins sautant vers moi étant libéré.
Elle se redresse et apparaît en bas dans son string rose.
- À boire, j’ai soif.
Fabien vient de faire sauter le premier bouchon de champagne qu’il a pris dans le frigo à ses côtés.
Elle se couche sur la table de façon impudique le liquide versé sur son ventre, Antonio se soulève et se met à boire pendant que Fabien verse du breuvage directement dans la bouche de ma salope de femme.
Bien abreuvée, elle se retourne, Fabien debout à sa queue à hauteur de la table, elle dégrafe son pantalon et prestement sa verge entre dans sa bouche.
Je ne sais plus où porter mes yeux, les bites une à une sorte des pantalons, la mienne aussi.
Voyant ces mandrins à sa disposition, elle libère l’un tourne sur elle-même et prend en bouche la verge qui se trouve à sa disposition.
Antonio après avoir bu sur son ventre recule sa bouche et est dans la fourche de ma femme.
Quand elle arrive à moi, son string est si mouillé que je vois les poils roux de sa chatte au travers.
Elle garde sa toison qu’elle fait épiler tous les mois depuis que nous sommes mariés.
Elle se rasait intégralement au début alors que sa toison rousse est si odorante que j’étais frustré quand je ne l’ai pas trouvé.
Elle change de position, nous avons garé les verres, ustensile très utile dans une beuverie comme la nôtre.
- Luc baise là !
Luc baise là !
Il se lève, c’est le seul qui a sa verge dans le pantalon, je me lève une fois qu’il l’est sorti et c’est moi qui le plonge en elle sans me rendre compte dans l’état où je suis que je me fais cocu par la même occasion.
- Vas-y Bébé laboure-moi, vous m’avez mis le feu au cul.
Très rapidement il décharge en même temps que son père mais sur la figure de ma femme étant un peu loin pour lui mettre dans sa bouche.
Combien de temps après qu’elle eut été libérée par l’ancien jeune puceau ayant rempli son vagin de son sperme juvénile, couverte de sperme de tous mes copains, je la ramène dans notre chambre après avoir salué tout le monde, je l’ignore.
Un, deux font les cloches du clocher de la chapelle du château voisin.
Trois quatre cinq six et plus elles tapent dans ma tête.
Quand j’émerge, je passe ma main sur l'oreiller de Gloria, j’ai une drôle d’impression, je me souviens de l’état où elle était ayant subie plusieurs fois des décharges de sperme sur son joli minois.
L’eau coule dans la douche près de notre chambre, je me lève et je la rejoins.
Elle est de dos, je bande au souvenir de notre nuit.
- Baise-moi.
C’est ce que je fais, je la prends fléchissant légèrement mes jambes.
Je la baise, non, je l’encule elle aime se faire enculer sous la douche.
Elle tourne sa tête et me donne sa bouche.
Un instant je me demande si sa bouche est propre des jets de sperme qu’elle a avalé pendant le gang bang qu’elle a accepté de pratiquer certainement déclenché par l’abus d’alcool.
Le soir, nos enfants arrivent et les cris qu’elle a poussés quand je lui ai rempli l’anus seront les derniers surtout aussi fort jusqu’à ce que nos bambins ne repartent en vacances.
Elle est beaucoup plus discrète lorsqu’ils sont là, elle est maman et non plus chienne.
Le jour même et dans les jours qui ont suivi, aucune parole de ce qui s’était passé pour nos dernières vendanges.
Les copains ont été des tombes, il faut dire que les portugaises qu’ils ont épousées pour certains sont loin d’être des baiseuses comme là été Gloria et tous se taise.
Dans les jours suivants, j’ai vu Luc sortir de notre propriété sur sa moto.
Gloria a-t-elle baisé encore plusieurs fois j’allais en parler quand elle me dit qu’il était passé pour nous saluer car il part en fac à Lyon.
L’été suivant, je suis papa d’un joli deuxième garçon, tous disent qu’il a mes yeux.
À la place de ma vigne, deux maisons sortent de terre.
Le plus dur, c’est le jour où la pelleteuse a arraché les ceps de ma vigne, mais le camping-car que je viens de m’acheter me fait voir que j’ai fait le bon choix.
Plus de vendange avec gang bang.
Des orages de printemps avaient dévasté les jeunes pousses et là où mon père aurait pu espérer plus de 10 000 bouteilles, ce que nous avons récolté était quantité négligeable.
Après avoir vendu, ils se sont empressés d’acheter leur rêve, un camping caret sont partis dans les hautes alpes finir leur vie au fond d’un ravin.
Avec Gloria ma femme nous avons récupéré ce qui restait de la vente du domaine.
De la maison datant de l’année 1810 comme marqué dans la pierre.
Le chai avec ses tonneaux vides sauf la récolte 2018 que nous venons de mettre en bouteilles et la cuvée 2019 que nous allons récolter avec mes copains ce samedi.
Cette dernière récolte vient d’une parcelle de 2 000 carrés que mon père avait mis à mon nom à ma naissance.
L’endroit où elle se trouve a été déclaré constructible et les 1 000 bouteilles que je récolte devront être couvertes dans plus de 10 ans s’il n’y a pas d’année blanche.
Il nous faut une après-midi pour récolter, égrener et mettre dans la cuve de préparation le raisin que nous allons couper.
Il est 13 heures quand je vois arriver le tracteur avec sa plateforme que Paulo mon copain d’enfance m’apporte pour m’aider.
Sur son aile, Luc son fils de 18 ans qui entre en fac fin septembre.
Ils sont suivis par une voiture où se trouvent les quatre autres amis, José, Antonio, ils sont d’origine portugaise, communauté très nombreuse dans notre région.
L’autre est Fabien, copain de foot comme tous les autres d’ailleurs.
Tous embrassent Gloria qui pour le moment est la seule femme.
Nous avons deux enfants, des jumeaux avec le choix du roi, garçon et fille et ma femme conseillère de banque tient à ce que notre descendance s’arrête là.
Ils sont chez mes beaux-parents retraités dans le Beaujolais, ils vont les ramener demain en fin d’après-midi quand nous aurons fini cette dernière vendange.
- Paulo, Louisa n’est pas avec vous !
- Non Gloria, elle s’excuse de te faire faux bond, mais elle a ses regagnas et est comme chaque fois couchée à l’isolement dans le noir complet.
- Aucun problème Paulo, je vais l’appeler.
- Surtout pas, elle doit dormir à cette heure.
- C’est bien, je vais assumer, de toute façon, le bœuf bourguignon annuel pour la paulée de fin de vendange mijote déjà.
Il reste seulement à monter la table pendant que vous êtes dans la vigne et dans le chai pour récupérer le raisin.
Nous partons tous dans la vigne à quelques centaines de mètres de chez nous.
Tout se passe bien et cette dernière récolte est à quelques mètres de nous quand c’est l’heure de l’apéro.
Gloria s’est changé, elle a passé sa robe de cuir noir avec ses bas résille et ses chaussures à hauts talons.
Elle a mis son chemisier blanc sur son soutien-gorge noir comme sa jupe bas et chaussures.
Elle fait du 100 mais comme elle sait que j’adore et ses cheveux roux coiffés en chignon et ses seins, elle a dû mettre du 95 pour qu’il soit magnifiquement mis en valeur.
- À la tienne Christian, à ta dernière vendange, une page se tourne.
À table, je suis en face du jeune boutonneux Luc.
Paulo à mes côtés avec en face de lui José suivi d’Antonio avec Fabien.
Gloria est en bout de table près de moi et Luc.
De quoi peuvent parler six mecs autour d’une table pour l’apéro.
De foot bien sûr, je dix six je devrais dire cinq car à cette heure, je n’ai pas entendu le son de la voix de Luc.
Ronaldo pour les Portugais est le meilleur joueur de monde, pour Fabien d’origine espagnole il y a plusieurs générations c’est Lionel Messi.
Je me tais, je supporte le PSG, eux Porto ou Barcelone.
Je me contente de boire, Ricard pour moi, pour une fois, une bouteille de Coca étant à sa portée de main, Gloria bois quelques verres de ce breuvage avec du whisky.
Le coca était pour Luc détestant l’alcool.
J’étais comme lui dans ma jeunesse jusqu’à ce que je coure les conscrits traditions dans notre région et que bière ou Ricard n’est plus de secret pour moi.
Avec le bœuf bourguignon et les fromages, je sers des bouteilles de rouge de 2005, les dernières de cette année-là.
Bref nous sommes en pleine forme avant le dessert, Gloria donne des ordres vite exécutés.
- Paulo, musique, j’ai envie de danser.
Gloria ayant légèrement allumé se lève un peu vacillante sur ses hauts talons et se met à se trémousser.
Je vois Luc qui a les yeux lui sortant de la tête à voir ses seins balancer de droite à gauche.
Je suis certain que sous la table il bande, c’est de son âge.
Moi aussi je suis chaud, je viens le long du corps de ma femme qui vient me caresser la verge avec son cul.
Elle devrait s’arrêter là, mais chacun des copains a le droit au frottement de ses fesses sur leurs pantalons.
Est-ce pour débander, Luc s'est levé et débarrasse les assiettes sur la desserte que Gloria a amenée dans le chai.
Seuls les verres restent, ils vont avoir encore soif pour le dessert.
- Un strip, Gloria, un strip.
- Paulo met une musique tendre, aidez-moi à monter sur la table les gars.
Incrédule était assez saoul pour ne pas réagir, je vois ma moitié s’envoler et se faire poser sur la table.
Elle marche au bruit de la musique qui vient de démarrer entre les verres.
Elle se baisse un coup à droite l’autre à gauche montrant sa petite culotte à chacun des gars qui lancent un banc bourguignon.
Ça semble l’émoustiller, elle se redresse tend son pied à Fabien, l’autre à Antonio se retrouvant nu-pied.
Retraversant la table, elle vient jusqu’à Luc, lui tend son pied droit.
- Lèche.
L’ordre est si impératif que dans le brouillard de mes yeux, quand le jeune homme prend le pied de ma femme et lui tenant sa cheville commence à lui sucer les orteils à travers son bas, je bande moi aussi.
Dans le même mouvement elle enlève son chemisier et se penchant le dos vers Paulo, se fait détacher son soutien-gorge ses seins sautant vers moi étant libéré.
Elle se redresse et apparaît en bas dans son string rose.
- À boire, j’ai soif.
Fabien vient de faire sauter le premier bouchon de champagne qu’il a pris dans le frigo à ses côtés.
Elle se couche sur la table de façon impudique le liquide versé sur son ventre, Antonio se soulève et se met à boire pendant que Fabien verse du breuvage directement dans la bouche de ma salope de femme.
Bien abreuvée, elle se retourne, Fabien debout à sa queue à hauteur de la table, elle dégrafe son pantalon et prestement sa verge entre dans sa bouche.
Je ne sais plus où porter mes yeux, les bites une à une sorte des pantalons, la mienne aussi.
Voyant ces mandrins à sa disposition, elle libère l’un tourne sur elle-même et prend en bouche la verge qui se trouve à sa disposition.
Antonio après avoir bu sur son ventre recule sa bouche et est dans la fourche de ma femme.
Quand elle arrive à moi, son string est si mouillé que je vois les poils roux de sa chatte au travers.
Elle garde sa toison qu’elle fait épiler tous les mois depuis que nous sommes mariés.
Elle se rasait intégralement au début alors que sa toison rousse est si odorante que j’étais frustré quand je ne l’ai pas trouvé.
Elle change de position, nous avons garé les verres, ustensile très utile dans une beuverie comme la nôtre.
- Luc baise là !
Luc baise là !
Il se lève, c’est le seul qui a sa verge dans le pantalon, je me lève une fois qu’il l’est sorti et c’est moi qui le plonge en elle sans me rendre compte dans l’état où je suis que je me fais cocu par la même occasion.
- Vas-y Bébé laboure-moi, vous m’avez mis le feu au cul.
Très rapidement il décharge en même temps que son père mais sur la figure de ma femme étant un peu loin pour lui mettre dans sa bouche.
Combien de temps après qu’elle eut été libérée par l’ancien jeune puceau ayant rempli son vagin de son sperme juvénile, couverte de sperme de tous mes copains, je la ramène dans notre chambre après avoir salué tout le monde, je l’ignore.
Un, deux font les cloches du clocher de la chapelle du château voisin.
Trois quatre cinq six et plus elles tapent dans ma tête.
Quand j’émerge, je passe ma main sur l'oreiller de Gloria, j’ai une drôle d’impression, je me souviens de l’état où elle était ayant subie plusieurs fois des décharges de sperme sur son joli minois.
L’eau coule dans la douche près de notre chambre, je me lève et je la rejoins.
Elle est de dos, je bande au souvenir de notre nuit.
- Baise-moi.
C’est ce que je fais, je la prends fléchissant légèrement mes jambes.
Je la baise, non, je l’encule elle aime se faire enculer sous la douche.
Elle tourne sa tête et me donne sa bouche.
Un instant je me demande si sa bouche est propre des jets de sperme qu’elle a avalé pendant le gang bang qu’elle a accepté de pratiquer certainement déclenché par l’abus d’alcool.
Le soir, nos enfants arrivent et les cris qu’elle a poussés quand je lui ai rempli l’anus seront les derniers surtout aussi fort jusqu’à ce que nos bambins ne repartent en vacances.
Elle est beaucoup plus discrète lorsqu’ils sont là, elle est maman et non plus chienne.
Le jour même et dans les jours qui ont suivi, aucune parole de ce qui s’était passé pour nos dernières vendanges.
Les copains ont été des tombes, il faut dire que les portugaises qu’ils ont épousées pour certains sont loin d’être des baiseuses comme là été Gloria et tous se taise.
Dans les jours suivants, j’ai vu Luc sortir de notre propriété sur sa moto.
Gloria a-t-elle baisé encore plusieurs fois j’allais en parler quand elle me dit qu’il était passé pour nous saluer car il part en fac à Lyon.
L’été suivant, je suis papa d’un joli deuxième garçon, tous disent qu’il a mes yeux.
À la place de ma vigne, deux maisons sortent de terre.
Le plus dur, c’est le jour où la pelleteuse a arraché les ceps de ma vigne, mais le camping-car que je viens de m’acheter me fait voir que j’ai fait le bon choix.
Plus de vendange avec gang bang.
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