COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (3/3)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (3/3)
(Un chapitre de plus, deux « rousses, » présentent sur le même camping naturiste, ça crédibilise la création de cette collection, « Les Rousses. »
Et dans le chapitre III que va-t-il arriver ?)
« Service de dépannage, que puis-je pour vous ? »
Ce sont bien les mots que j’ai prononcé après avoir appelée la mère supérieure du couvent de Lisieux dédié à Sainte Thérèse, lorsqu’une panne de voiture est survenue.
Nous avons vu les difficultés que cette panne à entrainer pour trouver un lieu de résidence dans ce trou perdu de France.
Je savais le centre de la France, mal desservi, mais comme j’ai peu de moyens, j’ai été contrainte à prendre de petites départementales afin d’éviter les autoroutes à péage.
Résultat, une voiture au garage pour une durée indéterminée et ébergement dans un lieu que certains diraient de perdition pour une femme d’église plus habituer à entendre des chants et des prières religieuses que de voir les culs de ses congénères.
Dès que j’ai franchi la porte isolant les adeptes du naturisme, la première chose que je vois ce sont des bites et des chattes tous les clients de ce camping vivant nus.
Des blondes, des brunes, des rousses, je parle là des chattes de ces dames ainsi que longue, grosse ou caché dans les poils de leur pubis, ce sont les verges de ces messieurs.
Il y a même des enfants, certains tout de même ont des sous-vêtements, je pense que l’âge venant ces gosses, imiteront leurs parents et laisseront tomber leur cache sexe.
Pour ma part, étant parti sur un mensonge, je devrais plutôt dire une omission, ayant tu à Sophie, gérante de ce camping que je suis une fille de Dieu.
Je me trouve contrainte de continuer à jouer le jeu pour pouvoir avoir un endroit pour passer mes nuits.
Bien sûr si je l’avais fait ça, j’aurais été comme un éléphant dans un magasin de porcelaine et me promener dans le camp avec ma tenue aurait pu paraitre bizarre aux autres naturistes.
Son lit, à deux places, son lit, qu’il me semble, si j’ai bien compris, elle le partageait avec une certaine Gladys.
Cette dénommée Gladys l’aurait laissée seule à s’occuper des bungalows et des emplacements où les clients viennent planter leurs tentes et pratiquer leur passion pour la nudité.
Arrêt au restaurant près de la piscine, Sophie aussi rousse que je suis rousse descend et alors que j’étais bien dans la voiture même si elle est sans porte, je suis contrainte de descendre.
Lorsque je suis sortie de la réception, avec comme seul vêtement une culotte de maillots de bain ayant appartenu à Gladys, j’ai caché mes seins que j’avais dénudés pour faire couleur locale.
J’ai la chance d’avoir de beaux seins et surtout une grosse fraise sur des mamelons très ferme.
• Lionnel, je te présente Marie, je l’héberge quelques jours, que nous as-tu fait à manger pour ce soir, nous faisons notre tour du camping et nous serons là le plus rapidement possible.
• Sophie, as-tu des nouvelles de Gladys, t’a-t-elle envoyé un SMS, elle va bien finir par accepter ce que tu lui as proposé !
Je suis entièrement larguée ces deux-là, semble connaitre la situation de Gladys et il serait déplacé que je pose des questions maltapropos.
Lionnel est nu, comme tous les gens du camp, à un détail près lorsque nous sommes entrées dans sa cuisine.
Il porte un tablier qui lui protège ce qu’il risquerait de brûler en cas de projection de matière chaude.
Pourquoi est-ce que je pense à cette partie de son anatomie ?
Je suis none, mariée avec le fils de Dieu, mais je dois reconnaitre que lorsque nos regards se croisent, j’ai pour la première fois mon intimité qui me rappelle qu’elle existe ?
Chastetés, avant que j’entre au couvent, j’avais des petites pulsions qui me venaient, mais la pratique de la prière m’ont aidé à chasser ces moments irrespectueux pour mon mari du ciel.
J’aurais dit à Sophie et même je serais venue avec ma longue robe grise, tous sauraient que je suis une femme d’église et bien des situations de plus en plus ambigus seraient levées.
Le très haut qui gère toute notre vie m’envoie une épreuve qu’il me faut surmonter comme j’ai réussi à le faire depuis que j’ai prononcé mes vœux et pris définitivement le voile.
De plus après quelques secondes auprès de ce garçon, je serais madame tout le monde, je dirais beau gosse, très beau gosse.
Ses bras qui sont la plus grande part de ce que je vois de lui, ressemblent plus au diamètre de mes cuisses que de mes propres bras.
Certes, je suis none !
Je dirais sans équivalent concernant l’anatomie masculine, mais je prends les paris que dans un rayon, que nous dirons celui du camp, le restaurant étant en son centre, ce garçon doit être le plus baraqué de tous.
• Mesdames, pour ce soir, avec mon équipe, je vous ai concocté une quiche lorraine végétarienne.
• Marie, c’est moi qui ai demandé de faire pendant une semaine un plat sans porc.
Un de nos clients est de religion musulmane et comme il est pratiquant, nous avons dû nous adapter.
Un musulman adepte du naturisme, c’est bizarre, mais il faut de tout dans le monde actuel.
• En deuxième plat et je vous les recommande, j’ai pu avoir des noix de Saint-Jacques, je les cuisine à la normande, vous verrez c’est un régal.
Pour préparer les noix de Saint-Jacques à la normande, je commence par les poêler délicatement dans un peu de beurre de Normandie, jusqu’à ce qu’elles soient dorées.
Ensuite, je réalise une sauce crémeuse à base de crème fraîche épaisse, d’échalotes finement hachées.
J’y ajoute un soupçon de vin blanc et une pincée de noix de muscade.
Je laisse mijoter le tout jusqu’à ce que les arômes se mélangent harmonieusement.
Juste avant de servir, j’ajoute une touche de persil frais ciselé pour relever le goût et apporter une note de fraîcheur.
Ce plat, accompagné d’un riz parfumé ou de légumes vapeur, est une invitation aux saveurs normandes et saura séduire vos papilles, belles dames, surtout vous belle Marie.
(Comme je l’ai déjà dit, jouant la franchise, c’est avec l’intelligence artificielle, (I.a) nouvelle dans Word, que j’ai récupéré la recette de ces coquilles Saint-Jacques sans trop de fatigue.)
Il est vrai que depuis que je suis là, personne même Sophie ne m’a demandé d’où je venais, j’ai simplement dit que je m’occupais de la comptabilité et des approvisionnements à Lisieux pour la communauté.
Des noix de Saint-Jacques, j’aurais bien voulu en manger, j’adore le poisson ou les fruits de mer.
Le dimanche, il m’est arrivé de commander par mon travail d’approvisionneuse des bulots et des bigorneaux, toutes nos sœurs savaient apprécier, aux moindres frais.
Mais je sais qu’en moyenne on les trouve à 40 € le kilo, bien trop onéreux pour la bourse du couvent.
Je sais ce que je vais manger ce soir.
Sœur Armandine, notre cuisinière aime à nous préparer une soupe de légumes et un fuit de notre verger en dessert que nous mangeons en écoutant des prières lues par l’une de nos soeurs.
• Bon je vous attends, je mettrais un couvert de plus à ta table Sophie, je pense Sophie que ton invité sera sur le compte du camping !
• Il va sans dire, je l’héberge, tu nous nourris et tout sera pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Pêcher de gourmandise, coquille Saint-Jacques pour moi ce soir.
À cette simple évocation, la bave me vient au bord des lèvres, pour éviter de dire au bord d’une autre partie de mon anatomie.
C’est drôle la nudité de mes seins semble me poser bien moins de problème que lorsque nous sommes entrés au restaurant.
À cour terme, tout ayant une fin, F.I.N et non F.A.I.M, nous reprenons la voiture et continuons notre périple.
Sans être petit, le camping est déjà assez conséquent, Sophie ralenti chaque fois que devant un bungalow se trouvent des estivants tous plus nus les uns que les autres.
Ce qui me rassure dans le naturisme, que je découvre, c’est que se réunissent des personnes de toutes conditions.
Attention, lorsque je dis toutes conditions, pas sur le plan matériel, même si souvent la marque et la puissance des voitures qui sont sur le côté des bungalows ou des tentes nous pouvons remarquer de grosses différences.
Non, je parle du physique.
Devant l’un d’eux, un groupe de personnes, certains faisaient partie des volleyeurs lorsque je suis arrivée,
Je reconnais même Valériane à la toison blonde, celle qui semblait vouloir prendre rendez-vous avec Sophie, mais qui semble avoir renoncé en m’apercevant.
Si Valériane avait fait partie de certaines nones de notre couvent, aurait-elle fait partie des visiteuses du soir comme le dit sœur Emmanuelle, l’une des doyennes de notre congrégation.
Je suis du mauvais côté, mais je vois bien Sophie répondre à son petit geste de la jeune fille.
À ses côtés, un couple de personnes âgées, du moins un homme et une femme, elle les seins comme des escalopes pendantes et lui un ventre ou un baril de whisky anglais pourrait tenir.
Deux autres couples, d’âges plus jeunes, aurais-je pensé un jour voire tous ces gens, les quéquettes et les vagins à l’air, boire tranquillement un verre de pastis ou tout autre boisson pour l’apéro.
Ce que je constate, c’est aussi le nombre d’emplacement entre les tentes ou est garé des camping-cars.
J’en ai croisé et suivi, les doubler avec ma trottinette antédiluvienne aurait été impossible de Lisieux jusqu’à, sans le dire, surtout dans la bouche d’une bonne sœur, je nommerais, le troue du cul du monde.
• Tu vois, Marie, avant son départ, avec Gladys, nous avions pour projet, de séparer les tentes, les camping-cars, les bungalows, il est impossible de les bouger, ils sont posés sur des dalles de béton.
Quatre-vingt-dix pourcents, environ des camping-cars sont la propriété de gens âgés même s’ils sont naturistes.
Les tentes des jeunes pensants plus à faire la fête une bonne partie de la nuit, quelquefois ça cré des conflits que je dois gérer seule.
Disant ces mots, Sophie lâche le volant, celle du levier des vitesses sur ma poubelle et me la pose sur ma cuisse dénudée.
Quelques fractions de seconde, cette main semble me brûler.
Mon Dieu, qu’il est dur de dire qu’elle me fait mouiller.
• Bien, on a fait le tour, allons manger, rejoignons Lionnel qui doit nous attendre.
Non, certes rejoignons Lionnel, mais surtout les coquilles Saint-Jacques à la normande.
Inutile que je demande à l’intelligence artificielle de me redonner la recette…
Et dans le chapitre III que va-t-il arriver ?)
« Service de dépannage, que puis-je pour vous ? »
Ce sont bien les mots que j’ai prononcé après avoir appelée la mère supérieure du couvent de Lisieux dédié à Sainte Thérèse, lorsqu’une panne de voiture est survenue.
Nous avons vu les difficultés que cette panne à entrainer pour trouver un lieu de résidence dans ce trou perdu de France.
Je savais le centre de la France, mal desservi, mais comme j’ai peu de moyens, j’ai été contrainte à prendre de petites départementales afin d’éviter les autoroutes à péage.
Résultat, une voiture au garage pour une durée indéterminée et ébergement dans un lieu que certains diraient de perdition pour une femme d’église plus habituer à entendre des chants et des prières religieuses que de voir les culs de ses congénères.
Dès que j’ai franchi la porte isolant les adeptes du naturisme, la première chose que je vois ce sont des bites et des chattes tous les clients de ce camping vivant nus.
Des blondes, des brunes, des rousses, je parle là des chattes de ces dames ainsi que longue, grosse ou caché dans les poils de leur pubis, ce sont les verges de ces messieurs.
Il y a même des enfants, certains tout de même ont des sous-vêtements, je pense que l’âge venant ces gosses, imiteront leurs parents et laisseront tomber leur cache sexe.
Pour ma part, étant parti sur un mensonge, je devrais plutôt dire une omission, ayant tu à Sophie, gérante de ce camping que je suis une fille de Dieu.
Je me trouve contrainte de continuer à jouer le jeu pour pouvoir avoir un endroit pour passer mes nuits.
Bien sûr si je l’avais fait ça, j’aurais été comme un éléphant dans un magasin de porcelaine et me promener dans le camp avec ma tenue aurait pu paraitre bizarre aux autres naturistes.
Son lit, à deux places, son lit, qu’il me semble, si j’ai bien compris, elle le partageait avec une certaine Gladys.
Cette dénommée Gladys l’aurait laissée seule à s’occuper des bungalows et des emplacements où les clients viennent planter leurs tentes et pratiquer leur passion pour la nudité.
Arrêt au restaurant près de la piscine, Sophie aussi rousse que je suis rousse descend et alors que j’étais bien dans la voiture même si elle est sans porte, je suis contrainte de descendre.
Lorsque je suis sortie de la réception, avec comme seul vêtement une culotte de maillots de bain ayant appartenu à Gladys, j’ai caché mes seins que j’avais dénudés pour faire couleur locale.
J’ai la chance d’avoir de beaux seins et surtout une grosse fraise sur des mamelons très ferme.
• Lionnel, je te présente Marie, je l’héberge quelques jours, que nous as-tu fait à manger pour ce soir, nous faisons notre tour du camping et nous serons là le plus rapidement possible.
• Sophie, as-tu des nouvelles de Gladys, t’a-t-elle envoyé un SMS, elle va bien finir par accepter ce que tu lui as proposé !
Je suis entièrement larguée ces deux-là, semble connaitre la situation de Gladys et il serait déplacé que je pose des questions maltapropos.
Lionnel est nu, comme tous les gens du camp, à un détail près lorsque nous sommes entrées dans sa cuisine.
Il porte un tablier qui lui protège ce qu’il risquerait de brûler en cas de projection de matière chaude.
Pourquoi est-ce que je pense à cette partie de son anatomie ?
Je suis none, mariée avec le fils de Dieu, mais je dois reconnaitre que lorsque nos regards se croisent, j’ai pour la première fois mon intimité qui me rappelle qu’elle existe ?
Chastetés, avant que j’entre au couvent, j’avais des petites pulsions qui me venaient, mais la pratique de la prière m’ont aidé à chasser ces moments irrespectueux pour mon mari du ciel.
J’aurais dit à Sophie et même je serais venue avec ma longue robe grise, tous sauraient que je suis une femme d’église et bien des situations de plus en plus ambigus seraient levées.
Le très haut qui gère toute notre vie m’envoie une épreuve qu’il me faut surmonter comme j’ai réussi à le faire depuis que j’ai prononcé mes vœux et pris définitivement le voile.
De plus après quelques secondes auprès de ce garçon, je serais madame tout le monde, je dirais beau gosse, très beau gosse.
Ses bras qui sont la plus grande part de ce que je vois de lui, ressemblent plus au diamètre de mes cuisses que de mes propres bras.
Certes, je suis none !
Je dirais sans équivalent concernant l’anatomie masculine, mais je prends les paris que dans un rayon, que nous dirons celui du camp, le restaurant étant en son centre, ce garçon doit être le plus baraqué de tous.
• Mesdames, pour ce soir, avec mon équipe, je vous ai concocté une quiche lorraine végétarienne.
• Marie, c’est moi qui ai demandé de faire pendant une semaine un plat sans porc.
Un de nos clients est de religion musulmane et comme il est pratiquant, nous avons dû nous adapter.
Un musulman adepte du naturisme, c’est bizarre, mais il faut de tout dans le monde actuel.
• En deuxième plat et je vous les recommande, j’ai pu avoir des noix de Saint-Jacques, je les cuisine à la normande, vous verrez c’est un régal.
Pour préparer les noix de Saint-Jacques à la normande, je commence par les poêler délicatement dans un peu de beurre de Normandie, jusqu’à ce qu’elles soient dorées.
Ensuite, je réalise une sauce crémeuse à base de crème fraîche épaisse, d’échalotes finement hachées.
J’y ajoute un soupçon de vin blanc et une pincée de noix de muscade.
Je laisse mijoter le tout jusqu’à ce que les arômes se mélangent harmonieusement.
Juste avant de servir, j’ajoute une touche de persil frais ciselé pour relever le goût et apporter une note de fraîcheur.
Ce plat, accompagné d’un riz parfumé ou de légumes vapeur, est une invitation aux saveurs normandes et saura séduire vos papilles, belles dames, surtout vous belle Marie.
(Comme je l’ai déjà dit, jouant la franchise, c’est avec l’intelligence artificielle, (I.a) nouvelle dans Word, que j’ai récupéré la recette de ces coquilles Saint-Jacques sans trop de fatigue.)
Il est vrai que depuis que je suis là, personne même Sophie ne m’a demandé d’où je venais, j’ai simplement dit que je m’occupais de la comptabilité et des approvisionnements à Lisieux pour la communauté.
Des noix de Saint-Jacques, j’aurais bien voulu en manger, j’adore le poisson ou les fruits de mer.
Le dimanche, il m’est arrivé de commander par mon travail d’approvisionneuse des bulots et des bigorneaux, toutes nos sœurs savaient apprécier, aux moindres frais.
Mais je sais qu’en moyenne on les trouve à 40 € le kilo, bien trop onéreux pour la bourse du couvent.
Je sais ce que je vais manger ce soir.
Sœur Armandine, notre cuisinière aime à nous préparer une soupe de légumes et un fuit de notre verger en dessert que nous mangeons en écoutant des prières lues par l’une de nos soeurs.
• Bon je vous attends, je mettrais un couvert de plus à ta table Sophie, je pense Sophie que ton invité sera sur le compte du camping !
• Il va sans dire, je l’héberge, tu nous nourris et tout sera pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Pêcher de gourmandise, coquille Saint-Jacques pour moi ce soir.
À cette simple évocation, la bave me vient au bord des lèvres, pour éviter de dire au bord d’une autre partie de mon anatomie.
C’est drôle la nudité de mes seins semble me poser bien moins de problème que lorsque nous sommes entrés au restaurant.
À cour terme, tout ayant une fin, F.I.N et non F.A.I.M, nous reprenons la voiture et continuons notre périple.
Sans être petit, le camping est déjà assez conséquent, Sophie ralenti chaque fois que devant un bungalow se trouvent des estivants tous plus nus les uns que les autres.
Ce qui me rassure dans le naturisme, que je découvre, c’est que se réunissent des personnes de toutes conditions.
Attention, lorsque je dis toutes conditions, pas sur le plan matériel, même si souvent la marque et la puissance des voitures qui sont sur le côté des bungalows ou des tentes nous pouvons remarquer de grosses différences.
Non, je parle du physique.
Devant l’un d’eux, un groupe de personnes, certains faisaient partie des volleyeurs lorsque je suis arrivée,
Je reconnais même Valériane à la toison blonde, celle qui semblait vouloir prendre rendez-vous avec Sophie, mais qui semble avoir renoncé en m’apercevant.
Si Valériane avait fait partie de certaines nones de notre couvent, aurait-elle fait partie des visiteuses du soir comme le dit sœur Emmanuelle, l’une des doyennes de notre congrégation.
Je suis du mauvais côté, mais je vois bien Sophie répondre à son petit geste de la jeune fille.
À ses côtés, un couple de personnes âgées, du moins un homme et une femme, elle les seins comme des escalopes pendantes et lui un ventre ou un baril de whisky anglais pourrait tenir.
Deux autres couples, d’âges plus jeunes, aurais-je pensé un jour voire tous ces gens, les quéquettes et les vagins à l’air, boire tranquillement un verre de pastis ou tout autre boisson pour l’apéro.
Ce que je constate, c’est aussi le nombre d’emplacement entre les tentes ou est garé des camping-cars.
J’en ai croisé et suivi, les doubler avec ma trottinette antédiluvienne aurait été impossible de Lisieux jusqu’à, sans le dire, surtout dans la bouche d’une bonne sœur, je nommerais, le troue du cul du monde.
• Tu vois, Marie, avant son départ, avec Gladys, nous avions pour projet, de séparer les tentes, les camping-cars, les bungalows, il est impossible de les bouger, ils sont posés sur des dalles de béton.
Quatre-vingt-dix pourcents, environ des camping-cars sont la propriété de gens âgés même s’ils sont naturistes.
Les tentes des jeunes pensants plus à faire la fête une bonne partie de la nuit, quelquefois ça cré des conflits que je dois gérer seule.
Disant ces mots, Sophie lâche le volant, celle du levier des vitesses sur ma poubelle et me la pose sur ma cuisse dénudée.
Quelques fractions de seconde, cette main semble me brûler.
Mon Dieu, qu’il est dur de dire qu’elle me fait mouiller.
• Bien, on a fait le tour, allons manger, rejoignons Lionnel qui doit nous attendre.
Non, certes rejoignons Lionnel, mais surtout les coquilles Saint-Jacques à la normande.
Inutile que je demande à l’intelligence artificielle de me redonner la recette…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Nion soyez sans crainte, j'ai publier 3 chapitres alors que je suis en train de finir l'histoire 32 chapitres diffusés 3 par trois, j'aurais du mieux le préciser.
Daniel tu vas pouvoir continuer à t'amuser les chapitres se terminant par trois petits points on toujours une suite...
Daniel tu vas pouvoir continuer à t'amuser les chapitres se terminant par trois petits points on toujours une suite...
Très beau texte dommage que la saga soit finie j’aurai bien aimé une suite
Daniel
Daniel
Fond et forme mal écrits.

