Corinne en bateau
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2018 dans la catégorie Plus on est
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Corinne en bateau
L'affaire s'était décidée un mois avant les vacances d'été. Martine avait proposé à sa collègue et copine Corinne de venir la rejoindre en Corse avec son mari. Celui de Martine, patron d'une PME et assez fortuné, disposait pour les vacances d'un bateau cabine à moteur. Pourquoi ne pas inviter des amis à faire du cabotage ? Corinne avait aussitôt répondu avec enthousiasme et imposé son choix à son mari Christophe, un peu moins emballé car sujet au mal de mer.
Tant et si bien qu'un beau jour de juillet, tous deux firent leur apparition au port de Bonifacio où était amarrée l'embarcation. Martine, petite femme aux cheveux ultra courts, âgée comme Corinne de 50 ans, accueillit le couple dans un bikini qui ne cachait pour ainsi dire rien, si ce n'est la raie des fesses et les pointes de ses seins ronds. Son corps menu et parfaitement conservé présentait déjà un bronzage quasi intégral. Son mari, plus âgé de dix ans, était classiquement vêtu d'un bermuda et d'un tee shirt contenant difficilement un bide conséquent de buveur de bière. Il accueillit Corinne et Christophe chaleureusement et leur fit visiter le bateau, en particulier l'intérieur, étonnamment bien équipé et confortable avec deux cabines séparées. Le couple visiteur fut invité à y déposer ses bagages et Hubert, l'hôte, informa qu'il allait lever l'ancre.
Une fois en mer, Corinne ne cacha pas son émerveillement devant la beauté de la côté qui défilait sous ses yeux. Elle avait revêtu son bikini, un peu moins réduit que celui de Martine mais laissant néanmoins peu d'importance au tissu. Ses longues jambes, ses seins haut plantés et son fessier rebondi faisaient l'admiration d'Hubert qui lui lança quelques compliments bien sentis. Il invita Christophe à tenir la barre pour le grand plaisir de celui-ci avant de disparaitre dans la cabine, bientôt rejoint par Martine. Corinne, qui bronzait sur le pont soutif défait, s'étonnait de ne pas voir réapparaitre son amie. Elle n'eut pas beaucoup de chemin à faire pour jeter un coup d'oeil vers le bas du bateau et découvrit Hubert assis sur le lit, bermuda baissé sur ses chevilles et Martine accroupie en train de lui tailler une pipe. Elle remonta vite sur le pont, troublée et amusée à la fois. Elle savait que Martine n'était pas une oie blanche mais pas au point d'honorer son mari dans une telle promiscuité. Ce petit périple aquatique s'annonçait bien...
**********Quelques minutes plus tard, Martine rejoignit Corinne sur le pont et se débarrassa de son bikini pour s'allonger à poil sur sa serviette, révélant un corps uniformément pain d'épice.
- Tu n'enlèves pas ton slip ? dit-elle à son amie.
- Euh, non, il y a Hubert quand même.
- Et alors ? Tu crois que je choque Christophe ? En tout cas, s'il me mate, je m'en fous.
- Bon, ok, j'enlève le bas mais je vais prendre des coups de soleil sur les fesses...
- Je te donnerai de la biafine. Au fait Christophe, ça va mieux son mal de mer ?
- Pas trop, il est toujours barbouillé mais de tenir la barre, ça limite le désagrément, il faut croire. Dis donc, tu ne t'es pas gênée tout à l'heure avec Hubert...
- Je me doutais que tu m'avais vue. Hubert, il lui faut sa petite pipe de temps en temps. C'est notre manière de rester sexuellement en phase car il ne me baise plus beaucoup depuis qu'il a eu son infarctus.
- Et ça ne te manque pas ?
- Non car j'ai un autre fer au feu, si tu veux tout savoir. Je ne pourrais pas me passer de sexe, à cinquante ans, ce serait la porte ouverte vers la gériatrie...
- Tu veux dire que tu as un amant ?
- Oui, si on veut. Il a un bateau dans le port de Porto Vecchio où nous allons accoster tout à l'heure. J'ai hâte de le voir, j'ai une grosse envie, c'est un super baiseur, jeune, fringant, endurant, bien membré et tout et tout.
- Tu me fais envie...
- Pourquoi ? Christophe ne te satisfait pas ?
- Si mais en ce moment, il pense plus à son estomac qu'à sa bite. Et à ma chatte.
- Dommage pour toi. En attendant, bronze un peu, le soleil te fera du bien.
********Dès l'arrivée à Porto Vecchio, Martine s'esquiva, prétextant une course à faire. Christophe et Corinne en profitèrent pour visiter la ville et surtout, pour Christophe, pour rétablir son système digestif. Hubert gardait le bateau. En fin d'après-midi, les quatre se retrouvèrent à bord. Corinne questionna discrètement Martine :- Alors, c'était bien ?
- Super ! Et tu sais pas quoi ? Anthony, c'est son prénom, avait un copain et ils m'ont prise à deux. Tu ne peux pas savoir tout ce qu'on peut faire à trois. Deux hommes pour une femme, c'est géant.
- J'imagine, oui. Il est bien, le copain ?
- C'est aussi un marin, mignon et très costaud. De beaux yeux verts et d'adorables petites fesses...
- Et tu crois que... il pourrait... enfin tu vois ce que je veux dire...
- Te baiser ? M'étonnerait qu'il ferait la fine bouche, vu ton corps. Mais tu veux donc tromper Christophe ?
- Mais non, pas le tromper, il restera toujours mon cher mari mais là, en ce moment, j'ai le feu et il faut que quelqu'un l'éteigne. Christophe n'est pas en état.
- Bon, je t'emmène demain, on a rendez-vous pour la deuxième séance, ils vont être surpris. On va se trouver un petit alibi pour la sauvegarde de nos hormones...
******Corinne était de ces femmes qui, quand elles ont envie de faire l'amour, ont du mal à se réfréner. Certes, cela n'arrivait pas tout le temps. L'hiver était moins propice à ses pulsions mais dès que la belle saison arrivait, des ondes de chaleur envahissaient son bas-ventre et elle se trouvait dès lors très vulnérable au moindre dragueur. Malgré ses cinquante ans, son système hormonal fonctionnait encore à plein régime, peut-être parce qu'elle faisait facilement dix ans de moins que son âge et agissait en sorte que cela se voie dans sa tenue vestimentaire. Pantalons moulants, jupes courtes et corsages décolletés constituaient pour certains hommes un véritable appel au sexe, en dépit d'une alliance attestant son statut de femme mariée. Sa relation avec Martine, elle-même très portée sur le sexe et n'hésitant pas à en parler, ne faisait qu'attiser ses désirs. Aussi, quand son amie évoqua la possibilité d'une relation sexuelle proche et intense, Corinne ne peut plus se l'enlever de la tête... et pas seulement la tête. Sans avoir vu son futur partenaire, elle se mit à fantasmer sur lui. Elle savait que ses longs cheveux blonds, ses jambes fines et ses seins haut plantés ne dissuaderaient pas le jeune mâle qui avait si bien honoré Martine.
Les deux femmes prétextèrent d'aller "faire les boutiques" pour rejoindre à l'autre bout du port le bateau des deux marins. Ceux-ci furent ravis de voir arriver à leur bord deux pimpantes "matures" aussi légèrement vêtues. Martine fit les présentations, on discuta de tout et de rien, on se rafraichit et on décida de mettre le cap vers le large histoire d'être un peu plus tranquilles. Martine était nue sous sa robe d'été et se laissa peloter par Anthony le barreur qui triquait déjà. Manuel, son copain, se montrait plus prudent avec Corinne qui l'impressionnait un peu par sa classe naturelle. Elle laissa flotter sa robe au vent pour qu'il puisse admirer ses jambes et apercevoir son slip. Manuel lui plaisait beaucoup, elle ne regrettait pas d'avoir tenté le diable. Une grande virilité se dégageait de lui. Pour Corinne, ce serait oui tout de suite, sans discutailler, mais elle voulait lui laisser faire le premier pas.
Martine ne s'embarrassait pas de ces considérations. Dès qu'Anthony eut jeté l'ancre au large, elle mit le cap sur sa braguette et en sortit un pénis en demi érection. Elle l'emboucha alors qu'il s'était assis sur le roof et le laissa faire glisser les épaulettes de sa robe pour apparaitre entièrement nue. Tandis que Corinne et Manuel en étaient encore aux simagrées, Martine attirait Manuel entre ses cuisses à même le pont et le couple entamait sa copulation à un rythme effréné. Dès que Corinne eut capté l'accouplement et focalisé son regard sur les muscles fessiers en pleine activité du barreur, elle fit fi de ses résolutions et prit le visage de Manuel à deux mains pour l'embrasser à pleine bouche tout en glissant une main furtive sous son short. Libéré de son incertitude, le gaillard la souleva avec aisance avec l'intention de l'emmener sur la couchette dans la cabine.
- Non, ici, dehors, je préfère, souffla Corinne, désormais nue à l'exception de ses lunettes de soleil.
Baiser les yeux sur la mer, c'était pour elle un supplément érotique. Ce n'était pas pour le moment l'intention du couple voisin. En plein 69, Anthony avait le nez entre les fesses dorées de Martine qui pompait avec allégresse un pénis dressé comme un mât. Corinne s'assit sur le roof et offrit sa vulve à Manuel, qui s'en délecta pendant qu'elle admirait le paysage marin. Puis il la délaissa provisoirement pour aller chercher une capote et Corinne en profita pour observer les ébats de son amie. Elle cavalait maintenant sur la bite, le visage rayonnant, exprimant sa joie par une série d'onomatopées d'autant plus bruyantes qu'elle ne risquait pas de déranger les voisins.
Bouillante de désir, Corinne mit ses coudes sur le roof dès qu'elle vit apparaitre Manuel, s'offrant en levrette. Son cul, elle le savait, était son argument érotique majeur et le marin, subjugué, empoigna les deux globes pulpeux avant de glisser son dard dans la fente déjà béante. Corinne eut la brève vision de son mari resté au port et un court sentiment de culpabilité quand elle fut pénétrée, validant ainsi de manière irrémédiable l'acte d'adultère. Mais la bite épaisse et vigoureuse de Manuel lui produisit de telles sensations qu'elle ne pensa plus qu'à son plaisir. Ses cris de jouissance se mêlèrent à ceux de Martine et les deux jeunes mâles se félicitèrent de leur bonne fortune. Deux crieuses ensemble, dans le même bateau, si actives du cul, que demander de mieux ?
Toujours sur le roof mais cette fois assise, Corinne se fit enfiler par Manuel debout. L'angle de la pénétration était optimum, elle avait l'impression qu'il allait la pénétrer jusqu'à la gorge et ses manifestations vocales prirent une telle intensité que Martine la rejoignit et incita son amant à faire de même. Côte à côte, presque main dans la main, les deux amies reçurent les assauts conjugués de leur baiseur, Martine lâchant un "oh que je la sens bien" qui témoignait de la justesse de son initiative. Les deux garçons ne semblaient pas décidés à lâcher leur sperme, si bien qu'une pause fut décrétée par Martine. Assis sur le pont, les deux couples échangèrent quelques propos salaces destinés à maintenir l'érection des deux hommes. Il fut finalement décidé de terminer la partie de jambes en l'air sur le lit deux places de la cabine car les deux femmes avaient le coccyx un peu endolori après la séance du roof.
Martine voulait se faire prendre par Anthony et sucer Manuel en même temps, à charge pour les deux hommes de faire de même avec Corinne. Tout cela aboutit à une séance de mélangisme qui vit, dans la promiscuité de la cabine, Corinne copuler avec Anthony et Martine avec Manuel puis Martine subir une double anale vaginale qui provoqua l'éjaculation d'Anthony dans son rectum. Manuel se concentra alors sur Corinne, la plia en porte-feuille et lui asséna de virulents coups de queue qui aboutirent à un orgasme quasiment simultané du couple reconstitué. Quelques minutes plus tard, tous plongeaient nus dans la mer, sauf Anthony préposé à la barre par sécurité. Et l'on rentra au port une heure après.
*******Dès le pied sur le ponton, Corinne revint à la réalité de sa vie conjugale. Surtout ne pas se faire repérer par Christophe à la descente du bateau. Elle parvint à ses fins avec la complicité de Martine qui lui prêta un chapeau, fit un détour par le centre de la station balnéaire en compagnie de son amie et réintégra l'embarcation d'Hubert comme après une longue virée en ville.
- Eh ben, vous en avez mis du temps, grogna le mari.
- On a euh... rien trouvé qui nous plaisait, prétexta son épouse, qui avait hâte de passer à autre chose. Martine l'aida :- Et si on allait faire un petit tour en mer pour pêcher ?
Les deux hommes approuvèrent mollement, surtout Christophe, mais ce que femme veut... Et c'est ainsi que Corinne reprit la mer presqu'aussitôt après l'avoir laissée, non pour pécher, mais pour pêcher...
Tant et si bien qu'un beau jour de juillet, tous deux firent leur apparition au port de Bonifacio où était amarrée l'embarcation. Martine, petite femme aux cheveux ultra courts, âgée comme Corinne de 50 ans, accueillit le couple dans un bikini qui ne cachait pour ainsi dire rien, si ce n'est la raie des fesses et les pointes de ses seins ronds. Son corps menu et parfaitement conservé présentait déjà un bronzage quasi intégral. Son mari, plus âgé de dix ans, était classiquement vêtu d'un bermuda et d'un tee shirt contenant difficilement un bide conséquent de buveur de bière. Il accueillit Corinne et Christophe chaleureusement et leur fit visiter le bateau, en particulier l'intérieur, étonnamment bien équipé et confortable avec deux cabines séparées. Le couple visiteur fut invité à y déposer ses bagages et Hubert, l'hôte, informa qu'il allait lever l'ancre.
Une fois en mer, Corinne ne cacha pas son émerveillement devant la beauté de la côté qui défilait sous ses yeux. Elle avait revêtu son bikini, un peu moins réduit que celui de Martine mais laissant néanmoins peu d'importance au tissu. Ses longues jambes, ses seins haut plantés et son fessier rebondi faisaient l'admiration d'Hubert qui lui lança quelques compliments bien sentis. Il invita Christophe à tenir la barre pour le grand plaisir de celui-ci avant de disparaitre dans la cabine, bientôt rejoint par Martine. Corinne, qui bronzait sur le pont soutif défait, s'étonnait de ne pas voir réapparaitre son amie. Elle n'eut pas beaucoup de chemin à faire pour jeter un coup d'oeil vers le bas du bateau et découvrit Hubert assis sur le lit, bermuda baissé sur ses chevilles et Martine accroupie en train de lui tailler une pipe. Elle remonta vite sur le pont, troublée et amusée à la fois. Elle savait que Martine n'était pas une oie blanche mais pas au point d'honorer son mari dans une telle promiscuité. Ce petit périple aquatique s'annonçait bien...
**********Quelques minutes plus tard, Martine rejoignit Corinne sur le pont et se débarrassa de son bikini pour s'allonger à poil sur sa serviette, révélant un corps uniformément pain d'épice.
- Tu n'enlèves pas ton slip ? dit-elle à son amie.
- Euh, non, il y a Hubert quand même.
- Et alors ? Tu crois que je choque Christophe ? En tout cas, s'il me mate, je m'en fous.
- Bon, ok, j'enlève le bas mais je vais prendre des coups de soleil sur les fesses...
- Je te donnerai de la biafine. Au fait Christophe, ça va mieux son mal de mer ?
- Pas trop, il est toujours barbouillé mais de tenir la barre, ça limite le désagrément, il faut croire. Dis donc, tu ne t'es pas gênée tout à l'heure avec Hubert...
- Je me doutais que tu m'avais vue. Hubert, il lui faut sa petite pipe de temps en temps. C'est notre manière de rester sexuellement en phase car il ne me baise plus beaucoup depuis qu'il a eu son infarctus.
- Et ça ne te manque pas ?
- Non car j'ai un autre fer au feu, si tu veux tout savoir. Je ne pourrais pas me passer de sexe, à cinquante ans, ce serait la porte ouverte vers la gériatrie...
- Tu veux dire que tu as un amant ?
- Oui, si on veut. Il a un bateau dans le port de Porto Vecchio où nous allons accoster tout à l'heure. J'ai hâte de le voir, j'ai une grosse envie, c'est un super baiseur, jeune, fringant, endurant, bien membré et tout et tout.
- Tu me fais envie...
- Pourquoi ? Christophe ne te satisfait pas ?
- Si mais en ce moment, il pense plus à son estomac qu'à sa bite. Et à ma chatte.
- Dommage pour toi. En attendant, bronze un peu, le soleil te fera du bien.
********Dès l'arrivée à Porto Vecchio, Martine s'esquiva, prétextant une course à faire. Christophe et Corinne en profitèrent pour visiter la ville et surtout, pour Christophe, pour rétablir son système digestif. Hubert gardait le bateau. En fin d'après-midi, les quatre se retrouvèrent à bord. Corinne questionna discrètement Martine :- Alors, c'était bien ?
- Super ! Et tu sais pas quoi ? Anthony, c'est son prénom, avait un copain et ils m'ont prise à deux. Tu ne peux pas savoir tout ce qu'on peut faire à trois. Deux hommes pour une femme, c'est géant.
- J'imagine, oui. Il est bien, le copain ?
- C'est aussi un marin, mignon et très costaud. De beaux yeux verts et d'adorables petites fesses...
- Et tu crois que... il pourrait... enfin tu vois ce que je veux dire...
- Te baiser ? M'étonnerait qu'il ferait la fine bouche, vu ton corps. Mais tu veux donc tromper Christophe ?
- Mais non, pas le tromper, il restera toujours mon cher mari mais là, en ce moment, j'ai le feu et il faut que quelqu'un l'éteigne. Christophe n'est pas en état.
- Bon, je t'emmène demain, on a rendez-vous pour la deuxième séance, ils vont être surpris. On va se trouver un petit alibi pour la sauvegarde de nos hormones...
******Corinne était de ces femmes qui, quand elles ont envie de faire l'amour, ont du mal à se réfréner. Certes, cela n'arrivait pas tout le temps. L'hiver était moins propice à ses pulsions mais dès que la belle saison arrivait, des ondes de chaleur envahissaient son bas-ventre et elle se trouvait dès lors très vulnérable au moindre dragueur. Malgré ses cinquante ans, son système hormonal fonctionnait encore à plein régime, peut-être parce qu'elle faisait facilement dix ans de moins que son âge et agissait en sorte que cela se voie dans sa tenue vestimentaire. Pantalons moulants, jupes courtes et corsages décolletés constituaient pour certains hommes un véritable appel au sexe, en dépit d'une alliance attestant son statut de femme mariée. Sa relation avec Martine, elle-même très portée sur le sexe et n'hésitant pas à en parler, ne faisait qu'attiser ses désirs. Aussi, quand son amie évoqua la possibilité d'une relation sexuelle proche et intense, Corinne ne peut plus se l'enlever de la tête... et pas seulement la tête. Sans avoir vu son futur partenaire, elle se mit à fantasmer sur lui. Elle savait que ses longs cheveux blonds, ses jambes fines et ses seins haut plantés ne dissuaderaient pas le jeune mâle qui avait si bien honoré Martine.
Les deux femmes prétextèrent d'aller "faire les boutiques" pour rejoindre à l'autre bout du port le bateau des deux marins. Ceux-ci furent ravis de voir arriver à leur bord deux pimpantes "matures" aussi légèrement vêtues. Martine fit les présentations, on discuta de tout et de rien, on se rafraichit et on décida de mettre le cap vers le large histoire d'être un peu plus tranquilles. Martine était nue sous sa robe d'été et se laissa peloter par Anthony le barreur qui triquait déjà. Manuel, son copain, se montrait plus prudent avec Corinne qui l'impressionnait un peu par sa classe naturelle. Elle laissa flotter sa robe au vent pour qu'il puisse admirer ses jambes et apercevoir son slip. Manuel lui plaisait beaucoup, elle ne regrettait pas d'avoir tenté le diable. Une grande virilité se dégageait de lui. Pour Corinne, ce serait oui tout de suite, sans discutailler, mais elle voulait lui laisser faire le premier pas.
Martine ne s'embarrassait pas de ces considérations. Dès qu'Anthony eut jeté l'ancre au large, elle mit le cap sur sa braguette et en sortit un pénis en demi érection. Elle l'emboucha alors qu'il s'était assis sur le roof et le laissa faire glisser les épaulettes de sa robe pour apparaitre entièrement nue. Tandis que Corinne et Manuel en étaient encore aux simagrées, Martine attirait Manuel entre ses cuisses à même le pont et le couple entamait sa copulation à un rythme effréné. Dès que Corinne eut capté l'accouplement et focalisé son regard sur les muscles fessiers en pleine activité du barreur, elle fit fi de ses résolutions et prit le visage de Manuel à deux mains pour l'embrasser à pleine bouche tout en glissant une main furtive sous son short. Libéré de son incertitude, le gaillard la souleva avec aisance avec l'intention de l'emmener sur la couchette dans la cabine.
- Non, ici, dehors, je préfère, souffla Corinne, désormais nue à l'exception de ses lunettes de soleil.
Baiser les yeux sur la mer, c'était pour elle un supplément érotique. Ce n'était pas pour le moment l'intention du couple voisin. En plein 69, Anthony avait le nez entre les fesses dorées de Martine qui pompait avec allégresse un pénis dressé comme un mât. Corinne s'assit sur le roof et offrit sa vulve à Manuel, qui s'en délecta pendant qu'elle admirait le paysage marin. Puis il la délaissa provisoirement pour aller chercher une capote et Corinne en profita pour observer les ébats de son amie. Elle cavalait maintenant sur la bite, le visage rayonnant, exprimant sa joie par une série d'onomatopées d'autant plus bruyantes qu'elle ne risquait pas de déranger les voisins.
Bouillante de désir, Corinne mit ses coudes sur le roof dès qu'elle vit apparaitre Manuel, s'offrant en levrette. Son cul, elle le savait, était son argument érotique majeur et le marin, subjugué, empoigna les deux globes pulpeux avant de glisser son dard dans la fente déjà béante. Corinne eut la brève vision de son mari resté au port et un court sentiment de culpabilité quand elle fut pénétrée, validant ainsi de manière irrémédiable l'acte d'adultère. Mais la bite épaisse et vigoureuse de Manuel lui produisit de telles sensations qu'elle ne pensa plus qu'à son plaisir. Ses cris de jouissance se mêlèrent à ceux de Martine et les deux jeunes mâles se félicitèrent de leur bonne fortune. Deux crieuses ensemble, dans le même bateau, si actives du cul, que demander de mieux ?
Toujours sur le roof mais cette fois assise, Corinne se fit enfiler par Manuel debout. L'angle de la pénétration était optimum, elle avait l'impression qu'il allait la pénétrer jusqu'à la gorge et ses manifestations vocales prirent une telle intensité que Martine la rejoignit et incita son amant à faire de même. Côte à côte, presque main dans la main, les deux amies reçurent les assauts conjugués de leur baiseur, Martine lâchant un "oh que je la sens bien" qui témoignait de la justesse de son initiative. Les deux garçons ne semblaient pas décidés à lâcher leur sperme, si bien qu'une pause fut décrétée par Martine. Assis sur le pont, les deux couples échangèrent quelques propos salaces destinés à maintenir l'érection des deux hommes. Il fut finalement décidé de terminer la partie de jambes en l'air sur le lit deux places de la cabine car les deux femmes avaient le coccyx un peu endolori après la séance du roof.
Martine voulait se faire prendre par Anthony et sucer Manuel en même temps, à charge pour les deux hommes de faire de même avec Corinne. Tout cela aboutit à une séance de mélangisme qui vit, dans la promiscuité de la cabine, Corinne copuler avec Anthony et Martine avec Manuel puis Martine subir une double anale vaginale qui provoqua l'éjaculation d'Anthony dans son rectum. Manuel se concentra alors sur Corinne, la plia en porte-feuille et lui asséna de virulents coups de queue qui aboutirent à un orgasme quasiment simultané du couple reconstitué. Quelques minutes plus tard, tous plongeaient nus dans la mer, sauf Anthony préposé à la barre par sécurité. Et l'on rentra au port une heure après.
*******Dès le pied sur le ponton, Corinne revint à la réalité de sa vie conjugale. Surtout ne pas se faire repérer par Christophe à la descente du bateau. Elle parvint à ses fins avec la complicité de Martine qui lui prêta un chapeau, fit un détour par le centre de la station balnéaire en compagnie de son amie et réintégra l'embarcation d'Hubert comme après une longue virée en ville.
- Eh ben, vous en avez mis du temps, grogna le mari.
- On a euh... rien trouvé qui nous plaisait, prétexta son épouse, qui avait hâte de passer à autre chose. Martine l'aida :- Et si on allait faire un petit tour en mer pour pêcher ?
Les deux hommes approuvèrent mollement, surtout Christophe, mais ce que femme veut... Et c'est ainsi que Corinne reprit la mer presqu'aussitôt après l'avoir laissée, non pour pécher, mais pour pêcher...
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