COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Saison VI (17/19)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Saison VI (17/19)
Catane, dernière escale avant notre retour à Venise.
Après un passage hors de l’Italie à Monte-Carlo qui nous a permis de faire débarquer Moussa sans que la police le remarque, nous avons repris la mer.
Cette opération a pu avoir lieu grâce à Jessica, qui a joué de son corps pour détourner les yeux des deux policiers surveillant la descente des passagers de notre bateau de croisière.
Lorsque je dis « joué de son corps », c’est en faisant un grand vol plané où elle a fini à l’hôpital avec une entorse et des béquilles.
Elle a pu le quitter, retrouver son chauffeur et partir dans la voiture de son mari vers les côtes normandes où l’oncle de Kessy, par chance patron marin pêcheur, va leur faire traverser le channel.
Ça va leur permettre de prendre moins de risques que par les canaux normaux extrêmement surveillés.
De retour à bord, c’est une nuit tout à fait normale pour un couple normal que je passe.
Catane donc autre ville de Sicile, nous avons la chance qu’Alain et Ylva soit de sortie avec nous.
Un message de mon fils, me disant qu’un petit problème pour Ylva va retarder leur départ.
Nous voulions prendre des taxis pour aller voir le théâtre antique de cette ville.
Les hommes avec Alex et Sandrine partent devant, Aliza et moi attendant les jeunes.
Nous papotons avec Alice, l'amie de Rose qui pointe chaque passager descendant pour pouvoir contrôler les retours.
• Maman, Ylva est indisposé et sera dans l’incapacité de venir avec vous aujourd’hui.
Comprends que je préfère rester avec elle, prenez un taxi et vous pourrez rejoindre les autres.
J’embrasse mon fils et avec Aliza nous descendons à terre.
Non loin du bateau, quelques taxis sont en position d’attente.
Le chauffeur de l’un d’eux nous interpelle.
• Anglaise, Allemande, Française ?
Bien sûr, sa langue étant toujours bien pendue, c’est Aliza qui répond.
• Nous sommes françaises !
• Je parle très bien le français, si vous voulez je vous fais un bon prix pour vous faire visiter la ville !
Comme l’on dit, il parle français mais un peu comme une vache italienne.
• Nous allons au théâtre antique !
• Montez, je vais vous conduire.
Nous montons à l’arrière.
Arrivés aux portes du port, deux jeunes font du stop.
• Ce sont des copains, ils habitent sur la route avant le théâtre dans une ancienne maison de pêcheurs, ça vous embête si nous les prenons avec vous ?
• Question sans réponse, le jeune italien a déjà arrêté son taxi.
Bien sûr, il parle en italien, je comprends « Français » ou « Française » et « Ciao Alberto » au début de sa phrase.
Le garçon qui nous conduit se nomme Alberto.
• Lui, c’est Milo et l’autre Enzo.
Milo qui a ouvert la porte avant monte à ses côtés et avant que nous ayons le temps de respirer, Enzo s’assoie à l’arrière en poussant légèrement Aliza.
Là encore, Enzo parle à son copain sans que je comprenne le moindre mot.
• Enzo me demande si je connais vos noms !
Mais ferme là Aliza, pourquoi t’empresses-tu de leur dire que je m’appelle Jennifer et elle Aliza.
Un moment, je crois rêver, la main d’Enzo vient se poser sur la cuisse d’Aliza.
Je pense qu’elle va le rembarrer, mais rien de tout ça, elle écarte carrément sa cuisse pour que la main remonte.
Sans y avoir été voir, je sais que sa chatte comme la mienne est dénudée.
Je m’étais posé la question pour la basilique Saint Pierre au Vatican si je pouvais y aller sans ma petite culotte !
Pour cette cité même si elle est antique, j’ai mis ma jupe sans me poser de question.
Je vois Alberto qui règle son rétro, il doit avoir un magnifique paysage devant les yeux.
Ils parlent à l’avant et il arrête son taxi devant une vieille maison.
• Nous sommes arrivés, Milo nous propose de descendre prendre un verre de citronnade, il en a fait avant de venir.
La main et les doigts doivent être profondément en elle, car Aliza a du mal à parler, mais suffisamment pour dire.
• Allons-y !
Elle me glisse à l’oreille.
• Ce sera un entrainement pour mon gang bang de demain.
Elle est folle, mais pourquoi je descends, cette nuit Gilles m’a fait l’amour divinement m’empêchant de dire que c’est le manque de sexe qui m’oblige à entrer entourée de ces trois garçons.
Dès la porte franchie, Enzo empoigne littéralement Aliza qui se plaque contre lui.
Une véritable folle de sexe, j’aime ça, c’est vrai, mais elle s’est une véritable boulimie de queue qui la travaille.
Une nympho, je savais que ça existait, j’en ai la preuve, mais quand Alberto et Milo m'encadrent et me serrent chacun d’un côté lorsque mes mains se posent sur leurs pantalons, qui est la plus nympho des deux ?
Une à droite, l’autre à gauche, je les ai sortis et jupe relevée pour m’agenouiller, je les prends en bouche l’une après l’autre.
Masturber deux bites dans chacune de mes mains, c’est pour moi plus difficile, je suis droitière et gauche de ma main gauche.
Mais je finis par y arriver et c’est deux verges de dimension sensiblement identique qui bandent chaque fois que je tourne ma tête.
Aliza est maintenant baissée comme moi et elle pompe Enzo, il parle à ses copains et Alberto lui répond en rigolant.
Alberto, une nouvelle fois voyant mon incrédulité, mes yeux levés vers lui lors du passage de sa bite dans ma bouche se sentant obligés de traduire.
• Enzo vient de nous dire que les femmes de votre pays étaient de belles salopes à se promener leur chatte à l’air.
• C’est pour être toujours prête lorsqu’une occasion se présente, le regrettez-vous ?
Il y a quelques minutes, j’aurais dit oui, mais lorsque Aliza se laisse entraîner sur un lit bas pour une personne présent dans cette pièce qui semble être la salle à manger, j’acquiesce.
Ce mouvement de tête me permet de pomper encore mieux Milo qui se cabre.
À une fraction de seconde prêt, j’avalais une rasade de sperme comparant les spermes français et italien.
Sur le lit, Enzo est tombé et Aliza vient s’empaler.
Elle embrasse à qui le veux-tu son cavalier, pardon vu, sa position sa monture.
Cavalière, je le suis à mon tour lorsque Milo se couche sur le carrelage recouvrant la pièce et m’invite à venir m’empaler.
C’est à mon tour de me pencher pour l’embrasser à pleine bouche.
Je sens qu’Alberto cherche à se frayer un chemin.
Je pense qu’il veut m’enculer pour me prendre en double pénétration, mais je sens que ma chatte s'élargit.
• Aliza, j’en ai deux dans ma chatte.
• Une double pénétration vaginale, j’en rêve, j’ai fait des doubles pénétrations normales, mais des vaginales jamais.
• On s’occupe de Jennifer et on vient rejoindre Enzo, vous allez ramasser mes belles.
Ah ! ah ! ah ! oui, ah !
Combien chacune de nous lâchons de « ah ! » de « oh ! » « d’encore », « putain, c’est bon », je crois même que je dis grandiose.
Je sens la première verge me quitter, je me retrouve les fesses sur le froid du carrelage, avec la chaleur extérieure, c’est supportable.
Je dirais même que c’est divin et que ça me refroidie la folle de mon cul que je suis devenue depuis le départ de notre croisière.
Naturellement je me masturbe, geste là encore oublié depuis mon adolescence et que j’ai rencontré Gilles dans ce café de Montrouge.
• Jennifer, ils sont fous, mais comment, dit-on encore en italien.
• Encora, Aliza.
• Encora, tu veux dire encula, ils sont deux dans ma chatte et le troisième me perfore l’anus, quel pied.
C’est reparti pour les ah ! les oh, les encore, pour elle et un grand, comment l’écrire, « sniff » lorsque je me mets à jouir une nouvelle fois.
• Les gars, vous êtes bien sympa, mais nous avons des maris qui nous attendent au théâtre antique, Alberto, tu nous conduis, je pense que la course sera gratuite, vous vous êtes payé en nature.
Le temps de nous préparer à faire les quelques kilomètres restants et nous retrouvons Gilles, Serge et le reste de nos amis.
Je retrouve Yoko et elle aussi ses amis.
• Vous en avez mis du temps, je m’inquiétais, je viens d’appeler Alain qui m’a dit pour Ylva, ça fait presque deux heures que vous l’avez quitté.
• C’est Alberto, notre jeune chauffeur de taxi qui a souhaité nous faire visiter sa ville et ses alentours, nous avons vu des bananeraies !
Je vois que tous se mettent à se foutre de nous, Aliza une nouvelle fois aurait mieux fait de la fermer, elle aurait dit des vignes, des arbres à citron ou à oranges, elle aurait été un tantinet crédible.
Je suis allé en Martinique pour mon voyage de noces, je sais bien que c’est là-bas que poussent les bananes.
Ça c'est Aliza, il va falloir s'y faire, au moins jusqu’à demain où elle va faire son gang bang...
Après un passage hors de l’Italie à Monte-Carlo qui nous a permis de faire débarquer Moussa sans que la police le remarque, nous avons repris la mer.
Cette opération a pu avoir lieu grâce à Jessica, qui a joué de son corps pour détourner les yeux des deux policiers surveillant la descente des passagers de notre bateau de croisière.
Lorsque je dis « joué de son corps », c’est en faisant un grand vol plané où elle a fini à l’hôpital avec une entorse et des béquilles.
Elle a pu le quitter, retrouver son chauffeur et partir dans la voiture de son mari vers les côtes normandes où l’oncle de Kessy, par chance patron marin pêcheur, va leur faire traverser le channel.
Ça va leur permettre de prendre moins de risques que par les canaux normaux extrêmement surveillés.
De retour à bord, c’est une nuit tout à fait normale pour un couple normal que je passe.
Catane donc autre ville de Sicile, nous avons la chance qu’Alain et Ylva soit de sortie avec nous.
Un message de mon fils, me disant qu’un petit problème pour Ylva va retarder leur départ.
Nous voulions prendre des taxis pour aller voir le théâtre antique de cette ville.
Les hommes avec Alex et Sandrine partent devant, Aliza et moi attendant les jeunes.
Nous papotons avec Alice, l'amie de Rose qui pointe chaque passager descendant pour pouvoir contrôler les retours.
• Maman, Ylva est indisposé et sera dans l’incapacité de venir avec vous aujourd’hui.
Comprends que je préfère rester avec elle, prenez un taxi et vous pourrez rejoindre les autres.
J’embrasse mon fils et avec Aliza nous descendons à terre.
Non loin du bateau, quelques taxis sont en position d’attente.
Le chauffeur de l’un d’eux nous interpelle.
• Anglaise, Allemande, Française ?
Bien sûr, sa langue étant toujours bien pendue, c’est Aliza qui répond.
• Nous sommes françaises !
• Je parle très bien le français, si vous voulez je vous fais un bon prix pour vous faire visiter la ville !
Comme l’on dit, il parle français mais un peu comme une vache italienne.
• Nous allons au théâtre antique !
• Montez, je vais vous conduire.
Nous montons à l’arrière.
Arrivés aux portes du port, deux jeunes font du stop.
• Ce sont des copains, ils habitent sur la route avant le théâtre dans une ancienne maison de pêcheurs, ça vous embête si nous les prenons avec vous ?
• Question sans réponse, le jeune italien a déjà arrêté son taxi.
Bien sûr, il parle en italien, je comprends « Français » ou « Française » et « Ciao Alberto » au début de sa phrase.
Le garçon qui nous conduit se nomme Alberto.
• Lui, c’est Milo et l’autre Enzo.
Milo qui a ouvert la porte avant monte à ses côtés et avant que nous ayons le temps de respirer, Enzo s’assoie à l’arrière en poussant légèrement Aliza.
Là encore, Enzo parle à son copain sans que je comprenne le moindre mot.
• Enzo me demande si je connais vos noms !
Mais ferme là Aliza, pourquoi t’empresses-tu de leur dire que je m’appelle Jennifer et elle Aliza.
Un moment, je crois rêver, la main d’Enzo vient se poser sur la cuisse d’Aliza.
Je pense qu’elle va le rembarrer, mais rien de tout ça, elle écarte carrément sa cuisse pour que la main remonte.
Sans y avoir été voir, je sais que sa chatte comme la mienne est dénudée.
Je m’étais posé la question pour la basilique Saint Pierre au Vatican si je pouvais y aller sans ma petite culotte !
Pour cette cité même si elle est antique, j’ai mis ma jupe sans me poser de question.
Je vois Alberto qui règle son rétro, il doit avoir un magnifique paysage devant les yeux.
Ils parlent à l’avant et il arrête son taxi devant une vieille maison.
• Nous sommes arrivés, Milo nous propose de descendre prendre un verre de citronnade, il en a fait avant de venir.
La main et les doigts doivent être profondément en elle, car Aliza a du mal à parler, mais suffisamment pour dire.
• Allons-y !
Elle me glisse à l’oreille.
• Ce sera un entrainement pour mon gang bang de demain.
Elle est folle, mais pourquoi je descends, cette nuit Gilles m’a fait l’amour divinement m’empêchant de dire que c’est le manque de sexe qui m’oblige à entrer entourée de ces trois garçons.
Dès la porte franchie, Enzo empoigne littéralement Aliza qui se plaque contre lui.
Une véritable folle de sexe, j’aime ça, c’est vrai, mais elle s’est une véritable boulimie de queue qui la travaille.
Une nympho, je savais que ça existait, j’en ai la preuve, mais quand Alberto et Milo m'encadrent et me serrent chacun d’un côté lorsque mes mains se posent sur leurs pantalons, qui est la plus nympho des deux ?
Une à droite, l’autre à gauche, je les ai sortis et jupe relevée pour m’agenouiller, je les prends en bouche l’une après l’autre.
Masturber deux bites dans chacune de mes mains, c’est pour moi plus difficile, je suis droitière et gauche de ma main gauche.
Mais je finis par y arriver et c’est deux verges de dimension sensiblement identique qui bandent chaque fois que je tourne ma tête.
Aliza est maintenant baissée comme moi et elle pompe Enzo, il parle à ses copains et Alberto lui répond en rigolant.
Alberto, une nouvelle fois voyant mon incrédulité, mes yeux levés vers lui lors du passage de sa bite dans ma bouche se sentant obligés de traduire.
• Enzo vient de nous dire que les femmes de votre pays étaient de belles salopes à se promener leur chatte à l’air.
• C’est pour être toujours prête lorsqu’une occasion se présente, le regrettez-vous ?
Il y a quelques minutes, j’aurais dit oui, mais lorsque Aliza se laisse entraîner sur un lit bas pour une personne présent dans cette pièce qui semble être la salle à manger, j’acquiesce.
Ce mouvement de tête me permet de pomper encore mieux Milo qui se cabre.
À une fraction de seconde prêt, j’avalais une rasade de sperme comparant les spermes français et italien.
Sur le lit, Enzo est tombé et Aliza vient s’empaler.
Elle embrasse à qui le veux-tu son cavalier, pardon vu, sa position sa monture.
Cavalière, je le suis à mon tour lorsque Milo se couche sur le carrelage recouvrant la pièce et m’invite à venir m’empaler.
C’est à mon tour de me pencher pour l’embrasser à pleine bouche.
Je sens qu’Alberto cherche à se frayer un chemin.
Je pense qu’il veut m’enculer pour me prendre en double pénétration, mais je sens que ma chatte s'élargit.
• Aliza, j’en ai deux dans ma chatte.
• Une double pénétration vaginale, j’en rêve, j’ai fait des doubles pénétrations normales, mais des vaginales jamais.
• On s’occupe de Jennifer et on vient rejoindre Enzo, vous allez ramasser mes belles.
Ah ! ah ! ah ! oui, ah !
Combien chacune de nous lâchons de « ah ! » de « oh ! » « d’encore », « putain, c’est bon », je crois même que je dis grandiose.
Je sens la première verge me quitter, je me retrouve les fesses sur le froid du carrelage, avec la chaleur extérieure, c’est supportable.
Je dirais même que c’est divin et que ça me refroidie la folle de mon cul que je suis devenue depuis le départ de notre croisière.
Naturellement je me masturbe, geste là encore oublié depuis mon adolescence et que j’ai rencontré Gilles dans ce café de Montrouge.
• Jennifer, ils sont fous, mais comment, dit-on encore en italien.
• Encora, Aliza.
• Encora, tu veux dire encula, ils sont deux dans ma chatte et le troisième me perfore l’anus, quel pied.
C’est reparti pour les ah ! les oh, les encore, pour elle et un grand, comment l’écrire, « sniff » lorsque je me mets à jouir une nouvelle fois.
• Les gars, vous êtes bien sympa, mais nous avons des maris qui nous attendent au théâtre antique, Alberto, tu nous conduis, je pense que la course sera gratuite, vous vous êtes payé en nature.
Le temps de nous préparer à faire les quelques kilomètres restants et nous retrouvons Gilles, Serge et le reste de nos amis.
Je retrouve Yoko et elle aussi ses amis.
• Vous en avez mis du temps, je m’inquiétais, je viens d’appeler Alain qui m’a dit pour Ylva, ça fait presque deux heures que vous l’avez quitté.
• C’est Alberto, notre jeune chauffeur de taxi qui a souhaité nous faire visiter sa ville et ses alentours, nous avons vu des bananeraies !
Je vois que tous se mettent à se foutre de nous, Aliza une nouvelle fois aurait mieux fait de la fermer, elle aurait dit des vignes, des arbres à citron ou à oranges, elle aurait été un tantinet crédible.
Je suis allé en Martinique pour mon voyage de noces, je sais bien que c’est là-bas que poussent les bananes.
Ça c'est Aliza, il va falloir s'y faire, au moins jusqu’à demain où elle va faire son gang bang...
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