COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (34/36)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (34/36)
Étrange début de séjour à Royan où nous sommes arrivés pour passer une semaine de vacances.
C’est après que Patou est peint une trentaine de toiles, dont celle qui me représente les yeux à la place de mon nez.
Enfin, ce n’est pas entièrement ça, mais c’est presque ça.
Sa peinture est plus près du style Picasso, que d’un Monet où d’un Manet.
Comment je connais ces peintres et que je peux les citer ?
Des Picasso, j’en ai vu à la télé, Monet ou Manet, ce sont des noms entendus, je n’en ai jamais vu.
Christine vient de me donner ces informations lorsque revenant d’une promenade afin de nous vêtir couleur locale à cause de cette tempête qui fait rage, l’on frappe à la porte de notre chambre.
Aglaé, jeune kiné vient pour s’occuper de Patou afin que sa masse musculaire revienne à la normale.
Des années dans un fauteuil roulant, des années sans se servir de ce que nous apprenons à la naissance, tout du moins, quelques mois après, marcher, mettre un pied devant l’autre et marcher !
• Vicky, vous connaissez mon amie, comme je la connais !
Nous étions colocataire à Toulouse lors de nos études de kiné.
À la fin, diplôme en poche, une opportunité s’est offerte et elle est montée à la capitale.
Pour ma part, mon oncle étant près de la retraite, je suis venue à Royan, et je l’ai remplacée, il m’a laissé sa clientèle.
Quant à votre nudité, c’est sans importance, j’ai l’habitude, allongez-vous sur le ventre, je vais vous faire votre massage !
Pendant tout ce temps, je reste près de la fenêtre, regardant un gros bateau sortir de l’estuaire de la Gironde.
Cordouan, le phare, émet son halo de lumière le guidant vers le large.
Patou est allongé, Aglaé la masse, lorsque j’entends des murmures fort explicites de ce qui se passe à peu de distance de moi.
• Oui, plus près, oui comme cela, tes mains sont aussi douces que celles de Vicky, elle aussi sait me caresser là où ça fait du bien !
Je m’approche, Aglaé descend ses mains vers le mollet gauche de Patou et remontant, n’hésite pas à venir dans la fourche de ma jolie petite salope.
Sa tête tournée, ma belle, me voit et fait une proposition que je m’empresse d’exécuter.
• Ça te dérange, si mon fiancé participe à nos jeux !
• Tu verras, il sait très bien y faire pour nous rendre heureuses !
Comprenant que ma petite m’ouvre une porte pour participer, je m’approche et j’enserre de mes bras Aglaé, la jolie kiné.
Je m’attends à prendre une baffe, mais sous sa blouse, je sens un sein qui tend ses pointes lorsque je me saisis de celui à ma portée.
• Attends, je me retourne, mais continue avec tes doigts.
Je vais te dire, d’autres femmes, et parmi elles, Vicky, m’ont fait connaitre la différence entre les caresses féminines et les caresses que nous prodiguent nos mâles lorsqu’ils sont en rut.
Christophe est le parfait spécimen de ce genre de mâle, surtout que j’ai la chance qu’il ait été le premier à me faire connaître l’amour par son sexe.
Mon handicap du moment, en ayant rebuté plus d’un.
De mon point de vue, je vois les doigts d’Aglaé écarter les lèvres vaginales de Patou et lui caresser le clito.
Je vois des perles de bonheur venir humecter son puits d’amour.
Patou mouille et deux doigts pénètrent en elle.
Sous mes doigts, la grotte d’Aglaé n’est pas en reste, mes doigts la pénètrent, montrant à ma petite que moi aussi, je sais être doux avec mes doigts et la chatte de cette jeune femme.
Il y a de la place à ses côtés.
Je fais tomber la blouse de la kiné et m’asseyant, me calant dans les oreillers, la belle comprenant l’offrande et montant sur le lit, vient s’empaler sur ma verge ultra-tendue.
Caresse d’une main de la chatte de ma petite pour elle et pénétration vaginale pour notre invite d’un moment dans notre chambre.
Cris de plaisir des unes et des autres, personnellement, éjaculation au fond du vagin de cette nouvelle partenaire de nos jeux érotiques.
La pression retombe, Patou posant une question à celle que j’ai baisée sans pourtant lui prendre la bouche.
A-t-elle un compagnon et refuse sa bouche alors qu’elle vous donne sa chatte, c’est possible, mais en horrible macho, je me sens obligé d’oublier de lui poser la question.
Certains peuvent penser que je m’en bats la queue.
Ils auraient tort, j’ai conscience du don d’une femme lorsqu’elle se laisse pénétrer n’étant pas un violeur, je pense que chaque fois que j’en baise une, elle est entièrement consentante.
• Ma belle, as-tu encore des clients à voir où un copain qui t’attend, voir un mari ?
• Non, je vous ai inclus dans mon planning en fin de journée, avant de magnifiquement me faire prendre par Christophe, ton copain.
Mes rendez-vous étaient terminés avant de venir vous voir.
Pourquoi, Pat, qu’as-tu à nous proposer ?
• De jouer à la dinette, il fait si mauvais que nous serons mieux ici que d’aller trouver un resto à l’extérieur.
• Sans problème, car je viens de temps en temps dans cet hôtel pour y voir des clients.
Je ne sais qui est de service ce soir, mais c’est mon ex, Gabriel qui apporte les plats dans cet hôtel.
• Ton ex, on va s’amuser.
• Lorsque l’on frappera, je me cacherais dans la salle de bain, je ne veux pas qu’il colporte que je passe ma soirée dans cette chambre avec vous.
Nous commandons, tournedos Rossini, inutile de demander pourquoi et qui est Rossini, peut être le nom de la bête avant abatage, mais j’en doute et je me garde bien de passer pour un ignare.
Et mousse au chocolat, façon Cordouan.
On frappe à la porte, Patou reste pour recevoir le livreur du roomservice et comme elle le dit, Aglaé se dirige vers la salle de bains où je la suis.
• Entrez jeune homme, je vois sur votre badge que vous vous appelez Gabriel !
Ça ne vous dérange pas que je sois toujours nue pour vous recevoir chaque fois que nous vous commandons un repas depuis que nous sommes arrivés !
• Ça arrive de temps en temps, mais le client est roi et comme vous êtes belle, ça ne gâche rien.
• Eh ! si votre fiancée, apprenait que vous vous rincez l’œil, croyez-vous qu’elle apprécierait ?
• Fiancée, comme vous y allez madame, j’avais une amie Aglaé qui était kinésithérapeute.
Elle m’a quitté, parce que je pense que comme je fais des études de médecine, elle a pris ombrage de cet état de fait et m’a quitté.
• Peux-tu me rendre un service Gabriel ?
Je te tutoie, nous ne sommes pas si éloignés que ça part l’âge.
• Bien sûr Patou, je me permets à mon tour de t’appeler par le nom que tout le personnel de l’hôtel te donne.
Nous sommes très honorés qu’une telle artiste que toi soit descendu dans cet hôtel avec ton petit ami !
Ok Gabriel, puis-je te demander d’aller dans la salle de bains me chercher une serviette de bain ?
Je vais pouvoir manger en me couvrant un peu.
Tu vas bien m’aider à partager ce bon repas que ton chef nous a préparé ou dois-je lui téléphoner pour lui dire que je te garde dans ma chambre ?
Ce ne sera pas nécessaire, j’accepte de dîner avec toi.
J’ai fini mon service et après t’avoir livré cette table roulante, j’allais rentrer seul chez moi.
• Aglaé te manque !
• Oui, énormément plus que ce que tu peux le croire, même si tu es jolie comme un cœur.
La salope, Patou me rend la monnaie de ma pièce lorsque j’ai chargé Azalée à la sortie de Paris et que j’ai joué les chauffeurs de madame.
J’attire Aglaé à moi et je la fais descendre d’un étage, a-t-elle, entendu Gabriel lui déclarer sa flamme, elle se met à me sucer.
• Oh ! pardon, j’ignorais que vous étiez là, monsieur, j’aurais frappé avant d’entrer.
Mais Aglaé, c’est toi qui suces ce, ce, ce !
Gabriel perd ses mots, en voyant Aglaé me sucer, je décide de ne pas lui laisser le temps de souffler.
• Gabriel, viens m’aider, sors ta bite, ton amie est capable de s’occuper de deux bites en même temps.
Est-il lucide, devant mon impétuosité, il sort sa bite, sans le regarder, Aglaé la saisie et me lâchant un moment la place à ce moment dans sa bouche.
A-t-elle vu des films pornographiques ou des actrices pompes alternativement l’un après l’autre des hommes qu’elles ont à leur disposition, je l’ignore.
Ce qui est sûr, c’est qu’elle s’y prend très bien, je rebande et il bande.
J’aide Aglaé à se relever, inutile que l’un ou l’autre de nous lui remplisse la bouche d’un sperme bien épais.
Je sais que Patou avale, mais j’ignore si Aglaé ne risque pas de gerber si nous lui arrosons les amygdales.
• Venez, j’ai faim, le tournedos va être froid !
Ai-je vraiment faim, ou je veux retrouver ma liberté de penser sur les jeux amoureux que semble vouloir m’imposer Patou ?
Ce qui est certain, c’est que nous nous retrouvons tous les quatre dans le plus simple appareil, Gabriel étant déshabillé par Aglaé, qui par ce geste montre qu’elle est pleinement lucide sur ce que nous nous apprêtons à faire.
Une fois à la table, chacun prend son assiette.
• Non merci, j’ai déjà dîné avant de finir mon service, vous verrez, les Rossini sont si tendres qu’il est possible de les couper avec sa fourchette.
Par compte, je prendrais bien un peu de crème au chocolat !
Disant cela, étant entre Pat et Aglaé, Gabriel prend une mousse au chocolat sur ses doigts et en applique sur le nez de Patou et celui d’Aglaé, qui vient de lui poser sa main sur sa cuisse.
Nos jeux, je dirais d’autres jeux vont pouvoir débuter…
C’est après que Patou est peint une trentaine de toiles, dont celle qui me représente les yeux à la place de mon nez.
Enfin, ce n’est pas entièrement ça, mais c’est presque ça.
Sa peinture est plus près du style Picasso, que d’un Monet où d’un Manet.
Comment je connais ces peintres et que je peux les citer ?
Des Picasso, j’en ai vu à la télé, Monet ou Manet, ce sont des noms entendus, je n’en ai jamais vu.
Christine vient de me donner ces informations lorsque revenant d’une promenade afin de nous vêtir couleur locale à cause de cette tempête qui fait rage, l’on frappe à la porte de notre chambre.
Aglaé, jeune kiné vient pour s’occuper de Patou afin que sa masse musculaire revienne à la normale.
Des années dans un fauteuil roulant, des années sans se servir de ce que nous apprenons à la naissance, tout du moins, quelques mois après, marcher, mettre un pied devant l’autre et marcher !
• Vicky, vous connaissez mon amie, comme je la connais !
Nous étions colocataire à Toulouse lors de nos études de kiné.
À la fin, diplôme en poche, une opportunité s’est offerte et elle est montée à la capitale.
Pour ma part, mon oncle étant près de la retraite, je suis venue à Royan, et je l’ai remplacée, il m’a laissé sa clientèle.
Quant à votre nudité, c’est sans importance, j’ai l’habitude, allongez-vous sur le ventre, je vais vous faire votre massage !
Pendant tout ce temps, je reste près de la fenêtre, regardant un gros bateau sortir de l’estuaire de la Gironde.
Cordouan, le phare, émet son halo de lumière le guidant vers le large.
Patou est allongé, Aglaé la masse, lorsque j’entends des murmures fort explicites de ce qui se passe à peu de distance de moi.
• Oui, plus près, oui comme cela, tes mains sont aussi douces que celles de Vicky, elle aussi sait me caresser là où ça fait du bien !
Je m’approche, Aglaé descend ses mains vers le mollet gauche de Patou et remontant, n’hésite pas à venir dans la fourche de ma jolie petite salope.
Sa tête tournée, ma belle, me voit et fait une proposition que je m’empresse d’exécuter.
• Ça te dérange, si mon fiancé participe à nos jeux !
• Tu verras, il sait très bien y faire pour nous rendre heureuses !
Comprenant que ma petite m’ouvre une porte pour participer, je m’approche et j’enserre de mes bras Aglaé, la jolie kiné.
Je m’attends à prendre une baffe, mais sous sa blouse, je sens un sein qui tend ses pointes lorsque je me saisis de celui à ma portée.
• Attends, je me retourne, mais continue avec tes doigts.
Je vais te dire, d’autres femmes, et parmi elles, Vicky, m’ont fait connaitre la différence entre les caresses féminines et les caresses que nous prodiguent nos mâles lorsqu’ils sont en rut.
Christophe est le parfait spécimen de ce genre de mâle, surtout que j’ai la chance qu’il ait été le premier à me faire connaître l’amour par son sexe.
Mon handicap du moment, en ayant rebuté plus d’un.
De mon point de vue, je vois les doigts d’Aglaé écarter les lèvres vaginales de Patou et lui caresser le clito.
Je vois des perles de bonheur venir humecter son puits d’amour.
Patou mouille et deux doigts pénètrent en elle.
Sous mes doigts, la grotte d’Aglaé n’est pas en reste, mes doigts la pénètrent, montrant à ma petite que moi aussi, je sais être doux avec mes doigts et la chatte de cette jeune femme.
Il y a de la place à ses côtés.
Je fais tomber la blouse de la kiné et m’asseyant, me calant dans les oreillers, la belle comprenant l’offrande et montant sur le lit, vient s’empaler sur ma verge ultra-tendue.
Caresse d’une main de la chatte de ma petite pour elle et pénétration vaginale pour notre invite d’un moment dans notre chambre.
Cris de plaisir des unes et des autres, personnellement, éjaculation au fond du vagin de cette nouvelle partenaire de nos jeux érotiques.
La pression retombe, Patou posant une question à celle que j’ai baisée sans pourtant lui prendre la bouche.
A-t-elle un compagnon et refuse sa bouche alors qu’elle vous donne sa chatte, c’est possible, mais en horrible macho, je me sens obligé d’oublier de lui poser la question.
Certains peuvent penser que je m’en bats la queue.
Ils auraient tort, j’ai conscience du don d’une femme lorsqu’elle se laisse pénétrer n’étant pas un violeur, je pense que chaque fois que j’en baise une, elle est entièrement consentante.
• Ma belle, as-tu encore des clients à voir où un copain qui t’attend, voir un mari ?
• Non, je vous ai inclus dans mon planning en fin de journée, avant de magnifiquement me faire prendre par Christophe, ton copain.
Mes rendez-vous étaient terminés avant de venir vous voir.
Pourquoi, Pat, qu’as-tu à nous proposer ?
• De jouer à la dinette, il fait si mauvais que nous serons mieux ici que d’aller trouver un resto à l’extérieur.
• Sans problème, car je viens de temps en temps dans cet hôtel pour y voir des clients.
Je ne sais qui est de service ce soir, mais c’est mon ex, Gabriel qui apporte les plats dans cet hôtel.
• Ton ex, on va s’amuser.
• Lorsque l’on frappera, je me cacherais dans la salle de bain, je ne veux pas qu’il colporte que je passe ma soirée dans cette chambre avec vous.
Nous commandons, tournedos Rossini, inutile de demander pourquoi et qui est Rossini, peut être le nom de la bête avant abatage, mais j’en doute et je me garde bien de passer pour un ignare.
Et mousse au chocolat, façon Cordouan.
On frappe à la porte, Patou reste pour recevoir le livreur du roomservice et comme elle le dit, Aglaé se dirige vers la salle de bains où je la suis.
• Entrez jeune homme, je vois sur votre badge que vous vous appelez Gabriel !
Ça ne vous dérange pas que je sois toujours nue pour vous recevoir chaque fois que nous vous commandons un repas depuis que nous sommes arrivés !
• Ça arrive de temps en temps, mais le client est roi et comme vous êtes belle, ça ne gâche rien.
• Eh ! si votre fiancée, apprenait que vous vous rincez l’œil, croyez-vous qu’elle apprécierait ?
• Fiancée, comme vous y allez madame, j’avais une amie Aglaé qui était kinésithérapeute.
Elle m’a quitté, parce que je pense que comme je fais des études de médecine, elle a pris ombrage de cet état de fait et m’a quitté.
• Peux-tu me rendre un service Gabriel ?
Je te tutoie, nous ne sommes pas si éloignés que ça part l’âge.
• Bien sûr Patou, je me permets à mon tour de t’appeler par le nom que tout le personnel de l’hôtel te donne.
Nous sommes très honorés qu’une telle artiste que toi soit descendu dans cet hôtel avec ton petit ami !
Ok Gabriel, puis-je te demander d’aller dans la salle de bains me chercher une serviette de bain ?
Je vais pouvoir manger en me couvrant un peu.
Tu vas bien m’aider à partager ce bon repas que ton chef nous a préparé ou dois-je lui téléphoner pour lui dire que je te garde dans ma chambre ?
Ce ne sera pas nécessaire, j’accepte de dîner avec toi.
J’ai fini mon service et après t’avoir livré cette table roulante, j’allais rentrer seul chez moi.
• Aglaé te manque !
• Oui, énormément plus que ce que tu peux le croire, même si tu es jolie comme un cœur.
La salope, Patou me rend la monnaie de ma pièce lorsque j’ai chargé Azalée à la sortie de Paris et que j’ai joué les chauffeurs de madame.
J’attire Aglaé à moi et je la fais descendre d’un étage, a-t-elle, entendu Gabriel lui déclarer sa flamme, elle se met à me sucer.
• Oh ! pardon, j’ignorais que vous étiez là, monsieur, j’aurais frappé avant d’entrer.
Mais Aglaé, c’est toi qui suces ce, ce, ce !
Gabriel perd ses mots, en voyant Aglaé me sucer, je décide de ne pas lui laisser le temps de souffler.
• Gabriel, viens m’aider, sors ta bite, ton amie est capable de s’occuper de deux bites en même temps.
Est-il lucide, devant mon impétuosité, il sort sa bite, sans le regarder, Aglaé la saisie et me lâchant un moment la place à ce moment dans sa bouche.
A-t-elle vu des films pornographiques ou des actrices pompes alternativement l’un après l’autre des hommes qu’elles ont à leur disposition, je l’ignore.
Ce qui est sûr, c’est qu’elle s’y prend très bien, je rebande et il bande.
J’aide Aglaé à se relever, inutile que l’un ou l’autre de nous lui remplisse la bouche d’un sperme bien épais.
Je sais que Patou avale, mais j’ignore si Aglaé ne risque pas de gerber si nous lui arrosons les amygdales.
• Venez, j’ai faim, le tournedos va être froid !
Ai-je vraiment faim, ou je veux retrouver ma liberté de penser sur les jeux amoureux que semble vouloir m’imposer Patou ?
Ce qui est certain, c’est que nous nous retrouvons tous les quatre dans le plus simple appareil, Gabriel étant déshabillé par Aglaé, qui par ce geste montre qu’elle est pleinement lucide sur ce que nous nous apprêtons à faire.
Une fois à la table, chacun prend son assiette.
• Non merci, j’ai déjà dîné avant de finir mon service, vous verrez, les Rossini sont si tendres qu’il est possible de les couper avec sa fourchette.
Par compte, je prendrais bien un peu de crème au chocolat !
Disant cela, étant entre Pat et Aglaé, Gabriel prend une mousse au chocolat sur ses doigts et en applique sur le nez de Patou et celui d’Aglaé, qui vient de lui poser sa main sur sa cuisse.
Nos jeux, je dirais d’autres jeux vont pouvoir débuter…
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