COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (1/3)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (1/3)
(Toute histoire, commence par un chapitre I.
Attaquons-le, quand se terminera-t-elle, rapidement, j’ai l’impression que non !)
« Service de dépannage, que puis-je pour vous ? »
En partance de mon couvent vers le Tarn ou ma maman réside, je traverse la France au volant de ma petite voiture, que notre couvent possède et qui m’a été prêté par la mère supérieure.
Ce voyage, je l’entreprends dans les derniers jours du mois de juillet dans cette année de canicule.
28 ans, 10 ans avec ma bague au doigt, anneau de fidélité à notre Seigneur,
C’est au carmel de Lisieux que je réside, maman malade que je rejoins pris tous les jours Thérèse de Lisieux.
Colette, ma maman est persuadée qu’elle a été guérie après ses prières à cette sainte.
Maman est très fière que sa fille même si je suis fille unique, ait épousé le fils de Dieu et serve occasionnellement Thérèse la sainte qu’elle vénère.
Lorsque j’ai prononcé mes vœux, le rayonnement de son regard en disait long sur le sacrifice qu’elle faisait de ne jamais avoir de petits enfants.
Je roule tranquillement sur une départementale, j’ai eu mon permis à 22 ans pour devenir responsable comptable et des approvisionnements de notre communauté.
Les gains que je fais grâce à mon travail, servent principalement à l’entretien du couvent et des quelques sœurs trop vieilles pour apporter des biens matériels à notre carmel.
Il va sans dire, que même si je connais l’existence du loup, je suis vierge et même vierge à 100 %.
Vierge, l’un des signes du zodiaque, en plus de mon hymen intact ?
Non, je suis Taureau née le jour de la fête du travail le 1er mai.
Signe certainement dicté par Dieu, mon géniteur, impossible de dire « mon père, » encore mieux « papa. »
C’était un mineur de la mine de Carmaux et qui militait au Parti communiste et à la CGT.
Par chance, il a planté sa graine dans ma bigote de mère et est mort.
Non pas les armes à la main, la faucille et le marteau, mais d’une cirrhose foudroyante en faisant un pari stupide du nombre de verre de vin but en une heure.
Il a gagné la première manche, mais a perdu la deuxième en perdant la vie.
Surtout que ce vin était une affreuse piquette plus près du vinaigre que du vin.
Deux fois, donc, car certaines de nos sœurs se dépucellent elles-mêmes en récupérant à notre chapelle des cierges assez longs pour se les fourrer là où d’autres font entrer les verges des hommes.
Je suis venu au monde cette bite sur pied étant mort et le muguet avait perdu son plus gros vendeur.
Pas du nombre de brins, mais de son poids, maman m’a dit qu’il était deux fois pilier, au rugby et au bar.
C’est dans le deuxième, après un match perdu, qu’il a fait ce pari stupide et que maman m’a élevé dans l’esprit des curés, chose étrange, car lui les clouait au pilori.
Je roule donc, lorsque ma voiture à des ratés.
Je pense à la panne d’essence, ce qui est embêtant, mais une pompe, un jerricane et le plein fait, je pourrais repartir.
Hélas, la jauge de ma 4L marque, moitié du plein.
De toute façon le bruit ça vient de la roue avant gauche, celle de mon côté.
La voiture au compteur marque 222 000 kilomètres et date des années 70.
Elle est considérée comme voiture de collection.
C’est là que je sors mon portable à carte que la mère supérieure m’a donnée en cas de problème avant mon départ.
C’est la première fois que je me sers de ce genre de truc.
Au carmel, lorsque je téléphone c’est sur une ligne dite fixe avec un cadran à tourner.
C’est la mère supérieure qui me répond, elle me fait attendre et quelques minutes après j’ai le numéro d’un dépanneur de la région qui finit par arriver vers moi.
• Oh ! ma sœur, on est mal barré, ça, c’est un cardan qui a lâché !
Vu l’âge de votre Pétrolette, ça va être coton, de trouver un cardan de cette année 71, date de mise en service, que je vois sur la carte grise de cette presque épave.
J’ignorais que sur la carte grise, que je savais être dans le vide poche devant le siège passager, sa date de mise en circulation était indiquée.
• Je vais la montée sur ma plateforme, elle est incapable de rouler un mètre de plus.
Montée à l’avant, dans ma cabine, j’ai interdiction de laisser des passagers dans l’habitat de leur voiture lorsque je la remorque vers mon garage/
Voulez-vous que je vous aide à monter, la marche est haute et ça va être coton avec votre grande robe ?
Je refuse, je me vois mal avec ce réparateur me mettant sa main au cul.
Je le vois déjà rigoler avec ses potes, disant « j’ai mis ma main au cul à une bonne sœur. »
• Oui, allez-y, avec ma robe s’est trop haut.
Bien sûr, j’ai été dans l’impossibilité de monter et j’ai été obligé de lui demander de l’aide.
Pour la première fois de ma vie depuis que maman me talquait les fesses, il me met la main au cul pour pousser et me faire monter.
• Excusez-moi ma sœur, je n’avais pas d’autres moyens.
Il monte ma voiture et direction son garage.
Avant qu’il n’ait dit ouf, j’ouvre la portière et je saute au sol.
Par chance, avec ma robe, j’évite un plat et me récupère sans la main là où il me l’a mise au moment de monter.
Il part téléphoner, je pense à Auriac, grande ville la plus proche où toute ville non loin d’où se trouve le trou perdu où la panne m’a fait atterrir.
• Mini trois jours si mon fournisseur trouve dans une casse, sinon cinq ou six, s’il lui faut la faire venir de Paris par train.
Mais ça risque d’être coton, car nous sommes fin juillet et ce sont les vacances d’aout ou tout ferme.
• Eh bien, je suis à plus de 100 kilomètres de chez moi, y a-t-il un hôtel où je pourrais descendre en attendant que vous ayez fini et au moins je sache à quoi m’en tenir sur la récupération de la pièce !
• Il y a un gîte à la sortie du village à deux kilomètres.
Les propriétaires sont des clients et m’ont laissé une carte, elle est dans mon bureau, venez, je les appelle !
La malchance, Franck le mécano du garage met le haut-parleur.
Je dis Franck car son nom, Franck Lebeuf est marqué sur la dépanneuse.
Dépannage 24/24 heures et 7/7 jours.
Ils sont navrés il y a une heure qu’ils ont loué leurs deux chambres sans repas à une famille qui vient demain matin pour faire de la marche en montagne pendant une semaine.
• Il y a bien une autre solution, mais j’hésite à la proposer à une bonne sœur.
Pardon a une none, une sœur.
• Dite toujours je suis assez grande pour prendre mes décisions, sauf si c’est un bordel.
• Un bordel non, c’est un camping naturiste, bungalow et emplacement pour les tentes ouvert au bord de la rivière, ou les naturistes viennent pratiquer leur passion, être nu.
La propriété est entourée de hauts murs protégeant ses adeptes de la nudité des regards indiscrets.
Je connais la propriétaire, c’est une copine et comme je l’ai dit, je suis allé faire plusieurs interventions pendant l’été, il y a là comme ailleurs des voitures qui tombent en panne.
• Vous y avez été nu !
• Non, Viviane ma femme m’aurait tué, si elle savait que j’étais rentré avec ma dépanneuse.
Par compte, j’ai vu la nudité de clients et clientes, mais aussi Sophie, qui en est la gérante
C’est une amie d’enfance revenue de Paris pour prendre en main ce camping d’un genre spécial et j’ai pu voir que Sophie avait de beaux seins et une belle toison rousse comme ses cheveux.
• Le temps de rejoindre la chambre que je louerais, je pourrais rester habillé et une fois entrée le tour sera joué.
• Vous rigolez ma sœur, n’avez-vous pas d’autres vêtements civils à mettre, il vous faudra bien aller à la superette ou au restaurant pour manger.
Parti comme c’est, il y en a certainement pour un max de temps plutôt qu’un temps court, il vaut mieux prévoir.
J’ai peut-être une autre solution, mais avant j’appelle Sophie pour savoir s’il leur reste des bungalows, je ne pense pas que vous ayez une tente dans le coffre de votre voiture !
Il appelle, c’est une femme qui répond, il met le haut-parleur.
• J’ai un bungalow pour quatre pièces venant de se libérer.
Une famille devait venir et ils ont changé d’avis, ils m’ont parlé de gîte plus pratique pour eux.
• Dans une heure, j’arrive avec ma cliente, elle est en panne pour un long moment, fait le nécessaire pour rendre son séjour agréable.
• Si c’est une de tes clientes, coincées ici, j’ai bien travaillé pour ce début de saison et mon carnet de réservation pour les deux mois à venir est plein.
Je suis tombée en panne de voiture pendant des vacances sur la côte, je sais ce que ça m’a coûté, ta cliente sera bien reçue aux moindres frais.
Ils raccrochent.
• J’ai failli lui dire que vous étiez une bonne sœur, j’ai trouvé inutile de la prévenir, des fois il y a des oreilles qui trainent à la réception du camp.
Pour la solution, vu votre taille et votre carrure, venez, ma fille Létitia est partie avec un Marocain et a laissé quelques affaires.
Il est retourné au bled et a emmené ma fille, ma femme et moi nous pensons que nous ne les reverrons jamais.
Vous allez enfiler et même prendre un peu de rechange, vous laisserez votre tenue ici et vous la récupérerez avec vos affaires de nonne lorsque la réparation aura été faite et que vous récupérerez votre pièce de collection.
Une fille de joie, mais qui je dois le dire, met certains de mes atouts en valeur.
Jupette ras, pourquoi en dire plus !
Chemisier, pulls, débardeurs je me fais un paquet d’affaire et sœur Marie de la Sainte Trinité redevient simplement Marie Joufflon, nom de maman, n’ayant connu papa que par sa verge.
Il évite la dépanneuse et après avoir mis mon sac d’affaires sur le siège arrière, il est 17 heures lorsqu’il me dépose devant une porte en bois oui se trouve un Interphone.
• Marie, je vous ouvre, si Franck veut entrer !
Je regarde indirectement mon sauveur, fenêtre ouverte par ce beau temps de juillet, il fait non de la tête et démarre.
Déclenchement de la porte en bois, j’entre dans l’antre du diable, étant une bonne sœur comme l’aurait dit Franck.
Deux mètres et je vois ma première quéquette.
Trois de plus une multitude de paires de seins et de quéquettes.
Deux équipes, sans compter les spectateurs, jouent un match de volley sur une place non loin d’une piscine ou un nombre important de, bref, nudité vaquant à diverses activités.
Un bungalow, une réception, une femme rousse, je suis auprès de Sophie qui m’accueille avec un large sourire.
• Bien venue au camping des Montagnes bleues, je suis contente de vous accueillir dans votre malheur dû à votre panne de voiture…
Attaquons-le, quand se terminera-t-elle, rapidement, j’ai l’impression que non !)
« Service de dépannage, que puis-je pour vous ? »
En partance de mon couvent vers le Tarn ou ma maman réside, je traverse la France au volant de ma petite voiture, que notre couvent possède et qui m’a été prêté par la mère supérieure.
Ce voyage, je l’entreprends dans les derniers jours du mois de juillet dans cette année de canicule.
28 ans, 10 ans avec ma bague au doigt, anneau de fidélité à notre Seigneur,
C’est au carmel de Lisieux que je réside, maman malade que je rejoins pris tous les jours Thérèse de Lisieux.
Colette, ma maman est persuadée qu’elle a été guérie après ses prières à cette sainte.
Maman est très fière que sa fille même si je suis fille unique, ait épousé le fils de Dieu et serve occasionnellement Thérèse la sainte qu’elle vénère.
Lorsque j’ai prononcé mes vœux, le rayonnement de son regard en disait long sur le sacrifice qu’elle faisait de ne jamais avoir de petits enfants.
Je roule tranquillement sur une départementale, j’ai eu mon permis à 22 ans pour devenir responsable comptable et des approvisionnements de notre communauté.
Les gains que je fais grâce à mon travail, servent principalement à l’entretien du couvent et des quelques sœurs trop vieilles pour apporter des biens matériels à notre carmel.
Il va sans dire, que même si je connais l’existence du loup, je suis vierge et même vierge à 100 %.
Vierge, l’un des signes du zodiaque, en plus de mon hymen intact ?
Non, je suis Taureau née le jour de la fête du travail le 1er mai.
Signe certainement dicté par Dieu, mon géniteur, impossible de dire « mon père, » encore mieux « papa. »
C’était un mineur de la mine de Carmaux et qui militait au Parti communiste et à la CGT.
Par chance, il a planté sa graine dans ma bigote de mère et est mort.
Non pas les armes à la main, la faucille et le marteau, mais d’une cirrhose foudroyante en faisant un pari stupide du nombre de verre de vin but en une heure.
Il a gagné la première manche, mais a perdu la deuxième en perdant la vie.
Surtout que ce vin était une affreuse piquette plus près du vinaigre que du vin.
Deux fois, donc, car certaines de nos sœurs se dépucellent elles-mêmes en récupérant à notre chapelle des cierges assez longs pour se les fourrer là où d’autres font entrer les verges des hommes.
Je suis venu au monde cette bite sur pied étant mort et le muguet avait perdu son plus gros vendeur.
Pas du nombre de brins, mais de son poids, maman m’a dit qu’il était deux fois pilier, au rugby et au bar.
C’est dans le deuxième, après un match perdu, qu’il a fait ce pari stupide et que maman m’a élevé dans l’esprit des curés, chose étrange, car lui les clouait au pilori.
Je roule donc, lorsque ma voiture à des ratés.
Je pense à la panne d’essence, ce qui est embêtant, mais une pompe, un jerricane et le plein fait, je pourrais repartir.
Hélas, la jauge de ma 4L marque, moitié du plein.
De toute façon le bruit ça vient de la roue avant gauche, celle de mon côté.
La voiture au compteur marque 222 000 kilomètres et date des années 70.
Elle est considérée comme voiture de collection.
C’est là que je sors mon portable à carte que la mère supérieure m’a donnée en cas de problème avant mon départ.
C’est la première fois que je me sers de ce genre de truc.
Au carmel, lorsque je téléphone c’est sur une ligne dite fixe avec un cadran à tourner.
C’est la mère supérieure qui me répond, elle me fait attendre et quelques minutes après j’ai le numéro d’un dépanneur de la région qui finit par arriver vers moi.
• Oh ! ma sœur, on est mal barré, ça, c’est un cardan qui a lâché !
Vu l’âge de votre Pétrolette, ça va être coton, de trouver un cardan de cette année 71, date de mise en service, que je vois sur la carte grise de cette presque épave.
J’ignorais que sur la carte grise, que je savais être dans le vide poche devant le siège passager, sa date de mise en circulation était indiquée.
• Je vais la montée sur ma plateforme, elle est incapable de rouler un mètre de plus.
Montée à l’avant, dans ma cabine, j’ai interdiction de laisser des passagers dans l’habitat de leur voiture lorsque je la remorque vers mon garage/
Voulez-vous que je vous aide à monter, la marche est haute et ça va être coton avec votre grande robe ?
Je refuse, je me vois mal avec ce réparateur me mettant sa main au cul.
Je le vois déjà rigoler avec ses potes, disant « j’ai mis ma main au cul à une bonne sœur. »
• Oui, allez-y, avec ma robe s’est trop haut.
Bien sûr, j’ai été dans l’impossibilité de monter et j’ai été obligé de lui demander de l’aide.
Pour la première fois de ma vie depuis que maman me talquait les fesses, il me met la main au cul pour pousser et me faire monter.
• Excusez-moi ma sœur, je n’avais pas d’autres moyens.
Il monte ma voiture et direction son garage.
Avant qu’il n’ait dit ouf, j’ouvre la portière et je saute au sol.
Par chance, avec ma robe, j’évite un plat et me récupère sans la main là où il me l’a mise au moment de monter.
Il part téléphoner, je pense à Auriac, grande ville la plus proche où toute ville non loin d’où se trouve le trou perdu où la panne m’a fait atterrir.
• Mini trois jours si mon fournisseur trouve dans une casse, sinon cinq ou six, s’il lui faut la faire venir de Paris par train.
Mais ça risque d’être coton, car nous sommes fin juillet et ce sont les vacances d’aout ou tout ferme.
• Eh bien, je suis à plus de 100 kilomètres de chez moi, y a-t-il un hôtel où je pourrais descendre en attendant que vous ayez fini et au moins je sache à quoi m’en tenir sur la récupération de la pièce !
• Il y a un gîte à la sortie du village à deux kilomètres.
Les propriétaires sont des clients et m’ont laissé une carte, elle est dans mon bureau, venez, je les appelle !
La malchance, Franck le mécano du garage met le haut-parleur.
Je dis Franck car son nom, Franck Lebeuf est marqué sur la dépanneuse.
Dépannage 24/24 heures et 7/7 jours.
Ils sont navrés il y a une heure qu’ils ont loué leurs deux chambres sans repas à une famille qui vient demain matin pour faire de la marche en montagne pendant une semaine.
• Il y a bien une autre solution, mais j’hésite à la proposer à une bonne sœur.
Pardon a une none, une sœur.
• Dite toujours je suis assez grande pour prendre mes décisions, sauf si c’est un bordel.
• Un bordel non, c’est un camping naturiste, bungalow et emplacement pour les tentes ouvert au bord de la rivière, ou les naturistes viennent pratiquer leur passion, être nu.
La propriété est entourée de hauts murs protégeant ses adeptes de la nudité des regards indiscrets.
Je connais la propriétaire, c’est une copine et comme je l’ai dit, je suis allé faire plusieurs interventions pendant l’été, il y a là comme ailleurs des voitures qui tombent en panne.
• Vous y avez été nu !
• Non, Viviane ma femme m’aurait tué, si elle savait que j’étais rentré avec ma dépanneuse.
Par compte, j’ai vu la nudité de clients et clientes, mais aussi Sophie, qui en est la gérante
C’est une amie d’enfance revenue de Paris pour prendre en main ce camping d’un genre spécial et j’ai pu voir que Sophie avait de beaux seins et une belle toison rousse comme ses cheveux.
• Le temps de rejoindre la chambre que je louerais, je pourrais rester habillé et une fois entrée le tour sera joué.
• Vous rigolez ma sœur, n’avez-vous pas d’autres vêtements civils à mettre, il vous faudra bien aller à la superette ou au restaurant pour manger.
Parti comme c’est, il y en a certainement pour un max de temps plutôt qu’un temps court, il vaut mieux prévoir.
J’ai peut-être une autre solution, mais avant j’appelle Sophie pour savoir s’il leur reste des bungalows, je ne pense pas que vous ayez une tente dans le coffre de votre voiture !
Il appelle, c’est une femme qui répond, il met le haut-parleur.
• J’ai un bungalow pour quatre pièces venant de se libérer.
Une famille devait venir et ils ont changé d’avis, ils m’ont parlé de gîte plus pratique pour eux.
• Dans une heure, j’arrive avec ma cliente, elle est en panne pour un long moment, fait le nécessaire pour rendre son séjour agréable.
• Si c’est une de tes clientes, coincées ici, j’ai bien travaillé pour ce début de saison et mon carnet de réservation pour les deux mois à venir est plein.
Je suis tombée en panne de voiture pendant des vacances sur la côte, je sais ce que ça m’a coûté, ta cliente sera bien reçue aux moindres frais.
Ils raccrochent.
• J’ai failli lui dire que vous étiez une bonne sœur, j’ai trouvé inutile de la prévenir, des fois il y a des oreilles qui trainent à la réception du camp.
Pour la solution, vu votre taille et votre carrure, venez, ma fille Létitia est partie avec un Marocain et a laissé quelques affaires.
Il est retourné au bled et a emmené ma fille, ma femme et moi nous pensons que nous ne les reverrons jamais.
Vous allez enfiler et même prendre un peu de rechange, vous laisserez votre tenue ici et vous la récupérerez avec vos affaires de nonne lorsque la réparation aura été faite et que vous récupérerez votre pièce de collection.
Une fille de joie, mais qui je dois le dire, met certains de mes atouts en valeur.
Jupette ras, pourquoi en dire plus !
Chemisier, pulls, débardeurs je me fais un paquet d’affaire et sœur Marie de la Sainte Trinité redevient simplement Marie Joufflon, nom de maman, n’ayant connu papa que par sa verge.
Il évite la dépanneuse et après avoir mis mon sac d’affaires sur le siège arrière, il est 17 heures lorsqu’il me dépose devant une porte en bois oui se trouve un Interphone.
• Marie, je vous ouvre, si Franck veut entrer !
Je regarde indirectement mon sauveur, fenêtre ouverte par ce beau temps de juillet, il fait non de la tête et démarre.
Déclenchement de la porte en bois, j’entre dans l’antre du diable, étant une bonne sœur comme l’aurait dit Franck.
Deux mètres et je vois ma première quéquette.
Trois de plus une multitude de paires de seins et de quéquettes.
Deux équipes, sans compter les spectateurs, jouent un match de volley sur une place non loin d’une piscine ou un nombre important de, bref, nudité vaquant à diverses activités.
Un bungalow, une réception, une femme rousse, je suis auprès de Sophie qui m’accueille avec un large sourire.
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