COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Début de la saison III (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Début de la saison III (7/9)
Les choses se sont précipitées à la fin de la saison II de Grand-mère Odette.
J’ai pris un peu de temps pour écrire cette saison, mais les fêtes de fin d’année et des lecteurs et lectrices m’ont sollicité pour écrire leurs histoires.
Je reprends donc « Grand-mère Odette » mais surtout la vie de Gladys, jeune fille, venue découvrir qui était cette madame Odette Coquelet de Tournai en Belgique.
C’est ainsi qu’elle découvre, que madame Odette est sa grand-mère que sa maman lui cachait.
Elle découvez que cette vieille dame qui lui ressemble énormément est propriétaire d’un bar à pute dans la ville de Tournai.
Merci, Chris, je reprends mon histoire.
Mamy est à l’hôpital, victime d’un malaise en plein milieu de son bordel.
Oui, j’ai découvert que ma grand-mère dont j’ignorais l’existence tient un bar à filles.
Je suis dans une position inconfortable lorsque je suis réveillée par ma copine et maîtresse Sacha ayant les clefs du bordel en venant voir comment les choses se passent pour moi.
Dans ma chatte j’ai mis un plug que j’ai prise pour un gode et je me le suis enfilée ignorant son utilité.
Je me lève difficilement, je suis rempli de courbatures.
Sacha s’approche, voyant les difficultés, que j’ai à me remettre droites.
• Oui, Sacha, masse-moi les trapèzes, oui c’est bon, continue.
C’est la première fois que l’on me masse, c’est divin.
Je suis à deux doigts de prendre le joujou devant moi.
Non pas celui pour l’anus, le gros celui qui doit défoncer à mort.
Elle est dans mon dos et a une vision de ce que j’ai trouvé dans le coffre.
• Merde ou as-tu eu tout ce fric ?
• Dans le coffre de mamy.
• Tu l’as trouvé ouvert !
• Oui, j’ai vu le tableau décalé par la poignée et j’ai trouvé tous ça.
• J’ignorais que nos fesses rapportaient autant après la part qu’Odette nous prend.
• On va pouvoir payer les filles pour la journée d’hier, je leur ferais simplement signer une reconnaissance de la somme que je leur aurais donnée.
• Parles-en à Lala, elle est au courant de tout ça, s’était un peu son bras droit.
Méfie-toi d’elle, comme la plupart des gens de couleur elle a tendance à être susceptible.
Elle espérait qu’Odette la coucherait sur son testament.
Elle savait qu’elle était fâchée avec sa fille qui habitait en France.
Tu as bien cherché, nous recevons des feuilles de paye chaque mois, trouvons les avant elle, tu apprendras un maximum de choses.
• Attends, il reste des affaires dans le coffre, mais avant continue, c’est si bon.
• J’ai fait des études de kiné, il y a quelques années, mais j’ai rencontré mon putain d’Anglais qui m’a donné Charlotte.
J’ai tout abandonné au début par amour, c’était un phallocrate refusant le travail des femmes.
Que je vende mon corps pour élever ses enfants, lorsqu’il m’a abandonné, a été loin de lui poser le moindre problème.
• Il l’a su !
• Oui, chaque année, il vient avec sa pouffiasse, en vacances chez un pote à nous.
Il profite du système de santé belge, meilleur que le leur depuis la mère Thatcher.
C’est une véritable Anglaise, laide à souhait,
Renaud a chanté « La mère Thatcher », mais j’ignore qui elle est.
• Il en profite pour voir ses enfants.
Dis-moi, ces lingots, sont-ils bien légaux.
• Pourquoi ?
• Ils sont frappés de l’aigle avec la croix de guerre des Allemands.
Regarde, ils sont gravés de la Reichsbank en date de 1936.
• Pourquoi mamy avait-elle ces lingots venus de cette période trouble ?
Grand-père doit se trouver derrière ça, on verra plus tard, j’ai d’autres chats à fouetter.
Je téléphonerais bien au docteur Sala, il m’a donné son numéro.
• À cette heure, si tu étais au pieu avec ta femme, tu aimerais qu’on te dérange.
• Sacha, connais-tu le code du coffre ?
• Non, peut-être Lala.
• Dans l’impossibilité de le refermer, aide-moi, j’ai une idée.
Elle m’aide et lorsque nous venons de finir, mon portable sonne, il est 10 heures.
« Je suis le docteur Sala, je viens vous donner des nouvelles de votre grand-mère.
Vous arrivez à assumer. »
Bien prévenant ce jeune docteur, je crains la mauvaise nouvelle.
« Votre grand-mère a passé une nuit calme.
Pouvez-vous venir me voir à mon service ?
J’ai des dispositions à voir avec vous pour son suivi.
15 heures, cela vous va ! »
Un peu rassuré, j’embrasse Sacha qui me quitte, elle doit prendre son travail à 18 heures et doit s’occuper de ses enfants.
Sur le bureau, avant de m’endormir et de rêver à ma mère baisant avec celui qui semble être mon vrai père, un dossier attire mon œil.
Certainement sa couleur rose.
Il est 14 heures, Lala arrive.
• Comment, va la patronne ?
• J’aurais plus de nouvelle à 15 heures.
Dis-moi, je pourrais te voir, tu t’occupes des payes des filles ?
• Moi, je calcule leurs heures et les passes qu’elles rapportent, c’est le comptable qui s’occupe du reste.
• Chaque fille touche selon ses passes !
• Oui, tout est déclaré, c’est lui qui tient la comptabilité, Odette lui portait l’argent et me ramenait les chèques pour chaque fille.
Tu sais, tout est d’équerre, tu peux avoir confiance.
Le comptable paye leurs impôts et ceux du bar.
L’empressement que fait Lala à me dire que tout est carré, me met la puce à l’oreille.
Dans les premiers jours où j’ai travaillé avec maman, Viviane, l’une de ses employées tapait dans la caisse.
Maman, la surprise et quand elle l’a interrogée, comme Lala, on sentait la peur dans sa voix.
Elle lui a fait vider les poches de sa blouse de travail et un billet de 50 € est apparu.
Celui qu’elle avait marqué au feutre.
Elle l’a virée.
• Je vais aller le rencontrer, note-moi son adresse.
Les deux filles de service à cette ouverture sont là.
Sabine et Sylvie.
Les clients arrivent.
Mamy m’a dit qu’à cette heure, c’est beaucoup de Français, venant baiser pendant que leur bourgeoise torche leurs marmots qui passent la frontière.
Ils ont des professions libérales.
Vers 16 à 17 heures, ce sont aussi les hommes de France, mais ceux qui travaillent et qui diront à leur bourgeoise qu’ils ont dû faire des heures supplémentaires.
Bref, le soir, ça tourne aussi avec Belges et Français, les filles sont heureuses chez mamy Odette.
Je remonte au bureau de ma grand-mère.
Je m’installe et j’ouvre cette chemise rose, j’avais lu « Lettres d’engagements ».
Lettres personnelles, je les étudie, j’ai une idée et ces lettres vont m’être utiles.
13 heures, je sais que les visites sont possible, je verrais le docteur Sala à 15 heures, mais avant je passerais pour voir son état.
Je roule avec ma Vespa vers l’hôpital quand je passe devant une maison avec une plaque marquée « Serge comptable »C’est le nom que Lala m’a donné.
Je m’arrête, il faut battre le fer lorsqu’il est chaud et j’ai un peu de temps.
• Je voudrais voir la comptabilité de ma grand-mère Odette.
• Lala, vient de m’appeler, elle m’a mise au courant que votre grand-mère a eu un accident de santé.
Êtes-vous sûr de pouvoir comprendre la compta de votre mamy ?
Ça aussi c’est louche, j’ai vu maman faire la sienne.
Je prends mon portable.
• Lala, peux-tu me faire l’inventaire de tous mes stocks.
Bouteilles de champagne, boisson, boîte de capotes, gels et autres produits.
Oui, pour mon retour.
Je repars voir mamy.
• Votre grand-mère est partie passer un IRM, vous pouvez l’attendre dans sa chambre.
C’est l’infirmière du service qui me fait cette proposition.
Je m’installe dans le fauteuil pour les visites.
Mes paupières sont lourdes, toutes ces émotions et la nuit que j’ai passée y sont pour beaucoup.
« Alors connasse, tu as décidé à nous emmerder.
Oui, on pique du fric à ta grand-mère, cette vieille peau qui est pingre.
Oui, on se marre de l’avoir baisé depuis des années.
Regarde la queue de Serge, j’aime la sucer. »
Lala est nue, dommage qu’elle soit seulement notre barmaid vue son joli cul.
Si elle tapinait, comparé aux filles qui m’ont envoyé leur demande d’embauche sauf Clarisa, une jolie blonde dont le profile m’intéresse, les clients se l’arracheraient.
Surtout qu’en plus de sa nudité elle est agenouillée devant le fauteuil du comptable et lui suce la queue.
Belle pratique.
« On vous baise comme je vais baiser ma petite pute.
Tu vois Gladys, je me fais baiser sans lui demander le moindre euro, ce sont les caisses de ta grand-mère qui nous payent. »
Je mouille, je sens que je mouille.
Lala se redresse, je rigole, Serge a une petite bite et bande un peu mollement.
Pas si pro que ça la Lala, avec moi ce beau gosse banderait comme un âne.
Elle s’empale me montrant sa chatte de couleur et épilée et ça gicle, ça gicle partout.
Je suis éclaboussée.
Ah !!!
• Vous avez un souci mademoiselle Gladys !
Ou, suis-je, à oui, dans la chambre de ma grand-mère à l’hôpital.
Comme dans le bureau de mamy, je m’étais endormie...
J’ai pris un peu de temps pour écrire cette saison, mais les fêtes de fin d’année et des lecteurs et lectrices m’ont sollicité pour écrire leurs histoires.
Je reprends donc « Grand-mère Odette » mais surtout la vie de Gladys, jeune fille, venue découvrir qui était cette madame Odette Coquelet de Tournai en Belgique.
C’est ainsi qu’elle découvre, que madame Odette est sa grand-mère que sa maman lui cachait.
Elle découvez que cette vieille dame qui lui ressemble énormément est propriétaire d’un bar à pute dans la ville de Tournai.
Merci, Chris, je reprends mon histoire.
Mamy est à l’hôpital, victime d’un malaise en plein milieu de son bordel.
Oui, j’ai découvert que ma grand-mère dont j’ignorais l’existence tient un bar à filles.
Je suis dans une position inconfortable lorsque je suis réveillée par ma copine et maîtresse Sacha ayant les clefs du bordel en venant voir comment les choses se passent pour moi.
Dans ma chatte j’ai mis un plug que j’ai prise pour un gode et je me le suis enfilée ignorant son utilité.
Je me lève difficilement, je suis rempli de courbatures.
Sacha s’approche, voyant les difficultés, que j’ai à me remettre droites.
• Oui, Sacha, masse-moi les trapèzes, oui c’est bon, continue.
C’est la première fois que l’on me masse, c’est divin.
Je suis à deux doigts de prendre le joujou devant moi.
Non pas celui pour l’anus, le gros celui qui doit défoncer à mort.
Elle est dans mon dos et a une vision de ce que j’ai trouvé dans le coffre.
• Merde ou as-tu eu tout ce fric ?
• Dans le coffre de mamy.
• Tu l’as trouvé ouvert !
• Oui, j’ai vu le tableau décalé par la poignée et j’ai trouvé tous ça.
• J’ignorais que nos fesses rapportaient autant après la part qu’Odette nous prend.
• On va pouvoir payer les filles pour la journée d’hier, je leur ferais simplement signer une reconnaissance de la somme que je leur aurais donnée.
• Parles-en à Lala, elle est au courant de tout ça, s’était un peu son bras droit.
Méfie-toi d’elle, comme la plupart des gens de couleur elle a tendance à être susceptible.
Elle espérait qu’Odette la coucherait sur son testament.
Elle savait qu’elle était fâchée avec sa fille qui habitait en France.
Tu as bien cherché, nous recevons des feuilles de paye chaque mois, trouvons les avant elle, tu apprendras un maximum de choses.
• Attends, il reste des affaires dans le coffre, mais avant continue, c’est si bon.
• J’ai fait des études de kiné, il y a quelques années, mais j’ai rencontré mon putain d’Anglais qui m’a donné Charlotte.
J’ai tout abandonné au début par amour, c’était un phallocrate refusant le travail des femmes.
Que je vende mon corps pour élever ses enfants, lorsqu’il m’a abandonné, a été loin de lui poser le moindre problème.
• Il l’a su !
• Oui, chaque année, il vient avec sa pouffiasse, en vacances chez un pote à nous.
Il profite du système de santé belge, meilleur que le leur depuis la mère Thatcher.
C’est une véritable Anglaise, laide à souhait,
Renaud a chanté « La mère Thatcher », mais j’ignore qui elle est.
• Il en profite pour voir ses enfants.
Dis-moi, ces lingots, sont-ils bien légaux.
• Pourquoi ?
• Ils sont frappés de l’aigle avec la croix de guerre des Allemands.
Regarde, ils sont gravés de la Reichsbank en date de 1936.
• Pourquoi mamy avait-elle ces lingots venus de cette période trouble ?
Grand-père doit se trouver derrière ça, on verra plus tard, j’ai d’autres chats à fouetter.
Je téléphonerais bien au docteur Sala, il m’a donné son numéro.
• À cette heure, si tu étais au pieu avec ta femme, tu aimerais qu’on te dérange.
• Sacha, connais-tu le code du coffre ?
• Non, peut-être Lala.
• Dans l’impossibilité de le refermer, aide-moi, j’ai une idée.
Elle m’aide et lorsque nous venons de finir, mon portable sonne, il est 10 heures.
« Je suis le docteur Sala, je viens vous donner des nouvelles de votre grand-mère.
Vous arrivez à assumer. »
Bien prévenant ce jeune docteur, je crains la mauvaise nouvelle.
« Votre grand-mère a passé une nuit calme.
Pouvez-vous venir me voir à mon service ?
J’ai des dispositions à voir avec vous pour son suivi.
15 heures, cela vous va ! »
Un peu rassuré, j’embrasse Sacha qui me quitte, elle doit prendre son travail à 18 heures et doit s’occuper de ses enfants.
Sur le bureau, avant de m’endormir et de rêver à ma mère baisant avec celui qui semble être mon vrai père, un dossier attire mon œil.
Certainement sa couleur rose.
Il est 14 heures, Lala arrive.
• Comment, va la patronne ?
• J’aurais plus de nouvelle à 15 heures.
Dis-moi, je pourrais te voir, tu t’occupes des payes des filles ?
• Moi, je calcule leurs heures et les passes qu’elles rapportent, c’est le comptable qui s’occupe du reste.
• Chaque fille touche selon ses passes !
• Oui, tout est déclaré, c’est lui qui tient la comptabilité, Odette lui portait l’argent et me ramenait les chèques pour chaque fille.
Tu sais, tout est d’équerre, tu peux avoir confiance.
Le comptable paye leurs impôts et ceux du bar.
L’empressement que fait Lala à me dire que tout est carré, me met la puce à l’oreille.
Dans les premiers jours où j’ai travaillé avec maman, Viviane, l’une de ses employées tapait dans la caisse.
Maman, la surprise et quand elle l’a interrogée, comme Lala, on sentait la peur dans sa voix.
Elle lui a fait vider les poches de sa blouse de travail et un billet de 50 € est apparu.
Celui qu’elle avait marqué au feutre.
Elle l’a virée.
• Je vais aller le rencontrer, note-moi son adresse.
Les deux filles de service à cette ouverture sont là.
Sabine et Sylvie.
Les clients arrivent.
Mamy m’a dit qu’à cette heure, c’est beaucoup de Français, venant baiser pendant que leur bourgeoise torche leurs marmots qui passent la frontière.
Ils ont des professions libérales.
Vers 16 à 17 heures, ce sont aussi les hommes de France, mais ceux qui travaillent et qui diront à leur bourgeoise qu’ils ont dû faire des heures supplémentaires.
Bref, le soir, ça tourne aussi avec Belges et Français, les filles sont heureuses chez mamy Odette.
Je remonte au bureau de ma grand-mère.
Je m’installe et j’ouvre cette chemise rose, j’avais lu « Lettres d’engagements ».
Lettres personnelles, je les étudie, j’ai une idée et ces lettres vont m’être utiles.
13 heures, je sais que les visites sont possible, je verrais le docteur Sala à 15 heures, mais avant je passerais pour voir son état.
Je roule avec ma Vespa vers l’hôpital quand je passe devant une maison avec une plaque marquée « Serge comptable »C’est le nom que Lala m’a donné.
Je m’arrête, il faut battre le fer lorsqu’il est chaud et j’ai un peu de temps.
• Je voudrais voir la comptabilité de ma grand-mère Odette.
• Lala, vient de m’appeler, elle m’a mise au courant que votre grand-mère a eu un accident de santé.
Êtes-vous sûr de pouvoir comprendre la compta de votre mamy ?
Ça aussi c’est louche, j’ai vu maman faire la sienne.
Je prends mon portable.
• Lala, peux-tu me faire l’inventaire de tous mes stocks.
Bouteilles de champagne, boisson, boîte de capotes, gels et autres produits.
Oui, pour mon retour.
Je repars voir mamy.
• Votre grand-mère est partie passer un IRM, vous pouvez l’attendre dans sa chambre.
C’est l’infirmière du service qui me fait cette proposition.
Je m’installe dans le fauteuil pour les visites.
Mes paupières sont lourdes, toutes ces émotions et la nuit que j’ai passée y sont pour beaucoup.
« Alors connasse, tu as décidé à nous emmerder.
Oui, on pique du fric à ta grand-mère, cette vieille peau qui est pingre.
Oui, on se marre de l’avoir baisé depuis des années.
Regarde la queue de Serge, j’aime la sucer. »
Lala est nue, dommage qu’elle soit seulement notre barmaid vue son joli cul.
Si elle tapinait, comparé aux filles qui m’ont envoyé leur demande d’embauche sauf Clarisa, une jolie blonde dont le profile m’intéresse, les clients se l’arracheraient.
Surtout qu’en plus de sa nudité elle est agenouillée devant le fauteuil du comptable et lui suce la queue.
Belle pratique.
« On vous baise comme je vais baiser ma petite pute.
Tu vois Gladys, je me fais baiser sans lui demander le moindre euro, ce sont les caisses de ta grand-mère qui nous payent. »
Je mouille, je sens que je mouille.
Lala se redresse, je rigole, Serge a une petite bite et bande un peu mollement.
Pas si pro que ça la Lala, avec moi ce beau gosse banderait comme un âne.
Elle s’empale me montrant sa chatte de couleur et épilée et ça gicle, ça gicle partout.
Je suis éclaboussée.
Ah !!!
• Vous avez un souci mademoiselle Gladys !
Ou, suis-je, à oui, dans la chambre de ma grand-mère à l’hôpital.
Comme dans le bureau de mamy, je m’étais endormie...
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