COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (9/10)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (9/10)
Ou allons-nous arriver en descendant dans cet ascenseur ?
Solène en robe longue à quatre pattes comme moi à la même, j’ai eu le temps de la voir, les nombreuses fois où nous avons satisfait nos chattes.
Robe longue rouge pour moi avec un collier et une laisse de clebs pour moi et le même harnachement mais bleue, pour elle.
L’ascenseur s’arrête souplement, vu sa vitesse de descente, avant que les portes s’ouvrent, j’ai peur que ce ne soit les flammes de l’enfer qu’il ait atteint et que nous allons cramer tous les trois.
J’entends de la musique, je crois reconnaitre une chanson célèbre de la guerre.
Le temps de retrouver, les portes s’ouvrent, ce que je vois, même si je suis à quatre pattes, me trou le cul.
Pardon d’être grossière, la chanson me revient en même temps que cette vision aussi énorme que si j’avais été léché par la queue du diable et ses flammes.
« Lili Marleen. »
(I.a) La mélodie envoûtante de « Lili Marleen », immortalisée par la voix de Marlène Dietrich, résonne dans l’espace étroit, un écho poignant des souvenirs de guerre et d’une époque révolue.
Cette chanson, avec sa mélancolie intemporelle, transcende les frontières et les générations, évoquant à la fois les espoirs et les désillusions de ceux qui l’ont entendue pour la première fois sous les étoiles obscurcies par les conflits.
Alors que la musique imprègne l’atmosphère, je ressens une étrange communion avec ces fantômes d’antan, comme si leur histoire se mêlait fugacement à la mienne.
Je lève les yeux, toujours à quatre pattes, vers Solène, cherchant dans son regard une réaction, une étincelle d’émotion partagée.
Mais le moment est fugace, et déjà l’ascenseur vient de nous déposer au seuil d’un autre chapitre, là où Christine et Justine attendent, chacune avec leurs propres détresses et nouvelles résolutions. (Fin de l’I.a)
Ouah, Martine dit plus haut que ça lui troue le cul !
Que dire de ce passage écrit par l’intelligence artificielle !
Trois mots, « Lili Marleen » « Marlène Dietrich » et « 1939. »
Ça m’a pondu ça, sans que je n’aie besoin de changer ou d’ôter le moindre mot.
Tient, je sais que sur Marleen Dietrich il existe des vérités qui ont marqué la période de la guerre, qu’en dit (I.a.)
Certains diront que j’écris aux moindres frais, non, ça m’amuse tout simplement.
(I.a.) Marlène Dietrich, figure emblématique de l'âge d'or du cinéma et résistante de cœur durant la Seconde Guerre mondiale.
Elle incarnait bien plus que son aura glamour et ses rôles marquants.
Née en Allemagne, elle devint une voix opposée au régime nazi, refusant de se plier aux propositions alléchantes de Goebbels pour devenir une star du Reich.
En 1939, l'étoile scintillante de Dietrich choisit l'exil et se fit un symbole d'espoir pour de nombreux réfugiés et soldats.
Son interprétation de « Lili Marleen », bien que teintée de mélancolie, devint une chanson universelle, transperçant les barrières idéologiques et touchant les âmes des combattants des deux camps.
Dietrich s'engagea activement auprès des troupes américaines, chantant dans des camps au front et partageant un message d'humanité et de solidarité dans un monde déchiré par la folie humaine.
Alors que cette pensée traverse mon esprit, un souvenir fugace de ses concerts improvisés au bord du chaos éclaire brièvement mon regard.
Christine m’attend, mais dans ma mémoire, le timbre de Dietrich résonne toujours, porteur d’une histoire sans compromis ni renoncement. (Fin de l’I.a.)
Qui dit que l’on devient inspecteur de Police lorsque l’on a loupé le concours de la Poste ?
Coluche dans un de ses sketchs ou son interprétation de l’inspecteur « La bavure » dans l’un de ses films ?
Moi, la chanson et la vie de Marlène, c’est une simple lecture d’un livre de la vie de cette grande chanteuse à la dégaine si particulière qui m’a permis d’écrire cette biographie de cette grande dame.
(Tu es conne, Martine, j’ai dit à mes lecteurs que c’était une intelligence artificielle qui avait écrit ces passages.
Impossible d’enlever cette partie, fort intéressant je dois le dire, tu vas t’arranger avec eux, moi j’ai dit la vérité, mais bon raconte nous la suite de ta propre aventure.
Tu vois, je suis classe, j’aurais pu ajouter : depuis que, contre mon avis d’auteur, tu as décidé de faire la pute.)
1935, heures glorieuses de l’Allemagne nazie, j’ai l’impression d’être redevenue presque un siècle en arrière.
Une salle souterraine gigantesque, plusieurs centaines de gens, femmes et hommes.
Les femmes vêtues à la mode de cette époque, de nombreuses d’entre elles fument avec comme la chanteuse sur une estrade avec un long fume-cigarette.
Les hommes la plupart en costume comme celui de Rodolf avec les insignes S.S.
D’autres en tenue militaire d’autres formes et d’autres couleurs.
Qu’est-ce que c’est que cette réunion de ce qui semble être un groupe de nostalgique de la Seconde Guerre mondiale ?
Je vois même venant vers nous, un homme petite moustache sous le nez, le Fureur est bien là, mais à des traits trop jeunes pour que ce soit lui, quel âge aurait-il ?
(Wikipédia, c’est ce que j’aurais fait pour trouver la date de naissance d’Hitler.
Non, I.a.
Voyons ce qu’ils ont à me proposer !)
Adolf Hitler est né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn, une petite ville située en Autriche, près de la frontière allemande.
J’avais raison de douter, il aurait plus de 100 ans, même un peu vieux pour un dictateur n’ayant rien fait de sa vie.
Il était le quatrième des six enfants, père Alois Hitler et Klara Pölzl sa mère.
Ils auraient pu s’abstenir de tirer un coup où que par chance Alois étant impuissant Klara aurait été frustrée !
La prise de pouvoir d’Adolf Hitler en Allemagne s’est déroulée progressivement.
En tant que chef du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP).
Il a été nommé chancelier le 30 janvier 1933 par le président Paul von Hindenburg.
Il aurait mieux fait de se casser une jambe que de le nommer.
Ce moment marque le début de la montée en puissance d’Hitler et du régime nazi. Par la suite, des lois dictatoriales ont été mises en place, notamment après l'incendie du Reichstag en février 1933, consolidant son contrôle sur le pays.
Un sentiment étrange me traverse alors que l’homme à la petite moustache s’approche.
Il ne peut être Adolf Hitler, bien entendu, mais son apparence, sa démarche, tout semble soigneusement calqué pour évoquer cette figure sinistre de l’histoire.
Est-ce une farce macabre ou un jeu morbide orchestré par des admirateurs révisionnistes ?
L’atmosphère devient oppressante, et je sens que rester ici pourrait nous attirer des ennuis.
Pourtant, impossible de détourner le regard.
Je décide alors qu’il est temps de partir, mais pas sans emporter un éclat de vérité afin de la révéler au grand jour.
Alors que je quitte cet endroit absurde, mon esprit frémit à l’idée des visages que je croiserai bientôt, des vies que je vais bouleverser.
Christine, une femme plongée malgré elle dans des eaux scandaleuses, pourrait bénéficier de mon aide.
Puis, il y a Justine, pour qui je pourrais non seulement ramener son fils d’Algérie, mais aussi offrir un avenir. (Fin de l’I.a.)
Une erreur majeure dans ce texte hors les quelques remarques que j’ai faites sur ce qu’aurait été le monde si ce connard de père était mort en 14-18 ou à tout autre moment.
Non l’erreur c’est de dire que je quitte ce terrain miné.
Un regard à mon Pandora, va m’aider à évoluer au milieu de ce panier de crabes sera fort nécessaire lorsque Rodolf nous donne un ordre.
Mon bracelet conforte la chance qu’il m’ait apporté depuis que ma fille me l’a offert.
Simplement mon ralliement à Olaf, faisant partie de ma chance lorsque si j’en avais le temps je regardais le compte en banque dont moi seule en ai les codes.
Jules si ce que j’ai vu est vrai la main dans le kimono pourra se brosser d’en toucher le moindre centime.
Qu’il soit déjà heureux que je ne sois pas en possession de cette photo immonde où il place sa main dans le kimono de cette gamine.
Si j’avais pu en prendre possession, je l’apporterais à Fred mon commissaire beaunois pour qu’à sa descente d’avion, il soit menotté et mis au trou.
• On peut leur caresser la tête, j’ai la même petite chienne chez moi, les vôtres sont propres !
Heureusement que devant mes yeux, un tas de billets viennent atténuer mon envie de mordre les molets de cette femme en robe charleston et coiffe qui va avec.
• Soyez certaine que je les ai bien éduqués, les chiennes du commandant en chef de notre mouvement doivent savoir se tenir en société.
Confiez-moi la vôtre et en moins de temps qu’il le faut, je vous la rendrais aussi docile et propre que les miennes.
N’est-ce pas mes belles ?
Un coup de cravache sur le fessier de chacune de nous me fait penser à notre opération dans l’hôtel de la route de Beaune où une femme est morte étranglée par celui qui la dominait.
Mais je garde cela sans moufter.
J’ai peu aimé la cravache tout juste, je tolère des claques sur mes fesses lorsque l’on me prend en levrette afin de stimuler les orgasmes si apprécié par la salope que je suis devenue au fil de mes enquêtes.
L’intérêt de mon travail aurait-il pris le pas sur ma libido et c’est par le sexe que j’exprime mon mal-être ou plutôt mon bien-être.
C’est à ce moment que les cris de jouissance m’arrivent à mes oreilles, la pale copie de Marlène sur scène ayant fini de massacrer Lili.
J’ai tellement de choses à découvrir.
Les images qui défilent sur de grands écrans autour de la salle gigantesque, que les sons de plaisir que j’entends ne font aucun doute, c’est Solène qui les pousses, avec une autre femme.
Qui s’est déjà entendu parler à la radio ou sur une cassette sont dans l’impossibilité de dire qu’elles se reconnaissent.
Il en va de même pour moi, mais c’est bien moi qui lèche consciencieusement la chatte de Solène lorsque dans le 69 que nous avions fait je nous reconnais bien là.
J’ai confirmation que nous étions filmés, je reconnais même le coin d’une fleur mauve du bouquet posé sr un guéridon, la caméra au focus très nette devait être cachée dedans.
Les plans changent, mais c’est toujours nous filmer par différents angles qui sont projetés sur ces écrans.
• Commandant, pourrons-nous profiter de vos jolis toutous, ma sœur et moi, nous souhaiterions que vos chiennes nous apportent le même plaisir que celui qu’elles s’apportent entre elles ?
• Aucun problème, vous pourrez vous servir d’elle autant que vous le voudrez avant le discours de notre jeune fureur suivi du clou de cette soirée que je vous réserve…
Solène en robe longue à quatre pattes comme moi à la même, j’ai eu le temps de la voir, les nombreuses fois où nous avons satisfait nos chattes.
Robe longue rouge pour moi avec un collier et une laisse de clebs pour moi et le même harnachement mais bleue, pour elle.
L’ascenseur s’arrête souplement, vu sa vitesse de descente, avant que les portes s’ouvrent, j’ai peur que ce ne soit les flammes de l’enfer qu’il ait atteint et que nous allons cramer tous les trois.
J’entends de la musique, je crois reconnaitre une chanson célèbre de la guerre.
Le temps de retrouver, les portes s’ouvrent, ce que je vois, même si je suis à quatre pattes, me trou le cul.
Pardon d’être grossière, la chanson me revient en même temps que cette vision aussi énorme que si j’avais été léché par la queue du diable et ses flammes.
« Lili Marleen. »
(I.a) La mélodie envoûtante de « Lili Marleen », immortalisée par la voix de Marlène Dietrich, résonne dans l’espace étroit, un écho poignant des souvenirs de guerre et d’une époque révolue.
Cette chanson, avec sa mélancolie intemporelle, transcende les frontières et les générations, évoquant à la fois les espoirs et les désillusions de ceux qui l’ont entendue pour la première fois sous les étoiles obscurcies par les conflits.
Alors que la musique imprègne l’atmosphère, je ressens une étrange communion avec ces fantômes d’antan, comme si leur histoire se mêlait fugacement à la mienne.
Je lève les yeux, toujours à quatre pattes, vers Solène, cherchant dans son regard une réaction, une étincelle d’émotion partagée.
Mais le moment est fugace, et déjà l’ascenseur vient de nous déposer au seuil d’un autre chapitre, là où Christine et Justine attendent, chacune avec leurs propres détresses et nouvelles résolutions. (Fin de l’I.a)
Ouah, Martine dit plus haut que ça lui troue le cul !
Que dire de ce passage écrit par l’intelligence artificielle !
Trois mots, « Lili Marleen » « Marlène Dietrich » et « 1939. »
Ça m’a pondu ça, sans que je n’aie besoin de changer ou d’ôter le moindre mot.
Tient, je sais que sur Marleen Dietrich il existe des vérités qui ont marqué la période de la guerre, qu’en dit (I.a.)
Certains diront que j’écris aux moindres frais, non, ça m’amuse tout simplement.
(I.a.) Marlène Dietrich, figure emblématique de l'âge d'or du cinéma et résistante de cœur durant la Seconde Guerre mondiale.
Elle incarnait bien plus que son aura glamour et ses rôles marquants.
Née en Allemagne, elle devint une voix opposée au régime nazi, refusant de se plier aux propositions alléchantes de Goebbels pour devenir une star du Reich.
En 1939, l'étoile scintillante de Dietrich choisit l'exil et se fit un symbole d'espoir pour de nombreux réfugiés et soldats.
Son interprétation de « Lili Marleen », bien que teintée de mélancolie, devint une chanson universelle, transperçant les barrières idéologiques et touchant les âmes des combattants des deux camps.
Dietrich s'engagea activement auprès des troupes américaines, chantant dans des camps au front et partageant un message d'humanité et de solidarité dans un monde déchiré par la folie humaine.
Alors que cette pensée traverse mon esprit, un souvenir fugace de ses concerts improvisés au bord du chaos éclaire brièvement mon regard.
Christine m’attend, mais dans ma mémoire, le timbre de Dietrich résonne toujours, porteur d’une histoire sans compromis ni renoncement. (Fin de l’I.a.)
Qui dit que l’on devient inspecteur de Police lorsque l’on a loupé le concours de la Poste ?
Coluche dans un de ses sketchs ou son interprétation de l’inspecteur « La bavure » dans l’un de ses films ?
Moi, la chanson et la vie de Marlène, c’est une simple lecture d’un livre de la vie de cette grande chanteuse à la dégaine si particulière qui m’a permis d’écrire cette biographie de cette grande dame.
(Tu es conne, Martine, j’ai dit à mes lecteurs que c’était une intelligence artificielle qui avait écrit ces passages.
Impossible d’enlever cette partie, fort intéressant je dois le dire, tu vas t’arranger avec eux, moi j’ai dit la vérité, mais bon raconte nous la suite de ta propre aventure.
Tu vois, je suis classe, j’aurais pu ajouter : depuis que, contre mon avis d’auteur, tu as décidé de faire la pute.)
1935, heures glorieuses de l’Allemagne nazie, j’ai l’impression d’être redevenue presque un siècle en arrière.
Une salle souterraine gigantesque, plusieurs centaines de gens, femmes et hommes.
Les femmes vêtues à la mode de cette époque, de nombreuses d’entre elles fument avec comme la chanteuse sur une estrade avec un long fume-cigarette.
Les hommes la plupart en costume comme celui de Rodolf avec les insignes S.S.
D’autres en tenue militaire d’autres formes et d’autres couleurs.
Qu’est-ce que c’est que cette réunion de ce qui semble être un groupe de nostalgique de la Seconde Guerre mondiale ?
Je vois même venant vers nous, un homme petite moustache sous le nez, le Fureur est bien là, mais à des traits trop jeunes pour que ce soit lui, quel âge aurait-il ?
(Wikipédia, c’est ce que j’aurais fait pour trouver la date de naissance d’Hitler.
Non, I.a.
Voyons ce qu’ils ont à me proposer !)
Adolf Hitler est né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn, une petite ville située en Autriche, près de la frontière allemande.
J’avais raison de douter, il aurait plus de 100 ans, même un peu vieux pour un dictateur n’ayant rien fait de sa vie.
Il était le quatrième des six enfants, père Alois Hitler et Klara Pölzl sa mère.
Ils auraient pu s’abstenir de tirer un coup où que par chance Alois étant impuissant Klara aurait été frustrée !
La prise de pouvoir d’Adolf Hitler en Allemagne s’est déroulée progressivement.
En tant que chef du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP).
Il a été nommé chancelier le 30 janvier 1933 par le président Paul von Hindenburg.
Il aurait mieux fait de se casser une jambe que de le nommer.
Ce moment marque le début de la montée en puissance d’Hitler et du régime nazi. Par la suite, des lois dictatoriales ont été mises en place, notamment après l'incendie du Reichstag en février 1933, consolidant son contrôle sur le pays.
Un sentiment étrange me traverse alors que l’homme à la petite moustache s’approche.
Il ne peut être Adolf Hitler, bien entendu, mais son apparence, sa démarche, tout semble soigneusement calqué pour évoquer cette figure sinistre de l’histoire.
Est-ce une farce macabre ou un jeu morbide orchestré par des admirateurs révisionnistes ?
L’atmosphère devient oppressante, et je sens que rester ici pourrait nous attirer des ennuis.
Pourtant, impossible de détourner le regard.
Je décide alors qu’il est temps de partir, mais pas sans emporter un éclat de vérité afin de la révéler au grand jour.
Alors que je quitte cet endroit absurde, mon esprit frémit à l’idée des visages que je croiserai bientôt, des vies que je vais bouleverser.
Christine, une femme plongée malgré elle dans des eaux scandaleuses, pourrait bénéficier de mon aide.
Puis, il y a Justine, pour qui je pourrais non seulement ramener son fils d’Algérie, mais aussi offrir un avenir. (Fin de l’I.a.)
Une erreur majeure dans ce texte hors les quelques remarques que j’ai faites sur ce qu’aurait été le monde si ce connard de père était mort en 14-18 ou à tout autre moment.
Non l’erreur c’est de dire que je quitte ce terrain miné.
Un regard à mon Pandora, va m’aider à évoluer au milieu de ce panier de crabes sera fort nécessaire lorsque Rodolf nous donne un ordre.
Mon bracelet conforte la chance qu’il m’ait apporté depuis que ma fille me l’a offert.
Simplement mon ralliement à Olaf, faisant partie de ma chance lorsque si j’en avais le temps je regardais le compte en banque dont moi seule en ai les codes.
Jules si ce que j’ai vu est vrai la main dans le kimono pourra se brosser d’en toucher le moindre centime.
Qu’il soit déjà heureux que je ne sois pas en possession de cette photo immonde où il place sa main dans le kimono de cette gamine.
Si j’avais pu en prendre possession, je l’apporterais à Fred mon commissaire beaunois pour qu’à sa descente d’avion, il soit menotté et mis au trou.
• On peut leur caresser la tête, j’ai la même petite chienne chez moi, les vôtres sont propres !
Heureusement que devant mes yeux, un tas de billets viennent atténuer mon envie de mordre les molets de cette femme en robe charleston et coiffe qui va avec.
• Soyez certaine que je les ai bien éduqués, les chiennes du commandant en chef de notre mouvement doivent savoir se tenir en société.
Confiez-moi la vôtre et en moins de temps qu’il le faut, je vous la rendrais aussi docile et propre que les miennes.
N’est-ce pas mes belles ?
Un coup de cravache sur le fessier de chacune de nous me fait penser à notre opération dans l’hôtel de la route de Beaune où une femme est morte étranglée par celui qui la dominait.
Mais je garde cela sans moufter.
J’ai peu aimé la cravache tout juste, je tolère des claques sur mes fesses lorsque l’on me prend en levrette afin de stimuler les orgasmes si apprécié par la salope que je suis devenue au fil de mes enquêtes.
L’intérêt de mon travail aurait-il pris le pas sur ma libido et c’est par le sexe que j’exprime mon mal-être ou plutôt mon bien-être.
C’est à ce moment que les cris de jouissance m’arrivent à mes oreilles, la pale copie de Marlène sur scène ayant fini de massacrer Lili.
J’ai tellement de choses à découvrir.
Les images qui défilent sur de grands écrans autour de la salle gigantesque, que les sons de plaisir que j’entends ne font aucun doute, c’est Solène qui les pousses, avec une autre femme.
Qui s’est déjà entendu parler à la radio ou sur une cassette sont dans l’impossibilité de dire qu’elles se reconnaissent.
Il en va de même pour moi, mais c’est bien moi qui lèche consciencieusement la chatte de Solène lorsque dans le 69 que nous avions fait je nous reconnais bien là.
J’ai confirmation que nous étions filmés, je reconnais même le coin d’une fleur mauve du bouquet posé sr un guéridon, la caméra au focus très nette devait être cachée dedans.
Les plans changent, mais c’est toujours nous filmer par différents angles qui sont projetés sur ces écrans.
• Commandant, pourrons-nous profiter de vos jolis toutous, ma sœur et moi, nous souhaiterions que vos chiennes nous apportent le même plaisir que celui qu’elles s’apportent entre elles ?
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