Confessions de femmes mûres. Joëlle (55 ans)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 283 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Micky ont reçu un total de 2 626 095 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2023 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 20 340 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Confessions de femmes mûres. Joëlle (55 ans)
Je m'appelle Joëlle, j'ai 55 ans, je suis mariée avec Régis mais hélas, il est atteint de la maladie d'Alzeimer et vit le reste de ses jours dans une institution spécialisée si bien que je suis veuve de fait, même si je mets un point d'honneur à lui rendre des visites régulières car je l'aime toujours.
C'est d'autant plus dur à vivre que la nature ne m'a pas désavantagée. Mes rondeurs d'âge sont contenues, je reste coquette avec ma petite crinière auburn savamment entretenue et ma libido reste intacte, hélas frustrée car j'ai toujours aimé faire l'amour. Avec Regis, ce fut même longtemps une drogue dure. Avec le recul, je me dis qu'on a même été sacrément cochons. J'y reviendrai.
Mais en attendant, je fais mon bonheur moi-même avec un gode acheté sur internet. Pas pareil. J'envie ma voisine et copine Yolande, divorcée avec sa vie de bâton de chaise. Elle a mon âge, s'est teint les cheveux en noir d'encre, n'est pas mieux foutue que moi même si elle est plus mince mais elle baise. Elle s'est mise dans la tête de me sortir de mon marasme. "Sinon, tu vas t'enlaidir et dépérir", me répète t elle.
Et c'est ainsi qu'elle m'a entraînée dans son night club habituel. Auparavant, elle m'a fait changer ma garde robe. J'ai investi dans un soutif à balconnet et un string assorti, sous son influence, sans trop savoir à quoi ça servirait, si ce n'est à rehausser mes seins déjà bien opulents lorsque je porte un décolleté (encore un achat de plus). J'étais donc vraiment sexy quand j'ai fais mon entrée dans cette boite avec Yolande qui, elle, était carrément à poil sous sa robe fendue à la cuisse et décolletée dans le dos jusqu'aux reins. On pensait faire des ravages. Tu parles. Il n'y avait que des jeunots et des couples déjà formés. On est rentré un peu bourrées et avec mal aux pieds à force d'avoir dansé... ensemble. Le fiasco.
- Pas d'affolement, j'ai une nouvelle carte en mains, a dit Yolande.
J'ai appris qu'elle faisait du naturisme sur une plage à quelques kilomètres de chez nous et qu'elle avait des copains qui seraient ravis de faire ma connaissance. A condition bien sûr que je laisse mon maillot à la maison. Montrer mes fesses à tout le monde, ce n'était pas vraiment mon trip mais Yolande a insisté en me disait que c'était "super de se baigner nue". J'ai cédé, surtout pour ne pas la décevoir.
J'avoue que quand je me suis mise à poil sur cette plage, je n'étais pas à mon aise, comme si tout le monde me matait. Mais j'ai fini par m'apercevoir que les plagistes, tous nus, s'en foutaient pas mal, que je sois désapée. Et sentir le soleil mordre ma peau sans entrave était même agréable. Yolande m'a quand même enduite d'écran total car si elle était intégralement bronzée, exposant un beau corps enviable, j'étais blanche comme un lavabo. Au bout d'un quart d'heure, je n'avais même plus la conscience d'être à poil. Yolande m'a présentée à un groupe de seniors (plus ou moins), en couple le plus souvent, mais aussi à un certain Claudio, solide gaillard à queue de cheval, la cinquantaine, qui m'a plu tout de suite avec ses yeux bleus. Et pas seulement ses yeux, je l'avoue. L'avantage des lunettes de soleil, c'est qu'on ne voit pas le regard descendre au niveau de l'entrejambes de son interlocuteur. Et sur ce plan, le monsieur avait été gâté par la nature. Sa tige ballotait jusqu'en haut de ses cuisses. J'imaginais ce que ça pouvait donner en érection. On a sympathisé au soleil, il m'a posé quelques questions, je lui ai avoué mes malheurs conjuguaux et il a compati, sincèrement je pense. On s'est baigné ensemble et Yolande a vu qu'on était en phase. Elle est venue me chuchoter à l'oreille :
- Tu peux y aller, c'est un amant superbe.
- Tu parles en connaissance de cause ?
- Evidemment, sinon je ne te le dirais pas.
- Alors pourquoi vous n'êtes plus ensemble ?
- Parce que lui comme moi, on aime le changement.
Si moi je matais la queue de Claudio en douce, lui reluquait carrément mes seins, il est vrai bien gonflés quand je sortais de l'eau. Il avait envie de me baiser, c'était clair, et ça m'a fait chaud partout. Il y avait un bail que je n'avais pas ressenti ça. Aussi, quand un couple proposa de nous retrouver tous chez eux pour une soirée brochettes, Yolande accepta pour elle... et pour moi. Précision importante : cette soirée se déroulerait avec des convives dans le plus simple appareil. Au moins, je n'aurais pas à faire des efforts de toilette. Mais ça sentait à plein nez la partouze et j'aurais préféré un tête à tête, si j'ose dire, avec Claudio.
- Ne fais pas de manière, il faut savoir ce que tu veux, m'a dit Yolande. Et j'ai encore cédé.
Etre à poil dans le grand jardin de nos hôtes, après m'être déloquée dans le salon, m'a encore fait bizarre mais comme tout le monde était pareil, j'ai fini par m'y faire et même de ne plus faire attention. J'ai participé à la cuisson des brochettes avec Claudio et Yolande, j'ai noué des conversations avec nos hôtes, un couple d'une soixantaine d'années fort bien conservé, et la soirée s'est poursuivie par différents apartés un verre de punch à la main, si bien que j'étais assez pompette. Claudio me faisait carrément du gringue et je voyais sa queue se redresser à vue d'oeil. Yolande se bécotait avec un gars râblé et velu. Nous étions les deux seuls couples encore dans le jardin. Mais où étaient les autres ?
- Allez, on monte, a dit Yolande, avec résolution.
J'ai compris que j'allais passer à la casserole sous peu. Claudio m'avait enlacée et j'avais senti sa queue contre ma cuisse, puis sa main contre mes fesses nues et ondoyantes dans l'escalier conduisant à l'étage. Dans le couloir, des portes ouvertes découvraient des chambres où des couples étaient déjà en pleine action, y compris nos hôtes, décidément très fringants pour leur âge, mais accompagnés du seul jeune de la soirée qui honorait madame devant monsieur. Yolande nous avait précédés avec son poilu sur un grand lit découvert dans la seule chambre encore libre.
- Allez, venez nous rejoindre, asséna-t-elle.
J'allais donc baiser en sa présence et cette perspective me déstabilisa quelques secondes... seulement. Car Claudio me poussait déjà vers le plumard où je m'affalais les quatre fers en l'air et les cuisses bien ouvertes. Quand il plongea son nez sur ma motte, j'eus un flash. C'était il y a longtemps. Régis, mon mari, m'avait entrainée dans un club échangiste car nous connaissions alors une petite crise existentielle et il voulait que je baise avec un autre homme que lui, mais en sa présence, comme le couple hôte vu quelques minutes plus tôt. En fait, ils s'étaient mis à trois pour me sauter, sous les yeux de plusieurs voyeurs accourus dans ce coin câlin. Expérience sans lendemain, mais mémorable, qui fit du bien à notre couple car le fait de m'avoir vu baiser avec d'autres que lui avait ravivé le désir de Régis... et aussi le mien. Voilà pourquoi me retrouver dans ce plan à quatre me fit aussitôt penser à mon pauvre mari, mais pas trop longtemps, car la langue experte de Claudio me fit vite perdre les pédales.
Claudio se redressa le visage barbouillé de mon jus, me domina de toute sa masse et considéra mon corps palpitant, offert en me montrant sa queue, vraiment splendide, un vrai rêve de femme :
- Tu la veux vraiment ? interrogea t il, comme si je pouvais encore hésiter.
A côté de moi, Yolande avait déjà commencé à faire aller et venir son bassin sur la bite de son poilu avec des mmmmhh d'extase et ce n'était pas fait pour me décourager de passer définitivement à l'acte. D'ailleurs, Claudio avait commencé à se coiffer d'un préservatif. Il me prit les pieds les écarta et me pénétra. Lentement, avec précaution mais résolument. J'étais baisée et je baisais. Je ne rentrerais pas dans les détails de toute les positions qu'il m'imposa. C'étaient celles classiques du sexe et sur ce point, rien ne me changea de mon mari. Y compris un passage à la sodomie dont Régis était friand, ce qui me ramena brièvement à lui. Ce qui changeait, c'était la présence toute proche de ma copine Yolande qui prenait son panard avec son poilu et qui gueulait son plaisir au ras de mon oreille ce qui contribua fortement au mien, comme par mimétisme. Et ça, c'était nouveau pour moi. Ce qui me fait dire que ce soir là je n'ai pas fait l'amour avec Claudio mais j'ai totalement et puissamment baisé. Et néanmoins joui comme rarement dans ma vie sexuelle.
Quand Yolande à crié " je jouis je jouiiis", je me suis mise à l'unisson alors que j'étais à quatre pattes, le museau au ras de la tête brune de ma copine écartelée par son amant. Et j'ai senti Claudio très pointu, en train d'éjaculer.
Croyez-le si vous voulez mais je me suis sentie obligée de tout raconter à mon mari lorsque je suis venue le voir à son institution le lendemain le corps encore mâché par les ébats de la veille car j'étais vraiment rouillée. Il avait son air absent habituel et j'avais l'impression comme toujours de parler à un mur. Mais c'était ma façon à moi de me déculpabiliser de l'avoir trompé. Or, quand j'ai commencé à entrer dans les détails, en particulier lorsque je prononçai le mot "enculée", je me suis aperçue qu'il bandait. Incroyable mais vrai. Nous étions à l'abri des regards dans sa chambre. J'ai glissé ma main dans son jogging, saisi sa tige bien érigée et je l'ai branlé jusqu'à ce qu'il gicle, le visage réjoui mais la bouche muette. Ainsi commença une nouvelle relation avec mon mari, que je me gardai bien de confier aux soignants. Bon, je vous laisse car je vais justement lui raconter ma dernière équipée avec Yolande et deux jeunes mecs amateurs de femmes mûres. Sûre que je vais le faire jouir...
C'est d'autant plus dur à vivre que la nature ne m'a pas désavantagée. Mes rondeurs d'âge sont contenues, je reste coquette avec ma petite crinière auburn savamment entretenue et ma libido reste intacte, hélas frustrée car j'ai toujours aimé faire l'amour. Avec Regis, ce fut même longtemps une drogue dure. Avec le recul, je me dis qu'on a même été sacrément cochons. J'y reviendrai.
Mais en attendant, je fais mon bonheur moi-même avec un gode acheté sur internet. Pas pareil. J'envie ma voisine et copine Yolande, divorcée avec sa vie de bâton de chaise. Elle a mon âge, s'est teint les cheveux en noir d'encre, n'est pas mieux foutue que moi même si elle est plus mince mais elle baise. Elle s'est mise dans la tête de me sortir de mon marasme. "Sinon, tu vas t'enlaidir et dépérir", me répète t elle.
Et c'est ainsi qu'elle m'a entraînée dans son night club habituel. Auparavant, elle m'a fait changer ma garde robe. J'ai investi dans un soutif à balconnet et un string assorti, sous son influence, sans trop savoir à quoi ça servirait, si ce n'est à rehausser mes seins déjà bien opulents lorsque je porte un décolleté (encore un achat de plus). J'étais donc vraiment sexy quand j'ai fais mon entrée dans cette boite avec Yolande qui, elle, était carrément à poil sous sa robe fendue à la cuisse et décolletée dans le dos jusqu'aux reins. On pensait faire des ravages. Tu parles. Il n'y avait que des jeunots et des couples déjà formés. On est rentré un peu bourrées et avec mal aux pieds à force d'avoir dansé... ensemble. Le fiasco.
- Pas d'affolement, j'ai une nouvelle carte en mains, a dit Yolande.
J'ai appris qu'elle faisait du naturisme sur une plage à quelques kilomètres de chez nous et qu'elle avait des copains qui seraient ravis de faire ma connaissance. A condition bien sûr que je laisse mon maillot à la maison. Montrer mes fesses à tout le monde, ce n'était pas vraiment mon trip mais Yolande a insisté en me disait que c'était "super de se baigner nue". J'ai cédé, surtout pour ne pas la décevoir.
J'avoue que quand je me suis mise à poil sur cette plage, je n'étais pas à mon aise, comme si tout le monde me matait. Mais j'ai fini par m'apercevoir que les plagistes, tous nus, s'en foutaient pas mal, que je sois désapée. Et sentir le soleil mordre ma peau sans entrave était même agréable. Yolande m'a quand même enduite d'écran total car si elle était intégralement bronzée, exposant un beau corps enviable, j'étais blanche comme un lavabo. Au bout d'un quart d'heure, je n'avais même plus la conscience d'être à poil. Yolande m'a présentée à un groupe de seniors (plus ou moins), en couple le plus souvent, mais aussi à un certain Claudio, solide gaillard à queue de cheval, la cinquantaine, qui m'a plu tout de suite avec ses yeux bleus. Et pas seulement ses yeux, je l'avoue. L'avantage des lunettes de soleil, c'est qu'on ne voit pas le regard descendre au niveau de l'entrejambes de son interlocuteur. Et sur ce plan, le monsieur avait été gâté par la nature. Sa tige ballotait jusqu'en haut de ses cuisses. J'imaginais ce que ça pouvait donner en érection. On a sympathisé au soleil, il m'a posé quelques questions, je lui ai avoué mes malheurs conjuguaux et il a compati, sincèrement je pense. On s'est baigné ensemble et Yolande a vu qu'on était en phase. Elle est venue me chuchoter à l'oreille :
- Tu peux y aller, c'est un amant superbe.
- Tu parles en connaissance de cause ?
- Evidemment, sinon je ne te le dirais pas.
- Alors pourquoi vous n'êtes plus ensemble ?
- Parce que lui comme moi, on aime le changement.
Si moi je matais la queue de Claudio en douce, lui reluquait carrément mes seins, il est vrai bien gonflés quand je sortais de l'eau. Il avait envie de me baiser, c'était clair, et ça m'a fait chaud partout. Il y avait un bail que je n'avais pas ressenti ça. Aussi, quand un couple proposa de nous retrouver tous chez eux pour une soirée brochettes, Yolande accepta pour elle... et pour moi. Précision importante : cette soirée se déroulerait avec des convives dans le plus simple appareil. Au moins, je n'aurais pas à faire des efforts de toilette. Mais ça sentait à plein nez la partouze et j'aurais préféré un tête à tête, si j'ose dire, avec Claudio.
- Ne fais pas de manière, il faut savoir ce que tu veux, m'a dit Yolande. Et j'ai encore cédé.
Etre à poil dans le grand jardin de nos hôtes, après m'être déloquée dans le salon, m'a encore fait bizarre mais comme tout le monde était pareil, j'ai fini par m'y faire et même de ne plus faire attention. J'ai participé à la cuisson des brochettes avec Claudio et Yolande, j'ai noué des conversations avec nos hôtes, un couple d'une soixantaine d'années fort bien conservé, et la soirée s'est poursuivie par différents apartés un verre de punch à la main, si bien que j'étais assez pompette. Claudio me faisait carrément du gringue et je voyais sa queue se redresser à vue d'oeil. Yolande se bécotait avec un gars râblé et velu. Nous étions les deux seuls couples encore dans le jardin. Mais où étaient les autres ?
- Allez, on monte, a dit Yolande, avec résolution.
J'ai compris que j'allais passer à la casserole sous peu. Claudio m'avait enlacée et j'avais senti sa queue contre ma cuisse, puis sa main contre mes fesses nues et ondoyantes dans l'escalier conduisant à l'étage. Dans le couloir, des portes ouvertes découvraient des chambres où des couples étaient déjà en pleine action, y compris nos hôtes, décidément très fringants pour leur âge, mais accompagnés du seul jeune de la soirée qui honorait madame devant monsieur. Yolande nous avait précédés avec son poilu sur un grand lit découvert dans la seule chambre encore libre.
- Allez, venez nous rejoindre, asséna-t-elle.
J'allais donc baiser en sa présence et cette perspective me déstabilisa quelques secondes... seulement. Car Claudio me poussait déjà vers le plumard où je m'affalais les quatre fers en l'air et les cuisses bien ouvertes. Quand il plongea son nez sur ma motte, j'eus un flash. C'était il y a longtemps. Régis, mon mari, m'avait entrainée dans un club échangiste car nous connaissions alors une petite crise existentielle et il voulait que je baise avec un autre homme que lui, mais en sa présence, comme le couple hôte vu quelques minutes plus tôt. En fait, ils s'étaient mis à trois pour me sauter, sous les yeux de plusieurs voyeurs accourus dans ce coin câlin. Expérience sans lendemain, mais mémorable, qui fit du bien à notre couple car le fait de m'avoir vu baiser avec d'autres que lui avait ravivé le désir de Régis... et aussi le mien. Voilà pourquoi me retrouver dans ce plan à quatre me fit aussitôt penser à mon pauvre mari, mais pas trop longtemps, car la langue experte de Claudio me fit vite perdre les pédales.
Claudio se redressa le visage barbouillé de mon jus, me domina de toute sa masse et considéra mon corps palpitant, offert en me montrant sa queue, vraiment splendide, un vrai rêve de femme :
- Tu la veux vraiment ? interrogea t il, comme si je pouvais encore hésiter.
A côté de moi, Yolande avait déjà commencé à faire aller et venir son bassin sur la bite de son poilu avec des mmmmhh d'extase et ce n'était pas fait pour me décourager de passer définitivement à l'acte. D'ailleurs, Claudio avait commencé à se coiffer d'un préservatif. Il me prit les pieds les écarta et me pénétra. Lentement, avec précaution mais résolument. J'étais baisée et je baisais. Je ne rentrerais pas dans les détails de toute les positions qu'il m'imposa. C'étaient celles classiques du sexe et sur ce point, rien ne me changea de mon mari. Y compris un passage à la sodomie dont Régis était friand, ce qui me ramena brièvement à lui. Ce qui changeait, c'était la présence toute proche de ma copine Yolande qui prenait son panard avec son poilu et qui gueulait son plaisir au ras de mon oreille ce qui contribua fortement au mien, comme par mimétisme. Et ça, c'était nouveau pour moi. Ce qui me fait dire que ce soir là je n'ai pas fait l'amour avec Claudio mais j'ai totalement et puissamment baisé. Et néanmoins joui comme rarement dans ma vie sexuelle.
Quand Yolande à crié " je jouis je jouiiis", je me suis mise à l'unisson alors que j'étais à quatre pattes, le museau au ras de la tête brune de ma copine écartelée par son amant. Et j'ai senti Claudio très pointu, en train d'éjaculer.
Croyez-le si vous voulez mais je me suis sentie obligée de tout raconter à mon mari lorsque je suis venue le voir à son institution le lendemain le corps encore mâché par les ébats de la veille car j'étais vraiment rouillée. Il avait son air absent habituel et j'avais l'impression comme toujours de parler à un mur. Mais c'était ma façon à moi de me déculpabiliser de l'avoir trompé. Or, quand j'ai commencé à entrer dans les détails, en particulier lorsque je prononçai le mot "enculée", je me suis aperçue qu'il bandait. Incroyable mais vrai. Nous étions à l'abri des regards dans sa chambre. J'ai glissé ma main dans son jogging, saisi sa tige bien érigée et je l'ai branlé jusqu'à ce qu'il gicle, le visage réjoui mais la bouche muette. Ainsi commença une nouvelle relation avec mon mari, que je me gardai bien de confier aux soignants. Bon, je vous laisse car je vais justement lui raconter ma dernière équipée avec Yolande et deux jeunes mecs amateurs de femmes mûres. Sûre que je vais le faire jouir...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Micky
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire. Le mari est malade. La femme n’a pas à s’arrêter de vivre.
C’est 1 belle histoire d’amour.
Bravo Micky
La chipie
C’est 1 belle histoire d’amour.
Bravo Micky
La chipie
Si c’est du vécu cela pourrait intéresser les scientifiques. Si non, ça reste une belle histoire réconfortante.
Une très belle suite avec cette nouvelle confession d'une autre femme mature.
J'espère qu'il y en aura d'autres...
Didier
J'espère qu'il y en aura d'autres...
Didier
Bravo Micky.
Ça fait du bien de vous retrouver sur ce site avec des récits toujours aussi excitants et agréables à lire.
Ça fait du bien de vous retrouver sur ce site avec des récits toujours aussi excitants et agréables à lire.
Merci à HDS d'avoir rapidement mis en ligne la suite de la série de Micky.Joelle a vécu un drame et nous prouve que le droit au plaisir est accessible à toute âge. C'est un beau message, au-delà des aspects excitants du récit
Très bonne lecture ☺️, merci, je vous découvre . J’espère que c’est du vécu, et si c’est le cas, sachez que votre mari doit être extrêmement heureux de pouvoir partager cela avec vous, même si les apparences sont trompeuse.