COLLECTION TABOU. Coup de foudre. (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION TABOU. Coup de foudre. (1/2)
Notre histoire a commencé lors du bal annuel de la choucroute de notre club de foot local, j’y assistais pour la première fois.
Je suis venue à ce bal, endroit qui est un peu étranger à ma culture pour suivre mon mari Édouard qui joue tous les vendredis soir avec les vétérans du club.
Nous avons des jumelles Aline et Alice qui ont 16 ans qui font de la danse et qui sont loin de pratiquer ce sport.
À cette soirée, nous nous sommes inscrits à trois couples d’âge identique, nous évoluons dans la tranche des 35 à 40 ans.
J’ai personnellement 37 ans, je suis brune aux yeux verts et j’ai souvent le regard des hommes qui se porte sur moi.
Je sais que dans mon dos de nombreux mecs pensent qu’Édouard a de la chance d’avoir une pouliche comme moi.
Je dis bien pouliche, car un jour où j’allais chercher mes filles à l’école, l’année qui précédait leur entrée au collège pour les amener chez le médecin, j’ai entendu deux d’entre elles parler de moi et me nommer ainsi.
Je suis une femme discrète, je me suis retirée sans qu’elles me voient.
À cette soirée, c’est le couple Michel et Véronique qui nous ont inscrits, ils ont deux garçons Adrien et Jules, lui est informaticien et elle travaille à la boulangerie tous les matins jusqu’à douze heures.
Nos filles ont accepté de venir à la soirée à la seule condition d’être à la table des jeunes avec Adrien pour Aline et Louis pour Alice qui semble être leurs petits copains du moment, il faut bien que jeunesse se passe et qu’elles apprennent ce qu’est une peine de cœur.
J’ai pensé à tout voyant qu’elles avaient envie de liberté, elles ont la pilule à leur disposition.
Louis est le fils de leur âge du troisième couple à notre table Benoît et Stéphanie.
Pour clore le tableau Stéphanie est comme moi infirmière à l’hôpital de la ville voisine dans le même service, mais en équipe opposée, nous nous croisons à chaque relève.
À ce bal nos hommes sont plus enclins à boire des demis de bière qu’à s’occuper de nous faire danser.
J’ai toujours aimé me trémousser surtout les danses plus classiques que celles qui sont modernes dont mes filles raffolent.
Un paso-doble attaque la soirée et Stéphanie me demande de la faire danser, cela me fait plaisir et je reprends ma place à table la remerciant.
Je suis face à Véronique et plusieurs fois nos regards se croisent, mais je n’interprète pas du tout ces échanges.
Mes filles viennent me chercher et je me trémousse sous le regard de ces messieurs qui sont encore à l’apéro au bar.
Viens, le moment où les notes me font comprendre que le D.J. a mis une valse sur ses platines.
• Veux-tu danser Jennifer ?
Je viens de m’asseoir un peu essoufflée à avoir voulu suivre mes filles, mais j’aime tellement la valse que j’ai beaucoup dansée avec mon beau-père le jour de mes noces, Édouard étant incapable de suivre un rythme et étant une catastrophe pour mes pieds.
• Bien sûr, Véro.
Je me relève, c’est elle qui conduit, étrangement j’aime ma main dans sa main et la douceur de sa paume me chamboule légèrement.
Bien sûr, mes pensées sont loin d’être malhonnêtes, mais c’est la première femme qui me fait cet effet.
Sexuellement avec Édouard tout est parfait, j’ai un mari attentionné qui sait me donner du plaisir, il sait à la seconde prête le geste à faire pour que je sois en confiance et chaque fois qu’il est en moi, il m’apporte de magnifiques orgasmes.
C’est dans cette communion presque fusionnelle que nous avons conçu nos jumelles.
Dans son humour bien à lui, il me dit parfois que nous pourrions concevoir l’étui pour les ranger.
Je jouis donc une fois, mais une seule à chaque rapport, est-ce là mon point faible, car je sens que depuis notre mariage, il essaye désespérément faire redémarre mon corps une seconde fois, mais hélas pour lui dès que j’ai joui je reste sans réaction baignant dans une douce torpeur.
J’attends qu’il se déverse en moi et satisfaite je me retourne pour m’endormir.
• Un slow, veux-tu continuer à danser ?
• Bien sûr, j’aime toutes les danses !
• Regarde nos ivrognes, il va falloir les couchers bourrés une nouvelle fois.
• Tu sembles avoir l’habitude moi, c’est la première choucroute du club que je fais.
Un mouvement se produit dans la salle et le D.J. arrête la musique.
• Mesdames et messieurs, nos cuistots vont vous servir une assiette bien chaude de la choucroute qu’ils vous préparent depuis deux jours, servie par tous les joueurs seniors de votre club.
• Et les vétérans.
• Exact, excusez, et les vétérans.
C’est Édouard qui se fait remarquer sa pression à la main, j'ai très peur qu’il s’affale avec ses assiettes, il se balance déjà d’avant en arrière.
Les assiettes sont servies et Adrien le fils de Véronique m’en apporte une et l’autre à sa maman qui amoureusement l’embrasse, au mouvement qu’il fait, j’ai l’impression que pour ce garçon de 17 ans une vipère l’a piqué, la musique a repris là où elle s’était arrêtée.
Au bar mon mari, plein de bonnes intentions, a repris une des deux pressions qui l’attende déjà sur le comptoir, je suis sûr que la choucroute à servir, il ne s’en souvient même pas, ce n’est pas plus mal d’ailleurs.
• Tu viens danser, la choucroute peut attendre.
• Oui, Jennifer, tu as raison.
Nous nous levons, je la reçois dans mes bras, une de ses mains se trouve sur mes épaules et l’autre sur la chute de mes reins.
Les miens sont placés sensiblement au même endroit et nos bassins sont presque à se toucher, ce qui arrive de temps en temps.
Elle approche sa bouche de mon oreille.
• C’est bizarre ce qui m’arrive, j’ai une folle envie de t’embrasser.
• Moi aussi, faisons attention, regarde, nous sommes seules sur la piste, les autres mangent.
• Je viens de le voir, mais je n’arrive pas à me détacher de toi.
• Moi non plus, puis-je te poser une question ?
• Bien sûr, mais je crois savoir ce que tu vas me demander.
• Es-tu lesbienne ?
• Pas le moindre du monde mon cœur, c’est la première fois qu’une femme me fait l’effet que tu me fais.
• Séparons-nous évitons de nous donner en spectacle, tu sais quand je fais mes courses, j’entends tous les ragots, évitons d’en faire partie.
Nous nous séparons et pendant de longues minutes aucune bouchée ne monte à ma bouche tellement je suis chamboulé.
Et si c’était moi qui suis lesbienne sans le savoir.
Nos hommes sont revenus manger et chacune de nous donnons le change de la femme amoureuse, mon homme commence à avoir une haleine de chacal, j’ai horreur de la bière ne buvant que de l’eau, j’interromps ses élans.
Je vois Véroniques sortir son portable et taper certainement un SMS avec deux de ses doigts.
C’est le moment que nos hommes choisissent pour retourner au bar accompagné par Stéphanie qui semble aussi avinée que son homme, je devrais dire de nos hommes quand ils se lâchent en soirée.
J’ai déjà vu une fois Édouard lors d’une fin d’année dans cet état, mon portable sonne dans mon sac, je le regarde.
« Jennifer, il y a trop de bruit, tu viens, on s’en va, j’ai envie d’être seule avec toi. »
Je tape ma réponse, la sono crache à fond ses danses modernes.
« J’en ai aussi envie que toi, mais pense à nos enfants, il faut rester sage, lundi la boulangerie est bien fermée ? »
Elle reprend et écrit avant retour.
« Oui, et toi, travailles-tu ?
Moi.
« Je travaille demain après-midi, lundi, c’est mon jour de repos. »
Elle.
« Viens prendre un café à quatorze heures, je serais seule Michel est à son entreprise jusqu’à 19 heures. »
Moi.
« Moi aussi, Édouard part sur son chantier jusqu’à vendredi, je crois que… »
J’ai failli écrire, je crois que je t’aime, mais les trois points sont explicites, je reçois en réponse.
« Moi aussi je crois que… j’ai un coup de foudre pour toi. »
Nous retournons danser et comme le reste de la soirée est réservé à nos jeunes, nous nous trémoussons, nous touchant soit la main soit les fesses chaque fois que la danse nous le permet.
La soirée terminée, elle vient dans mes bras.
• Je t’aime à lundi.
• Je t’aime aussi, j’ai un peu peur de ce qui nous arrive.
• Moi aussi.
Un baiser discret au coin de nos lèvres ponctue cette révélation.
Le retour à la maison est un peu difficile, il faut dire que nos hommes au bar ont fini au Get, j’ai peur d’être obligé de nettoyer l’intérieur de la voiture, mais j’ai épousé un grand garçon qui attend d’être sur notre pelouse pour gerber le trop-plein de liquide qu’il a ingurgité.
Nos filles sont restées pour nettoyer la salle avec tous les jeunes joueurs du moins tous ceux qui voient encore clair avant d’être raccompagnés par le président qui est resté sobre.
• Tu viens chérie, je vais te baiser, regarde, je bande pour toi.
C’est d’une voix incertaine qu’Édouard me dit cela son sexe en main arrosant la pelouse de son urine et de ses vomissements.
• Viens, j’ai aussi envie de toi.
C’est la seule tactique que je sens pouvoir employer pour éviter qu’il ne dorme sur la pelouse où une fine pellicule de neige commence à la recouvrir.
J’arrive à ce qu’il s’assoie sur notre canapé où en une seconde il dort, je l’allonge en latéral de sécurité, métier oblige, avec un saladier, sera-t-il capable de le prendre, j’en doute.
Un coussin, sous sa tête, le plaide que je me sers l’hiver, je suis tranquille, j’ai fait mon travail d’épouse, je rejoins notre chambre et après avoir enlevé mes vêtements, je me prélasse dans mon bain.
Comme à mon habitude, je pose mon portable sur le tabouret à mes côtés lorsqu’il vibre…
Je suis venue à ce bal, endroit qui est un peu étranger à ma culture pour suivre mon mari Édouard qui joue tous les vendredis soir avec les vétérans du club.
Nous avons des jumelles Aline et Alice qui ont 16 ans qui font de la danse et qui sont loin de pratiquer ce sport.
À cette soirée, nous nous sommes inscrits à trois couples d’âge identique, nous évoluons dans la tranche des 35 à 40 ans.
J’ai personnellement 37 ans, je suis brune aux yeux verts et j’ai souvent le regard des hommes qui se porte sur moi.
Je sais que dans mon dos de nombreux mecs pensent qu’Édouard a de la chance d’avoir une pouliche comme moi.
Je dis bien pouliche, car un jour où j’allais chercher mes filles à l’école, l’année qui précédait leur entrée au collège pour les amener chez le médecin, j’ai entendu deux d’entre elles parler de moi et me nommer ainsi.
Je suis une femme discrète, je me suis retirée sans qu’elles me voient.
À cette soirée, c’est le couple Michel et Véronique qui nous ont inscrits, ils ont deux garçons Adrien et Jules, lui est informaticien et elle travaille à la boulangerie tous les matins jusqu’à douze heures.
Nos filles ont accepté de venir à la soirée à la seule condition d’être à la table des jeunes avec Adrien pour Aline et Louis pour Alice qui semble être leurs petits copains du moment, il faut bien que jeunesse se passe et qu’elles apprennent ce qu’est une peine de cœur.
J’ai pensé à tout voyant qu’elles avaient envie de liberté, elles ont la pilule à leur disposition.
Louis est le fils de leur âge du troisième couple à notre table Benoît et Stéphanie.
Pour clore le tableau Stéphanie est comme moi infirmière à l’hôpital de la ville voisine dans le même service, mais en équipe opposée, nous nous croisons à chaque relève.
À ce bal nos hommes sont plus enclins à boire des demis de bière qu’à s’occuper de nous faire danser.
J’ai toujours aimé me trémousser surtout les danses plus classiques que celles qui sont modernes dont mes filles raffolent.
Un paso-doble attaque la soirée et Stéphanie me demande de la faire danser, cela me fait plaisir et je reprends ma place à table la remerciant.
Je suis face à Véronique et plusieurs fois nos regards se croisent, mais je n’interprète pas du tout ces échanges.
Mes filles viennent me chercher et je me trémousse sous le regard de ces messieurs qui sont encore à l’apéro au bar.
Viens, le moment où les notes me font comprendre que le D.J. a mis une valse sur ses platines.
• Veux-tu danser Jennifer ?
Je viens de m’asseoir un peu essoufflée à avoir voulu suivre mes filles, mais j’aime tellement la valse que j’ai beaucoup dansée avec mon beau-père le jour de mes noces, Édouard étant incapable de suivre un rythme et étant une catastrophe pour mes pieds.
• Bien sûr, Véro.
Je me relève, c’est elle qui conduit, étrangement j’aime ma main dans sa main et la douceur de sa paume me chamboule légèrement.
Bien sûr, mes pensées sont loin d’être malhonnêtes, mais c’est la première femme qui me fait cet effet.
Sexuellement avec Édouard tout est parfait, j’ai un mari attentionné qui sait me donner du plaisir, il sait à la seconde prête le geste à faire pour que je sois en confiance et chaque fois qu’il est en moi, il m’apporte de magnifiques orgasmes.
C’est dans cette communion presque fusionnelle que nous avons conçu nos jumelles.
Dans son humour bien à lui, il me dit parfois que nous pourrions concevoir l’étui pour les ranger.
Je jouis donc une fois, mais une seule à chaque rapport, est-ce là mon point faible, car je sens que depuis notre mariage, il essaye désespérément faire redémarre mon corps une seconde fois, mais hélas pour lui dès que j’ai joui je reste sans réaction baignant dans une douce torpeur.
J’attends qu’il se déverse en moi et satisfaite je me retourne pour m’endormir.
• Un slow, veux-tu continuer à danser ?
• Bien sûr, j’aime toutes les danses !
• Regarde nos ivrognes, il va falloir les couchers bourrés une nouvelle fois.
• Tu sembles avoir l’habitude moi, c’est la première choucroute du club que je fais.
Un mouvement se produit dans la salle et le D.J. arrête la musique.
• Mesdames et messieurs, nos cuistots vont vous servir une assiette bien chaude de la choucroute qu’ils vous préparent depuis deux jours, servie par tous les joueurs seniors de votre club.
• Et les vétérans.
• Exact, excusez, et les vétérans.
C’est Édouard qui se fait remarquer sa pression à la main, j'ai très peur qu’il s’affale avec ses assiettes, il se balance déjà d’avant en arrière.
Les assiettes sont servies et Adrien le fils de Véronique m’en apporte une et l’autre à sa maman qui amoureusement l’embrasse, au mouvement qu’il fait, j’ai l’impression que pour ce garçon de 17 ans une vipère l’a piqué, la musique a repris là où elle s’était arrêtée.
Au bar mon mari, plein de bonnes intentions, a repris une des deux pressions qui l’attende déjà sur le comptoir, je suis sûr que la choucroute à servir, il ne s’en souvient même pas, ce n’est pas plus mal d’ailleurs.
• Tu viens danser, la choucroute peut attendre.
• Oui, Jennifer, tu as raison.
Nous nous levons, je la reçois dans mes bras, une de ses mains se trouve sur mes épaules et l’autre sur la chute de mes reins.
Les miens sont placés sensiblement au même endroit et nos bassins sont presque à se toucher, ce qui arrive de temps en temps.
Elle approche sa bouche de mon oreille.
• C’est bizarre ce qui m’arrive, j’ai une folle envie de t’embrasser.
• Moi aussi, faisons attention, regarde, nous sommes seules sur la piste, les autres mangent.
• Je viens de le voir, mais je n’arrive pas à me détacher de toi.
• Moi non plus, puis-je te poser une question ?
• Bien sûr, mais je crois savoir ce que tu vas me demander.
• Es-tu lesbienne ?
• Pas le moindre du monde mon cœur, c’est la première fois qu’une femme me fait l’effet que tu me fais.
• Séparons-nous évitons de nous donner en spectacle, tu sais quand je fais mes courses, j’entends tous les ragots, évitons d’en faire partie.
Nous nous séparons et pendant de longues minutes aucune bouchée ne monte à ma bouche tellement je suis chamboulé.
Et si c’était moi qui suis lesbienne sans le savoir.
Nos hommes sont revenus manger et chacune de nous donnons le change de la femme amoureuse, mon homme commence à avoir une haleine de chacal, j’ai horreur de la bière ne buvant que de l’eau, j’interromps ses élans.
Je vois Véroniques sortir son portable et taper certainement un SMS avec deux de ses doigts.
C’est le moment que nos hommes choisissent pour retourner au bar accompagné par Stéphanie qui semble aussi avinée que son homme, je devrais dire de nos hommes quand ils se lâchent en soirée.
J’ai déjà vu une fois Édouard lors d’une fin d’année dans cet état, mon portable sonne dans mon sac, je le regarde.
« Jennifer, il y a trop de bruit, tu viens, on s’en va, j’ai envie d’être seule avec toi. »
Je tape ma réponse, la sono crache à fond ses danses modernes.
« J’en ai aussi envie que toi, mais pense à nos enfants, il faut rester sage, lundi la boulangerie est bien fermée ? »
Elle reprend et écrit avant retour.
« Oui, et toi, travailles-tu ?
Moi.
« Je travaille demain après-midi, lundi, c’est mon jour de repos. »
Elle.
« Viens prendre un café à quatorze heures, je serais seule Michel est à son entreprise jusqu’à 19 heures. »
Moi.
« Moi aussi, Édouard part sur son chantier jusqu’à vendredi, je crois que… »
J’ai failli écrire, je crois que je t’aime, mais les trois points sont explicites, je reçois en réponse.
« Moi aussi je crois que… j’ai un coup de foudre pour toi. »
Nous retournons danser et comme le reste de la soirée est réservé à nos jeunes, nous nous trémoussons, nous touchant soit la main soit les fesses chaque fois que la danse nous le permet.
La soirée terminée, elle vient dans mes bras.
• Je t’aime à lundi.
• Je t’aime aussi, j’ai un peu peur de ce qui nous arrive.
• Moi aussi.
Un baiser discret au coin de nos lèvres ponctue cette révélation.
Le retour à la maison est un peu difficile, il faut dire que nos hommes au bar ont fini au Get, j’ai peur d’être obligé de nettoyer l’intérieur de la voiture, mais j’ai épousé un grand garçon qui attend d’être sur notre pelouse pour gerber le trop-plein de liquide qu’il a ingurgité.
Nos filles sont restées pour nettoyer la salle avec tous les jeunes joueurs du moins tous ceux qui voient encore clair avant d’être raccompagnés par le président qui est resté sobre.
• Tu viens chérie, je vais te baiser, regarde, je bande pour toi.
C’est d’une voix incertaine qu’Édouard me dit cela son sexe en main arrosant la pelouse de son urine et de ses vomissements.
• Viens, j’ai aussi envie de toi.
C’est la seule tactique que je sens pouvoir employer pour éviter qu’il ne dorme sur la pelouse où une fine pellicule de neige commence à la recouvrir.
J’arrive à ce qu’il s’assoie sur notre canapé où en une seconde il dort, je l’allonge en latéral de sécurité, métier oblige, avec un saladier, sera-t-il capable de le prendre, j’en doute.
Un coussin, sous sa tête, le plaide que je me sers l’hiver, je suis tranquille, j’ai fait mon travail d’épouse, je rejoins notre chambre et après avoir enlevé mes vêtements, je me prélasse dans mon bain.
Comme à mon habitude, je pose mon portable sur le tabouret à mes côtés lorsqu’il vibre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Jan. 15, 2018. Oh oui, que nous aimons cette histoire et John La Semelle a déjà sa quiquelle en main pour la lecture de la suite.