COLLECTION SOUMISE. Fille de… (1/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SOUMISE. Fille de… (1/8)
Quand on atteint ses dix-huit ans, dans mon milieu, on a l’honneur de quitter la table des enfants pour manger avec les grandes personnes, alors qu’avant nous allons soit dans nos chambres pour nos études, soit dormir, un enfant se couchant tôt.
Si l'on vous demande qui je suis, je m’appelle Jessika, je suis la fille de l’union d’un haut fonctionnaire, père et de mère tous deux hauts fonctionnaires dans l’administration.
Ils se sont connus sur les bancs de l’École Nationale d’Administration, ils ont baisé et je suis née, jolie petite blonde assez élancée, presque 1 m 80 avec une poitrine qui je l’espère ne grossira pas plus.
Je suis fille unique, depuis que je suis née, j’avais une préceptrice, Geneviève, devenue majeure, elle est partie en retraite rejoignant son fils dans la Nièvre.
Mes parents sont souvent absents surtout le soir, mais ils reçoivent très fréquemment, toujours du beau linge comme l’on dit.
C’est le cas ce soir, en égare à leurs rangs, je simplifierais les fonctions que les personnages à qui j’ai eu affaire ainsi que les noms pour conserver leur anonymat, c’est le cas pour ma première soirée à domicile ou mes parents ont invité des élus dont Pierre et Marie.
Pierre est l’un de ces élus de province, mais plus souvent dans la capitale que dans sa juridiction.
Marie est femme au foyer, avec trois enfants malgré ses trente-quatre ans, elle ressemble déjà à un vieux pruneau malgré les heures passées dans les instituts de beauté principalement celle qui est près de l’Opéra.
Je suis à la gauche de Pierre, Marie a sa droite, le profil de cet homme ayant surement la quarantaine, contrairement à sa femme est très agréable, son costume sur mesure souligne ses formes harmonieuses.
Je lui arracherais bien sa chemise, je suis persuadée qu’il a toujours ses plaquettes de chocolats à la hauteur de ses abdos.
Je remarque ses boutons de manchettes avec de petits diamants qui doivent valoir une fortune.
C’est la première fois que je porte une robe longue et des tallons ayant déjà une petite hauteur, mère m’a emmené chez sa modiste alors que jusqu’à ce jour, ma préceptrice avait une carte bleue alimentée pour ce genre d’achat, mais dans des boutiques plus classiques.
La modiste à tenue à ce que ma robe soit aussi blanche que ma virginité, seul mon bracelet de naissance est à mon poignet.
• Jessika, vous êtes devenue une agréable jeune fille et dire que lorsque vous étiez petite, Marie vous faisait sauter sur ses genoux, tu te souviens ma chérie !
Interpellé Marie se penche vers moi et lui répond.
• Tu as raison, Pierre, elle a bien grandi, que ne donnerais-je pour retrouver son âge.
Sa tirade débitée, elle retourne à son assiette qu’elle fixe mangeant en picorant.
Pierre se penche vers moi et me parle en murmurant.
• Ma femme est légèrement dépressive, elle a pris ses médicaments.
Le repas terminé, nous passons au salon, il y a quatre couples ce soir dont Joseph et Marie-Claude, copain de Pierre et de père, ils traitent de nombreuses affaires ensemble, Joseph semble plus vieux que ses deux ami.
• Jessika, quel beau prénom, ça fait du bien de voir ta fraîcheur, si tu savais la sinécure qui est de vivre avec une femme qui ne pense qu’à mourir.
• Votre femme veut mourir !
• Deux tentatives, les deux fois, c’est moi qui l’ai sauvé, les deux fois les médecins l’ont placé dans une maison spécialisée, ils viennent de me la rendre, mais je trouve qu’elle est loin d’être guérie.
• Vous avez raison, je vais aller la voir, elle semble si seule.
C’est comme cela que j’ai fini la soirée buvant du café et faisant la garde malade, j’ai réussi à la faire un peu parler, mais la plupart du temps c’est moi qui est fait un monologue sur mes études de droit.
Je fais ses études sans passions, familialement, j’ai toujours entendu dire que le droit menait à tous et surtout dans le lit d’un fils de… qui me fera des enfants surtout un fils qui perpétuera la lignée et le nom de ces familles de la haute dont la mienne fait partie et moi aussi par déduction.
Tous prennent congé et je rejoins mon lit en pendant à Pierre, il ne doit pas s’amuser tous les jours avec Marie, est-ce qu’il la baise ou se laisse tel baiser ?
Un soir en entrant, je trouve sur ma table de nuit une lettre que notre servante a déposée.
Elle sent l’homme, j’ai toujours trouvé qui m’envoyait une missive en sentant l’enveloppe, mais là, je suis sèche, ça sent l’homme, mais un inconnu pour moi.
Quand je l’ouvre, je vois deux billets d’entrée à l’opéra Bastille déchiré par la moitié, pour voir La Bohème, je comprends pourquoi mes sens m'ont joué un tour, c’est Pierre qui mes les envoie avec une lettre et je n’ai pas été assez en contact avec lui cette première fois.
« Ma chère Jessika, je voulais te remercier de l’attention que tu as portée à Marie lors du repas chez tes parents.
Pour te remercier, étant passionnée d’opéra, tu as dans tes mains la possibilité de me faire plaisir en venant avec tes moitiés de billets à la séance indiquée ou les jetés rendant mes moitiés bonnes pour le broyeur à papier.
Nul doute que tu sauras me faire plaisir, Marie refusant de sortir de sa chambre ou depuis des semaines je n’ai plus accès.
Pour te remercier, étant passionnée d’opéra, tu as dans tes mains la possibilité de me faire plaisir en venant avec tes moitiés de billets à la séance indiquée ou les jetés rendant mes moitiés bonnes pour le broyeur à papier. »
Voici quelques menues monnaies pour que tu payes ton taxi.
Dilemme, j’ai déjà vu cet opéra de Puccini en avant-première avec père et mère, mais la confiance qu’il semble mettre en moi en mettant la moitié de ses entrées dans ma main me force à réagir autrement que je ne l’aurais fait en temps normal.
À l'heure indiquée un taxi me dépose.
• Je vois que tu es venu, c’est un grand plaisir pour moi, surtout de ta présence à mes côtés, je vais être l’homme le plus chanceux de la salle avec une telle beauté à mes côtés.
Je rougis de plaisir et fière de monter les quelques marches au bras d’un si bel homme.
Je me suis bien gardé de dire à mère que leur ami m’avait invitée et que j’allais accepter, je remets la robe que j’avais avec eux, nous l’avions acheté spécialement comme la robe du soir pour mon premier repas.
Je suis un peu étonné qu’un homme qui pourrait avoir les plus belles femmes de Paris à son bras, nous installe dans cette salle côte à côte.
Pendant le spectacle, à un moment, il me prend la main, la monte vers sa bouche et m’effleure l’intérieur du poignet avec ses lèvres.
Il réitère son geste plusieurs fois, je mouille comme jamais je n’ai mouillé moi la vierge, j’ai bien peur que lorsque les lumières se rallument mon siège sois imprégné de ma cyprine montrant la petite salope que je suis.
Mimi est à nouveau morte comme la première fois et nous quittons la salle, Pierre me tenant par le bras à hauteur de mon sein qui n’en demande pas tant pour s’exciter.
• Merci de m’avoir accompagné, nous prenons un verre ensemble avant que tu ne rejoignes ton lit de jeune fille !
• Très volontiers, mais n’as-tu pas peur d’être vue en galante compagnie et que des personnes malveillantes aillent le dire à ta femme.
• À mon avis, je m’en contrefous, mais c’est pour toi, si tu le veux, on prend un taxi et je t’emmène dans l’appartement que j’ai acquis avec mes émoluments me permettant de me loger quand je suis à Paris avant que pour Marie qui détestait la province, j’achète l’appartement où nous vivions actuellement.
Je suis pucelle, mais pas nunuche, je sais que si je dis « oui » mon pucelage disparaîtra avant la fin de la nuit, mais j’ai dans la tête ses ados que j’aurais voulu voir chez moi quitte à l’emmener dans ma chambre de jeune fille malgré sa femme, alors on connaît ma réponse.
• Taxi !
Non loin de l’Assemblée nationale dans une petite rue discrète il nous dépose.
J’ai eu des flirte au bahut et je me suis déjà fait rouler ce que l’on appelle vulgairement des pelles, mais là le temps de monter les quelques étages, nous nous embrassons passionnément des dizaines de fois.
Je me retrouve nue dès la porte franchie ainsi que lui et pour la première fois sans avoir eu le temps de voir ses abdos, je me trouve la poitrine contre la mienne et sa verge bandée, se fichant entre mes deux cuisses.
J’ai eu peur de mouiller mon siège, là je suis sûr que si j’arrivais à glisser ma main entre nous, elle serait ruisselante.
Il me prend sous les fesses et me pose sur la table, dans mes rêves érotiques les plus fous, je perdais mon pucelage dans un lit sans penser qu’il y avait de multiples endroits pour le faire.
Je sens sa main saisir sa verge et la situer là où j’espère, elle va me faire du bien.
• Han !
C’est le bruit qu’il fait alors que sa langue est dans ma bouche quand son pieu me déchire.
Sa bouche émet ce petit bruit, mais elle évite mon cri de douleur.
• Merde, tu étais vierge !
• Oui.
• Pardon.
• Non continuée, je suis contente que tu sois le premier.
• Quel joli cadeau, tu m’offres mon cœur, me donner ta virginité, c’est l’un des plus beaux jours de ma vie.
J’ai soif et toi !
• On était venu pour boire, cacher des autres, il va falloir que nous le soyons beaucoup plus, à moins que je sois le coup d’un soir ce que je comprendrais, étant marié.
• Je te propose de considérer mon ancienne chambre où je dormais avant de venir habiter Paris que ce soit notre nid d’amours.
Il vient de me servir une coupe de champagne, je l’ingurgite cul sec.
• Je t’ai donné soif à ce que je voie, ma chatte.
Il me remplit ma coupe et nous trinquons, nous sommes dans le coin cuisine, à moitié dénudé, je peux voir ses abdos bien découpés comme je le présentais.
Je suis insatiable, j’ai envie qu’il soit à nouveau en moi, je m’agenouille et je lui nettoie la queue avec ma bouche, faisant disparaitre toutes les traces de mon sang.
C’est sur le lit où il m’a porté que nous avons fait l’amour pour la seconde fois, quand il a éjaculé en moi, j’ai pris conscience que de fille de…, je passais au stade de maîtresse de…
J’étais contente, beaucoup de mes congénères voudraient dépendre d’un tel homme plutôt que de ses parents, j’étais prête à tout pour garder mon statut…
Si l'on vous demande qui je suis, je m’appelle Jessika, je suis la fille de l’union d’un haut fonctionnaire, père et de mère tous deux hauts fonctionnaires dans l’administration.
Ils se sont connus sur les bancs de l’École Nationale d’Administration, ils ont baisé et je suis née, jolie petite blonde assez élancée, presque 1 m 80 avec une poitrine qui je l’espère ne grossira pas plus.
Je suis fille unique, depuis que je suis née, j’avais une préceptrice, Geneviève, devenue majeure, elle est partie en retraite rejoignant son fils dans la Nièvre.
Mes parents sont souvent absents surtout le soir, mais ils reçoivent très fréquemment, toujours du beau linge comme l’on dit.
C’est le cas ce soir, en égare à leurs rangs, je simplifierais les fonctions que les personnages à qui j’ai eu affaire ainsi que les noms pour conserver leur anonymat, c’est le cas pour ma première soirée à domicile ou mes parents ont invité des élus dont Pierre et Marie.
Pierre est l’un de ces élus de province, mais plus souvent dans la capitale que dans sa juridiction.
Marie est femme au foyer, avec trois enfants malgré ses trente-quatre ans, elle ressemble déjà à un vieux pruneau malgré les heures passées dans les instituts de beauté principalement celle qui est près de l’Opéra.
Je suis à la gauche de Pierre, Marie a sa droite, le profil de cet homme ayant surement la quarantaine, contrairement à sa femme est très agréable, son costume sur mesure souligne ses formes harmonieuses.
Je lui arracherais bien sa chemise, je suis persuadée qu’il a toujours ses plaquettes de chocolats à la hauteur de ses abdos.
Je remarque ses boutons de manchettes avec de petits diamants qui doivent valoir une fortune.
C’est la première fois que je porte une robe longue et des tallons ayant déjà une petite hauteur, mère m’a emmené chez sa modiste alors que jusqu’à ce jour, ma préceptrice avait une carte bleue alimentée pour ce genre d’achat, mais dans des boutiques plus classiques.
La modiste à tenue à ce que ma robe soit aussi blanche que ma virginité, seul mon bracelet de naissance est à mon poignet.
• Jessika, vous êtes devenue une agréable jeune fille et dire que lorsque vous étiez petite, Marie vous faisait sauter sur ses genoux, tu te souviens ma chérie !
Interpellé Marie se penche vers moi et lui répond.
• Tu as raison, Pierre, elle a bien grandi, que ne donnerais-je pour retrouver son âge.
Sa tirade débitée, elle retourne à son assiette qu’elle fixe mangeant en picorant.
Pierre se penche vers moi et me parle en murmurant.
• Ma femme est légèrement dépressive, elle a pris ses médicaments.
Le repas terminé, nous passons au salon, il y a quatre couples ce soir dont Joseph et Marie-Claude, copain de Pierre et de père, ils traitent de nombreuses affaires ensemble, Joseph semble plus vieux que ses deux ami.
• Jessika, quel beau prénom, ça fait du bien de voir ta fraîcheur, si tu savais la sinécure qui est de vivre avec une femme qui ne pense qu’à mourir.
• Votre femme veut mourir !
• Deux tentatives, les deux fois, c’est moi qui l’ai sauvé, les deux fois les médecins l’ont placé dans une maison spécialisée, ils viennent de me la rendre, mais je trouve qu’elle est loin d’être guérie.
• Vous avez raison, je vais aller la voir, elle semble si seule.
C’est comme cela que j’ai fini la soirée buvant du café et faisant la garde malade, j’ai réussi à la faire un peu parler, mais la plupart du temps c’est moi qui est fait un monologue sur mes études de droit.
Je fais ses études sans passions, familialement, j’ai toujours entendu dire que le droit menait à tous et surtout dans le lit d’un fils de… qui me fera des enfants surtout un fils qui perpétuera la lignée et le nom de ces familles de la haute dont la mienne fait partie et moi aussi par déduction.
Tous prennent congé et je rejoins mon lit en pendant à Pierre, il ne doit pas s’amuser tous les jours avec Marie, est-ce qu’il la baise ou se laisse tel baiser ?
Un soir en entrant, je trouve sur ma table de nuit une lettre que notre servante a déposée.
Elle sent l’homme, j’ai toujours trouvé qui m’envoyait une missive en sentant l’enveloppe, mais là, je suis sèche, ça sent l’homme, mais un inconnu pour moi.
Quand je l’ouvre, je vois deux billets d’entrée à l’opéra Bastille déchiré par la moitié, pour voir La Bohème, je comprends pourquoi mes sens m'ont joué un tour, c’est Pierre qui mes les envoie avec une lettre et je n’ai pas été assez en contact avec lui cette première fois.
« Ma chère Jessika, je voulais te remercier de l’attention que tu as portée à Marie lors du repas chez tes parents.
Pour te remercier, étant passionnée d’opéra, tu as dans tes mains la possibilité de me faire plaisir en venant avec tes moitiés de billets à la séance indiquée ou les jetés rendant mes moitiés bonnes pour le broyeur à papier.
Nul doute que tu sauras me faire plaisir, Marie refusant de sortir de sa chambre ou depuis des semaines je n’ai plus accès.
Pour te remercier, étant passionnée d’opéra, tu as dans tes mains la possibilité de me faire plaisir en venant avec tes moitiés de billets à la séance indiquée ou les jetés rendant mes moitiés bonnes pour le broyeur à papier. »
Voici quelques menues monnaies pour que tu payes ton taxi.
Dilemme, j’ai déjà vu cet opéra de Puccini en avant-première avec père et mère, mais la confiance qu’il semble mettre en moi en mettant la moitié de ses entrées dans ma main me force à réagir autrement que je ne l’aurais fait en temps normal.
À l'heure indiquée un taxi me dépose.
• Je vois que tu es venu, c’est un grand plaisir pour moi, surtout de ta présence à mes côtés, je vais être l’homme le plus chanceux de la salle avec une telle beauté à mes côtés.
Je rougis de plaisir et fière de monter les quelques marches au bras d’un si bel homme.
Je me suis bien gardé de dire à mère que leur ami m’avait invitée et que j’allais accepter, je remets la robe que j’avais avec eux, nous l’avions acheté spécialement comme la robe du soir pour mon premier repas.
Je suis un peu étonné qu’un homme qui pourrait avoir les plus belles femmes de Paris à son bras, nous installe dans cette salle côte à côte.
Pendant le spectacle, à un moment, il me prend la main, la monte vers sa bouche et m’effleure l’intérieur du poignet avec ses lèvres.
Il réitère son geste plusieurs fois, je mouille comme jamais je n’ai mouillé moi la vierge, j’ai bien peur que lorsque les lumières se rallument mon siège sois imprégné de ma cyprine montrant la petite salope que je suis.
Mimi est à nouveau morte comme la première fois et nous quittons la salle, Pierre me tenant par le bras à hauteur de mon sein qui n’en demande pas tant pour s’exciter.
• Merci de m’avoir accompagné, nous prenons un verre ensemble avant que tu ne rejoignes ton lit de jeune fille !
• Très volontiers, mais n’as-tu pas peur d’être vue en galante compagnie et que des personnes malveillantes aillent le dire à ta femme.
• À mon avis, je m’en contrefous, mais c’est pour toi, si tu le veux, on prend un taxi et je t’emmène dans l’appartement que j’ai acquis avec mes émoluments me permettant de me loger quand je suis à Paris avant que pour Marie qui détestait la province, j’achète l’appartement où nous vivions actuellement.
Je suis pucelle, mais pas nunuche, je sais que si je dis « oui » mon pucelage disparaîtra avant la fin de la nuit, mais j’ai dans la tête ses ados que j’aurais voulu voir chez moi quitte à l’emmener dans ma chambre de jeune fille malgré sa femme, alors on connaît ma réponse.
• Taxi !
Non loin de l’Assemblée nationale dans une petite rue discrète il nous dépose.
J’ai eu des flirte au bahut et je me suis déjà fait rouler ce que l’on appelle vulgairement des pelles, mais là le temps de monter les quelques étages, nous nous embrassons passionnément des dizaines de fois.
Je me retrouve nue dès la porte franchie ainsi que lui et pour la première fois sans avoir eu le temps de voir ses abdos, je me trouve la poitrine contre la mienne et sa verge bandée, se fichant entre mes deux cuisses.
J’ai eu peur de mouiller mon siège, là je suis sûr que si j’arrivais à glisser ma main entre nous, elle serait ruisselante.
Il me prend sous les fesses et me pose sur la table, dans mes rêves érotiques les plus fous, je perdais mon pucelage dans un lit sans penser qu’il y avait de multiples endroits pour le faire.
Je sens sa main saisir sa verge et la situer là où j’espère, elle va me faire du bien.
• Han !
C’est le bruit qu’il fait alors que sa langue est dans ma bouche quand son pieu me déchire.
Sa bouche émet ce petit bruit, mais elle évite mon cri de douleur.
• Merde, tu étais vierge !
• Oui.
• Pardon.
• Non continuée, je suis contente que tu sois le premier.
• Quel joli cadeau, tu m’offres mon cœur, me donner ta virginité, c’est l’un des plus beaux jours de ma vie.
J’ai soif et toi !
• On était venu pour boire, cacher des autres, il va falloir que nous le soyons beaucoup plus, à moins que je sois le coup d’un soir ce que je comprendrais, étant marié.
• Je te propose de considérer mon ancienne chambre où je dormais avant de venir habiter Paris que ce soit notre nid d’amours.
Il vient de me servir une coupe de champagne, je l’ingurgite cul sec.
• Je t’ai donné soif à ce que je voie, ma chatte.
Il me remplit ma coupe et nous trinquons, nous sommes dans le coin cuisine, à moitié dénudé, je peux voir ses abdos bien découpés comme je le présentais.
Je suis insatiable, j’ai envie qu’il soit à nouveau en moi, je m’agenouille et je lui nettoie la queue avec ma bouche, faisant disparaitre toutes les traces de mon sang.
C’est sur le lit où il m’a porté que nous avons fait l’amour pour la seconde fois, quand il a éjaculé en moi, j’ai pris conscience que de fille de…, je passais au stade de maîtresse de…
J’étais contente, beaucoup de mes congénères voudraient dépendre d’un tel homme plutôt que de ses parents, j’étais prête à tout pour garder mon statut…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Jolie histoire
Mais quel dommage qu il ait autant de fautes d orthographe et de syntaxe
Faites corriger cela ameliorera autant votre recit
Mais quel dommage qu il ait autant de fautes d orthographe et de syntaxe
Faites corriger cela ameliorera autant votre recit
Nov. 22, 2017. Quelle superbe histoire, qui doit réveiller des souvenirs à plus d'un (une) lecteur ou lectrice.