COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (2/3) - histoire érotique

(On comprend mieux pourquoi que j’ai eu des difficultés à classer une histoire de bonne sœur chez les putes ou les folles du cul et même les salopes.
Bien que cela soit loin de me déranger, après presque 2 500 histoires ou chapitres d’histoires érotiques publiés dans mes sagas.
Mais « Les Rousses, » ça me va très bien surtout avec la suite qui arrive.
Le chapitre I est terminé, le n° II va commencer.)

« Service de dépannage, que puis-je pour vous ? »

C’est ce service que j’appelle lorsqu’un bruit insolite et un arrêt brusque me laisse pantoise dans la campagne un peu montagneuse du centre de la France !
Franck vient à mon secours mais la voiture du carmel de Lisieux où je réside, est tellement antique que le « cardan » à remplacé va être difficile à trouver.
Pièce approchant celle de collection et fermeture des fournisseurs le temps des vacances d’aout.
Je dois me rendre à l’évidence, je dois attendre sa réparation en trouvant un hébergement suffisamment long pour parer à toutes les situations, le temps nécessaire où je prendrais une décision.
Dans ce trou du cul du monde à plus de 100 kilomètres de Carmaux but de mon voyage, maman ayant des petits ennuis de santé, c’est au camping du village que je trouve un hébergement.
Un point de blocage pour Marie de la sainte Trinité, je suis none en plus d’être vierge à 28 ans, ce camping des montagnes bleues est un camping naturiste.
Au carmel j’ai connu quelques sœurs qui ont connu le loup avant de prononcer leurs vœux et d’accepter l’anneau de Jésus.
L’une de mes voisines de cellule, sœur Marie Joseph vieille sœur de 68 ans, 40 ans de plus que moi est entrée au couvent après une expérience malheureuse, cocu la veille de ses noces.
C’est sa propre mère, qu’elle a surpris se faisant baiser par le futur marié alors que comme le veut la tradition les futurs époux ne devaient pas se voir risquant un mariage malheureux cette dernière nuit.
Là, c’est même la cérémonie du lendemain qui a été annulé, les amants ayant pris la poudre d’escampette avant le petit matin, lorsque sa mère a vu qu’ils avaient été surpris.
Sœur Marie Joseph, n’avait plus jamais entendu parler de sa mère et de son amant surtout en entrant en religion.
Cette sœur faisait partie des adeptes des cierges de la chapelle, elle n’avait connu que des bâtons de cire tout au long de sa vie.
Pour ma part c’est dans le culte de Thérèse de Lisieux que j’ai rejoint l’ordre qui entretient la mémoire et les restes de la Sainte.
Vous pouvez voir mon étonnement quand pour la première fois, je vois des chattes et des bites, heureusement au repos en entrant derrière les murs du camping naturiste de ce village.
Sophie, la patronne du camp me reçoit dans son plus simple appareil moi qui pour éviter de me présenter avec ma tenue de bonne sœur ai emprunté les vêtements de la jeune fille de Franck.
Cette jeune fille ayant laissé tout tomber lorsqu’un des saisonniers, employé par son père, l’a séduite et enlevée pour la ramener au bled, il était marocain.
Une pute, pardon, une prostituée c’est l’impression que j’ai lorsque je suis face à Sophie, mais c’est mieux que bonne sœur au milieu d’un camping nudiste.

• Franck a oublié de me dire que depuis que tu as passé la porte de notre camping, il y avait deux rousses dans la place.
Depuis que j’ai ouvert avec mon amie, ce sera la première fois que deux filles à la chevelure flamboyante seront ici.

Oui, j’ai oublié de dire après avoir abandonné ma tenue et surtout ma coiffe qui cachait le moindre brin de mes cheveux, que comme Sophie, je suis rousse naturelle.
Elle, sa chevelure tombant sur ses épaules, oui, je suis rousse, mais avec une coupe à la garçonne que nous pratiquons entre nous pour que nos cheveux soient bien cachés.
En abandonnant ma tenue de sœur au garage, j’ai retrouvé la liberté d’avoir ma tête nue avec des cheveux plus cours que ceux que j’avais avant de rentrer au service de Dieu et de Thérèse de Lisieux.
Sans pour autant voir mon double, Sophie est un peu plus, je dirais charpentée que moi car elle me rend presque dix centimètres.
J’ai surtout la chance d’avoir tout pris des gènes de maman, longiligne alors qu’à ce que du peu que j’en ai appris, mon géniteur était pilier de rugby.
L’association de la carpe et du lapin ou c’est tout comme.

• Marie, il y a un problème, entre le temps où j’ai eu Franck au téléphone, le bungalow que je croyais libre et que je vous avais réservé ne l’était pas.
Les personnes qui avaient réservé, sont arrivées, ce n’était pas eux qui avaient appelé pour annuler la réservation et ils étaient dans les délais.
Ils m’ont demandé si j’avais un message d’annulation, ce que je n’avais pas, ça s’était fait, comme avec toi, par téléphone.
Pardon de t’avoir tutoyé, ce doit être ta belle chevelure de même couleur que la mienne.
• Non, ça ne me gêne pas, de toute façon, j’ai été contente de t’avoir rencontré. Je vais retourner vers le garagiste, il aura peut-être une autre solution à me proposer.
• Tout doux ma belle, moi aussi j’ai réfléchi à la situation.
Dans le bungalow 23, j’ai un vieux pervers qui matte tout ce qui bouge, je vais lui demandé de te prendre avec lui, il aime regarder, mais n’est pas dangereux.
Non, attend, je t’ai fait la blague que nous faisons avec toute mon équipe lorsque de nouveaux clients viennent pour la première fois au camping de la Montagne bleu.
Nous leur faisons le coup du vieux pervers qui serait dans le bungalow voisin de celui qu’ils ont réservé.
Certains demandent à repartir ou à changer de place dans le camping.
Nous avons bien un vieux monsieur naturiste, vivant là à l’année qui serait bien incapable de faire du mal à qui que ce soit.
Je vois que tu es sur des charbons ardents, je comprends lorsque l’on se retrouve au bout du monde, sans logement pour la nuit.
Voilà la solution que je te propose.

C’est à l’arrière de la réception où je me trouve que la solution que Sophie me propose se trouve.
Dans son propre logement, il y a un lit à deux places dans la chambre.
Le bungalow où elle vit, est prévu pour un couple.
Ça l’a été pendant deux ans, ou elle a ouvert avec Gladys sa copine.
Je sors de mon couvent et l’on peut dire que je n’ai pas compris que Sophie et Gladys était un vrai couple qui dormait dans le même lit.
J’aurais pu le deviner, au carmel, il n’est pas rare que des sœurs viennent discrètement la nuit dans la cellule d’une autre none.
Il y a des curés pédophiles, je suis souvent retirée du monde, mais je sais que deux jeunes femmes partageant discrètement le même lit sont des lesbiennes, d’autres diront des gouines.
C’est le mot « discrètement » qui fait la différence entre une amie, venant voir une amie ou une gouine venant rencontrer une autre gouine.

• Je vois que tu es mariée, à ton alliance !

Le piège, surtout avec ma tenue, il est hors de question que je sois nue, même si je suis assez tolérante des choses de la vie.
Alors moi qui suis la franchise même, je me prends à inventer un mari que j’ai quitté sans avoir le courage d’enlever mon alliance.
Rapidement dès notre première soirée je vois Sophie, mais je ne vois plus la nudité de Sophie, même la touffe rousse de sa chatte.

• Tu viens avec moi avant d’aller diner au restaurant, mon chef comme chaque soir a dû me préparer un bon petit plat, je prends la voiture électrique devant la réception et je fais le tour du camping.
J’ai une faim de loup, tu ne vas pas me laisser diner seule et j’aimerais te faire voir les lieux où tu vas vivre avant, hélas, de nous quitter ?

J’aurais dû me méfier du « hélas, » mais c’est là que les choses ont dérapé.

• Marie, je vais te proposer quelque chose, je comprends que la nudité peut être dérangeante.
Moi-même lorsque nous avons ouvert avec Gladys nous avions été les seules à accepter de venir gérer ce camping, j’étais du pays, Franck te l’a certainement dit.
Être nue, j’en faisais tout un fromage, mais en moins de 24 heures, j’ai oublié ce fait.
Gladys m’y a bien aidé, elle était un peu exhibitionniste et vivre auprès de moi comme le jour de sa naissance, ne l’indisposait pas le moins du monde.
Je te propose quelque chose avant de partir faire ma tournée et au retour fermer la réception jusqu’à 8 heures demain matin.
Nous sommes des femmes et tu sais que chaque 28 jours les femmes sont indisposées.
Si cela arrive pendant leur séjour, elles peuvent porter un bas de maillot, restant les seins à l’air, jusqu’à ce que la nature leur rende leur liberté.
Enlève ton débardeur, je vois bien les fraises de tes seins.
Je vais te prêter un bas de maillot si tu n’en as pas, tu es environ de la même taille que Gladys qui a laissé quelques affaires lorsqu’elle m’a quitté.

Voilà comment parti dans un mensonge, enfin au moins un non-dit, je me vois obligée à ôter ma tenue, apparaitre avec ma simple culotte intime.
Dans la chambre de la fille de Franck, il m’a laissé, seule, choisir des affaires.
Rapidement culotte cachée, ça allait, même si la jupe mini était limite, mais mon soutien-gorge il m’était impossible de le garder.
C’est pour cela que l’on voyait mes fraises assez développées sur mes mamelons en forme de poires.
Le plus dur ayant mis le bas d’un maillot, c’est le moment où je dois passer la porte de la réception, les seins à l’air,
Un instant je croise mes bras pour les cacher, ce qui est encore plus bizarre et risque que Sophie se pose des questions, m’obligeant à me dévoiler.
Par chance, l’heure avançant et celle de l’apéro étant venue, la place où les clients jouaient au volley est vide, je monte dans la voiture me permettant un peu de me cacher.

• Bonsoir Sophie, ça doit faire du bien d’avoir terminé ta journée.
Je vois que tu as une amie avec toi, on ne se verra certainement pas ce soir !
• Tu es gentille Valériane, salut tes parents pour moi.

La jolie blonde, qui vient de nous croiser, aussi nue que l’on peut l’être dans un camp naturiste, alors que nous nous dirigeons vers la piscine et le restaurant.
Sophie arrête la voiture et s’adresse à cette valériane.
Pourquoi, mes yeux se portent sur la chatte de cette jeune femme, moi qui à ce jour, ne s’est jamais inquiété de ma sexualité ?
17 ou 18 ans, Gladys, Valériane, je commence à me demander si du côté de Sophie il n’y aurait pas aussi des non-dits.
Sophie, une nouvelle fois arrête la voiture.

• Je vais prévenir Lionnel qu’il fasse mettre un couvert de plus à ma table ce soir, je pense que comme moi tu dois commencer à avoir faim.

C’est vrai, les événements se sont précipités pour une none sortant rarement aussi longtemps de son carmel.
Qui aurait pu dire lorsque j’ai tourné la clef de contact de ma Pétrolette, comme me l’a dit Franck ce matin voyant ma voiture au bord de la route.
Que ce soir, je mangerais les seins à l’air dans un camping naturiste…