COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (25/27) - histoire érotique

Libéré de l’hôpital presque avec des regrets, car je m’éloigne de Patou, Christine, sa marraine, a répondu à ma demande de passer mon permis de conduire.
Victor, c’est le prénom du moniteur que nous avons rencontré, son nom, plein de Z et de K, je préfère l’oublier.
Victor m’a donné un bouquin pour préparer mon code que je dois apprendre en sept jours.
Dès demain, il me donne ma première leçon de conduite, je vais reprendre mes bonnes habitudes de traverser Paris en petites foulées pour me rendre du quartier Saint-Germain à côté de l’Opéra où se trouve la boutique.
Mais ce n’est pas tout, je suis loin d’avoir terminé d’avoir des surprises.
Une fois les formalités faites avec le moniteur, nous sommes revenus à l’atelier de Patou.
On a beau me dire que ma demande de l’épouser, me donne le droit de me dire chez moi, mon éducation, même si elle a des lacunes, ne me permet pas de m’octroyer ce droit.
À l’atelier, nous rencontrons la duchesse qui m’a très bien fait marcher lorsqu’elle s’est présentée à moi dans la salle d’attente de l’hôpital Cochin.
Duchesse que de nom, car la réalité nous joue bien des tours.
Elle est agent d’assurances et c’est à ce titre qu’elle était à Cochin, elle aussi.
Nous réglons l’affaire de la poulie défectueuse.
Non, je propose une solution en faisant porter la faute sur le garçon marocain Red qui a déjà quitté la France pour retrouver sa femme et son pays.
Un instant, je me demande si, pour une fois, ce ne soit pas une vengeance indirecte !
N’oublions pas que je l’ai vue de ma hauteur alors que j’étais dans la Rolls, sur son pont, caresser avant que nous la baisions, Patou dans cette piscine.
Il va falloir que je fasse gaffe à ne pas tourner comme mon père.
Il est vrai que j’avais constaté un certain agacement dans les rapports avec maman.
Patou a des rapports avec des femmes sans que j’en prenne ombrage.
Il est aussi exact que de découvrir cela autour de la cinquantaine, peut avoir entraîné des incompréhensions de sa part.
Pour ma part, voire Vanille lorsqu’elle caressait Patou, alors que je la prenais fermement, a été une source de plaisir incommensurable.
Autres temps, autres mœurs, alors qu’au sommet de l’État, l’âge moyen de nos dirigeants entraîne des incompréhensions avec le peuple.
Vingt ans, même un peu plus, depuis l’armistice de 1945 avec l’Allemagne nazie qui a fini par être vaincue.
Vingt ans, une génération, nous les jeunes ayant déjà oublié le héros de 45 qui a permis à la France de rester française alors que les quatre grands étaient prêts à se partager la dépouille de notre pays.
Si je sais tout ça, ce n’est pas grâce à nos profs, mais à celui qui a fait un dernier plongeon dans la Marne.
De Gaulle, son copain Charles, même si, sur certains côtés, il était communiste, mon père adulait cet homme et l’encensait chaque fois qu’il le pouvait.

On sonne au portillon, je vais ouvrir en pensant que sans m’en rendre compte, une conscience politique monte en moi.
La perspective d’avoir les risques d’une famille à m’occuper, me traverserait-il l’esprit, surtout depuis que je vois Patou redevenir un plantigrade.

• Baronne, que viens-tu faire, aurais-tu oublié quelque chose à régler dans l’affaire qui nous intéresse ?
• Peux-tu arrêter de m’appeler « baronne, » Huguette, ça sera bien suffisant.
Deux choses, je vais contacter l’entreprise Léon Blanc, pour que je donne mon accord sur le compromis que nous avons défini contre la remise en l’état du système défectueux de leur faute.
• C’est bien, mais il devrait attendre quelques jours car ma fiancée semble retrouver l’usage de ses jambes et ce système sera obsolète, il pourra être entièrement démonté aux frais de Léon Blanc.
Il nous doit bien ça.
Suite à cet accident, Baronne, tu peux comprendre que j’avais envie de venir au secours de cet homme, puisque sans son avidité, ma petite serait peut-être restée sur son fauteuil roulant.
Comme l’on dit, cette négligence a été un mal pour un bien et ça m’a aussi permis de faire intimement, très intimement ta connaissance, Baronne.

Je vois que je l’énerve avec mes « baronnes, » mais je prends un malin plaisir à la faire marcher, même un peu courir.

• Tu es revenue simplement pour cela, tu aurais pu me téléphoner.
• Non, lorsque tu es arrivé, j’ai vu dans tes mains un livre pour apprendre le code de la route.
Je viens de passer le mien et je pourrais t’apporter des renseignements afin de l’avoir à tous les coups.
Les inspecteurs ont des pièges, tous les mêmes, pour recaler ceux qui ne leur reviennent pas.
Ce sont de vieux grincheux, souvent anciens militaires de carrière à la retraite.
Nous les femmes, pour les amadouer, il est facile de porter des vêtements mettant nos avantages en valeurs qui les troubles et nous permettent de contourner l’obstacle qu’ils sont pour que nous ayons notre permis.
Vous les hommes, vous n’avez que votre cerveau, car rare est ceux qui préfèrent les bites aux chattes, je te l’ai dit, ce sont d’anciens militaires.

Une demi-heure de potassage du code et rapidement sa tenue, toujours aussi provocante, comme elle l’était dans le bus où je lui ai mis ma main au cul, elle vient sur mes genoux.

• Tu me rends fou Christophe, depuis la séance des toilettes de l’hôpital Cochin, je pris pour qu’un jour, nous ayons les moyens de recommencer.
J’ai saisi l’occasion, lorsque j’ai vu que tu restais seul dans ce lieu bien étrange, mais fascinent.

Un palot de chez palot, une main plongeant vers sa chatte ruisselante et il m’est facile, lorsqu’elle s’agenouille de défaire mon ceinturon, de sortir ma bite et de me faire sucer, jusqu’à sa glotte.
La perspective de l’avoir dans sa bouche a suffi pour que je ne bande bien miens qu’avec cette petite Aurélie, à qui je réserve un chien de ma chienne, dès que l’occasion se présentera.

• Attends, j’enlève ma culotte.

Savoir que ma baronne a mouillé pour moi depuis que je l’ai sexé aux toilettes de l’hôpital Cochin, me montre celui que je suis devenu.
Alors qu’il y a peu, c’était de simples cartes de France que je dessinais un peu honteux dans les draps de mon lit.
La France a pour un emblème le coq.
On dit qu’en ce moment avec les idées du grand Charles il a les pieds dans la merde. Moi je suis un coq qui règne sur ma basse-cour les couilles propres et qui tapent sur la chatte de la Baronne lorsqu’elle s’empale.

• Putain que c’est bon, j’ai bien fait de revenir.

Dois-je décrire les cris de plaisir qui emplissent une nouvelle fois le garage, atelier de Patou ?
Je plonge dans sa chatte avec délice, elle est aussi accueillante que la première fois où je l’ai sauté la tête à hauteur de la cuvette.

• Voyons mon agenda…
Demain, je peux passer de 14 à 15, je dois faire signer un gros contrat pour mes patrons boulevard saint Michel !
Pour moi, c’est possible, mais une heure pour tes cours et une petite partie de jambes en l’air, ça risque d’être court, je viens de te prouver que j’aime faire les choses bien.
Démerde-toi, je veux réussir mon code du premier cout, si tu as un autre rendez-vous à 15, viens à 13 même si tu dois te priver, de casse croute.
Ma verge contribuera à te nourrir.
• Tu es infect Christophe, mais d’accord 13 heures, tu me fais faire des folies, ta belle gueule te perdra.

Huguette vient de se libérer de ma verge, elle a toujours les fesses à l’air.
Je la claque comme l’on claque la croupe d’une jument, elle m’embrasse, montrant par là que je suis bien le coq dominant sa basse-cour du haut de son tas de fumier.
Fort du bon moment que je viens de passer, je vais dans la cachette où Patou m’a dit avoir un peu de liquidité où je peux me servir.
100 francs sur la liasse de billets ce sera suffisant pour un bon repas réparateur dans l’une de ces brasseries qui se montent tenues par des Auvergnats.

• Christophe, que fais-tu là, nous avons su ce qu’il t’était arrivé, entre, nous venons de finir de dîner avec Chantal.
Nous regardions intervilles, Jojo le maire de Saint-Amant les eaux défit Gap.

Où est la télé de mon enfance, ou est la télé d’interville avec Guy et le gros Léon ?
Ma rencontre avec Patou m’a coupé un peu de ces moments de détente, la vie avec elle se vivant à 100 à l’heure.
J’ai mangé un bon gros steak de bœuf avec des frites à la Belge, cuite dans de la graisse bien grasse, mais cuite en deux fois comme me l’a dit le bougnat qui me l’a servi.
C’est après une bonne banane venue de nos îles que j’ai pensé à rejoindre, mes copines, ne leur ai-je pas fait une promesse d’être le géniteur de leurs enfants, chacun une.
C’est mollement installé sur le canapé que je me tords de rire.

« Allo Gut Lux, je ne vous entends pas, je vais mourir dans toute cette mousse qui a envahi le plateau… »

Zitrone qui s’il n’existait pas, il faudrait l’inventer.
C’est dans la baignoire, déclencheur dans ma tête de la piscine qui a failli être fatale à celle que j’aime, mais espoir d’une guérison que je me prélasse.
Ceci avant de faire ensemble ce qu’il faut pour qu’elles soient mères avec un seul père.
Je suis venu vers elle, ne pouvant pas rester seul dans l’atelier où tout me fait penser à celle qui me manque malgré ma frivolité envers les femmes.
Bain dans la baignoire, chacun lavant l’autre dans notre trio.
J’ai la préférence de chacune de mes deux compagnes malgré que sans problème, je vois que Chantal domine Malaurie dans le couple que j’ai involontairement formé.
Malaurie, n’a rien perdu du suçage de ma bite lorsque Chantal lui donne l’ordre de se mettre à me sucer.
Il en va de même lorsque après qu’elle tourne sa tête pour savourer la chatte qu’il y a quelques années, déjà, ma dépucelé !
Ma bite, gorge profonde sa chatte, qui de nous deux entre Chantal et moi, dominons cette jeune femme qui si elle ne m’avait pas rencontré serait peut-être toujours vierge derrière son pupitre de prof d’anglais ?
Ma bite sa chatte, lorsque nous sortons de l’eau pour des jeux dans l’endroit contigu de la salle d’eau ou leur lit nous attend.
Ma bite, sa chatte, lorsqu’en bonne élève, ce qu’elle était pour devenir prof d’anglais !
Elle nous essuie afin d’éviter de mouiller les draps de soie comme elle le faisait dans son appartement près de la gare R.E.R. de Champigny.

• Commence par baiser Malaurie, Christophe, ta venue est bienvenue, car pas plus tard qu’hier, je regardant le calendrier.
J’ai calculé qu’il était dommage que tu n’aies été blessé par ces têtes rasées, car elle est en pleine période d’ovulation.
Va mon grand, baise là et fait nous mère, moi je verrais après !...