COLLECTION HISTOIRE COURTE. Plaisir pour un de nos anciens (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Plaisir pour un de nos anciens (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Plaisir pour un de nos anciens (1/1)
Rendons à Césarine ce qui revient à Césarine.
Plutôt à Matharose, auteur femme.
Je lisais son histoire le 22 août, date de parution de ce texte.
La douceur de ces propos m’a inspiré cette « histoire courte » quand la musique n’avait d’égale que cette douceur de la chanson « Chamade. »
Je me suis mis à la place de Matharose, un instant, juste un instant.
Je ne voulais pas voler le travail si précieux d’une autre auteure ou autrice.
Le féminin d’auteur est généralement « auteure » ou « autrice ».
Les deux formes étant reconnues dans un français contemporain pour désigner une femme qui écrit des œuvres littéraires, théâtrales ou scientifiques.
C’est ce que me dit mon intelligence artificielle.
Là encore, rendons à l’I.A. ce qui appartient à l’I.A.

Derrière ma vitre, là, j’ai vu mes doigts descendre vers ma vulve et s’insinuer entre mes grandes lèvres.
La musique brouillait ma vue et j’étais loin de penser qu’à quelques mètres de moi, quelqu’un regardait mes doigts s’égarer dans mon vagin.
J’ai failli défaillir lorsque j’ai si bien caressé mon petit clito que j’ai failli en perdre l’équilibre.
La douceur de la nuit tombante aurait dû s’arrêter là en même temps que les dernières notes de « Chamade » lorsque je l’ai vu de l’autre côté du petit jardin nous séparant.
Un petit pépé de la maison de retraite n’ayant pas perdu une miette de ma masturbation que je croyais solitaire.
Je lui ai fait un petit signe de la main, il aurait pu tourner talons, ayant joué les voyeurs, mais il a continué à se masturber.
La vue que j’avais me montrait que lui aussi avait tout vu, il avait son pantalon et ce qui ressemblait à un caleçon à ses pieds.
Il avait dû jouir en même temps que moi, car sur sa vitre, des traces.
Oh ! peu nombreuse, de sperme, m’apparaissait.
Avec du mal, il a réussi à remonter ses affaires et a disparu de ma vue, certainement l’heure du repas dans cet Ehpad.
Il m’arrivait de descendre dans ce petit jardin les dimanches lorsque mes loisirs me permettaient d’y aller.
Je voyais plus de petites mémés que de vieux messieurs, encore moins celui qui avait profité de mon moment d’égarement devant ma baie vitrée, me croyant seule au monde ce premier soir.
Quelques jours plus tard, je reconnais que je jetais un coup d’œil si « Pépé » était là.
« Pépé », c’est le nom que je lui donnais.
J’ai bien parlé avec deux de ces pensionnaires, mais sans leur demander qui était cet homme qui s’était masturbé en me regardant en faire de même.
Quelques jours plus tard, il était là, par chance, je sortais de ma douche, un simple peignoir sur mes épaules.
C’est lui qui m’a fait signe, me montrant par là qu’il avait peut-être envie d’une autre séance de stimulation commune pour arriver une nouvelle fois à nous donner du plaisir.
Étais-je méchante lorsque, regardant au-dessus du toit de la maison de retraite, j’ai fait glisser mon vêtement sur mon épaule ?
Je me suis dénudée jusqu’à mon sein, de fort belle taille, à 50 ans, j’ai élevé quatre enfants, jumeaux dizygotes, deux fois deux.
Ils sont grands maintenant et c’est à la mort de mon mari que d’un commun accord avec eux, j’ai vendu mon corps de ferme trop grand pour moi.
C’est dans un appartement que j’ai emménagé, avant, je l’espère dans bien des années de traverser le jardin pour trouver une place près du « Pépé ».
Combien de fois, ai-je donné du plaisir à Pépé, mon épaule, mon sein, une jambe dénudée puis rentrée précipitamment avant l’apothéose, ma chatte que je lui montrais, je devrais dire que je lui offrais ?
Petite les gens me disaient espiègle et avec l’âge ça ne s’était pas amélioré.
Mon vêtement s’ouvrait, ma chatte lui apparaissait avant de disparaitre de nouveau, le frustrant à ce que je voyais malgré la distance.
Je recommençais mon jeu jusqu’à la fin de « Chamade » disque que je possédais et que j’allais démarrer à chaque fois que je voyais que Pépé était à son poste d’observation.
Il voyait ma chatte, je voyais sa queue, comme moi avait-il été marié ?
Si ça avait été le cas, madame avait dû prendre du bon temps, car monsieur était pourvu d’un grand membre de centimètres.
Pour ma part, j’avais dû me contenter d’une bite assez grande pour me faire deux fois deux enfants, mais sans réel plaisir.
En égarant mes doigts dans ma fente, je prenais plus de plaisir qu’en presque trente ans de mariage avec Paul dans le fond de ce que l’on appelle la France profonde.
À chaque fois que je jouissais, autant qu’il déchargeait, inondant, comme je l’ai dit, faiblement sa baie vitrée.
Je me disais qu’il me suffisait de traverser le jardin pour profiter des restes que la nature lui avait laissés.
Mais je savais que le plaisir que je prenais à m’exhiber serait bien moindre que la décharge d’adrénaline que je ressentirais.
Quel âge avais-je, lorsque qu’avec Louis, j’ai joué à la bête à deux dos dans notre coeur de ferme ?
Sûre, la trentaine et déjà quatre enfants commençant à grandir.
Louis, c’était le facteur.
Le facteur vieux modèle, de ceux qui prenaient le temps de descendre de sa voiture de fonction lorsqu’il avait une lettre à vous apporter.
Combien de fois, m’a-t-il fait comprendre que vite fait bien fait, il était prêt pour une petite saillie sur la table de notre cuisine ?
X fois, mais, hélas pour moi ou pour nous, j’étais fidèle aux conneries dites par notre curé sur la fidélité aux vœux du mariage.
Pierre est mort, me libérant du serment de mes vingt ans, mais les vieilles habitudes sont tenaces et ce que je m’étais promis, à savoir baiser à tous va si je me retrouvais seule, était restée lettre morte.
Le jardin, la porte donnant sur ce jardin, le troisième étage de cette maison de retraite et troisième fenêtre après celle opaque.
Certainement une salle de soins et Pépé et sa bite hors normes, du moins pour moi devenait une chose que je pourrais prendre en main.
Foutaise, la nuit, je me masturbais en repensant à l’autre.
En disant « l’autre, » je parle de la masturbation et non pas de Pépé.
Espiègle, mais conne comme un manche à balai, elle était à porter de main de l’autre côté de nos fenêtres respectives.
Mais je remettais au lendemain, ce que j’aurai dû faire le jour même.
Ça avait été pareil avec Louis, tous les jours, il descendait de sa 4 L jaune, nous étions abonnés au journal local et je lui servais un verre de piquette rouge.
Chaque jour, dès son départ, je me disais, jettent dans ta cuisinière au bois tes préjugés de vieilles bigotes.
Mais c’était peine perdue, chaque fois à confesse, j’avouais avoir eu des pensées impures.
Louis a arrêté ses tournées, il a été remplacé par une rangée de boîtes aux lettres dont l’une plus grande pour les colis au bout du chemin conduisant à nos corps de ferme.
Même le curé a disparu de notre village.
Lorsque je m’exhibe, il me suffit de dire « Pardonnez-moi, seigneur. »
De m’infliger deux Avés et trois Paters et quelques minutes après, regarder si Pépé m’attend pour me montrer sa bite autant que je lui montre ma chatte.

Et puis, quelques jours et mon voyeur m’apportant mon plaisir a disparu.
Mais un jour, derrière la fenêtre, j’ai pu voir une mémé, au combien avais-je avec elle à peine dix ans d’écart.
Je suis allée dans le jardin, trois de ces dames papotaient entre elles.
« Serge, c’est dans son sommeil qu’il est parti.
On l’aimait bien, Serge, toujours une vanne à dire à chaque repas. »

J’ai bien compris Serge, c’était « Pépé. »
Ce nom, ça enlevait un peu de la magie d’un moment entre deux êtres ayant certainement trop d’écart d’âge pour avoir une relation amoureuse.

En ce moment, je regarde la fenêtre de cet appartement où un jeune couple m’a remplacé dans mon appartement d’en face.
Moi je suis dans la chambre où, un moment, Pépé a vécu.
Mes enfants m’ont placé dans cette maison de retraite pour mes 62 ans.
J’ai une petite retraite, mais les quatre se sont cotisées pour que je profite de cette maison où, à part jouée au Scrabble, nous n’avons rien à faire.
Enfin, rien à faire, je viens de me pomponner.
Dans la chambre près de la mienne, j’ai retrouvé Albert.
Albert, c’était mon amoureux transi lorsque j’avais 17 ans.
Il m’a avoué l’autre jour qu’il avait campé des nuits entières sous les fenêtres de mes parents, espérant me voir, même furtivement.
Comme un con, il en était resté à ces moments de solitude jusqu’à ce qu’il apprenne que je m’étais fait engrosser par Pierre, mon mari.
Nous avons passé le cap du premier baiser.
Je viens d’ouvrir la porte de ma chambre, il vient de se glisser sans qu’on le voie.
Hier, j’ai posé ma main sur sa braguette, à 65 ans, ça fonctionne encore.
Je vous laisse, je crois que dans très peu de temps ma chatte saura ce qu’elle ressent lorsqu’il plongera son gros machin au fond de mon vagin.
Je viens de découvrir que l’on peut aimer à tout âge, surtout loin des convenances et malgré de vieilles courbatures.

Encore merci, Matharose, pour l’idée que tu as fait germer dans mon esprit à la lecture de ton texte.

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