COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (2/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand.  Les filles d’Olaf (2/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (2/5)
Eh oui, que cela vous déplaise ou non, je suis toujours Martine Durand, inutile de dire avec un D à la fin depuis le temps que l’on me connaît, vous le savez.
Eh oui, que cela vous déplaise ou non, je suis revenue à Beaune en Côte d’Or reprenant mon poste comme inspecteur de la police nationale, là encore, inutile de dire inspecteur sans « e. »
Eh oui, que cela vous plaise ou non, mieux, mes chefs fièrent des renseignements que je leur ai rapportés du yack d’Olaf, m’ont offert quinze jours de vacances aux frais de l’état, en Espagne.
Eh oui, que cela vous plaise ou non, ma première passe c’est à Dijon que je la fais à l’hôtel du lac de Kir avec mon supérieur hiérarchique que je la pratique et ce fut mémorable.
J’arrête là, mes, eh oui, en tant que membre du réseau et pourvoyeur des fonds avec mes fesses, j'ai reçu une somme de 5000 €, dont 1500 pour moi.
Quel plaisir lorsque mon inspecteur principal s’est fendu de son enveloppe pour se payer mes services afin de préparer ma retraite.
Avec ce montant, multiplié par x fois où je me prostituerais, je commence à préparer cette retraite ou au moins la possibilité de finir mes jours les doigts de pieds en éventails au soleil du sud de la France.
Mes ambitions ne se limitent pas à mes fonctions actuelles, car je veux également m'assurer un avenir confortable, toutefois, ma mission n’était pas encore terminée.
Robert, mon supérieur hiérarchique dijonnais, me charge d’une nouvelle mission délicate.
Je dois corrompre une femme travaillant à Paris, mais passant ses week-ends à Besançon, dans le Doubs.
Cela signifiait des déplacements fréquents et une vigilance accrue, car la moindre erreur pourrait compromettre toute l'opération et l’organisation que j’ai réussi à intégrer.
Que l’on me comprenne bien, c’est le fric que je vais gagner pour assurer mes vieux jours qui m’intéressent, seulement le fric, cette pétasse m’indiffère.
Je me sers encore un peu de la connerie phénoménale de Fred pour faire la pute aux frais de l’État.
Supposons, lorsque je m’absente pour aller tapiner qu’il me demande « où vas-tu ? »
Je n’aurais qu’à lui répondre, « appel Dijon ton grand patron Robert Lyon, il te dira de t’occuper de ce qui te regarde, commissaire. »
En prime, je peux lui prendre une voiture de service, la dernière livrée, pour me déplacer et mettre plus de fric dans ma poche avec les frais d’essence.

• Marc, viens me voir, j’ai une mission personnelle et délicate à te confier !
• Oui patronne, tout ce que vous voudrez, depuis que j’ai réussi mon examen grâce à vos cours, il m’est impossible de vous refuser quoi que ce soit.

Depuis que Marc a rejoint l’équipe du commissaire Fred, commissaire contre toute attente, vu le désastre que c’était lorsqu’il était mon adjoint.
Marc remplaçant en cela Claude muté à Dijon à qui je dois en grande partie ma vie lorsque je suis tombée dans les pattes de ces tarés, adepte de messes noires.
Marc, nouveau membre de l'équipe de Martine Durand, est d'origine réunionnaise.
Son père est décrit comme ayant une queue noire et sa mère une chatte blanche.
Cette dernière les aimants, grosses et bien sûres noires.

• Marc, tu sais que l’on me confie des missions, classé top secret.
À cet effet j’aurais besoin de renseignement sur Françoise Loréal, femme qui dirige l’institut des hautes études françaises à Paris.
Un deuxième renseignement, ou peut-on la trouver à Besançon où elle si trouve les week-ends auprès de son mari et ce qu’ils y font ?
Tu m’as comprise, même Fred doit ignorer que tu enquêtes sur cette femme, s’il te pose des questions, tu le renvoies vers moi !

Je sais, c’est vilain de se servir de la gentillesse de celui qui me doit en grande partie tout.
C’est vilain de l’avoir aidé afin qu’il réussisse son examen après lui aussi l’épisode des messes noires.
On peut se demander comment peut-il se retrouver à Beaune, étant certainement loin de pouvoir choisir sa première affectation.
Comme Fred lors de sa réussite improbable à l’examen de commissaire, il aurait eu plus de chance lui aussi de finir dans le Nord.
C’est deux jours après sa réussite, ou il m’avait appelé pour me remercier de l’avoir aidé que j’aie appelé Lyon à Dijon pour le faire affecter sous mes ordres.
Ni vue ni connu je t’embrouille, lorsqu’il est arrivé, il a été fort étonné de recevoir cette affectation, qu’il s’est empressé d’accepter.
Un point de détail, dès le lendemain de son arrivée, je lui ai fait comprendre que baiser ensemble, comme je l’avais fait avec Fred, s’était terminé, je redevenais sa supérieure hiérarchique.
C’était facile, comme on le voit, mon petit toutou mangeant dans la main qui l’a nourri.
Ouaf, ouaf, donne ta papatte à maman si tu veux avoir une jolie croquette…
Il faut aussi dire que du côté sexe, ma nouvelle soumission à Olaf me satisfait pleinement, j’aime dominer dans mon travail.
Autant lorsque je fais la pute, j’aime que les clients qui se servent de moi me dominant et me mettant plus bas que terre.
J’ai été servi à Dijon, mais attention, le fric, le fric, rien que le fric, des hordes de chevaux m’attendent.

• Martine, j’ai enquêté, voici les faits marquant aussi bien à Paris qu’à Besançon.
Jeunesse dans un collège de bonne sœur, fac de droit à Lille où elle rencontre Jean Loréal, qu’elle épouse et avec lequel elle a deux enfants.
C’est drôle, les similitudes avec toi, bien que je sois bien placé pour savoir que tu donnes de temps en temps des petits coups de canif dans ton contrat de mariage.
• Marc, qu’à ton dit, sur la distance que tu dois respecter avec moi !
Tu es à la limite de te trouver à courir après les migrands voulant partie pour l’Angleterre sur les plages de Calais dans le froid et le vent de la Manche.
• Pardon, Martine, tu as raison, je te promets de ne jamais plus te parler de sexe.

Je dois reconnaitre qu’il a bien raison sur la salope que je suis, fort de ces renseignements, je contacte Robert Lyon qui prévient Fred que je dois enquêter à Paris.
C’est beau la voie hiérarchique, Fred comme je l’ai souvent dit, est con comme un manche à balai.
Mais par chance, il a appris à l’armée, l’ayant servi avant de devenir inspecteur, qu’un ordre venant d’un supérieur, il est inutile de poser des questions.
Hôtel de l’arche à la défense, j’y reste trois jours.
Trois jours où les midis seulement je vais au restaurant non loin de mon hôtel et du lieu de résidence de Françoise.
Marc a noté cette adresse ou elle se rend seulement le midi, le reste de la semaine, elle quitte ses bureaux de l’institut des hautes études françaises et se rend directement chez elle, ou elle y passe la nuit.
Les midis donc, je suis au restaurant la plupart du temps bien visible d’elle sans pour autant entrer en contact direct avec.
Je recommence l’opération trois semaines de suite, j’aurais tort de m’en priver, Charles prenant mes notes de frais à sa charge.

• Bonsoir, si j’accepte un verre, bien sûr avec plaisir.

Ces mots je les prononce dans un bar à vin, toujours à la Défense où je viens dès le premier soir de la deuxième semaine.
Trois jours à me faire chier à regarder la télé en attendant le repas du lendemain au resto face à Françoise.
Si c’est elle qui prend contact avec moi, je sauterais sur l’aubaine, mais j’ai un autre plan au regard des notes de Marc.

• Vous a-t-on déjà dit que vous étiez une fort jolie femme ?
• Inutile de me baratiner, on va à votre hôtel ou chez vous si vous êtes célibataire !
• J’ai souvent cherché chaussures à mon pied lorsque je viens à Paris, mais vous m’en boucher un coin, c’est la première fois que je rencontre une femme aussi directe.
• Mon brave, le temps c’est de l’argent et pourquoi tourner autour du pot lorsque toi et moi savons ce que nous voulons.

Hôtel, comme moi, c’est un Provincial, certainement marié, mais ça je m’en fiche, seule sa queue m’intéresse pour un coup d’un soir.
Je suis sûr que si j’avais la possibilité de lire les commentaires des lecteurs de Chris71, ils diraient que je suis une folle du cul, du moins le suis-je devenue.
Par chance, la première semaine où je me suis morfondu, j’ai eu mes règles ce qui me donne toute liberté de m’éclater ces deux dernières.
Six jours, six jours de coups d’un soir, aucune de ces soirées je dors la nuit dans mon hôtel.
Six femmes cocues, comme moi je cocufie allègrement Jules, pour rigoler, pour les deux derniers j’étais à deux doigts de leur demander du fric leur disant que je suis une tapineuse.
Il est vrai lorsque je parle de Jules qu’il est toujours au Japon ce qui m’a évité toute interrogation sur cette photo le montrant, main dans le kimono d’une geisha, surtout si jeune.
Sieste le matin, tout de même il faut que je sois active dans mon tailleur bcbg que je porte lorsque je suis face à Françoise, il ne faut surtout pas que je sois provocante.
François semble une femme réservée, je dois l’être aussi si je veux avoir une chance de réussir ma mission.
Un midi, à une table voisine de la sienne, un homme arrive à engager la conversation, j’ignore ce qu’elle lui dit, mais il se lève précipitamment en sortant un billet il la quitte sans demander son rester.

Lorsque je retourne à Beaune lors de la troisième semaine, je vais passer à l’action, Françoise a relevé la tête et me voyant m’a fait un beau, mais petit sourire.
L’incident de la semaine précédente a dû la rappeler à son bon souvenir du petit sourire qu’elle a eu lorsqu’elle a compris que j’avais vu l’importun prendre la poudre d’escampette.

Il y a longtemps que je n’ai pas parlé d’Alexandre et Charlotte.
Simplement à évoquer leurs noms, je me sens obligée de rappeler que ce sont mes enfants, qui sont gardés à Chaudenay en Saône et Loire par mes parents.
Le téléphone est ma principale source de communication pour leur dire que je les aime et que je suis malheureuse de ne pas venir les voir ce week-end, mon travail m’en empêchant.
Ce week-end, j'ai décidé de passer à l’attaque à Besançon.
J'ai loué une charmante maison près du parc de la gare d'Eau le long du Doubs, où je pourrais courir pour me vider l'esprit.
Bien sûr, Charles finance cette location et me vider la tête, c’est relatif.
Dans ses notes Marc m’a noté que même s’il vente ou qu’il pleuve Françoise habitant tout près fait un jogging tous les dimanches matin.
C'était le moment parfait pour échapper à l'agitation de ma vie quotidienne et me recentrer.
Je suis en train de courir, lorsque je la vois arriver face à moi une tenue bien plus décontractée que celle qu’elle porte à Paris, cinq mètres.

• Aie, ma cheville !

Que cela est doux d’atterrir sur la poitrine de celle que l’on convoite…

Les avis des lecteurs

Mal écrite, mais écrite, respect s'il vous plait

Histoire Libertine
Redondante et ennuyeuse, mal écrite.



Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand.  Les filles d’Olaf (2/5)
Histoire sexe : Une rose rouge
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