Croisière 6 - histoire érotique

Voir les épisodes précédents pour mieux comprendre l'histoire.

Partis à trois sur un voilier, nous avons aussi accueilli un couple lesbien à bord. Je suis accompagnée de deux garçons qui sont devenus mes amants et nous couchons ensembles dans le carré transformé en lit XXL.

Hier, nous avons eu une grande discussion sur la sodomie et ce matin, ils m'ont prise en sandwich. Je ne croyais pas cela possible mais nous y sommes arrivés.

Honnêtement, j'ai eu beaucoup de craintes et un peu de plaisir. Je préfère en matière de pluralité, quand l'un me baise, sucer son ami qui ensuite prendra sa place.

J'ai aussi aimé la fois où plusieurs hommes se sont succédés.
Mais mon rêve, c'est de rencontrer l'homme parfait, bon amant et compagnon idéal.

En attendant, j’essaie de satisfaire un peu par accident, au gré des rencontres, ma libido exigeante.

Pendant ce temps, les filles sont sorties discrètement par le grand panneau avant et nous reviennent chargées de courses et de croissants.

Nous petit déjeunons et programmons la journée. Grand nettoyage et découverte de la ville.

Je prétexte un peu de fatigue pour revenir au port où je suis abordée par un beau garçon qui m'invite à faire un tour en mer sur une vedette rapide avec ses amis. Il est charmant, italien comme ses amis. Je suis tentée par l'expérience. Il me fait visiter le bateau et je suis chaleureusement accueilli par ce groupe de sportifs. Effectivement en moins de vingt minutes, nous mouillons aux Sanguinaires.
Nous sortons masques et palmes et plongeons une bonne heure avec une mer d'huile.

Nous sommes au début de l'après midi et la faim se fait sentir. Nous sommes six à bord et je suis la seule fille. Les garçons sont des joueurs de football qui passent une semaine ensemble sans leurs petites amies. Je suis assaillie de questions et entre deux bouchées, je raconte notre épopée.

Je me gave de pizzas, poulet, rôti et sandwichs, mon verre est toujours rempli et à la fin du repas je m'assoupis. Je fais un drôle de rêve où je suis entourée de cinq hommes virils qui me font l'amour.
Quand je me réveille, je suis en nage, le beau jeune homme qui m'a abordée est à mes côtés et me dit que j'ai fait un rêve érotique où je prononçais clairement des appels à me pénétrer.

Je constate que mon sexe est trempé et ma mouille se mêle à l'humidité de mon maillot. Mes tétons pointent et sont parfaitement visibles à travers mon haut minimaliste. Etre le centre d'intérêt de cinq hommes chargés de testostérone m'a fait perdre la tête.

Au lieu d'être confuse, j'avoue à mon pygmalion que la situation m'excite. Le repas a renforcé mon appétit sexuel et je ne résiste pas au désir viscéral de faire l'amour.
Impulsivement, je m'empare de ses lèvres et plonge ma main dans son short.
Je savoure le goût salé de sa peau et nos langues se mêlent. Je sens en même temps son sexe grandir dans ma main.

Après ce baiser fougueux, je baisse son short et entame une fellation sous les yeux de ses amis qui se rassemblent autour de nous. Je vois son visage extatique, regarder le plafond de la cabine, tandis que ses amis sortent leurs queues à l'air libre.

Je me lâche complètement loin de mes amis et des lieux que je fréquente, je saisis deux autres queues dans chaque main tandis que deux autres se présentent à ma bouche.

Au bout d'un moment je me relève et m'allonge sur la couchette à l'avant. Je suis alors littéralement embrochée par un sexe de bonne dimension qui me pilonne sans ménagement. Ses mouvements sont longs et profonds. Ses amis montent alors sur la couchette et m'entourent, un sexe dans chaque main, deux autres essayent de venir dans ma bouche. Je parviens à suçoter les glands, parfois j'arrive à prendre la verge entièrement dans ma bouche sous les encouragements.

Mon amant accélère les mouvements puis se répand sur mon ventre.
Je n'ai pas jouis et mon envie est toujours là, je ne réfléchis plus, tous ces hommes n'ont qu'une envie, c'est de me prendre et d' éjaculer. J’ ai besoin que cela continue et je dis « encore, un autre, vite ». Pas besoin de parler italien.

Aussitôt, je suis investie, par un sexe encore plus gros que le précédent, des vas et vient rapides et une nouvelle giclée de sperme me recouvre le ventre et la poitrine au moment où je sentais que j'allais partir.

Je pompe un troisième depuis un bon moment quand il se répand dans ma bouche. Son goût n'est pas désagréable mais d'instinct, je le recrache, le sperme se répand sur mes lèvres, mon menton et coule sur mon cou.
Je m'aperçois que celui qui m'a invité s'approche avec un appareil photo, il la décence de me couvrir les yeux pour préserver mon anonymat. Je comprends que c'est pour sa collection personnelle à une époque où internet et le numérique n'existaient pas.

J'entends l’obturateur fonctionner en rafale, je ne sait plus quoi faire de mes mains qui machinalement étalent le sperme tandis que je suis à nouveau prise une quatrième fois par un parfait inconnu.
Je suis aveugle, et je me caresse les mains poisseuses, je sens l'orgasme arrivé et je jouis en feulant, tout mon corps tremble et mon cœur bat la chamade. Je suis épuisée. Le dernier s'est répandu sur mon visage sans que je m'en rends compte.

Je reste un moment inerte puis mon premier amant vient me voir et en français me dit que j'ai été formidable. Ils sont très soudés par l'esprit d'équipe et ont l'habitude des vestiaires. J'ai assouvis leur fantasme de faire l'amour tous ensemble avec la même fille. L'autre étant d'être le seul mâle au milieu de plusieurs filles.

Il me prend par la main, m'essuie avec une serviette et m'accompagne dans l'eau. Il me lave tendrement et m'embrasse avant de remonter à bord.

Le soleil couchant rougeoyant irradie les îles Sanguinaires quand nous levons l'ancre.
A mon retour, mes amis me racontent leur après-midi et s’étonnent que je n'ai rien à leur dire.
Le soir, mes deux amants me trouve fatiguée et sitôt au lit, je m'endors comme un bébé.