COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (7/10)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2537 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 539 441 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 96 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (7/10)
Depuis que j’ai accepté de devenir l’une des filles d’Olaf, j’ai toujours baisé avec intérêt pour la bourse que je souhaite me constituer en acceptant de me prostituer.
Attention, pas une pute de bas étage comme semble l’être devenue Claire la jumelle de Solène.
Non, une pute rencontrant des gens de bonne condition ayant mis en place un réseau semblant être international.
Berlin, capitale de l’Allemagne réunifiée après la chute du mur de Berlin.
Le mur et Checkpoint Charlie, là ou tend de jeunes personnes sont mortes en voulant retrouver leur liberté.
Comment les gens de cette époque ont pu croire qu’un simple mur réussirait à séparer un peuple en deux ?
Lorsque Helmut le chauffeur qui nous aide de guide dans la ville me fait comprendre qu’il s’occuperait bien de mon joli petit cul.
Qu’il monte avec moi à l’arrière de la limousine de l’organisation, je suis partante.
Cette dernière soirée et un grand moment de la nuit dernière, j’ai joui et fait jouir la petite chatte de Solène, pute d’Olaf, comme moi, mais depuis plus longtemps.
Depuis bien des mois, on sait que j’ai découvert ma bi-sexualité.
Solène, après des directives d’Helmut semble être partie faire une course.
Alors lorsqu’il m’enlace sur le siège arrière, bien isolé du monde grâce aux vitres teintées faisant de la limousine un petit baisodrome, je me laisse faire avec délice.
Ces lèvres et sa main sur ma cuisse, je le laisse faire pour mon simple plaisir, aucune somme d’argent entre nous, même si je suis là après avoir été payée pour ce déplacement par l’organisation.
La coke que j’ai snifée avant de quitter l’hôtel doit encore faire de l’effet lorsqu’il me soulève ma jupe pour m’enlever ma petite culotte.
A ce moment sa bouche vient prendre possession de mon intimité que je lui cède bien volontiers, je suis chaude comme les braises dans la cheminée au matin où des bûches ont brûlé toute la nuit.
Dans cet espace très restreint, à mon souvenir, première fois que je me fais sauter dans une voiture, surtout en pleine rue.
Helmut quitte ma chatte après l’avoir léché contentieusement.
Il me prend les jambes et les tires à lui me les montant jusqu’au plafond de la carrosserie.
Il se redresse et je vois arriver sa verge, bien grosse et nerveuse à hauteur de ma bouche.
Ma main la saisit pour mieux la faire entrer, un coup de rein de sa part et je la sens toucher ma glotte.
• C’est bien ma belle, fait là entrer en gorge profonde, tu vas voir, je vais te faire jouir.
Je voudrais bien lui dire que j’aime qu’il me baise comme une chienne ou une salope, mais il est très difficile, voire impossible de parler la bouche pleine.
Il s’astique dans ma bouche tout en me caressant la chatte que sa main a à sa portée.
Ses doigts, dans mon délire, il m’est impossible de dire combien me pénètre m’enflammant de plus belle.
Je le veux en moi, je suis à deux doigts de me faire prendre en oubliant les précautions d’usage surtout avec un inconnu rencontrée il y a seulement quelques heures.
Heureusement je monte ma main vers sa verge pour la branler lorsque mes yeux voient mon bracelet Pandora.
La vision de ma fille me le plaçant le jour où elle me l’a offert, me ramène légèrement sur terre.
Je sors sa verge de ma bouche, je le fais reculer à mes côtés, j’ai mon petit sac à main que je portais sous le bras lord de nos visites et j’en sors de quoi nous protéger.
J’ai vu des pornos ou les filles faisaient glisser la capote sur la verge de leur galant avec leurs lèvres, toujours les jambes relevées, je la place là ou elle trouvera son utilité.
Bien couvert, je me laisse prendre pouvant reposer mes jambes qui commençaient à fatiguer sur ses épaules.
L’effet de la coke, faisant certainement encore effet et de cette verge noueuse au fond de moi, me fait partir vers les sommets de mon plaisir.
C’est aussi fort, voire plus fort que ce que j’ai fait chaque fois qu’un nouveau garçon m’a baisé.
• Elle te plait ma queue salope, tient, prend ça et encore ça !
Impossible que dans cette rue, somme toute assez passante de Berlin, les coups de queue que m’assène Helmut ne se remarquent pas au mouvement de la limousine.
Sans compter les hurlements de plaisirs que l’un comme l’autre nous émettons lorsque nous copulons.
Mais je m’en fiche, pour une fois que depuis que j’ai rejoint les filles d’Olaf, c’est mon propre choix de baiser et me faire baiser avec cet homme si bon lorsqu’il me baise.
• Eh bien, lorsque le chat n’est pas là, les souris danses, mais continuez, moi aussi je vais m’amuser un peu.
Solène qui vient de nous rejoindre, nous trouve encore en pleine action la verge de mon amant bien au fond de mon vagin.
Mais surtout la position de mes jambes, venant toucher le toit de notre limousine.
Je vois qu’elle relève sa jupe me montrant qu’elle se promène depuis que nous avons quitté l’hôtel la chatte à l’air.
Je n’avais pas remarqué ce détail lorsqu’elle s’était préparée.
Une fois qu’elle est en possibilité de se faire sucer, comme cette nuit, elle enjambe notre duo, à moitié couchée vue l’exiguïté de l’endroit, ses chaussures à talons hauts reposant sur les sièges en véritable cuir.
Elle me pose sa chatte sur ma bouche que je m’empresse de sucer son clito.
Jusqu’à son arrivée, nous étions deux à faire bouger les amortisseurs de la voiture, les coups que m’assène Helmut, de plus en plus puissant doit amplifier le mouvement de l’habitat où nous baisons.
Mais comme je l’ai dit, on voit sans être vue et les passants voulant éviter la pluie de l’orage qui commence à éclater sur la ville, les obligeant à se dépêcher et ne pas remarquer ce que nous faisons.
Tous trois dans une parfaite harmonie, prenons notre pied en hurlant que c’est bon de baiser.
• Merci, les filles, tout le plaisir a été pour moi, Solène as-tu trouvé l’adresse et le chemin que je t’ai expliqués où tu pouvais rencontrer mon copain Karl ?
• J’ai été un peu longue, car je me suis souvenue que tu m’avais dit de tourner à la deuxième à droite et moi je suis allée à la troisième, la première étant une impasse.
J’ai demandé mon chemin, dans un café et j’ai pu sonner à sa porte.
J’ai pu refaire mon stock de coke.
• Il t’a fait un prix comme je te l’avais dit si tu venais de ma part !
Lorsqu’ils s’adressent l’un à l’autre, le tutoiement m’interpelle comme s’ils se connaissaient déjà, mais je pense que c’est le plaisir que nous venons de prendre et de nous donner qui les rapproche.
• Le gramme était plus faible qu’à Paris, j’ai pu en avoir presque le double de ce que j’aurais eu là-bas.
• Je te vois venir, Karl faire un cadeau à une jolie fille sans rien en contrepartie, il aurait bien changé et de plus malgré ton erreur de rue, tu as été bien longue.
• Bon, je n’ai rien à cacher surtout à Martine après que je vous ai vu copuler en m’attendant.
• Tu lui as sucé la queue, petite salope, Karl adore que les filles lui fassent une fellation, Karl est mon cousin et nous avons passé de longs moments ensemble depuis notre jeunesse.
• Tu as été faire le plein de coke, tu aurais dû me le dire, je t’aurais donné quelques billets pour en prendre un peu plus !
• Crois-tu ma chérie que je t’ai oublié, voici quelques grammes pour toi, mais je te l’ai dit mollo sur la came, si tu vas trop loin, tu vas te retrouver comme ma sœur ?
La menace est sérieuse, mais je n’en ai rien à faire.
Je sors ma petite glace de mon sac, je veux gouter le produit apporté par Solène.
Quelques pincées de poudre blanche, un billet en Euro que je prends dans mon sac et mes narines se remplisse une nouvelle fois, aucune crainte, j’ai assez de caractère et de volonté pour arrêter lorsque je le déciderais.
Ne suis-je pas Martine Durand avec un « D » et non un « T », inspecteur de police à Beaune en Côte d’Or, même si Solène ne le sait pas !
La vie est belle, une fois snifé, je me sens d’attaque pour savoir qui veut me baiser contre rétribution par notre ou nos clients de ce soir.
Solène et Helmut profite de ma petite glace pour snifer eux aussi avant que notre chauffeur reprenne une tenue conforme avec celui d’un chauffeur de limousine.
Il reprend place à l’avant et la voiture redémarre, il nous parle et par un système avec nous, il nous fait visiter Berlin.
(De nouveau en I.A ! et reprise par Christ71 des paragraphes suivants. )
• Les filles, la promenade au centre-ville de Berlin ne s'arrête pas là.
Profitons de notre balade pour découvrir d'autres sites historiques et culturels.
Sur votre droite, le Reichstag, le siège du Parlement allemand, célèbre pour sa coupole en verre offrant une vue panoramique sur la ville
Mais vu votre rendez-vous de vingt-deux heures, nous n’avons pas le temps de nous y arrêter pour le visiter, je vous fais voir Berlin en restant dans vos sièges.
• Dis-moi Helmut, sais-tu ce qui nous attend ce soir, comment et que veulent nos clients qui nous ont demandé d’être prêtes pour 22 heures trente en robe du soir ?
• Mes chéris, j’ignore comme vous pourquoi, monsieur Rodolf… vous a fait venir de France.
• Je travaille ici avec ma limousine et je ne fais que répondre à des demandes de transporter diverses personnes de l’aéroport ou en ville/
J’en suis pour mes frais, j’aimerais bien connaître comment je vais gagner mon fric avant de rentrer en France.
Olaf a fait de moi une pute, jusqu’au bout des doigts, la séance avec Helmut et Solène sera pour moi, un gentil souvenir d’un bon moment passé ensemble.
Mais la voiture défile le long des rues, Helmut nous montre autre chose tout aussi impressionnant
• Mesdames, regardez à votre gauche, l'île aux musées !
Un ensemble de cinq musées de renommée mondiale, abritant des œuvres d'art allant de l'antiquité à l'époque moderne.
Là encore si vous revenez rapidement, j’aurais plaisir à vous faire visiter toutes ces merveilles.
Mais continuons notre route, point incontournable après ce qui s’est passé il y a de nombreuses années, mais à ne jamais oublier.
Le mémorial de l'Holocauste.
Un poignant hommage aux victimes juives du nazisme, composé de 2 711 stèles en béton.
Mais pour les Allemands, cette période est totalement révolue…
Attention, pas une pute de bas étage comme semble l’être devenue Claire la jumelle de Solène.
Non, une pute rencontrant des gens de bonne condition ayant mis en place un réseau semblant être international.
Berlin, capitale de l’Allemagne réunifiée après la chute du mur de Berlin.
Le mur et Checkpoint Charlie, là ou tend de jeunes personnes sont mortes en voulant retrouver leur liberté.
Comment les gens de cette époque ont pu croire qu’un simple mur réussirait à séparer un peuple en deux ?
Lorsque Helmut le chauffeur qui nous aide de guide dans la ville me fait comprendre qu’il s’occuperait bien de mon joli petit cul.
Qu’il monte avec moi à l’arrière de la limousine de l’organisation, je suis partante.
Cette dernière soirée et un grand moment de la nuit dernière, j’ai joui et fait jouir la petite chatte de Solène, pute d’Olaf, comme moi, mais depuis plus longtemps.
Depuis bien des mois, on sait que j’ai découvert ma bi-sexualité.
Solène, après des directives d’Helmut semble être partie faire une course.
Alors lorsqu’il m’enlace sur le siège arrière, bien isolé du monde grâce aux vitres teintées faisant de la limousine un petit baisodrome, je me laisse faire avec délice.
Ces lèvres et sa main sur ma cuisse, je le laisse faire pour mon simple plaisir, aucune somme d’argent entre nous, même si je suis là après avoir été payée pour ce déplacement par l’organisation.
La coke que j’ai snifée avant de quitter l’hôtel doit encore faire de l’effet lorsqu’il me soulève ma jupe pour m’enlever ma petite culotte.
A ce moment sa bouche vient prendre possession de mon intimité que je lui cède bien volontiers, je suis chaude comme les braises dans la cheminée au matin où des bûches ont brûlé toute la nuit.
Dans cet espace très restreint, à mon souvenir, première fois que je me fais sauter dans une voiture, surtout en pleine rue.
Helmut quitte ma chatte après l’avoir léché contentieusement.
Il me prend les jambes et les tires à lui me les montant jusqu’au plafond de la carrosserie.
Il se redresse et je vois arriver sa verge, bien grosse et nerveuse à hauteur de ma bouche.
Ma main la saisit pour mieux la faire entrer, un coup de rein de sa part et je la sens toucher ma glotte.
• C’est bien ma belle, fait là entrer en gorge profonde, tu vas voir, je vais te faire jouir.
Je voudrais bien lui dire que j’aime qu’il me baise comme une chienne ou une salope, mais il est très difficile, voire impossible de parler la bouche pleine.
Il s’astique dans ma bouche tout en me caressant la chatte que sa main a à sa portée.
Ses doigts, dans mon délire, il m’est impossible de dire combien me pénètre m’enflammant de plus belle.
Je le veux en moi, je suis à deux doigts de me faire prendre en oubliant les précautions d’usage surtout avec un inconnu rencontrée il y a seulement quelques heures.
Heureusement je monte ma main vers sa verge pour la branler lorsque mes yeux voient mon bracelet Pandora.
La vision de ma fille me le plaçant le jour où elle me l’a offert, me ramène légèrement sur terre.
Je sors sa verge de ma bouche, je le fais reculer à mes côtés, j’ai mon petit sac à main que je portais sous le bras lord de nos visites et j’en sors de quoi nous protéger.
J’ai vu des pornos ou les filles faisaient glisser la capote sur la verge de leur galant avec leurs lèvres, toujours les jambes relevées, je la place là ou elle trouvera son utilité.
Bien couvert, je me laisse prendre pouvant reposer mes jambes qui commençaient à fatiguer sur ses épaules.
L’effet de la coke, faisant certainement encore effet et de cette verge noueuse au fond de moi, me fait partir vers les sommets de mon plaisir.
C’est aussi fort, voire plus fort que ce que j’ai fait chaque fois qu’un nouveau garçon m’a baisé.
• Elle te plait ma queue salope, tient, prend ça et encore ça !
Impossible que dans cette rue, somme toute assez passante de Berlin, les coups de queue que m’assène Helmut ne se remarquent pas au mouvement de la limousine.
Sans compter les hurlements de plaisirs que l’un comme l’autre nous émettons lorsque nous copulons.
Mais je m’en fiche, pour une fois que depuis que j’ai rejoint les filles d’Olaf, c’est mon propre choix de baiser et me faire baiser avec cet homme si bon lorsqu’il me baise.
• Eh bien, lorsque le chat n’est pas là, les souris danses, mais continuez, moi aussi je vais m’amuser un peu.
Solène qui vient de nous rejoindre, nous trouve encore en pleine action la verge de mon amant bien au fond de mon vagin.
Mais surtout la position de mes jambes, venant toucher le toit de notre limousine.
Je vois qu’elle relève sa jupe me montrant qu’elle se promène depuis que nous avons quitté l’hôtel la chatte à l’air.
Je n’avais pas remarqué ce détail lorsqu’elle s’était préparée.
Une fois qu’elle est en possibilité de se faire sucer, comme cette nuit, elle enjambe notre duo, à moitié couchée vue l’exiguïté de l’endroit, ses chaussures à talons hauts reposant sur les sièges en véritable cuir.
Elle me pose sa chatte sur ma bouche que je m’empresse de sucer son clito.
Jusqu’à son arrivée, nous étions deux à faire bouger les amortisseurs de la voiture, les coups que m’assène Helmut, de plus en plus puissant doit amplifier le mouvement de l’habitat où nous baisons.
Mais comme je l’ai dit, on voit sans être vue et les passants voulant éviter la pluie de l’orage qui commence à éclater sur la ville, les obligeant à se dépêcher et ne pas remarquer ce que nous faisons.
Tous trois dans une parfaite harmonie, prenons notre pied en hurlant que c’est bon de baiser.
• Merci, les filles, tout le plaisir a été pour moi, Solène as-tu trouvé l’adresse et le chemin que je t’ai expliqués où tu pouvais rencontrer mon copain Karl ?
• J’ai été un peu longue, car je me suis souvenue que tu m’avais dit de tourner à la deuxième à droite et moi je suis allée à la troisième, la première étant une impasse.
J’ai demandé mon chemin, dans un café et j’ai pu sonner à sa porte.
J’ai pu refaire mon stock de coke.
• Il t’a fait un prix comme je te l’avais dit si tu venais de ma part !
Lorsqu’ils s’adressent l’un à l’autre, le tutoiement m’interpelle comme s’ils se connaissaient déjà, mais je pense que c’est le plaisir que nous venons de prendre et de nous donner qui les rapproche.
• Le gramme était plus faible qu’à Paris, j’ai pu en avoir presque le double de ce que j’aurais eu là-bas.
• Je te vois venir, Karl faire un cadeau à une jolie fille sans rien en contrepartie, il aurait bien changé et de plus malgré ton erreur de rue, tu as été bien longue.
• Bon, je n’ai rien à cacher surtout à Martine après que je vous ai vu copuler en m’attendant.
• Tu lui as sucé la queue, petite salope, Karl adore que les filles lui fassent une fellation, Karl est mon cousin et nous avons passé de longs moments ensemble depuis notre jeunesse.
• Tu as été faire le plein de coke, tu aurais dû me le dire, je t’aurais donné quelques billets pour en prendre un peu plus !
• Crois-tu ma chérie que je t’ai oublié, voici quelques grammes pour toi, mais je te l’ai dit mollo sur la came, si tu vas trop loin, tu vas te retrouver comme ma sœur ?
La menace est sérieuse, mais je n’en ai rien à faire.
Je sors ma petite glace de mon sac, je veux gouter le produit apporté par Solène.
Quelques pincées de poudre blanche, un billet en Euro que je prends dans mon sac et mes narines se remplisse une nouvelle fois, aucune crainte, j’ai assez de caractère et de volonté pour arrêter lorsque je le déciderais.
Ne suis-je pas Martine Durand avec un « D » et non un « T », inspecteur de police à Beaune en Côte d’Or, même si Solène ne le sait pas !
La vie est belle, une fois snifé, je me sens d’attaque pour savoir qui veut me baiser contre rétribution par notre ou nos clients de ce soir.
Solène et Helmut profite de ma petite glace pour snifer eux aussi avant que notre chauffeur reprenne une tenue conforme avec celui d’un chauffeur de limousine.
Il reprend place à l’avant et la voiture redémarre, il nous parle et par un système avec nous, il nous fait visiter Berlin.
(De nouveau en I.A ! et reprise par Christ71 des paragraphes suivants. )
• Les filles, la promenade au centre-ville de Berlin ne s'arrête pas là.
Profitons de notre balade pour découvrir d'autres sites historiques et culturels.
Sur votre droite, le Reichstag, le siège du Parlement allemand, célèbre pour sa coupole en verre offrant une vue panoramique sur la ville
Mais vu votre rendez-vous de vingt-deux heures, nous n’avons pas le temps de nous y arrêter pour le visiter, je vous fais voir Berlin en restant dans vos sièges.
• Dis-moi Helmut, sais-tu ce qui nous attend ce soir, comment et que veulent nos clients qui nous ont demandé d’être prêtes pour 22 heures trente en robe du soir ?
• Mes chéris, j’ignore comme vous pourquoi, monsieur Rodolf… vous a fait venir de France.
• Je travaille ici avec ma limousine et je ne fais que répondre à des demandes de transporter diverses personnes de l’aéroport ou en ville/
J’en suis pour mes frais, j’aimerais bien connaître comment je vais gagner mon fric avant de rentrer en France.
Olaf a fait de moi une pute, jusqu’au bout des doigts, la séance avec Helmut et Solène sera pour moi, un gentil souvenir d’un bon moment passé ensemble.
Mais la voiture défile le long des rues, Helmut nous montre autre chose tout aussi impressionnant
• Mesdames, regardez à votre gauche, l'île aux musées !
Un ensemble de cinq musées de renommée mondiale, abritant des œuvres d'art allant de l'antiquité à l'époque moderne.
Là encore si vous revenez rapidement, j’aurais plaisir à vous faire visiter toutes ces merveilles.
Mais continuons notre route, point incontournable après ce qui s’est passé il y a de nombreuses années, mais à ne jamais oublier.
Le mémorial de l'Holocauste.
Un poignant hommage aux victimes juives du nazisme, composé de 2 711 stèles en béton.
Mais pour les Allemands, cette période est totalement révolue…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

