Défaillance!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Défaillance! Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Défaillance!
Une semaine plus tard, de nouveau fête à la maison. Tard dans la nuit, je monte jusqu’à ma chambre pour échanger la chemise de circonstance pour un tee-shirt.Mais alors que je m’apprête à peser sur le poignet de la porte, mon regard se porte sur la chambre de ma fille, dont la porte est entrouverte, assez grande pour me permettre d’apercevoir une jambe gainée de résille que je reconnais appartenir à ma belle-sœur, Maryline.
Celle-là même qui, depuis quelques années, consent à satisfaire mes besoins sexuels avec elle. Et qui, à ce que je me rappelle, avait demandé l’autorisation de prendre une chambre pour coucher ses deux bambins. Assez fort pour que je l’entende. Une invite en quelque sorte. Elle devait vraiment être en manque pour s’autoriser cette sorte d’invitation.
Mais ce soir, ma pensée est ailleurs. Ma femme avec son copain. Mais voilà que l’ourlé de sa jupe de soirée glisse assez haut pour me dévoiler l’ouverture de son entrejambe. Où les mailles de résille ne couvrent son sexe. La fièvre du désir m’envahit.
Il ne m’en faut pas plus pour chasser de ma mémoire les mauvaises pensées, pour consentir à ma personne de faire les quelques pas, qui me sépare de l’intérieur de la chambre. Je commence par la déchausser et de déposer quelques baisers sur le pied odorant. Un pur bonheur pour mes papilles ! Tout cela déclenche chez moi une envie présente. Confiant de ne pas être dérangé, tout le monde étant en train de faire la fête dans l’autre aile de la maison, je me déboutonne.
Je prends la position sur le matelas posé à même le sol, perpendiculaire à elle. À l’aide de deux doigts, je guide ma queue bandée jusqu’à son orifice, et d’un coup de reins l’investis. Pour son plus grand bonheur et surtout le mien. Et alors que j’entreprends des va-et-vients, un pied vint se poser sur mes lèvres. Un peton gainé qui sent bon la transpiration. Mon premier réflexe est de l’écarter.
-Ça ne va pas ! Fait la voix que je reconnais être celle de Maryline.
-On vient de poser un pied sur moi.
-Et alors ?
-Mais à qui appartient-il ?
Je l’entends s’esclaffer. Un rire moqueur. Pour me venger, je lui inflige plusieurs coups de reins.
-Oh oui beau-frère ! Encore ! Je ne m’attendais pas plus de toi !
Pendant ce temps, le pied revient à la charge.
-Mais qui est là, bordel ? Je m’entends murmurer.
-T’inquiète, ce n’est qu’à ma sœur Adeline.
Pris de panique, je me retire.
-Mais ça ne va pas là. À quoi tu joues ? Bordel !
-T’inquiète ! Mon chou !
-Mais… mais… tu es tombé sur la tête, pourquoi lui avoir tout révélé ?
-Ce n’est pas moi, c’est Alice (sa fille).
J’accuse le coup. Je m’en veux à mort sur l’instant, d’avoir eu la faiblesse d’avoir une relation avec ma nièce.
-C’est drôle là ! Fait Maryline, me faisant revenir à la vie réeille. je ne te sens plus là.
Et pour cause, j’ai perdu de mon éclat.
-Tu ne sais peut-être pas, ajoute ma belle-sœur, mais elle a elle aussi un faible pour toi.
-Oui et bien pas moi...
-T’occupes et baise-moi, j’ai envie de toi…
-Et ta soeur?
-Fais comme si elle n’était pas là. Me fait-elle en me prenant en bouche.
Et là, croyez-moi, ma belle-sœur est une vertueuse côté pipe. Je ne mets pas longtemps pour retrouver une queue présentable. Adeline profite de l’instant pour que je m’occupe de nouveau de son pied.
Je me suis rappelé qu’au courant de la soirée, elle avait fait fureur avec ses jambes gainées d’un collant de couleur rouge, comme l’habit qu’elle porte. Ça fait plus festive, fut ses paroles.
Mon sang ne fait qu’un tour, mon adrénaline monte. Il ne m’en faut pas plus pour ordonner à la soeurette de se lever. Une fois debout, je glisse ma main sous sa jupe et l’attire à moi. Tout en baisant la sœur, je fourre ma tête sous la jupette. L’odeur qui s’en dégage est du plus envoûtant.
-Putain, ta fille avait raison quel cochon ! Fait Adeline de sa voix, presque rauque.
Je sens son souffle sur mon visage, sort la langue et me lèche du menton au front. Je deviens comme dingue, martelant à coup de reins le sexe de Maryline. Sa sœur lèche mes épaules, à grandes lambeaux. Comme une affamée ! Elle me renifle, s’excite sur moi. Cela me procure des frissons. La coquine est comme un petit animal, elle souffle fort, joue tellement de sa langue que son visage en est souillé de salive. Elle ose même de placer sa chatte au-dessus de ma bouche. Elle est trempée. Avide d’elle, j’ouvre la bouche bien grande en essayant de prendre la plus grande part possible de cette partie de son anatomie que je sens glabre. J’écarte à l’aide de ma langue ses lèvres, titillant son clitoris.
-Oh… tu avais raison Maryline, il est merveilleux !
Je me sens ivre d’excitation. Je glisse ma langue jusqu’à son petit trou, que je me mets à lécher avec amour. Laquelle prend visiblement son plaisir.
Tout proche de conclure, je me retire brusquement de la chatte de Maryline, qui bronche à peine et continue à bouffer le cul de sa sœur. Elle m’échappe, m’embrasse, me couvre de baisers, la laisse s’asseoir sur moi, lui rend ses baisers. Je ne sens presque pas son poids. Assis sur le sol, elle m’étreint et commence un sensuel va-et-vient. Tout son corps ondule. Elle halète dans mon oreille. Elle est tendre et si délicieuse…
Ma belle-sœur tout proche de nous, nous caresse pendant que nous nous laissons aller aux joies du sexe. Je veux en finir au plus vite, de peur qu’en bas, quelqu’un s’inquiète de mon absence. J’accélère le rythme, sens le fond du vagin d’Adeline. Je pousse, pousse, elle lance un crie étouffé. Se contracte. Je sens des secousses par saccades autour de mon sexe. Je me lâche, sens ma semence se répandre en elle, puis couler sur mes cuisses.
Suite à cela, revenu parmi les noctambules, je verse du champagne dans les coupes, ainsi que celle d’Adeline. Je n’ose pas la regarder dans les yeux. Je ne sais pas trop comment me comporter avec elle. Heureusement pour moi, l’alcool aidant, tout s’ évanouit.

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