COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (26/27)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (26/27)
En prenant Malaurie en levrette, bandant à en faire pâlir d’envie Amélie, qui, si elle était là, constaterait la bête de sexe que je suis.
Toute la rancoeur que j’ai contre elle, s’étant permis de mettre en doute ma virilité, à ce moment ressort, alors je fais chanter le plaisir d’être peut-être maman à celle à qui j’ai pris son pucelage.
Quelques semaines à attendre, comme le fait, Vanille au même moment ou pensant que deux coups valent mieux qu’un par sécurité, en ce moment Noa l’offre à un autre garçon parisien me rendant presque jaloux !
Qui suis-je devenu, plutôt qui ne suis-je devenu, pour penser à l’enfant que j’ai peut-être fait à Vanille, la jolie Réunionnaise, femme de Noa, en faisant, je l’espère, un à Malaurie ?
Suis-je amoral ou immoral, la nuance pour moi dans mon français un peu restreint y étant pour quelque chose ?
Que se passera-t-il si je dois tenir une conversation, en butant sur chaque mot en prononçant l’un à la place de l’autre.
Bref, avant de m’endormir entre ces deux femmes, un peu mes femmes, j’honore Malaurie en lui déversant une bonne rasade de mon sperme de la meilleure qualité.
• Regarde, elle dort, l’on dirait un bébé !
• Tu as raison Chantal, tu es déjà réveillée !
• Oui, j’ai un gros client à neuf heures et il est déjà presque huit heures, lorsque je dis gros, c’est dans tous les sens du mot !
Il est ventru et il a un poste important dans l’État français, ça gronde en France ces temps-ci et s’il y avait un changement de gouvernement, il postule pour le premier d’entre eux.
Si tu savais ce qu’il aime que je lui fasse, tu aurais peur pour notre pays, mais cela avec Malaurie, nous savons garder cela pour nous.
Il n’y a pas de problème à se faire mal pour qu’à la fin ça vous fasse du bien.
Je sais qu’au lycée, pour se préparer au baccalauréat, les élèves font de la philosophie, si se faire du mal c’est pour notre bien, je préfère rester inculte.
Je me suis brûlé en me faisant griller du pain un matin où maman avait déjà quitté la maison.
Si mes souvenirs sont bons, c’était le moment de sa rencontre avec Iris, mais j’ignore jusqu’à quel degré de perversité entre femmes.
J’ai eu très mal, même lorsque la croute est tombée.
Il est aussi vrai que je l’avais gratté et qu’en se décollant, ça avait de nouveau saigné.
Tout en parlant avec Chantal, ma main, d’un côté tenait ma tête et de l’autre était posé, dois-je le répéter sur le corps de celle qui m’avait dépucelé.
Comment mes doigts se sont retrouvés dans sa toison, puis ensuite sa chatte, impossible de le dire.
• Embrasse-moi salopard, tu me fais jouir toujours autant et j’ai bien quelques minutes à te consacrer, même si je dois faire poiroter ce gros tas quelques minutes avant de le mettre en cage.
Je doigte Chantal, tout en l’embrassant, je bande suffisamment pour la pénétrer jusqu’à ce qu’elle réveille Malaurie par ses cris de plaisir.
• Va mon grand, crache ton sperme sans souci, j’ai aussi calculé que je suis hors ovulation, hélas, quoi que, nous soyons obligés de retourner à l’ouvrage pour réaliser ce que tu nous as promis.
Jouir et encore jouir dans des chattes, tel est mon bon plaisir si c’est demandé avec des mots si tendres, surtout lorsque Malaurie vient vous prendre les couilles et les caresses précipitant mon éjaculation.
• Attention, faire attention lorsque vous ouvrez votre portière pour monter en voiture.
Attachez votre ceinture…
Ayant quitté les filles, c’est non loin de là que je suis rentré dans la boutique de Victor pour ma première leçon.
Si je suis fatigué après cette sauterie nocturne et de ce réveil avec mes deux maîtresses, je suis à l’écoute du moniteur que Christiane a contacté pour me préparer.
Une semaine c’est cour, bien que j’aie manœuvré la deudeuche de mes parents lorsque mon père travaillait et que nous devions la prendre avec maman au volant.
Je me gardais bien de le faire lorsqu’il était là, j’aurais été sûr d’avoir un refus, lui seul était capable de la conduire.
Maman avait eu son permis du premier coup alors que lui s’était repris par trois fois.
• S’il vous plait, ma fiancée a eu un accident et elle est à l’hôpital.
Serait-il possible que je termine ces leçons devant l’hôpital Cochin si vous voyez où il se trouve, ainsi je pourrais rester plus longtemps avec elle ?
Dans les quelques séances qu’il me donne, conduite le matin, leçon de code l’après-midi.
Ajoutez à ça petite séance de baise s’en suivant, la Baronne est une gourmande et même si en plus, elle me donne de bons conseils, heureusement que ça dure qu’un temps, elle m’épuise.
• Chérie, pourrais-tu m’apporter quelques toiles vierges du même format, identique à celle que je viens de terminer et qui est sur la table.
• Plusieurs, mais je vois les progrès que tu fais, quand te libèreront-ils.
J’espère que Franck ton kiné ne te garde pas à portée de main depuis que tu m’as avoué être tombée d’entre les barres de soutiens.
• Oh ! mon grand jaloux, il l’est de Franck alors que tu as tout faux.
Il était de permanence pendant les fêtes et est parti en vacances depuis trois jours pour une durée de quinze.
C’est Paola son adjoint qui assure ma rééducation, tu vois, tu es jaloux pour rien.
• Cause toujours, Paola, ce n’est pas plus rassurant que Franck, tu as aussi bien découvert les amours masculins ou féminins, surtout avec Vanille qui traine dans les parages.
• Eh ! oui, Vanille vient me voir, nous parlons de sa future grossesse avec un bel étalon comme toi.
Mais tu oublies Ingrid, la réceptionniste !
Tu veux que je te dise, elle adore me brouter comme j’aime le faire, avec elle depuis que je lui ai offert une toile, je fais gaffe, elle est du genre à tomber facilement amoureuse.
Non, dis-toi bien qu’en plus de l’amour que j’ai pour toi mon atelier me manque et j’aspire à y retourner le plus tôt possible.
Tiens, en plus des toiles, va dans ma réserve de tube de couleur !
Peux-tu m’apporter un « vert ardoise », je sais que j’en ai en réserve.
Je connais le « rose bonbon, » mais aussi le « vert caca d’oie. »
Là, c’est facile !
Pour mes 16 ans et mon brevet des collèges, après cette réussite, qui à ce moment a rendu fier mon père, ne possédant que le certificat d’études primaires, nous l’avons fêté dans un bistrot de Champigny.
L’un de mes copains, a commandé au patron de verser dans un checker tous les alcools sur la tablette derrière le comptoir.
C’est passé par toutes les couleurs, ce cercueil, c’est comme cela qu’il l’a appelé, j’ai eu le malheur de perdre au 7, 14, 21 et de le boire.
En plus d’être infecte, de couleur caca d’oie, j’ai pris une cuite qui m’a valu une semaine de punition par mon père.
Il faut dire qu’en rentrant j’en ai mis partout dans l’entrée, à son habitude, maman, sans un mot, s’est contentée de tout nettoyer.
Si l’on vous demande de boire un cercueil, à moins d’être kamikaze, passez pour un con et refusez de le boire.
Bref, Patou tarde à rentrer et je me retrouve devant un vieux grincheux, enfin à ses côtés, dans une Simca 1000, qui va me permettre d’avoir mon permis.
• Bonjour, jeune homme ?
Je vois la politesse et vous ça fait deux, heureusement que je ne vous ai pas eu lors du temps où je m’occupais de la bleusaille, à Hourtin, je vous aurais foutu de sérieux coups de pied au cul.
• Pardon, monsieur l’inspecteur, bonjour, excusez-moi, c’est le stress de l’examen.
Chargé de l’incorporation de la bleusaille à Hourtin, je sais que c’est un centre de recrutement de la marine nationale.
Je me garde bien de lui dire que je me suis fait déclarer P4, ce serait un échec assuré à mon examen.
• Parlons code, peut-être que vous serez plus inspiré !
Je suis à deux doigts de sortir et de claquer la portière, mais le doux regard de Patou et la Rolls sur son pont me font me calmer, j’écoute la question.
• Bien vous êtes sur un chemin de terre dans la nature, à un croisement vous pouvez aller à droite ou à gauche, que faites-vous ?
Le coup du chemin de terre, la Baronne m’a mis au parfum.
• Article 12 du code, il est dit, qu’à tout moment les plaques et les feux lumineux doivent être propres.
Vous auriez dû me dire qu’il pleuvait, mais c’est sans importance.
Je descends de la voiture et je nettoie plaques et feux.
• Oui, mais vous n’avez pas de chiffon dans votre voiture !
Ça c’est en cadeau, car à aucun moment dans le code il est dit que l’on doit en avoir un dans un véhicule, il faut seulement que les plaques soient propres.
• Et les feux aussi, monsieur l’inspecteur.
Mais il me fait chier avec ses questions à rallonges/
Merde, j’ai d’autre chose à foutre que de répondre à une vieille peau qui vient m’emmerder pour une histoire de plaques et de feux, dégueulassés dans un chemin de terre.
Bien sûr je suis à deux doigts de le claquer, mais Patou, là encore, vient à mon secours.
• Je ne sais pas, je défais ma chaussure, j’enlève une de mes soquettes ou si vous voulez ma chemise et je les nettoie.
Ma chemise, ça vous va, pardon, avec des mots plus châtiés, ça vous conviendra !
Bien sûr, je vous vois venir, vous allez me recaler.
Me disant que ceci fait, je remonte au volant et regardant qu’il n’y a ni voitures, ni vélos et si vous le désirez ni moto, venant de la gauche ou de la droite, je m’engage.
Qu’il n’y a pas de ligne continue, m’interdisant d’aller à gauche, je m’engage et je continue ma route.
Et bien entendu, avant j’ai mis mon clignotant là encore après les avoir nettoyés, ça vous conviens comme réponse !
Que va-t-il me faire faire en conduite, car j’ai nettement l’impression que cette vieille peau est là pour me niquer mon permis, mais ça je l’ai déjà dit ?...
Toute la rancoeur que j’ai contre elle, s’étant permis de mettre en doute ma virilité, à ce moment ressort, alors je fais chanter le plaisir d’être peut-être maman à celle à qui j’ai pris son pucelage.
Quelques semaines à attendre, comme le fait, Vanille au même moment ou pensant que deux coups valent mieux qu’un par sécurité, en ce moment Noa l’offre à un autre garçon parisien me rendant presque jaloux !
Qui suis-je devenu, plutôt qui ne suis-je devenu, pour penser à l’enfant que j’ai peut-être fait à Vanille, la jolie Réunionnaise, femme de Noa, en faisant, je l’espère, un à Malaurie ?
Suis-je amoral ou immoral, la nuance pour moi dans mon français un peu restreint y étant pour quelque chose ?
Que se passera-t-il si je dois tenir une conversation, en butant sur chaque mot en prononçant l’un à la place de l’autre.
Bref, avant de m’endormir entre ces deux femmes, un peu mes femmes, j’honore Malaurie en lui déversant une bonne rasade de mon sperme de la meilleure qualité.
• Regarde, elle dort, l’on dirait un bébé !
• Tu as raison Chantal, tu es déjà réveillée !
• Oui, j’ai un gros client à neuf heures et il est déjà presque huit heures, lorsque je dis gros, c’est dans tous les sens du mot !
Il est ventru et il a un poste important dans l’État français, ça gronde en France ces temps-ci et s’il y avait un changement de gouvernement, il postule pour le premier d’entre eux.
Si tu savais ce qu’il aime que je lui fasse, tu aurais peur pour notre pays, mais cela avec Malaurie, nous savons garder cela pour nous.
Il n’y a pas de problème à se faire mal pour qu’à la fin ça vous fasse du bien.
Je sais qu’au lycée, pour se préparer au baccalauréat, les élèves font de la philosophie, si se faire du mal c’est pour notre bien, je préfère rester inculte.
Je me suis brûlé en me faisant griller du pain un matin où maman avait déjà quitté la maison.
Si mes souvenirs sont bons, c’était le moment de sa rencontre avec Iris, mais j’ignore jusqu’à quel degré de perversité entre femmes.
J’ai eu très mal, même lorsque la croute est tombée.
Il est aussi vrai que je l’avais gratté et qu’en se décollant, ça avait de nouveau saigné.
Tout en parlant avec Chantal, ma main, d’un côté tenait ma tête et de l’autre était posé, dois-je le répéter sur le corps de celle qui m’avait dépucelé.
Comment mes doigts se sont retrouvés dans sa toison, puis ensuite sa chatte, impossible de le dire.
• Embrasse-moi salopard, tu me fais jouir toujours autant et j’ai bien quelques minutes à te consacrer, même si je dois faire poiroter ce gros tas quelques minutes avant de le mettre en cage.
Je doigte Chantal, tout en l’embrassant, je bande suffisamment pour la pénétrer jusqu’à ce qu’elle réveille Malaurie par ses cris de plaisir.
• Va mon grand, crache ton sperme sans souci, j’ai aussi calculé que je suis hors ovulation, hélas, quoi que, nous soyons obligés de retourner à l’ouvrage pour réaliser ce que tu nous as promis.
Jouir et encore jouir dans des chattes, tel est mon bon plaisir si c’est demandé avec des mots si tendres, surtout lorsque Malaurie vient vous prendre les couilles et les caresses précipitant mon éjaculation.
• Attention, faire attention lorsque vous ouvrez votre portière pour monter en voiture.
Attachez votre ceinture…
Ayant quitté les filles, c’est non loin de là que je suis rentré dans la boutique de Victor pour ma première leçon.
Si je suis fatigué après cette sauterie nocturne et de ce réveil avec mes deux maîtresses, je suis à l’écoute du moniteur que Christiane a contacté pour me préparer.
Une semaine c’est cour, bien que j’aie manœuvré la deudeuche de mes parents lorsque mon père travaillait et que nous devions la prendre avec maman au volant.
Je me gardais bien de le faire lorsqu’il était là, j’aurais été sûr d’avoir un refus, lui seul était capable de la conduire.
Maman avait eu son permis du premier coup alors que lui s’était repris par trois fois.
• S’il vous plait, ma fiancée a eu un accident et elle est à l’hôpital.
Serait-il possible que je termine ces leçons devant l’hôpital Cochin si vous voyez où il se trouve, ainsi je pourrais rester plus longtemps avec elle ?
Dans les quelques séances qu’il me donne, conduite le matin, leçon de code l’après-midi.
Ajoutez à ça petite séance de baise s’en suivant, la Baronne est une gourmande et même si en plus, elle me donne de bons conseils, heureusement que ça dure qu’un temps, elle m’épuise.
• Chérie, pourrais-tu m’apporter quelques toiles vierges du même format, identique à celle que je viens de terminer et qui est sur la table.
• Plusieurs, mais je vois les progrès que tu fais, quand te libèreront-ils.
J’espère que Franck ton kiné ne te garde pas à portée de main depuis que tu m’as avoué être tombée d’entre les barres de soutiens.
• Oh ! mon grand jaloux, il l’est de Franck alors que tu as tout faux.
Il était de permanence pendant les fêtes et est parti en vacances depuis trois jours pour une durée de quinze.
C’est Paola son adjoint qui assure ma rééducation, tu vois, tu es jaloux pour rien.
• Cause toujours, Paola, ce n’est pas plus rassurant que Franck, tu as aussi bien découvert les amours masculins ou féminins, surtout avec Vanille qui traine dans les parages.
• Eh ! oui, Vanille vient me voir, nous parlons de sa future grossesse avec un bel étalon comme toi.
Mais tu oublies Ingrid, la réceptionniste !
Tu veux que je te dise, elle adore me brouter comme j’aime le faire, avec elle depuis que je lui ai offert une toile, je fais gaffe, elle est du genre à tomber facilement amoureuse.
Non, dis-toi bien qu’en plus de l’amour que j’ai pour toi mon atelier me manque et j’aspire à y retourner le plus tôt possible.
Tiens, en plus des toiles, va dans ma réserve de tube de couleur !
Peux-tu m’apporter un « vert ardoise », je sais que j’en ai en réserve.
Je connais le « rose bonbon, » mais aussi le « vert caca d’oie. »
Là, c’est facile !
Pour mes 16 ans et mon brevet des collèges, après cette réussite, qui à ce moment a rendu fier mon père, ne possédant que le certificat d’études primaires, nous l’avons fêté dans un bistrot de Champigny.
L’un de mes copains, a commandé au patron de verser dans un checker tous les alcools sur la tablette derrière le comptoir.
C’est passé par toutes les couleurs, ce cercueil, c’est comme cela qu’il l’a appelé, j’ai eu le malheur de perdre au 7, 14, 21 et de le boire.
En plus d’être infecte, de couleur caca d’oie, j’ai pris une cuite qui m’a valu une semaine de punition par mon père.
Il faut dire qu’en rentrant j’en ai mis partout dans l’entrée, à son habitude, maman, sans un mot, s’est contentée de tout nettoyer.
Si l’on vous demande de boire un cercueil, à moins d’être kamikaze, passez pour un con et refusez de le boire.
Bref, Patou tarde à rentrer et je me retrouve devant un vieux grincheux, enfin à ses côtés, dans une Simca 1000, qui va me permettre d’avoir mon permis.
• Bonjour, jeune homme ?
Je vois la politesse et vous ça fait deux, heureusement que je ne vous ai pas eu lors du temps où je m’occupais de la bleusaille, à Hourtin, je vous aurais foutu de sérieux coups de pied au cul.
• Pardon, monsieur l’inspecteur, bonjour, excusez-moi, c’est le stress de l’examen.
Chargé de l’incorporation de la bleusaille à Hourtin, je sais que c’est un centre de recrutement de la marine nationale.
Je me garde bien de lui dire que je me suis fait déclarer P4, ce serait un échec assuré à mon examen.
• Parlons code, peut-être que vous serez plus inspiré !
Je suis à deux doigts de sortir et de claquer la portière, mais le doux regard de Patou et la Rolls sur son pont me font me calmer, j’écoute la question.
• Bien vous êtes sur un chemin de terre dans la nature, à un croisement vous pouvez aller à droite ou à gauche, que faites-vous ?
Le coup du chemin de terre, la Baronne m’a mis au parfum.
• Article 12 du code, il est dit, qu’à tout moment les plaques et les feux lumineux doivent être propres.
Vous auriez dû me dire qu’il pleuvait, mais c’est sans importance.
Je descends de la voiture et je nettoie plaques et feux.
• Oui, mais vous n’avez pas de chiffon dans votre voiture !
Ça c’est en cadeau, car à aucun moment dans le code il est dit que l’on doit en avoir un dans un véhicule, il faut seulement que les plaques soient propres.
• Et les feux aussi, monsieur l’inspecteur.
Mais il me fait chier avec ses questions à rallonges/
Merde, j’ai d’autre chose à foutre que de répondre à une vieille peau qui vient m’emmerder pour une histoire de plaques et de feux, dégueulassés dans un chemin de terre.
Bien sûr je suis à deux doigts de le claquer, mais Patou, là encore, vient à mon secours.
• Je ne sais pas, je défais ma chaussure, j’enlève une de mes soquettes ou si vous voulez ma chemise et je les nettoie.
Ma chemise, ça vous va, pardon, avec des mots plus châtiés, ça vous conviendra !
Bien sûr, je vous vois venir, vous allez me recaler.
Me disant que ceci fait, je remonte au volant et regardant qu’il n’y a ni voitures, ni vélos et si vous le désirez ni moto, venant de la gauche ou de la droite, je m’engage.
Qu’il n’y a pas de ligne continue, m’interdisant d’aller à gauche, je m’engage et je continue ma route.
Et bien entendu, avant j’ai mis mon clignotant là encore après les avoir nettoyés, ça vous conviens comme réponse !
Que va-t-il me faire faire en conduite, car j’ai nettement l’impression que cette vieille peau est là pour me niquer mon permis, mais ça je l’ai déjà dit ?...
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