COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (18/18)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (18/18) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (18/18)
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• Élisa, te souviens-tu de moi, Roza ?
• Comment pourrais-je t’oublier, tous les soirs, sais-tu ce que je fais en pensant à toi ?
• Je crois que je peux facilement l’envisager, il en va de même pour moi.
J’ai du mal à admettre que ton mec soit venu m’enlever à toi sans que nous ayons eu le temps d’aller jusqu’au bout de l’envie que nous avions l’une de l’autre.
• Ours ignorait que tu venais de me faire toucher du doigt la frustration qui était la mienne depuis bien des années où je fantasmais sur le sexe féminin.
Je me souviens que lorsque nous échangions nos numéros de portable, tu as eu le temps de me dire que tu m’appèlerais si tu avais l’occasion de passer à Neuchâtel !
Je n’ose croire que tu vas venir et que nous pourrions nous rencontrer !
• L’hôtel des Alpes, Roza le connais-tu ?
• Oui, je passe devant de temps en temps, c’est un hôtel trop onéreux pour une chômeuse comme moi, même si Ours gagne honorablement sa vie.
Tu veux me dire que tu y résides en ce moment et que si je te rejoins, nous pourrions aller jusqu’au bout de mes envies !
Mince, j’allais dire « merde, » c’est pourtant loin d’être mon genre de dire des mots grossiers, maman m’entendrait, elle me frotterait le nez avec du savon.
• Oui, je viens d’arriver et de m’installer, peux-tu m’y rejoindre ?
• Ce soir, c’est impossible, Ours a invité Arsène et Lucienne, tu sais son collègue de travail, je suis en train de préparer une fondue, veux-tu te joindre à nous ?
• Oh ! que non, je serais trop tentée de te prendre dans mes bras, même devant ton mari et te faire subir les derniers outrages.
J’ai mieux à te proposer, tu m’as dit habiter à Bienne !
• Oui, de ma cuisine je vois le lac !
• En arrivant je suis allée sur le mien, je vois celui de Neuchâtel, pourquoi me demandes-tu cela ?
• Le centre commercial, Marin, tu dois connaitre !
• Bien sûr c’est à l’entrée de Neuchâtel lorsque l’on vient de Bienne.
• Demain midi, seras-tu disponible ?
• Oui, avec ma voiture, j’en ai pour une vingtaine de minutes.
• Je t’attendrais au restaurant « Olivia, » j’aurais une proposition à te faire !
• Tu me mets sur des charbons ardents, jusqu’à ce que nous nous retrouvions, je vais arrêter de vivre.
• Eh moi, crois-tu que je ne vais pas mourir d’impatience ?
Bon, hélas pour ce soir, j’aurais aimé te prévenir, mais j’ai eu confirmation de ma venue près de toi au dernier moment, j’ai même eu du mal à trouver un hôtel.
Tu dois être au courant qu’il y a un congrès de dentistes dans votre ville !
Je vais passer ma nuit à me morfondre !
• Sors et trouve chaussure à ton pied, si tu connaissais les folles nuits de Neuchâtel !
• Je sens que tu te moques, de toute façon je préfère te voir demain à midi au restaurant au centre Marin, je crois que tu serais loin d’être déçu, je ne t’en dis pas plus.

Une fin d’après-midi, à visiter la vieille ville, finissant par un verre bu sur le port de cette ville le long du lac du même nom que la ville.
Je suis à deux doigts d’aborder un jeune homme assis deux tables plus loin que moi.
Il me regarde avec insistance, j’aime que l’on regarde mon petit cul de pute.
Il faut dire que j’ai changé mes habits de Pdg avec ceux plus décontractés dans ces premiers jours de soleil, même en Suisse.
J’en profite pour manger une salade au thon, poisson dont je sais pertinemment que ce n’est pas dans ce lac qu’il a été péché.
Retour à l’hôtel, je regarde un film ou les acteurs à un moment ont une scène torride.
J’ai loupé le début ayant allumé ma télé plus par habitude que par envie.
Je viens de sortir de la salle de bains, aussi nue que Roza m’a dit l’être lorsqu’elle est chez elle.
C’est vrai, elle m’a indiqué « seule » alors que ce soir, pour mon plus grand malheur, elle doit avoir revêtu une petite tenue affriolante pour exciter son petit Ours chéri.
C’est tout naturellement que posé sur mon lit, la serviette entourant mes seins, ouverte sous moi que j’attrape mon sac à main et que je récupère mon joujou de solitude.
« Bijou » est là, « Bijou » est à ma disposition depuis que Mini me l’a offert devant quelques amis pour mon anniversaire.
Depuis ce gode rotatif en plaqué or, 18 cara, qu’elle a acheté et fait emballer dans une jolie boîte et un joli paquet me tient compagnie dans mes moments de solitude.
Pas de chance, j’aurais dû vérifier les piles, il refuse de fonctionner.
J’ai du mal à l’ouvrir, je suis à deux doigts d’abandonner, je me vois mal appeler la réception et leur dire.

« Voulez-vous m’envoyer quelqu’un pouvant m’aider à ouvrir mon vibro pour que je puisse me goder tranquillement pour m’aider à m’endormir. »

Loin d’être conne la Pdg, j’arrive à dévisser la base.

• La réception, auriez-vous des piles AAA ?

Et voilà le travail, le film est fini, mais j’ai mon pack de piles et mon gode est de nouveau en fonctionnement.

« Films adultes. »
« Petites filles en chaleur ! »

Petites filles que de nom, car les actrices sont toutes plus vieilles que moi.
Mais qu’importe, fellation, jusqu’à de parfaites sodomies ajoutées aux vibrations dans mon con, je m’endors jusqu’à en oublier le petit déjeuner.
Télé me montrant de la neige sur l’écran, les salopes doivent, elles aussi dormir, même si c’est dans un film.
Je me prépare, même si dans un premier temps, l’amoureuse que je suis de Roza me le suggèrerait, la Pdg doit primer sur la femme amoureuse que je suis.
J’enfile cette tenue dite sérieuse, j’aurais tout le loisir suivant les tournures des événements d’adopter ma tenue plus pute que bcbg.
Même mieux, nue comme ma compagne dans ma chambre ou tout autre lieu sera celle ou nos corps seront plus disponibles pour l’une comme pour l’autre.
En quittant l’hôtel pour prendre ma voiture où le nom de « Pierre Legras » avec la raison sociale « Chocolaterie » en rouge sur fond rose figure.
C’est le logo que j’ai fait concevoir par une société parisienne que j’ai fait concevoir en hommage à celui qui éternellement restera le patron qui m’a donné ma chance.
Même sur ma blouse blanche, sur mon tailleur strict « Pierre Legras » apparait.
Je porte sur mon sein son nom comme un étendard, ne suis-je pas Élisa Legras femme de Victor Legras même si cela fait deux semaines que je n’ai pas croisé sa route autrement que par téléphone.
Une petite confidence lorsque je monte dans la voiture allemande, celle de Pierre que j’ai fait passer dans une société genevoise de publicité qui lui a affiché notre logo aux couleurs que j’ai cité.
Ma jupe en remontant, montrant mes jarretelles tenant mes bas blancs, le voiturier m’ayant amené ma voiture du garage, doit avoir eu le temps de voir la nudité de ma chatte.
Direction le centre Marin que j’atteins rapidement en prenant l’autoroute passant en grande partie sous la ville.
Comparées à la France, les autoroutes sont nettement plus pratiques et moins chères qu’en France surtout que c’est la société qui paye.
Une vignette à l’année et vous les empruntés autant de fois que vous le voulez.
40 francs suisses, environ 42 €, la Suisse est hors de la zone euro, bien que partout les deux monnaies fassent loi, nous facilitant notre vie.
Parking immense et repérage de Roza attendant sagement que j’arrive.

• Ma chérie, tu es radieuse, avant d’aller manger, suis-moi jusqu’à l’entrée principale, je voudrais te montrer quelque chose.

Après une brève étreinte, trop brève éteinte à mon gout, j’entraine celle que je convoite devant une boutique au nom et aux mêmes couleurs que celle de mon automobile.

« Chocolats Pierre Legras. »

Je tends des clefs à Roza qui les rend d’un air surpris.

• Roza, si tu ouvres la porte de ce magasin et que tu acceptes, après l’avoir visité mes conditions d’en devenir la gérante.
Tu en deviendras la seule maîtresse à bord et ainsi tu annonceras à Ours que tu as trouvé un emploi.
Ce magasin est le premier en suisse avant ceux dans tous ce pays et toute l’Europe qui vendra le chocolat haut de gamme fabriqué à Genève par une boîte française.
C’est par Mini mon amie et celle de Chantal qui nous fournira en fèvres de Cacao venant du monde entier qu’ils seront fabriqués.

Elle me prend les clefs que je lui tends, me faisant entrer, première pierre à l’acceptation du poste.
La boutique, Georges a bien su reprendre en main ses enfants, elle est au meilleur endroit possible dans une telle grande surface.
Le bureau encore vide, nous permettant de nous isoler de nous prendre dans nos bras l’une l’autre, enfin isolés du reste du monde.
Nos bouches qui se retrouvent et nos doigts dans nos chattes respectives, Roza comme moi sous sa robe ayant oublié de mettre un petit sous-vêtement, preuve qu’elle était prête à notre rencontre.
L’amour moral et physique cela donne faim, c’est avec regret que nos mains redeviennent sages le temps de nous rendre à la pizzeria où j’avais retrouvé Oza.
Un resto, du passage, nos mains se contentent de s’effleurer, nos yeux sont dans nos yeux tout en parlant contrat de travail et même gros sous.

• Pour les deux jeunes employés, j’ai déjà en vue l’embauche des jumelles de Lucienne, elles sont nées d’un premier mariage, Arsène étant leur beau-père.

À l’évocation du nom de « beau-père, » mon parcours me revient en mémoire.
Je suis à deux doigts de porter une larme à celui par qui tout ceci est devenu possible et dont les cendres au gré des courants doivent dériver vers les Amériques ou les îles anglaises.
Je sors de mon porte-documents les photos de Mini qui porte les tenues, elle aussi aux couleurs « Pierre Legras » qu’elles porteront lorsqu’elles auront été embauchées.
Tout est pensé, que dire de plus, direction mon hôtel et pour la première fois, la jouissance de deux femmes, nues sur leur lit de plaisirs.
Roza découvre enfin, comme Pierre me l’a fait découvrir les plaisirs de femme à femme.
Qu’en dire de plus, nous savons tous ce que deux langues et dix doigts sont capables d’apporter à deux salopes ayant dès le premier regard dont elles avaient envie l’une de l’autre.
Sauf le bref instant où je lui ai envoyé de la neige avec mon skate, ou ses yeux l’auraient tué sur place.
Ils me tuent, je la tus, mais de plaisirs à plusieurs reprises.

En ce moment je roule sur l’autoroute entre Neuchâtel et Genève.
Je repense au plaisir que j’ai prise et à celui que j’ai donné à Roza.
Aucun doute, je vais faire des inspections très fréquentes au centre commercial Marin, surtout que Roza m’a monté des photos, des jumelles prise au bord du lac de Bienne l’été dernier.
Dans leurs petits deux pièces, en roulant et contre toute prudence, je jette un œil aux photos qu’elle m’a fait passer, j’ai remis ma petite culotte, mais je sens qu’elle est déjà largement mouillée.

Mais avant je dois vous quitter, je prends l’avion demain avec Chantal à l’aéroport international de Genève, direction Dakar.
Nous allons visiter les plantations de fèves de cacaoyer et visiter l’Afrique pour moi.
J’ai aussi une photo sur mon portable de Chantal lors de son dernier voyage, après que je lui ai redonné le gout des verges.
Celle de Christian, noir des pieds à la tête à ses côtés, est dans son pantalon, mais assez proéminent pour comprendre que les bites noires sont fidèles à leur réputation.
Un jour prochain, Chris71 fera paraître une histoire « Je suis devenue la pute de mon beau-père. La suite. »
Il est impossible d’écrire une histoire que nous n’avons pas vécue.

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Texte coquin : COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (18/18)
Histoire sexe : Une rose rouge
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