COLLECTION LESBIENNES. Lesbienne et dominée (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LESBIENNES. Lesbienne et dominée (1/1)
• Entre, mais tu sais à quoi tu dois t’attendre !
• Oui, maitresse Jade, j’ai longtemps hésité, mais je sais que c’est près de vous, maîtresse, que je trouverais l’assouvissement de mes plus bas instincts !
• Tu sais ce que tu dois faire, comme je te l’ai dit lorsque tu as refusé d’être ma soumise la première fois où j’ai compris ton envie d’être une femme attachée à toutes mes volontés !
Véronique, ma soumise, a enfin décidé de se soumettre à la femme que je suis, face cachée de ma personnalité.
• Oui, c’est bien, suce bien mes chaussures, je les veux le plus propre possible, sinon il t’en cuira.
• Oh ! Maîtresse Jade, je vais faire ça bien, mais si vous jugez que je dois être punie, faite de moi ce que vous voulez !
Véronique est entrée laissant son imper sous lequel, elle porte les signes de la femme soumise qu’elle ait.
De simples lanières de cuir, constituent le vêtement que je lui ai fait livré lorsque j’ai accepté de la soumettre à ma seule volonté.
De mon talon aiguille, je la fais rouler au sol.
Elle tombe sur le dos, je vois sa chatte blonde, dont je rêve depuis que j’ai compris qu’elle serait prête à se livrer à moi.
Ma chaussure s’avance, vers l’un de ses seins, sans la moindre hésitation, j’appuie sur sa fraise, sans pour autant la blesser.
• Maîtresse, vous croyez me punir, mais c’est tout le contraire, c’est un plaisir de souffrir, si cela vous rend heureuse !
• Tait toi, tu me saoules, retourne-toi et avance à quatre pattes jusque dans ma pièce où t’attendent de nombreux joujoux, qui vont faire de toi la plus belle des soumises et aussi la plus belle des salopes !
• Une salope, maîtresse, oui je suis une salope, votre salope et chaque fois que je viendrais vers vous, les sévices que vous me ferez supporter seront autant de moments de bonheur pour moi.
Je fais entrer Véronique dans la pièce que certains appellent un donjon, lieu où les maîtresses mettent au pas leur soumise.
• Relève-toi et sur ce mur, choisit le collier de chien que tu souhaites porter à toute heure du jour et de la nuit.
Lorsque tu l’auras choisi, je le riverais à ton cou et cela sellera notre attachement à moi, ta maîtresse et à toi, ma soumise.
• Ce collier, c’est ce qui m’a fait hésiter pendant quelques jours, mais l’envie d’être dominée par vous a été la plus forte.
Je suis votre obligée tout le temps que vous voudrez bien de moi.
• Tu as raison, Véronique, si tu n’es pas une soumise à ma hauteur, je te jetterais comme une vulgaire serpillière.
Tu iras ailleurs pour avoir du plaisir dans la souffrance que je vais t’apporter ou dans les bras d’une autre !
• Ce rouge, Maîtresse Jade, c’est celui que je veux !
• Tu as raison, c’est celui qui ira le mieux avec ta chevelure blonde.
Approche ton cou, qu’avec ce petit outil, je te le fixe définitivement.
Du moins le temps où je trouverais que je m’amuse avec toi.
Si tu deviens ennuyeuse, je ferai de toi de la pâtée pour chiens.
Voilà, c’est fait, as-tu eu le temps de voir qu’à l’intérieur, j’ai fait graver « Maîtresse Jade et Véronique sa soumise ».
J’ai failli écrire ces mots à l’extérieur, mais certains moments de notre vie, font que je les ai gravés à l’intérieur.
Dans mon donjon, j’ai un fauteuil dans lequel je viens m’asseoir les jambes bien écartées.
Je suis aussi brune que Véronique est blonde.
• Fais-moi voir comment tu satisfais ta maîtresse.
J’aime les bonnes lesbiennes, comme j’ai le sentiment, dès que je t’ai vue, que tu l’es !
• Oui maîtresse, je vais vous montrer.
Aie, pourquoi me frappez-vous avec votre cravache, je voulais vous montrer ma docilité.
• Ta docilité, mais comment as-tu dit, maîtresse ?
• Oh ! pardon, j’aurais dû dire maîtresse Jade.
• Voilà une manière qui me plait, montre-moi comment ta langue est agile.
Véronique se glisse jusqu’à moi les fesses bien rouges de ces coups de cravache que je lui assène sans ménager mon bras.
Sa langue sort de sa bouche et ses mains écartent mes grandes lèvres, dégageant mon clitoris.
Ce que je pressentais s’est révélé exact, Véronique sait s’y faire pour satisfaire la lesbienne que je suis moi-même.
Maîtresse Jade, mais à mes moments perdus, Jade qui aime qu’une salope comme Véronique me broute jusqu’à me faire jouir.
• Continue, met là bien au fond.
Attends, je relève mes jambes pour mieux dégager ma rosette.
Avant que tu sonnes à ma porte, désirant être ma soumise, j’étais dans mon lieu d’aisance.
Je n’ai pas eu le temps de me nettoyer bien proprement et profondément, fait le !
Véronique suit mon conseil, je sens sa langue venir nettoyer bien au fond mon cul entrainant un début de jouissance.
Je suis très sensible de l’anus, j’aime cette sensation d’une râpe passante dessus, Véronique n’échappe pas à la règle, je me tords de plaisir après quelques allées et retours.
• Ouah, passons à autre chose, va chercher un gode sur mon présentoir et amène-moi l’objet qui va te caresser les fesses en remplacement de ma cravache.
Toujours à quatre pattes, Véronique va jusqu’au panneau où j’ai fixé de diverses manières, godes, plugs de toute taille, dont un monstrueux que je me garde bien de placer au fond de mon cul.
Mais pourquoi ne pas l’essayer avec cette soumise qui vient de se livrer à mon bon vouloir ?
Quant à l’engin pour lui caresser les fesses, voire ses seins, elle choisit un chat à neuf queues, véritable pièce de musée appartenant à ma grand-mère, elle-même dominatrice.
Ce donjon, c’est en grande partie sa composition et lorsqu’elle s’est sentie trop âgée, elle m’en a fait profiter, voyant en moi des dispositions.
Mon jeu principal était tourné vers la rudesse envers mes poupées mâles ou femelles.
Mes penchants lesbiens étaient déjà bien marqués, Barbie, ramassait plus que Ken, considéré comme son petit copain.
Parmi ses soumis, il y avait mon père, qu’elle dominait, sans que sa fille le sache.
C’est le premier à qui elle est mise un collier de chien.
Dans mon adolescence, dès que mes seins se sont développés, mes poupées avaient des colliers dessinés avec des feutres de diverses couleurs.
C’est dans sa gueule que Véronique me rapporte mon martinet d’un genre spécial.
Les boules de buis portent encore la marque du sang de mon père lorsqu’elle le flagellait avec.
Pris en main, les cris qu’elle pousse chaque fois que je l’abats sur ses deux mappemondes, me remplissent de joie et de plaisir.
Comme grand-mère Agathe, j’adore faire souffrir celles qui sont volontaires pour que j’assouvisse ma passion de la domination.
Véronique n’échappe pas à la règle, rapidement elle me demande d’arrêter, mais bien sûr, je me garde bien de l’écouter.
Mais une bonne dominatrice doit savoir varier les plaisirs, ses seins m’attirent.
À côté de mon fauteuil, j’ai une boîte dans laquelle je possède quelques engins de torture dont je peux abuser sans avoir à me déplacer.
• Ces jolies pinces crocodiles vont t’aller à merveille soumise.
Tes seins méritent ce genre de décoration et les petites mâchoires, vont t’apporter douleur et plaisir.
Je prends ses seins un à un et sur ses mamelons, je lui pose les pinces.
Je vois la douleur sur son visage, mais elle résiste à la sortie de sons de sa jolie bouche.
Lorsque je lui ai soumis l’idée de lui apporter ce qu’elle était incapable de trouver par elle-même, je lui avais précisé que toute manifestation de ce qu’elle ressentirait, serait une source de grande douleur supplémentaire.
Cette façon de prévenir, me montre le degré d’encaissement de la douleur.
J’ai eu une soumise assez âgée, grand-mère Agathe s’occupait déjà d’elle, hurlait de douleur pour avoir double ration de souffrance.
• Au gode maintenant, je vais te le placer bien au fond de ton vagin, veux-tu que je te défonce avec ?
Je vois que tu en as choisi un plutôt de taille moyenne, mais assez long.
Tient, tu aurais pu en choisir un légèrement plus volumineux, mais tu te sous-estimes, surtout, tu sous-estimes l’élasticité de ta chatte.
Je vais prendre celui-là, qui comme le reste de ce don j'ai besoin pour ton seul plaisir doit être à la mesure de ta grotte.
Je me lève, mais la séance de soumission, la première pour Véronique ma nouvelle soumise arrive à sa fin, dans mon arsenal, je prends un petit objet dont j’aime avoir le contrôle.
Quelques coups de chat à neuf queues principalement sur ses seins faisant sauter les pinces crocos les déchirant au passage, sans ménagement je lui plonge ma bille magique dans la chatte.
• Soumise, cette bille, tu la gardes jusqu’à notre prochaine soirée, mercredi prochain.
Inutile de la retirer pour aller faire tes besoins, tu devras vivre avec même à ton travail.
Je lui place la bille, grosse comme une agate et je laisse partir ma nouvelle soumise, ayant récupéré son imper.
Quelques heures et j’ai ma prochaine soumise, dès demain.
Lundi, c’est l’heure de quitter maîtresse Jade pour redevenir Jade, tout simplement, secrétaire de direction dans la société « Rutabag » qui exporte des objets publicitaires venants de Chine.
• Bonjours madame Véronique, m’avez-vous appelé ?
• Oui jade, j’ai une lettre à vous dicter.
• Avez-vous passé un bon week-end madame Véronique ?
Me permettez-vous de vous dire que votre chemisier avec ce foulard cachant votre cou vous va à merveille.
Vous vous trémoussez sur votre chaise, avez-vous un problème ?
Le petit variateur dont je me sers l’augmentant ou le diminuant à volonté, me permet de contrôler ma soumise même à mon travail.
Eh oui, pour assouvir mes envies, il faut bien que je trouve des soumises !
Ma patronne est devenue l’une d’elles, mais seulement dans mon donjon, avec aussi des moments de rappels de qui je suis grâce à ma petite bille vaginale électronique.
• Oui, maitresse Jade, j’ai longtemps hésité, mais je sais que c’est près de vous, maîtresse, que je trouverais l’assouvissement de mes plus bas instincts !
• Tu sais ce que tu dois faire, comme je te l’ai dit lorsque tu as refusé d’être ma soumise la première fois où j’ai compris ton envie d’être une femme attachée à toutes mes volontés !
Véronique, ma soumise, a enfin décidé de se soumettre à la femme que je suis, face cachée de ma personnalité.
• Oui, c’est bien, suce bien mes chaussures, je les veux le plus propre possible, sinon il t’en cuira.
• Oh ! Maîtresse Jade, je vais faire ça bien, mais si vous jugez que je dois être punie, faite de moi ce que vous voulez !
Véronique est entrée laissant son imper sous lequel, elle porte les signes de la femme soumise qu’elle ait.
De simples lanières de cuir, constituent le vêtement que je lui ai fait livré lorsque j’ai accepté de la soumettre à ma seule volonté.
De mon talon aiguille, je la fais rouler au sol.
Elle tombe sur le dos, je vois sa chatte blonde, dont je rêve depuis que j’ai compris qu’elle serait prête à se livrer à moi.
Ma chaussure s’avance, vers l’un de ses seins, sans la moindre hésitation, j’appuie sur sa fraise, sans pour autant la blesser.
• Maîtresse, vous croyez me punir, mais c’est tout le contraire, c’est un plaisir de souffrir, si cela vous rend heureuse !
• Tait toi, tu me saoules, retourne-toi et avance à quatre pattes jusque dans ma pièce où t’attendent de nombreux joujoux, qui vont faire de toi la plus belle des soumises et aussi la plus belle des salopes !
• Une salope, maîtresse, oui je suis une salope, votre salope et chaque fois que je viendrais vers vous, les sévices que vous me ferez supporter seront autant de moments de bonheur pour moi.
Je fais entrer Véronique dans la pièce que certains appellent un donjon, lieu où les maîtresses mettent au pas leur soumise.
• Relève-toi et sur ce mur, choisit le collier de chien que tu souhaites porter à toute heure du jour et de la nuit.
Lorsque tu l’auras choisi, je le riverais à ton cou et cela sellera notre attachement à moi, ta maîtresse et à toi, ma soumise.
• Ce collier, c’est ce qui m’a fait hésiter pendant quelques jours, mais l’envie d’être dominée par vous a été la plus forte.
Je suis votre obligée tout le temps que vous voudrez bien de moi.
• Tu as raison, Véronique, si tu n’es pas une soumise à ma hauteur, je te jetterais comme une vulgaire serpillière.
Tu iras ailleurs pour avoir du plaisir dans la souffrance que je vais t’apporter ou dans les bras d’une autre !
• Ce rouge, Maîtresse Jade, c’est celui que je veux !
• Tu as raison, c’est celui qui ira le mieux avec ta chevelure blonde.
Approche ton cou, qu’avec ce petit outil, je te le fixe définitivement.
Du moins le temps où je trouverais que je m’amuse avec toi.
Si tu deviens ennuyeuse, je ferai de toi de la pâtée pour chiens.
Voilà, c’est fait, as-tu eu le temps de voir qu’à l’intérieur, j’ai fait graver « Maîtresse Jade et Véronique sa soumise ».
J’ai failli écrire ces mots à l’extérieur, mais certains moments de notre vie, font que je les ai gravés à l’intérieur.
Dans mon donjon, j’ai un fauteuil dans lequel je viens m’asseoir les jambes bien écartées.
Je suis aussi brune que Véronique est blonde.
• Fais-moi voir comment tu satisfais ta maîtresse.
J’aime les bonnes lesbiennes, comme j’ai le sentiment, dès que je t’ai vue, que tu l’es !
• Oui maîtresse, je vais vous montrer.
Aie, pourquoi me frappez-vous avec votre cravache, je voulais vous montrer ma docilité.
• Ta docilité, mais comment as-tu dit, maîtresse ?
• Oh ! pardon, j’aurais dû dire maîtresse Jade.
• Voilà une manière qui me plait, montre-moi comment ta langue est agile.
Véronique se glisse jusqu’à moi les fesses bien rouges de ces coups de cravache que je lui assène sans ménager mon bras.
Sa langue sort de sa bouche et ses mains écartent mes grandes lèvres, dégageant mon clitoris.
Ce que je pressentais s’est révélé exact, Véronique sait s’y faire pour satisfaire la lesbienne que je suis moi-même.
Maîtresse Jade, mais à mes moments perdus, Jade qui aime qu’une salope comme Véronique me broute jusqu’à me faire jouir.
• Continue, met là bien au fond.
Attends, je relève mes jambes pour mieux dégager ma rosette.
Avant que tu sonnes à ma porte, désirant être ma soumise, j’étais dans mon lieu d’aisance.
Je n’ai pas eu le temps de me nettoyer bien proprement et profondément, fait le !
Véronique suit mon conseil, je sens sa langue venir nettoyer bien au fond mon cul entrainant un début de jouissance.
Je suis très sensible de l’anus, j’aime cette sensation d’une râpe passante dessus, Véronique n’échappe pas à la règle, je me tords de plaisir après quelques allées et retours.
• Ouah, passons à autre chose, va chercher un gode sur mon présentoir et amène-moi l’objet qui va te caresser les fesses en remplacement de ma cravache.
Toujours à quatre pattes, Véronique va jusqu’au panneau où j’ai fixé de diverses manières, godes, plugs de toute taille, dont un monstrueux que je me garde bien de placer au fond de mon cul.
Mais pourquoi ne pas l’essayer avec cette soumise qui vient de se livrer à mon bon vouloir ?
Quant à l’engin pour lui caresser les fesses, voire ses seins, elle choisit un chat à neuf queues, véritable pièce de musée appartenant à ma grand-mère, elle-même dominatrice.
Ce donjon, c’est en grande partie sa composition et lorsqu’elle s’est sentie trop âgée, elle m’en a fait profiter, voyant en moi des dispositions.
Mon jeu principal était tourné vers la rudesse envers mes poupées mâles ou femelles.
Mes penchants lesbiens étaient déjà bien marqués, Barbie, ramassait plus que Ken, considéré comme son petit copain.
Parmi ses soumis, il y avait mon père, qu’elle dominait, sans que sa fille le sache.
C’est le premier à qui elle est mise un collier de chien.
Dans mon adolescence, dès que mes seins se sont développés, mes poupées avaient des colliers dessinés avec des feutres de diverses couleurs.
C’est dans sa gueule que Véronique me rapporte mon martinet d’un genre spécial.
Les boules de buis portent encore la marque du sang de mon père lorsqu’elle le flagellait avec.
Pris en main, les cris qu’elle pousse chaque fois que je l’abats sur ses deux mappemondes, me remplissent de joie et de plaisir.
Comme grand-mère Agathe, j’adore faire souffrir celles qui sont volontaires pour que j’assouvisse ma passion de la domination.
Véronique n’échappe pas à la règle, rapidement elle me demande d’arrêter, mais bien sûr, je me garde bien de l’écouter.
Mais une bonne dominatrice doit savoir varier les plaisirs, ses seins m’attirent.
À côté de mon fauteuil, j’ai une boîte dans laquelle je possède quelques engins de torture dont je peux abuser sans avoir à me déplacer.
• Ces jolies pinces crocodiles vont t’aller à merveille soumise.
Tes seins méritent ce genre de décoration et les petites mâchoires, vont t’apporter douleur et plaisir.
Je prends ses seins un à un et sur ses mamelons, je lui pose les pinces.
Je vois la douleur sur son visage, mais elle résiste à la sortie de sons de sa jolie bouche.
Lorsque je lui ai soumis l’idée de lui apporter ce qu’elle était incapable de trouver par elle-même, je lui avais précisé que toute manifestation de ce qu’elle ressentirait, serait une source de grande douleur supplémentaire.
Cette façon de prévenir, me montre le degré d’encaissement de la douleur.
J’ai eu une soumise assez âgée, grand-mère Agathe s’occupait déjà d’elle, hurlait de douleur pour avoir double ration de souffrance.
• Au gode maintenant, je vais te le placer bien au fond de ton vagin, veux-tu que je te défonce avec ?
Je vois que tu en as choisi un plutôt de taille moyenne, mais assez long.
Tient, tu aurais pu en choisir un légèrement plus volumineux, mais tu te sous-estimes, surtout, tu sous-estimes l’élasticité de ta chatte.
Je vais prendre celui-là, qui comme le reste de ce don j'ai besoin pour ton seul plaisir doit être à la mesure de ta grotte.
Je me lève, mais la séance de soumission, la première pour Véronique ma nouvelle soumise arrive à sa fin, dans mon arsenal, je prends un petit objet dont j’aime avoir le contrôle.
Quelques coups de chat à neuf queues principalement sur ses seins faisant sauter les pinces crocos les déchirant au passage, sans ménagement je lui plonge ma bille magique dans la chatte.
• Soumise, cette bille, tu la gardes jusqu’à notre prochaine soirée, mercredi prochain.
Inutile de la retirer pour aller faire tes besoins, tu devras vivre avec même à ton travail.
Je lui place la bille, grosse comme une agate et je laisse partir ma nouvelle soumise, ayant récupéré son imper.
Quelques heures et j’ai ma prochaine soumise, dès demain.
Lundi, c’est l’heure de quitter maîtresse Jade pour redevenir Jade, tout simplement, secrétaire de direction dans la société « Rutabag » qui exporte des objets publicitaires venants de Chine.
• Bonjours madame Véronique, m’avez-vous appelé ?
• Oui jade, j’ai une lettre à vous dicter.
• Avez-vous passé un bon week-end madame Véronique ?
Me permettez-vous de vous dire que votre chemisier avec ce foulard cachant votre cou vous va à merveille.
Vous vous trémoussez sur votre chaise, avez-vous un problème ?
Le petit variateur dont je me sers l’augmentant ou le diminuant à volonté, me permet de contrôler ma soumise même à mon travail.
Eh oui, pour assouvir mes envies, il faut bien que je trouve des soumises !
Ma patronne est devenue l’une d’elles, mais seulement dans mon donjon, avec aussi des moments de rappels de qui je suis grâce à ma petite bille vaginale électronique.
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