COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (17/18)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (17/18) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2025 dans la catégorie En solitaire
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (17/18)
Mini, vient-elle nous rendre visite ayant satisfait Georges comme nous lui avions suggéré de le faire ?
Cette question je me la pose alors que je dors encore du sommeil du juste ayant vécu une soirée pleine d’intérêt.
Intérêt sur le plan sexuel, grâce à Pierre mon mentor en question sexe, j’ai appris avec Chantal plus que les bases en gestion des amours féminins.
Certains diront que je suis devenue une gougnote confirmer.
Surtout Jennifer celle que je viens de faire jouir dans le même temps où moi aussi je m’envoyais en l’aile.
Pour les décisions d’ordres liés à nos entreprises, nous avions prévu de finaliser un accord auquel il se tiendra lorsqu’il rencontrera dans les heures prochaines Victor mon mari en région parisienne.
Lorsqu’il m’a fait savoir, si ça ne nous gênerait pas de le recevoir, comme nous avions prévu de le faire, étant trois, nous avons accepté, préférant voir à qui nous avions affaire.
Nous sommes loin d’être déçu, Nicolas et Jennifer vont prendre sa succession, lui partant à la retraite ayant été traumatisé après le décès rapide de Pierre, mon beau-père, dois-je encore dire aussi mon amant ?

• Jenny, tu dors !

Non, c’est bien un rat d’hôtel qui vient de rentrer dans notre chambre où nous venons de nous faire jouir Jennifer et moi.
J’ignore pourquoi, l’instinct certainement, j’étais sur le dos, je me tourne dos au frère et à la sœur bien que nous sachions qu’ils sont loin de l’être, issus chacun des deux d’un premier lit.

• Nico, tu es fou, que viens-tu faire ici, tu devais t’occuper de Chantal et moi d’Élisa, ce sont les deux pièces maîtresses de notre plan.
Papa sera fier de nous si nous réussissons à leur faire baisser leur prix augmentant d’autant notre propre marge.

Le frère ou la sœur ont beau chuchoté, l’endormie que je fais semblant d’être, n’en perd pas une miette.

• Je voulais te donner une information capitale, j’ignore si demain matin nous aurons l’occasion de nous parler.
• Chantal t’a fait des confidences !
• Oui et non, je venais de finir de la sauter entre parenthèses, elle est aussi salope que toi, ta chatte est accueillante, mais elle son cul, elle me l’a offerte.
• Bon accouche, pour mon cul on verra plus tard !
Je te répète qu’Élisa peut se réveiller avant que tu m’en aies dit plus.

Je sens le besoin de bouger, sans pour autant faire voir à ces deux petits comploteurs que je les entends malgré mes paupières clauses et mon souffle régulier.
Je me retourne, mon bras passe par-dessus le corps de celle qu’il a appelée Jenny et je fais entendre un petit grognement de plaisir d’avoir retrouvé la douceur d’un sein.

• Je venais de m’écrouler et ôter ma capote avant de m’endormir comme Élisa le fait à ton côté.
Sur sa table de nuit, son portable a vibré, j’ai pu l’entendre parler à son correspondant en anglais.
J’ai compris que c’était une personne du Pérou qui appelait, j’ai entendu le nom de Lima.
Il lui disait qu’ils étaient prêts à s’aligner avec le Sénégal en qualité et en prix de leurs fèvres de cacao en plus de l’augmentation du poids qu’ils sont capables d’assumer.
• Merci de l’information, tu as raison, ils préparent un coup, à nous de savoir en profiter !
Qu’est-ce que tu fais laisse ma chatte, je sais que je te manque, retourne baiser l’autre salope, même si j’aime énormément avoir ta bite en moi ?

Qui est la pute de l’autre dans ce couple improbable, même s’ils ne sont pas réellement frère et sœur et que dans ce cas, on ne peut pas parler d’inceste.
Je décide de m’amuser un peu.
Le radio-réveil émet assez de lumière pour voir Nicolas au-dessus de sa sœur me montrant sa queue nue, en laissant une fente me permettant de tout voir.
Je lâche le sein pour me saisir de sa verge et c’est là que je suis maligne.

• Georges, tu es venu nous rejoindre, tu as bien fait, j’aime beaucoup la chatte de ta fille, mais je voudrais que tu t’occupes de moi avec ta verge.

Georges, celle que je feins de me réveiller veut noyer le poisson, surtout que le garçon réagit comme je le souhaitais.

• Elisa, tu te trompes, c’est Nicolas, je suis venu voir Jenny !

Je me redresse, lâchant Nicolas et allumant ma lampe de chevet, le garçon est piégé, je lui reprends la verge en main.

• Attends, je vois tes doigts dans la chatte de la petite, tu baises avec Jenny, vous avez raison d’en profiter, fais-nous voir de quoi tu es capable.
Si besoin, il y a des capotes dans le tiroir dans la table de nuit à ton côté.
• Inutiles, nous avons fait les tests tous les deux pour être plus libre.
• C’est bien, mais crois-tu que je vais me contenter de vous regarder baiser.
Jenny comme tu appelles la petite m’a bien fait jouir, mais une partouze à trois me ferait le plus grand bien.
• À quatre, George s’est écroulé dans son lit, sans que je ne puisse m’éclater.
Je descendais à la cuisine boire un coup lorsque passant devant ta porte entrouverte de ta chambre Élisa, j’entends parler de partouze, je veux en être aussi.

Je disais bien que j’avais entendu un rat d’hôtel, Mini dans sa parfaite nudité vient près de nous et vient, elle aussi se saisir de la queue de Nicolas.

• Lorsque le chat s’absente, les souris dansent, je crois que c’est comme cela que l’on dit et si je faisais la cinquième souris, m’accepteriez-vous ?

Il manque Georges, mais Mini a fait ce qu’il faut, il doit être hors-service à son âge dans sa chambre car lorsque Nicolas monte sur le lit, c’est ma bouche qui semble l’intéresser.
Mini et Chantal me remplacent auprès de Jenny, surtout Chantal qui rapidement retrouve ses instincts lesbiens.
Nicolas m’embrasse, mais je peux sentir la main de sa sœur posée sur sa tige lorsqu’à mon tour je veux la saisir.
Intérieurement à ce geste, je mesure l’erreur que je fais, ces deux-là sont complices depuis bien plus longtemps que ce soir.
Mais comment les appeler autrement, amants, maîtresse et soumis, car à ce que j’ai entendu, il semble que c’est là sœur qui tire les ficelles ?
Je rigole au fond de moi tout en tirant sur la queue pour la présenter au vagin de sa sœur, s’ils savaient qu’ils sont loin du compte après l’information que Chantal attendait du Pérou.
Mais nous en reparlerons demain matin avant le départ du trio alors que nous reprendrons la route de Genève.
Nicolas se laisse faire ainsi que sa sœur, il la pénètre sans le moindre problème, c’est même elle qui entoure ses hanches de ses jambes, certainement pour qu’il aille le plus loin possible en elle.
C’est drôle les pensées que l’on peut avoir dans ces moments-là.
Certes, ils baisent sans capotes, ils le peuvent à ce qu’ils m’ont dit s’être testés.
Mais Jenny a-t-elle un moyen de contraception, stérilet ou pilule, je sais par expérience que bon nombre de jeunes femmes rechignent à la pilule susceptible de leur faire prendre du poids.
Je parle de ce que je connais, j’ai moi-même été confronté à ce problème lorsque j’ai été libéré de mon orphelinat.
J’ai dit que c’était Olaf le gardien de cette grande maison où j’avais passé bien des années, m’a dépucelé.
Ce fumier a profité de ma candeur côté sexe pour me prendre sans capote et sans moyens de contraception.
En plus de devoir s’occuper de moi, très mal préparé à la vie en liberté, j’aurais pu me retrouver avec un polichinelle dans le buffet avec tous les ennuis que cela comporte.
Pierre a fait de moi une pute, Pierre a fait de moi sa pute, mais Pierre a fait surtout de moi la femme qui dirige son entreprise après sa disparition.
Sans lui, même s’il s’est vengé à sa mort en me liant à son fils, il m’a fait un cadeau inestimable, il m’a fait entrer dans le monde des puissants.
Avec ce bébé dans mon ventre, pour le nourrir, en ce moment j’aurais été obligé de baiser, pour autre chose que le plaisir.
Non, je devrais me faire baiser pour gagner les quelques sous lui apportant le lait auquel un enfant a droit, pour qu’il ait une chance de vivre.
Deux formes de prostitution, celle qu’il m’a fait connaitre, elle m’a permis d’évoluer dans l’échelle sociale, l’autre, sans le dire, je vois la galère que cela aurait été.
Je vois bien la tête que ferait Georges si sa fille, sans l’être vraiment, ou son fils, idem, lui apprenait, sans l’être vraiment, tu vas être grand-père.
Il semble avoir peur de la crise cardiaque, nul doute qu’elle serait assurée si une telle situation se produisait.
Quelle heure est-il lorsque j’ouvre un œil, là c’est Georges qui est près de nous, déjà habillé.
Mini est a quitté le lit et comme elle a l’habitude de le faire, lorsque nous la rejoignons à la cuisine, le café est chaud.
Dans son petit short avec son débardeur, elle virevolte pour que nous n’ayons plus qu’à boire un grand bol de café afin de récupérer des plaisirs de la partouze de notre nuit.
Des images me reviennent, les unes après les autres, Mini m’a bouffé la chatte remplacée par Jenny et son frère m’ayant pris en levrette.
À oui, je me souviens aussi que c’est moi qui lui ai couvert le sexe d’une capote que j’avais récupéré dans le tiroir où je lui avais dit les ranger.
La journée peut commencer, tout va bien, nous avons respecté et éviter les risques de découverte tardive de problèmes liés à ce type de mélange les uns dans les autres.

• Bien, parlons de nos affaires !
Nicolas et moi, nous avons un petit problème avec vos commandes dans les magasins que nous desservons.
La crise est passée par là et nous devons augmenté le prix ou nous leur proposons vos produits, il vous faut vous assoir, soit sur une baisse d’au moins 10 % ou une baisse des ventes de 20 %.
À vous de choisir, c’est à prendre ou à laisser, c’est nous qui contrôlons le marché et maintenant c’est nous qui sommes maîtres de nos propositions.
• Georges, si tu peux expliquer à tes petits trous du cul, que les affaires, certes elle se règle dans un pieu !
Mais qu’avant de nous envoyer nous faire foutre, ils apprennent que souvent un arbre peut cacher la forêt.
• Je t’écoute Élisa, je me doutais que mes enfants auraient tout faux avec toi, que nous proposes-tu ?
• Vous connaissez mieux que nous les grandes surfaces dans les villes où vous leur fournissiez nos produits.
Je désire concurrencer « Jeffy de Bruxelles » sur la vente des chocolats de gamme très haute en boutiques belges.
À cet effet, nous avions déjà un accord de livraison de leurs plus belles fèves de cacao avec le Sénégal et nous venons d’apprendre que le Pérou, s’aligne sur ce type d’envois.
À Genève, nous avons acquis une surface ou nous allons implanter des machines de fabrications, elles aussi haut de gamme.
Cette nouvelle unité de fabrication sera dirigée par Mini.
Elle a une formation sur les desserts au chocolat après avoir suivi les cours de l’école créée par Paul Bocuse de Lyon et sera parfaitement compétente pour tout contrôler.
Je voudrais tester ces produit dans une première boutique en Suisse au centre Marin à la sortie de Neuchâtel, je pense que j’ai même déjà la responsable de ce magasin.
Il va de soi que cela sera possible si nous arrivons à un accord, surtout pour les boîtes « Prestige » et « Gourmet » que vous négocierez, au prix que nous allons fixer avec Victor mon mari.
C’est simple 20 % des boutiques que vous pourrez nous fournir sur les bénéfices, c’est à prendre ou à laisser.
Pour les commandes classiques, Jenny, j’ai le regret de te dire que vous gèlerez les quantités et les prix des commandes au niveau de l’an passé, sinon bernique sur la nouvelle production.
Tu as un joli petit cul, nous avons le même âge ou presque, mais ça ne suffit pas pour croire que le monde t’appartient à toi et ton frère.
Demande à ton mentor, il vous expliquera comment marche le monde des affaires.
Georges es-tu en accord avec mes propositions…

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Texte coquin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (17/18)
Histoire sexe : Une rose rouge
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