Corinne en vidéo
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Corinne en vidéo
Comme chaque vendredi soir, après le travail, Mylène et Corinne se retrouvèrent autour d'un thé dans leur salon habituel, pour papoter entre copines. Toutes les deux dans leurs premières années quinquagénaires, mais toujours très apprêtées, soucieuses de leur corps et de leur mise, de susciter toujours le désir masculin (l'une aux cheveux auburn, l'autre blonde à mèches, toutes deux minces avec une chair toujours ferme) et de ne pas vieillir prématurément, leurs conversations portaient le plus souvent sur ces préoccupations, en plus des sempiternelles affaires familiales et conjugales car toutes les deux étaient mariées avec des enfants adolescents. Leur intimité de longue date favorisaient les échanges à caractère sexuel, l'une et l'autre n'étant pas vraiment exemplaires en matière de fidélité, comme on a pu le lire pour Corinne dans de précédents épisodes, mais c'était aussi le cas de Mylène. Elles avaient toutefois un point commun : ne pas entretenir de liaison qui puisse mettre en danger leur couple légitime.
Ce jour là, Mylène lança la conversation sur une expérience inédite qu'elle venait de vivre avec son mari François :- Comme tu le sais, depuis quelque temps, on s'embêtait un peu au lit, on était tombé dans la routine, je ne jouissais plus avec François. Alors, il a eu une idée. "Et si on se faisait filmer en faisant l'amour ?" Venant de lui, l'idée m'a surprise. Mais je ne l'ai pas repoussée d'emblée. Je lui ai simplement dit : "d'accord, mais qui va nous filmer ?" On a passé plusieurs personnes en revue, y compris toi d'ailleurs...
- Quoi ? Moi ? Tu plaisantes j'espère.
- Pas du tout, mais j'ai écarté l'idée. Je le soupçonne d'avoir voulu en profiter pour te sauter.
- Tu as drôlement bien fait. François, de toute façon, ce n'est pas mon type, tu le sais.
- Oui, je sais. Alors, on a continué à chercher et on est tombé d'accord sur une personne totalement inconnue, neutre mais bienveillante. Et on a pensé à un livreur de pizza, un jeune gaillard fringant et rigolard auquel on avait donné une petite pièce.
- Continue, tu m'intéresses.
- Un soir que nos enfants étaient partis faire la fête chez des potes, on a donc commandé deux pizzas à notre pizzaiolo habituel et le gars est arrivé. François lui a demandé s'il savait se servir d'une caméra (il a dit oui) et a proposé de revenir après son service pour nous filmer, moyennant 50 euros. Le gars, malin, a tout de suite compris de quoi il retournait et il a accepté.
- Il était comment le gars ?
- Jeune, vingt ans et des poussières, grand et sec, de beaux yeux bleus, tout pour me plaire en fait même si ce n'était pas le but.
- Et après ?
- Eh bien, il est venu sur le coup de 23h, on était assez nerveux, moi surtout. On a expliqua au gars qu'on allait faire l'amour dans notre chambre et qu'il allait nous enregistrer sur notre caméra vidéo moyennant 50 euros plus 50 autres dans quelques semaines s'il s'avérait qu'il avait été discret. Tu imagines, pour lui, c'était royal quand on sait combien ils sont payés. Bref, on s'est mis à poil (pour moi, ça n'a pas été long, je n'avais rien sous mon peignoir), on s'est caressé, François était étonnament raide, ça l'excitait vachement cette situation. Et on a baisé sous l'objectif. Le gars était adroit, il changeait l'angle des prises de vues, tantôt grand angle, tantôt plan rapproché, il nous suggérait de changer de position. A un moment, je me suis trouvée face à lui alors que François me prenait en levrette, et là ô surprise, le gars s'était débraguetté et se branlait en nous filmant. Ce n'était pas prévu et ça a un peu dérapé.
- C'est à dire. Ne me dis pas que...
- Si. Il faut dire qu'il avait une queue vraiment superbe et je n'ai pas pu résister. Je l'ai sucé, quoi, tout en me faisant baiser par François qui cognait de plus en plus dur. Cette situation l'a tellement excité qu'il a éjaculé, un peu trop tôt à mon goût car je sentais monter un puissant orgasme. Mais le gars, lui, était toujours très vaillant. Alors, François a pris la parole et a proposé de prendre la caméra pendant que le gars me baisait.
- Il a fait ça, François ?
- Ben oui et je me suis rappelée qu'un soir, on avait regardé un porno où le mari filmait sa femme en train de baiser avec un jeune noir supérieurement monté et ça l'avait tellement fait bander qu'on avait copulé comme des fous en regardant la vidéo. Cette situation du cocu qui filme l'excite au plus haut point. Et c'est ce qu'il a fait.
- Sauf qu'il n'était pas vraiment cocu puisqu'il était à l'initiative.
- Oui, et je n'étais pas non plus dans le rôle de la femme adultère, si tu vas par là. N'empêche que le gars m'a enfilée sans se faire prier et m'a infligé une séance, je ne te dis pas. Une vraie mitraillette. J'ai cru mourir dix fois. Quand j'ai revu la vidéo plus tard avec François, je ne me suis pas reconnue. Je ne croyais pas être aussi cochonne quand je prends mon pied. Non seulement je gueulais mais je l'encourageais avec des propos insensés. Je lui ai même demandé de m'enculer, tu te rends compte ? Texto. François m'a avoué qu'il avait pris un des plus grands panards de sa vie en me voyant m'éclater avec un autre type ce qui me laisse vraiment à penser, avec le recul. Qu'en penses-tu ?
- J'en pense que vous avez connu une expérience sexuelle d'enfer. Au fond, François est un voyeur refoulé et toi une exhibitionniste mal assumée, voilà.
- Tu as peut-être raison. En tout cas, on n'a pas regretté nos 50 euros et maintenant, on baise avec la vidéo de cette soirée en fond sonore et visuel. Et on jouit ensemble.
Pendant tout le récit de Mylène, Corinne avait sentir une intense chaleur envahir son bas-ventre. Lorsque les deux amies se quittèrent, la blonde dit à la rousse :- Je crois bien que je vais proposer la même chose à Christophe.
*********
Les deux amies se retrouvèrent plusieurs semaines plus tard car entre temps avaient eu lieu les vacances d'été. Illico, Mylène interrogea Corinne :- Alors, cette vidéo, tu l'as faite ou pas ?
- Oui je l'ai faite mais cela ne s'est pas passé comme je l'avais supposé. Quand j'ai raconté à Christophe ce que tu avais fait avec François et le plaisir que vous y avez pris tous les deux, il a nettement tiqué. "Je ne me vois pas me faire filmer en te faisant l'amour, je perdrais tous mes moyens", a-t-il argumenté. Je dois dire que l'argument était recevable et il a vu que j'étais déçue. On a laissé passer quelques jours durant lesquels je dois t'avouer que nos rapports sexuels ont été rares et médiocres. La tension s'est installée et comme il me connait, il a vu venir que j'allais trouver mon bonheur ailleurs. Alors, un jour, il m'a dit : "bon, je sais que tu as envie de quelque chose de spécial avec moi. D'accord pour ta vidéo mais pas avec moi. Et en ma présence." Au début, je n'ai pas tout compris et il a précisé sa pensée : il voulait me filmer en faisant l'amour avec un inconnu, de préférence un jeune noir. Je suis tombée des nues.
- Attends, tu veux dire qu'il voulait te filmer directement en cocu ? Sans faire comme François et moi, en commençant ensemble ?
- C'est à peu près ça, mais je crois que c'est chez lui une sorte de fantasme qu'il avait refoulé jusqu'à présent.
- Et tu as donc accepté ?
- Oui, à condition que je choisisse mon partenaire. On est allé en boite de nuit où des jeunes ont l'habitude de danser. Je m'étais faite très sexy, mini short et débardeur sans soutif, tu vois le genre, et Christophe s'est tenu en retrait. Je me suis fait draguer par plusieurs jeunes mecs, c'était rigolo, surtout de voir la tête de leurs copines. Finalement, j'ai retenu un grand métis bien baraqué. On a flirté jusqu'au moment où je lui ai présenté Christophe. Là, il a tiqué, mais je lui ai dit qu'on était un couple très libre et qu'il était d'accord pour qu'on passe la nuit ensemble, à la seule condition de nous filmer. Le gars s'est crispé mais je l'ai rassuré en lui disant que c'était juste pour nous, pas pour internet. Il faut dire, sans me vanter, qu'il était bien accroché, qu'il voulait vraiment me sauter. Chez les mecs, la queue finit toujours par l'emporter sur la tête. Bref, on est allé tous les trois à l'hôtel car les gosses étaient à la maison. On avait réservé la chambre, c'est dire que nous étions optimistes.
- Continue, tu me passionnes...
- Christophe s'est fait le plus discret possible dans la chambre, il s'est mis dans un coin avec sa go pro et j'ai fait en sorte que Bastien (le prénom du gars) oublie sa présence. Je lui ai fait le grand jeu et ce n'était pas difficile car j'avais vraiment envie de lui, j'étais archi chaude et ce que j'avais picolé avant y contribuait sans doute. Mais c'est surtout la situation qui me branchait. J'avais une furieuse envie de voir sa queue, de la sucer, de la cajoler, et quand elle a jailli de son caleçon, j'ai compris que j'allais me régaler. Une queue pareille chez un homme aussi jeune, ça ne pouvait être que du bonheur pour une femme mûre. Elle était à la fois longue et épaisse, une vraie tige un peu recourbée, tu vois ?
- Je vois, oui... Et tu me fais mouiller.
- Attends, le meilleur arrive. On s'est mis mutuellement à poil et on a commencé par un 69. J'étais dessus et je regardais Christophe nous filmer en tournant autour de nous tout en suçant. La langue de Bastien était adroite pour un homme jeune, on sentait la pratique. A un moment, je n'ai pas pu tenir, il fallait que je me la mette et Christophe m'a tendu une capote pour le coiffer. Aussitôt fait, je me suis empalée sur lui en lui montrant mon cul et la cavalcade a commencé. Il m'a prise dans plusieurs positions, inlassablement, sans débander une seconde. J'étais complètement à l'ouest, je ne voyais même plus Christophe. Je ne pensais qu'à cette bite qui me transportait. On a baisé pendant une demi-heure, j'ai connu plusieurs orgasmes et j'ai fini par le faire jouir en lui mettant le doigt dans son petit trou, jusqu'à la prostate. J'étais anéantie et ne l'ai même pas vu quitter la chambre après que Christophe lui eut filé un billet de 50 euros (j'avais pensé à ton tarif). On est resté dans la chambre pour la nuit, Christophe à mes côtés mais pour dormir. Et on est rentré pour regarder ensemble la vidéo.
- Et alors ?
- En la regardant, j'ai pensé à ce que tu m'avais dit, que tu t'étais découverte. C'est exactement ça. C'était la première fois que je me voyais vraiment baiser, de manière bien plus complète qu'avec un miroir. Christophe s'était vraiment surpassé. On voyait et on entendait tout, absolument tout. Je ne dirai pas que j'ai pris mon pied en me regardant mais j'ai prolongé mon plaisir de la baise avec Bastien. J'ai vu ses couilles battre la cadence quand il me limait, vu sa queue entrer et sortir de ma chatte, vu son visage quand il me prenait par derrière, vu mes mains crispées sur ses fesses que je ne pouvais pas voir remuer pour me faire jouir (un cul parfait, soit dit en passant), je me suis entendue gémir, crier, dire des obscénités dont je ne me rendais même pas compte. Une vraie salope, j'en ai eu presque honte. Figure-toi que je me suis masturbée en me regardant et du coup, Christophe s'est déculotté et m'a baisée sur le canapé, en vrai sauvage. Et encore un orgasme à la fin. Quelle soirée !
- Je ne te le fais pas dire. Tu m'as mis le feu. Tu as fait plus fort que moi, en un sens puisque c'était calculé et non dans le feu de l'action. Donc, si je comprends bien, Christophe a apprécié.
- Oh oui et il a même envie de recommencer. Il adore me regarder baiser. Et moi j'adore qu'il me regarde. Nos regards se sont souvent croisés. Il m'encourageait de la voix, à un moment il m'a même écarté les pieds pour que l'autre entre bien profondément, il les a aussi tenus en l'air en les rassemblant d'une main tout en filmant, il participait quoi. Je pensais qu'il allait me donner sa queue à sucer en même temps mais il était trop occupé à nous tourner autour pour chercher les meilleurs plans. Ce qui l'intéressait surtout, c'étaient ses couilles et mon visage. Choses que je ne vois jamais quand je baise.
- Et ça t'a appris quoi, ton visage ?
- Que je suis une autre. J'ai un côté bestial que je ne soupçonnais pas. Je ne sais plus combien de fois j'ai prononcé le mot "bite". Je la voulais et j'en redemandais. Je te dis, j'avais presque honte en me regardant. Ce qui m'a rassurée quand même, c'est que je souriais beaucoup, j'étais même rayonnante, je constatais de visu que je prenais énormément de plaisir.
- J'ai eu un peu le même sentiment. Toi comme moi, on aime vraiment le sexe. Sans doute plus que la plupart des femmes. On prend du plaisir et on en donne. Au fait, est-ce qu'il t'a enculée ?
- Non, je réserve ça à mon mari. C'est son privilège. Ce n'est pas que je n'en avais pas envie, j'étais tellement chaude qu'il aurait pu tout me faire mais devant lui, je ne pouvais pas et il n'a d'ailleurs pas essayé. Par contre, je l'ai doigté après lui avoir léché l'anus. C'est là qu'il m'a traitée de salope...
- Il n'avait pas tort sur le coup.
- Non mais je peux te dire qu'il a apprécié et c'est juste après qu'il a joui après m'avoir mitraillée de sa bite. Il n'en pouvait plus de se retenir.
- Tu vas le revoir ?
- Je ne sais pas, on verra. En tout cas, on va recommencer l'expérience, c'est trop jouissif, et on regarde de temps en temps la vidéo avec Christophe avant de baiser. C'est beaucoup mieux qu'un film porno avec des inconnus.
- Je vois que vous ne vous ennuyez plus au lit...
- Pour le moment, non, mais il faudra peut-être réactiver. Et toi au fait ?
- On a revu notre pizzaiolo. Mais c'était un peu moins bien, ce n'était plus nouveau et moins spontané.
- Tu n'as qu'à lui raconter notre expérience.
- Je ne suis pas sûre qu'il soit dans le même état d'esprit que Christophe. Bon, on va y aller maintenant, c'est toi qui paye ou c'est moi ?
Et les deux amies quittèrent le salon de thé, la culotte particulièrement humide...
Ce jour là, Mylène lança la conversation sur une expérience inédite qu'elle venait de vivre avec son mari François :- Comme tu le sais, depuis quelque temps, on s'embêtait un peu au lit, on était tombé dans la routine, je ne jouissais plus avec François. Alors, il a eu une idée. "Et si on se faisait filmer en faisant l'amour ?" Venant de lui, l'idée m'a surprise. Mais je ne l'ai pas repoussée d'emblée. Je lui ai simplement dit : "d'accord, mais qui va nous filmer ?" On a passé plusieurs personnes en revue, y compris toi d'ailleurs...
- Quoi ? Moi ? Tu plaisantes j'espère.
- Pas du tout, mais j'ai écarté l'idée. Je le soupçonne d'avoir voulu en profiter pour te sauter.
- Tu as drôlement bien fait. François, de toute façon, ce n'est pas mon type, tu le sais.
- Oui, je sais. Alors, on a continué à chercher et on est tombé d'accord sur une personne totalement inconnue, neutre mais bienveillante. Et on a pensé à un livreur de pizza, un jeune gaillard fringant et rigolard auquel on avait donné une petite pièce.
- Continue, tu m'intéresses.
- Un soir que nos enfants étaient partis faire la fête chez des potes, on a donc commandé deux pizzas à notre pizzaiolo habituel et le gars est arrivé. François lui a demandé s'il savait se servir d'une caméra (il a dit oui) et a proposé de revenir après son service pour nous filmer, moyennant 50 euros. Le gars, malin, a tout de suite compris de quoi il retournait et il a accepté.
- Il était comment le gars ?
- Jeune, vingt ans et des poussières, grand et sec, de beaux yeux bleus, tout pour me plaire en fait même si ce n'était pas le but.
- Et après ?
- Eh bien, il est venu sur le coup de 23h, on était assez nerveux, moi surtout. On a expliqua au gars qu'on allait faire l'amour dans notre chambre et qu'il allait nous enregistrer sur notre caméra vidéo moyennant 50 euros plus 50 autres dans quelques semaines s'il s'avérait qu'il avait été discret. Tu imagines, pour lui, c'était royal quand on sait combien ils sont payés. Bref, on s'est mis à poil (pour moi, ça n'a pas été long, je n'avais rien sous mon peignoir), on s'est caressé, François était étonnament raide, ça l'excitait vachement cette situation. Et on a baisé sous l'objectif. Le gars était adroit, il changeait l'angle des prises de vues, tantôt grand angle, tantôt plan rapproché, il nous suggérait de changer de position. A un moment, je me suis trouvée face à lui alors que François me prenait en levrette, et là ô surprise, le gars s'était débraguetté et se branlait en nous filmant. Ce n'était pas prévu et ça a un peu dérapé.
- C'est à dire. Ne me dis pas que...
- Si. Il faut dire qu'il avait une queue vraiment superbe et je n'ai pas pu résister. Je l'ai sucé, quoi, tout en me faisant baiser par François qui cognait de plus en plus dur. Cette situation l'a tellement excité qu'il a éjaculé, un peu trop tôt à mon goût car je sentais monter un puissant orgasme. Mais le gars, lui, était toujours très vaillant. Alors, François a pris la parole et a proposé de prendre la caméra pendant que le gars me baisait.
- Il a fait ça, François ?
- Ben oui et je me suis rappelée qu'un soir, on avait regardé un porno où le mari filmait sa femme en train de baiser avec un jeune noir supérieurement monté et ça l'avait tellement fait bander qu'on avait copulé comme des fous en regardant la vidéo. Cette situation du cocu qui filme l'excite au plus haut point. Et c'est ce qu'il a fait.
- Sauf qu'il n'était pas vraiment cocu puisqu'il était à l'initiative.
- Oui, et je n'étais pas non plus dans le rôle de la femme adultère, si tu vas par là. N'empêche que le gars m'a enfilée sans se faire prier et m'a infligé une séance, je ne te dis pas. Une vraie mitraillette. J'ai cru mourir dix fois. Quand j'ai revu la vidéo plus tard avec François, je ne me suis pas reconnue. Je ne croyais pas être aussi cochonne quand je prends mon pied. Non seulement je gueulais mais je l'encourageais avec des propos insensés. Je lui ai même demandé de m'enculer, tu te rends compte ? Texto. François m'a avoué qu'il avait pris un des plus grands panards de sa vie en me voyant m'éclater avec un autre type ce qui me laisse vraiment à penser, avec le recul. Qu'en penses-tu ?
- J'en pense que vous avez connu une expérience sexuelle d'enfer. Au fond, François est un voyeur refoulé et toi une exhibitionniste mal assumée, voilà.
- Tu as peut-être raison. En tout cas, on n'a pas regretté nos 50 euros et maintenant, on baise avec la vidéo de cette soirée en fond sonore et visuel. Et on jouit ensemble.
Pendant tout le récit de Mylène, Corinne avait sentir une intense chaleur envahir son bas-ventre. Lorsque les deux amies se quittèrent, la blonde dit à la rousse :- Je crois bien que je vais proposer la même chose à Christophe.
*********
Les deux amies se retrouvèrent plusieurs semaines plus tard car entre temps avaient eu lieu les vacances d'été. Illico, Mylène interrogea Corinne :- Alors, cette vidéo, tu l'as faite ou pas ?
- Oui je l'ai faite mais cela ne s'est pas passé comme je l'avais supposé. Quand j'ai raconté à Christophe ce que tu avais fait avec François et le plaisir que vous y avez pris tous les deux, il a nettement tiqué. "Je ne me vois pas me faire filmer en te faisant l'amour, je perdrais tous mes moyens", a-t-il argumenté. Je dois dire que l'argument était recevable et il a vu que j'étais déçue. On a laissé passer quelques jours durant lesquels je dois t'avouer que nos rapports sexuels ont été rares et médiocres. La tension s'est installée et comme il me connait, il a vu venir que j'allais trouver mon bonheur ailleurs. Alors, un jour, il m'a dit : "bon, je sais que tu as envie de quelque chose de spécial avec moi. D'accord pour ta vidéo mais pas avec moi. Et en ma présence." Au début, je n'ai pas tout compris et il a précisé sa pensée : il voulait me filmer en faisant l'amour avec un inconnu, de préférence un jeune noir. Je suis tombée des nues.
- Attends, tu veux dire qu'il voulait te filmer directement en cocu ? Sans faire comme François et moi, en commençant ensemble ?
- C'est à peu près ça, mais je crois que c'est chez lui une sorte de fantasme qu'il avait refoulé jusqu'à présent.
- Et tu as donc accepté ?
- Oui, à condition que je choisisse mon partenaire. On est allé en boite de nuit où des jeunes ont l'habitude de danser. Je m'étais faite très sexy, mini short et débardeur sans soutif, tu vois le genre, et Christophe s'est tenu en retrait. Je me suis fait draguer par plusieurs jeunes mecs, c'était rigolo, surtout de voir la tête de leurs copines. Finalement, j'ai retenu un grand métis bien baraqué. On a flirté jusqu'au moment où je lui ai présenté Christophe. Là, il a tiqué, mais je lui ai dit qu'on était un couple très libre et qu'il était d'accord pour qu'on passe la nuit ensemble, à la seule condition de nous filmer. Le gars s'est crispé mais je l'ai rassuré en lui disant que c'était juste pour nous, pas pour internet. Il faut dire, sans me vanter, qu'il était bien accroché, qu'il voulait vraiment me sauter. Chez les mecs, la queue finit toujours par l'emporter sur la tête. Bref, on est allé tous les trois à l'hôtel car les gosses étaient à la maison. On avait réservé la chambre, c'est dire que nous étions optimistes.
- Continue, tu me passionnes...
- Christophe s'est fait le plus discret possible dans la chambre, il s'est mis dans un coin avec sa go pro et j'ai fait en sorte que Bastien (le prénom du gars) oublie sa présence. Je lui ai fait le grand jeu et ce n'était pas difficile car j'avais vraiment envie de lui, j'étais archi chaude et ce que j'avais picolé avant y contribuait sans doute. Mais c'est surtout la situation qui me branchait. J'avais une furieuse envie de voir sa queue, de la sucer, de la cajoler, et quand elle a jailli de son caleçon, j'ai compris que j'allais me régaler. Une queue pareille chez un homme aussi jeune, ça ne pouvait être que du bonheur pour une femme mûre. Elle était à la fois longue et épaisse, une vraie tige un peu recourbée, tu vois ?
- Je vois, oui... Et tu me fais mouiller.
- Attends, le meilleur arrive. On s'est mis mutuellement à poil et on a commencé par un 69. J'étais dessus et je regardais Christophe nous filmer en tournant autour de nous tout en suçant. La langue de Bastien était adroite pour un homme jeune, on sentait la pratique. A un moment, je n'ai pas pu tenir, il fallait que je me la mette et Christophe m'a tendu une capote pour le coiffer. Aussitôt fait, je me suis empalée sur lui en lui montrant mon cul et la cavalcade a commencé. Il m'a prise dans plusieurs positions, inlassablement, sans débander une seconde. J'étais complètement à l'ouest, je ne voyais même plus Christophe. Je ne pensais qu'à cette bite qui me transportait. On a baisé pendant une demi-heure, j'ai connu plusieurs orgasmes et j'ai fini par le faire jouir en lui mettant le doigt dans son petit trou, jusqu'à la prostate. J'étais anéantie et ne l'ai même pas vu quitter la chambre après que Christophe lui eut filé un billet de 50 euros (j'avais pensé à ton tarif). On est resté dans la chambre pour la nuit, Christophe à mes côtés mais pour dormir. Et on est rentré pour regarder ensemble la vidéo.
- Et alors ?
- En la regardant, j'ai pensé à ce que tu m'avais dit, que tu t'étais découverte. C'est exactement ça. C'était la première fois que je me voyais vraiment baiser, de manière bien plus complète qu'avec un miroir. Christophe s'était vraiment surpassé. On voyait et on entendait tout, absolument tout. Je ne dirai pas que j'ai pris mon pied en me regardant mais j'ai prolongé mon plaisir de la baise avec Bastien. J'ai vu ses couilles battre la cadence quand il me limait, vu sa queue entrer et sortir de ma chatte, vu son visage quand il me prenait par derrière, vu mes mains crispées sur ses fesses que je ne pouvais pas voir remuer pour me faire jouir (un cul parfait, soit dit en passant), je me suis entendue gémir, crier, dire des obscénités dont je ne me rendais même pas compte. Une vraie salope, j'en ai eu presque honte. Figure-toi que je me suis masturbée en me regardant et du coup, Christophe s'est déculotté et m'a baisée sur le canapé, en vrai sauvage. Et encore un orgasme à la fin. Quelle soirée !
- Je ne te le fais pas dire. Tu m'as mis le feu. Tu as fait plus fort que moi, en un sens puisque c'était calculé et non dans le feu de l'action. Donc, si je comprends bien, Christophe a apprécié.
- Oh oui et il a même envie de recommencer. Il adore me regarder baiser. Et moi j'adore qu'il me regarde. Nos regards se sont souvent croisés. Il m'encourageait de la voix, à un moment il m'a même écarté les pieds pour que l'autre entre bien profondément, il les a aussi tenus en l'air en les rassemblant d'une main tout en filmant, il participait quoi. Je pensais qu'il allait me donner sa queue à sucer en même temps mais il était trop occupé à nous tourner autour pour chercher les meilleurs plans. Ce qui l'intéressait surtout, c'étaient ses couilles et mon visage. Choses que je ne vois jamais quand je baise.
- Et ça t'a appris quoi, ton visage ?
- Que je suis une autre. J'ai un côté bestial que je ne soupçonnais pas. Je ne sais plus combien de fois j'ai prononcé le mot "bite". Je la voulais et j'en redemandais. Je te dis, j'avais presque honte en me regardant. Ce qui m'a rassurée quand même, c'est que je souriais beaucoup, j'étais même rayonnante, je constatais de visu que je prenais énormément de plaisir.
- J'ai eu un peu le même sentiment. Toi comme moi, on aime vraiment le sexe. Sans doute plus que la plupart des femmes. On prend du plaisir et on en donne. Au fait, est-ce qu'il t'a enculée ?
- Non, je réserve ça à mon mari. C'est son privilège. Ce n'est pas que je n'en avais pas envie, j'étais tellement chaude qu'il aurait pu tout me faire mais devant lui, je ne pouvais pas et il n'a d'ailleurs pas essayé. Par contre, je l'ai doigté après lui avoir léché l'anus. C'est là qu'il m'a traitée de salope...
- Il n'avait pas tort sur le coup.
- Non mais je peux te dire qu'il a apprécié et c'est juste après qu'il a joui après m'avoir mitraillée de sa bite. Il n'en pouvait plus de se retenir.
- Tu vas le revoir ?
- Je ne sais pas, on verra. En tout cas, on va recommencer l'expérience, c'est trop jouissif, et on regarde de temps en temps la vidéo avec Christophe avant de baiser. C'est beaucoup mieux qu'un film porno avec des inconnus.
- Je vois que vous ne vous ennuyez plus au lit...
- Pour le moment, non, mais il faudra peut-être réactiver. Et toi au fait ?
- On a revu notre pizzaiolo. Mais c'était un peu moins bien, ce n'était plus nouveau et moins spontané.
- Tu n'as qu'à lui raconter notre expérience.
- Je ne suis pas sûre qu'il soit dans le même état d'esprit que Christophe. Bon, on va y aller maintenant, c'est toi qui paye ou c'est moi ?
Et les deux amies quittèrent le salon de thé, la culotte particulièrement humide...
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